Je me sens surtout menacé par l’instrumentalisation du problème climatique en ce sens qu’il sert de cache-sexe à une foule d’autres problèmes qui relèvent immédiatement et directement de décisions politiques sur lesquelles nous n’avons aucun contrôle ni moyen d’action.
Autrement dit, la conscientisation forcée du problème (ou variation ?) climatique escamote d’autres problèmes sur les quels nous aurions une prise efficace et rapide, si nous avions voix au chapitre.
Quelques exemples : pollutions insidieuses diverses et variées, disparition accélérée d’espèces, atteintes à l’intégrité génétique, informations orientées, économie financière hors de contrôle, etc, etc...