Boris n’est pas mort !
Sous le pseudonyme de Voris Bian, l’ingénieux ingénieur, l’écriVian, le poéteu, ne s’est pas viandé un 23 juin 1959. Il n’a pas cassé sa trompette. Il vit encore. Toujours aussi inventif - surnommé pour cela Boris Gouduneuf -, son « je voudrais pas crever » a été entendu par le Très-Haut qui lui a accordé un sursis jusqu’à ce que tous les voeux qu’il a énoncés dans ce poème soient réalisés. Inutile de dire que Voris prend son temps, vu que les jours et les nuits de sa vie terrestre lui furent comptés...


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