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Balade quantique

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 L’homme accédant à la réalité par ses sens, et ses sens conditionnant la perception de cette réalité, la réalité en soi lui est interdite et ne peut être pleinement connue. L’esprit est en perpétuelle recherche de vérité tandis que l’âme hurle son besoin de liberté dont l’écho résonne dans ce corps qui n’est qu’une prison vouée à l’effondrement. Qui accroît son savoir accroît sa souffrance, car il prend conscience de l’immensité de son inscience. La vacuité de nos prétendues connaissances donne le vertige. Le gouffre de nos ignorances est abyssal, car il est peuplé de doutes et de lacunes. L’ignorance nous confine dans un confort inconscient qui prolonge l’enfance. Y a-t-il plus terrible souffrance psychique que de se rendre compte de son inefficacité devant la détresse d’autrui alors que l’on traverse soi-même une vie dans une soporifique routine. Tout ce qui nous constitue et nous entoure est issu de la même soupe psychique en perpétuelle mutation et quoi que nous fassions, quel que soit nos choix, nos erreurs, nous sommes condamnés à l’évolution. À partir de ce principe, apprendre à se perfectionner n’a de raison que dans la transmission de l’acquit à autrui. Ce subtil mélange entre déterminisme et libre arbitre définit notre propre univers dans l’univers. Avec uniquement le déterminisme, l’univers ne serait pas assez flexible et verrouillerait les possibilités évolutives de toute âme.

 Le concept de «  Dieux  ». Pour une majorité d’êtres humains, c’est une réalité théologique, un fait historique ou une licence poétique. Pour la science d’aujourd’hui : une équation quantique. Les religions asservissent l’homme, la foi les rend libres. Le problème avec les religions c’est qu’elles vous obligent à penser par elles-mêmes et vous interdisent de penser par vous-même. Vous devez suivre le livre et rien que le livre et ses préceptes. Tout écart à la parole écrite serait considéré comme une faute et une apostasie. Le croyant fanatique remplit sa poitrine avec son Dieu au point de ne plus entendre battre son cœur alors qu’il devrait accepter que toutes les religions détiennent certaines vérités que ne possède pas forcément la sienne et ainsi, tempérer son fondamentalisme religieux. La science n’est-elle l’étude des lois que Dieu (ou que la vie) a utilisée pour créer le monde  ? Concernant la spiritualité, différence subtile en croyance et foi, chacun ressent au fond de lui une vérité qu’il fait sienne et qu’il prend en partie pour acquise et qui devient sincérité, exactitude, véracité. Là est la grande épreuve, l’homme doit abdiquer son être pour rejoindre le divin. Seulement, même convaincu philosophiquement et humainement de cet Eden intérieur, quand la douleur survient et qu’elle devient feu, l’incertitude accouche de cette souffrance qui étouffe le raisonnement et chaque croyance vacille devant l’épreuve. Il y a nécessité d’étouffer cet ego, cette vanité que nous dissimulons maladroitement sous une fausse modestie de circonstance. Dans la recherche de la vérité, nous sommes notre propre ennemi et nos certitudes sont nos chaînes. La prétention nous pousse à croire que nous connaissons toutes choses alors que nous ignorons jusqu’à la raison de nos vies. Il y a deux dates importantes dans la vie d’un être : «  celles de sa naissance et celle où il a compris pourquoi  ». Nous rêvons de perfection alors qu’humainement nous peinons à accéder à la normalisation, car socialement de plus en plus inaptes et émotionnellement souvent ingérables par de prétentieuses postures. Dans cette époque de troubles et d’incertitudes suite à la destruction des repères naturels, l’homme consulte freudiens ou lacaniens ou se dogmatise dans une religion, mais Dieu et les psys ne répondent à aucune question, ils en posent de nouvelles. L’homme a mélangé le bon et le mauvais pour produire aujourd’hui le pire et leurs Dieux eux-mêmes, du haut de leur Olympe et du fond de leur abîme, s’y perdent. Entre Dieu et les humains, le pacte est calcul comme la vie est ruse biologique. Démunis comme au jour de la naissance, nous n’en avons toujours pas saisi le sens. Ce que le cimetière confisque au coucher du soleil, le berceau le rend à l’aube du lendemain. Ce n’est pas le droit, la morale, le bien ou le mal qui font l’histoire dans ce monde, ce sont les mathématiques, le nombre, uniquement le nombre. Il est indéniable que dans un monde physique fini, l’exponentialité du nombre est le moteur du déclin et de la disparition d’une espèce, d’une civilisation.

 Une situation ne peut subsister sans son inverse ainsi l’a si bien défini Bell dans son théorème. Le sentiment positif, est-il une force ou une faiblesse  ? Ce devrait être un état de grâce momentané, mais s’il revêt une forme passionnelle, il déstabilise la raison, et nous enferme dans une dépendance qui nous sépare de l’ensemble. Les actes qui en découlent, au même titre que les mots, enchaînent causes et effets. Si le sentiment est exclusif, il ne peut être qu’abusif et source de malaises. En revanche s’il est compassionnel et jumelé d’impermanence, il est source d’indépendance et neutre émotionnel donc efficace, car entier. Il devient une sorte de puissant condensateur servant de support à la médiumnité intérieure. Bouddha disait «  L’acteur est secondaire par rapport à l’action, car toute individualité est faite de la somme totale de ses actions passées ajoutée au vécu de son moment présent, tout ceci constituant un flux cohérent d’énergie consciente mieux connu sous le nom d’individu ou de personne  ». La progression de la pensée sous sentiments intimes est de fait conditionnée et parasitée. Bien qu’étant sûr de la puissance et de la véracité de mes sentiments, je ne puis les résoudre à l’exclusivité.

 La physique quantique nous propose certaines réflexions qui font vaciller nos certitudes acquises par la vision ou le touché (physique matérialiste). La plupart rêve de traverser cette vie comme une étoile filante, une éblouissante comète, mais quel amer constat de s’apercevoir au terme que nous fûmes qu’une nébuleuse. Pourquoi vouloir attraper la Lune quand on a un lit d’étoiles  ? Dans ce monde matériel où la barbarie dispose de sa propre industrie de la mort, privé d’illusions et de lumière, l’homme se sent étranger. Privé d’un foyer perdu ou de l’espoir d’une terre promise, son exil est sans remède. L’espace et le temps en tant que tels sont illusoires, seule une union des deux conserve une certaine réalité, une certaine stabilité qui fait que la matière pure ne peut qu’évoluer dans un présent soumis au principe thanatothropique. Stephen Hawking appelait ça : «  la conjoncture de protection chronologique  ». Le simple fait d’observer une particule subatomique, comme un électron, altère son état. Il est impossible de connaître en même temps la position et la vitesse d’une particule «  Principe d’incertitude de Heisenberg  ». Il y a une conscience universelle et le cerveau humain utilise celle-ci pour bâtir une conscience individuelle. Les NDE et leurs sorties du corps ne sont-elles pas susceptibles de confirmer définitivement le dualisme et une forme de non-localité. L’affirmation classique que tout est matière n’a plus de sens sur le plan scientifique de la physique quantique. L’ennemi absolu du matérialisme, le dualisme. Certains phénomènes qui relèvent d’un autre niveau de réalité peuvent influencer causalement notre monde sans pour autant pouvoir trouver une explication dans celui-ci. Principe de non-localité. Le monde ou nous vivons dans l’espace et le temps ne peut pas s’expliquer à partir de lui-même tel le défini Gödel dans son «  théorème d’incomplétude  » selon lequel il n’est pas possible de démontrer par la logique mathématique la cohérence d’un système en restant à l’intérieur même de ce système. La conception selon laquelle un esprit séparé de la matière peut exister devient donc crédible. Il existe un autre niveau de réalité situé hors de l’espace, du temps, de l’énergie et de la matière. Comme la nature du réel dépend de l’observateur, il faut en déduire que l’objectivité parfaite est impossible surtout lorsqu’il s’agit d’interprétation. Dans l’analyse, il faut se garder de toute idéologie pour ne se laisser guider que par les faits.

 À l’instant du grand voyage, deux regrets collent à nos basques et nous suivent comme un chat noir dans les ruelles incertaines et sombres de nos âmes. Le premier est de laisser derrière soi ceux que l’on aime et le second, ce terrible et tenace sentiment de savoir qu’on aurait pu faire plus et mieux malgré nos incompétences. Prendre conscience qu’au milieu des Saints et des Anges, nous ne sommes que de simples écoliers à l’école de la vie. De simples particules nucléaires accouchées d’étoiles mourantes. Jusqu’à ce jour, l’impermanence nous permet de dissimuler nos chagrins, elle est de cette pudeur qui ne pleure ses souffrances que de l’intérieur. De la naissance au cimetière, de chrysanthème en chrysanthème les autres fleurs font ce qu’elles peuvent chantait le grand Jacques. La révolution des mœurs dans les années 60, l’abandon des repères moraux fondamentaux, sous prétexte de pouvoir enfin agir librement, a irrémédiablement inversé les valeurs de base, structure de la paix et la stabilité de la vie communautaire. Le délinquant est devenu prioritaire à la victime qui elle, doit se contenter de bougies et de marches blanches. La brutalité de cette rupture a représenté dans la continuité pour la société et ses membres la preuve de la dissolution identitaire spirituelle. Parce qu’elle demande effort et combat, la réalité n’intéresse plus personne, elle est remplacée par confort et lâcheté par sa propre virtualité fabriquée et fantasmée. Avoir au-delà du nécessaire et paraître sont devenues plus important qu’être. La liberté n’est pas la capacité à faire n’importe quoi, mais au contraire d’agir selon ce que l’on est réellement. Il faut d’abord être quelqu’un qui peut compter sur soi et sur lequel les autres peuvent compter.

 Huit milliards d’êtres humains sur terre et combien de centaines de millions meurent seuls, sans amour, sans amitié  ? Qu’avons-nous échoué, à quel carrefour de nos vies nous sommes-nous égarés  ? L’être humain est tellement complexe qu’il est impossible de le résoudre à une équation morale, de bien ou de mal. Vouloir changer le monde est prétentieux, vouloir l’améliorer est présomptueux. Je préfère ce terme de « tikkoun olam » qui signifie, réparer le monde, du moins essayer chaque jour à son modeste niveau.


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20 réactions à cet article    


  • John John 4 juin 14:42

    Salut Gabriel !

    « Huit milliards d’êtres humains sur terre et combien de centaines de millions meurent seuls, sans amour, sans amitié  ? Je préfère ce terme de « tikkoun olam » qui signifie, réparer le monde, du moins essayer chaque jour à son modeste niveau. »

    De toutes les sciences que l’homme peut est doit savoir, la principale c’est la science de vivre de manière à faire le moins de mal et le plus de bien possible ... [Léon Tolstoï] ...

    Je crois quand je regarde ce monde même à une petite échelle que c’est vraiment mal barré ... Les hommes sont capables de construire plein de choses comme des IA hyper puissantes mais semblent incapables de se respecter et de s’aimer ...

    Peut-être qu’un jour malgré nous tout ceci prendra fin ... Tout ceci s’arrêtera ... smiley ... 

    Par contre ... Ça fait longtemps que je ne t’avais pas croisé ni lu ... Ça réchauffe de savoir qu’une personne comme toi est encore sur mère Terre parmi nous ... smiley ... 


    • Gabriel Gabriel 4 juin 16:04

      Merci @John pour le temps que tu as passé à cette lecture.
      Gabriel


    • Seth 4 juin 16:28

      @John

      E per parlar d’aoutra caousa, couma ei lou tem sa tu , aqui fai mais que pléouré.  smiley

      Chabé què mai ? N’ai moun fai d’aquel journal, m’en vou anar.  smiley


    • suispersonne 4 juin 16:28

      J’ai mis longtemps à deviner où vous voulez en venir.

      Vous alignez de multiples affirmations destinées à semer le doute, et c’est bénéfique.

      Parmi les fausses pistes qui embrouillent les esprits paresseux, vous dénoncez les religions et le scientisme. Dont acte.

      Et vous terminez par le bien et le mal, pourquoi pas ?

      Vous ne dites pas que chacun a moyen de savoir s’il agit ou pense juste.

      Vous ne dites pas que chacun a la puissance de sa propre connexion avec l’univers, inconnu, très probablement inconnaissable, et puis c’est tout.


      • Gabriel Gabriel 4 juin 16:49

        @suispersonne
        Devant la complexité et la relativité des actions humaines, je me garderais bien de toute morale en appliquant ce proverbe : « Le sage cherche toujours la vérité. l’imbécile lui, l’a déjà trouvé... ». Car la seule certitude que j’ai, c’est celle de n’en avoir aucune.


      • Seth 4 juin 18:15

        @Gabriel

        Attention à l’excès de doute...


      • Gabriel Gabriel 4 juin 18:32

        @Seth
        Le doute incite à la recherche et la recherche est le plus sur chemin vers la connaissance.


      • Seth 4 juin 18:47

        @Gabriel

        Certes mais après la recherche il faudrait trouver une vérité. On ne peut pas passer notre courte vie dans le doute.


      • Gabriel Gabriel 4 juin 19:13

        @Seth
        c’est l’éternel dilemme notre science qui se construit sur des vérités justes aujourd’hui qui s’avéreront fausses ou incomplètes demain. De la terre plate aux multivers de la physique quantique, nous ne cessons de repousser les limites. La vérité ultime en science c’est l’horizon que l’on perçois sans jamais le toucher...


      • Seth 4 juin 19:48

        @Gabriel

        Je suis pour tout un tas de raisons hors scientifiques un persuadé de l’existence des multivers depuis toujours. Mais ce n’est pas le sujet ici.  smiley


      • Phil 4 juin 23:49

        @Seth
        Blagounette :
        Un type depuis qu’il a quinze ans, se pose la question de ce qu’est la vérité.
        Il quitte sa famille, et à l’aide de petits boulots il arrive à voyager. Il rencontre des cultures différentes, des croyances diverses, des religions variées, mais rien ne peut satisfaire sa soif de connaître ce qu’est la vérité. Finalement arrivé à soixante dix ans, il retourne dans la région du Tibet qu’il avait déjà visité auparavant. Pourquoi cette région ? Parce que c’est là peut être qu’il a senti qu’il y aurait quelque-chose d’important pour sa quête, une intuition. Un jour, fatigué de ne pas trouver le chemin de la vérité, il demande à un paysan en train de labourer son champ avec son yack si il pourrait connaître quelqu’un qui le mettrait sur la voie de la vérité. Le paysan lui répond, en lui montrant une montagne, « La haut, vérité est montrée ». Alors notre brave baroudeur, se rend dans la ville la plus proche, dépense ses dernières économies en achats de matériel d’alpinisme. Et le voilà sur le chemin qui mène à la montagne désignée par le paysan. C’est long, et fatigant,
        et la pente est de plus en plus raide, et l’âge faisant il peine à avancer. Mais rien ne peut l’arrêter, il donne toute son énergie pour escalader cette montagne. Il pleut, puis il neige, il fait un vent terrible parfois, mais rien ne peut l’arrêter. Il monte, il est déjà à 5000 mètres, mais rien d’intéressant, alors il continue. Un jour, après avoir réussi à passer un rocher en aplomb, il se redresse, et en face de lui sur la paroi de la montagne, une fissure ou l’on peut se glisser. Il se glisse dans cette anfractuosité,
        et stupeur, il aperçoit une minuscule lueur au loin. Alors il abandonne son matériel d’alpiniste, et avance dans la direction de cette lumière. La fissure devient caverne. Plus il progresse, plus la lumière se fait intense, la joie commence à exciter notre personnage. Tu parles, une lumière de plus en plus intense dans une montagne à 6000 mètre d’altitude, ce ne peut être que quelque chose de magnifique. Il est de plus en plus proche de la source lumineuse, et il s’aperçoit que ce sont deux grosses bougies supportées par deux candélabres. A 6000 mètres d’altitude dans une montagne, deux cierges allumés, le coeur de notre ami commence à battre très fort. Il avance toujours, et il voit entre les deux candélabres, un être humain barbu, assis en position du lotus, avec les yeux fermés. Notre chercheur de vérité, n’en croit pas ses yeux, il s’agenouille à quelques dix mètres du vieux en position de lotus qui semble être dans une méditation profonde. A 6000 mètres deux cierges allumés, avec entre les deux un vieux sage en méditation, ça y est j’y suis se dit notre ami. Il reste prostré, ne sachant quoi dire ou faire tant il est exalté. Des dizaines de minutes passent, puis finalement il se décide à parler : 
        « oh, vénérable maître, depuis tant d’années, j’ai visité tellement de pays, j’ai connu
        un grand nombre de croyances, mais rien ne m’a rassasié. Je suis devant toi aujourd’hui pour connaître enfin la vérité. Maître peut tu me dire ce qu’est la vérité ?

        L’autre le vieux sage assis en position de lotus entre deux bougies allumées à 6000 mètre d’altitude dans une caverne lui répond :
         » La vérité mon fils, est un fleuve qui inonde ton corps« 
        Notre ami surpris lui demande :
         »C’est ça la vérité ?« 
        Et le vieux d’un seul coup s’agite, quitte la position du lotus, se met à quatre pattes,
        le regarde et lui dit l’air affolé :
         »Pourquoi,........ c’est pas vrai ?"
        Bonne soirée.


      • Gabriel Gabriel 5 juin 06:14

        @Phil
        Merci, car avec humour, tout est dit....


      • Phil 4 juin 22:58

        « Tu as peur de la vie petit homme, car tu as peur quelle déclenche en toi un réflexe d’amour. »

        Wilhelm Reich « Ecoute petit Homme » 1945 petite bibliothèque payot.

        Ce gars Wilhelm Reich a été considéré comme un allumé, à tort ou à raison, pour ses recherches, mais il me semble qu’il a mis le doigt sur quelque chose d’important ne serait-ce que par la citation que j’ai collée plus haut.


        • Gabriel Gabriel 5 juin 06:20

          @Phil

          Un autre est arrivé, a balayé toutes les prétendues vérités religieuses, tous les commandements et autres recommandations en disant : « Aimez-vous les uns les autres. » A première vue cela a fortement déplut car sa séance d’acupuncture au soleil c’est très mal terminé.    


        • scorpion scorpion 5 juin 06:11

          « La vérité plus j’avance plus elle recule, comment veux tu, comment veux tu.... » Je ne sais plus de Lao Tseu ou Rocco Siffredi qui a dit ça ?

           


          • Phil 5 juin 12:24

            @scorpion
            Bien trouvé. 

             smiley

          • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 7 juin 23:30

            @scorpion
            Diagnostic = problème de miroir, jeune Narcisse smiley


          • ddacoudre ddacoudre 6 juin 07:06

            bonjour

            l’évolution de la pensée Humaine est extraordinaire, nous y accédons, par la foi et la science de nos mots qui définissent l’environnement géohistorique qui déterminent nos choix sur la bas de nos comportements instinctifs définis biologiquement par le monde objectif dont nous ignorons tout, mais que nous ressentons pour n’être qu’une information « quantique » au milieu du conte de la baryogenèse qui nous invite par les savoirs à la conquête de l’incertitude.

            https://ddacoudre.over-blog.com/2024/04/remunerer-les-hommes-pour-apprendre.essai-1999.html

            cordialement ddacoudre overblog


            • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 7 juin 23:28

              @ddacoudre
              « conquérir l’incertitude »,
              là où il serait bigrement question de POSER des CERTITUDES, des CODES,
              pour re-CONSTRUIRE, par exemple, ou quelque chose comme çà smiley


            • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 7 juin 23:21

              « La Vérité n’occupe que des gens ayant oublié la reconnaissance du ventre.
              Ai faim, une fois dans ta vie, Tu pourras commencer à construire une compréhension de La Réalité »

              L’homme re-cherche des Certitudes, par Conventions par exemple.
              Il s’agit de CONSTRUIRE, pour « après » ;
              là où on t’enferme dans l’ « avant », pour causes, de causes, de causes, ... , à produire effets, d’effets, d’effets, ...

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