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Accueil du site > Tribune Libre > D.S.K. de conscience

D.S.K. de conscience

Alors qu’il doit bénéficier, comme tout justiciable, de la présomption d’innocence, le directeur du F.M.I, Dominique Strauss-Kahn, accusé de tentative de viol et d'agression sexuelle et incarcéré, se voit à mis, en France, en accusation pour une autre affaire datant de 2002.

La victime qui dénonce ces agissements est une journaliste qui a affirmé qu'elle avait été agressée sexuellement par lui en 2002. Cette information a été révélée par sa propre mère qui, aujourd’hui, dit regretter « avoir dissuadé sa fille de porter plainte »

Cette information avérée interpelle.

Cela met en lumière la situation d’une femme agressée « victime présumée. » Actuellement, on le voit, de nombreux commentaires tendent à faire de cette personne de New York une « présumée coupable complice d’une sourde machination. » On sait que faute, parfois, de pouvoir apporter la preuve de cette atteinte au respect des droits humains, cela incline, d’une façon générale, trop souvent les victimes de tels actes à la discrétion et, double peine, à subir une grande souffrance morale. Cela en prenant sur elles-mêmes des responsabilités qui ne sont pas les leurs. D’où des risques de troubles psychiques.

Dans le cas de la journaliste française, le fait de ne pas avoir déposé plainte peut se justifier par le fait qu’elle était très proche, semble-t-il, de la famille de celui qu’elle accuse.

Par ailleurs, que sa mère, pour cette raison, puisse lui avoir conseillé de ne pas porter plainte peut se concevoir. Pas forcément s’excuser. Cela d’autant plus que ne peut être négligée l’idée qu’une autre motivation ait été de ne pas jeter l’opprobre sur un membre important du parti dont elle était l’une des élus. D’où, aujourd’hui ses regrets.

Une autre question que l’on doit se poser est de savoir pourquoi, après l’émission, en 2007, de Thierry Ardisson, il n’y a pas eu, si cela ne reflétait pas la vérité, de dépôt de plainte pour diffamation de déposée contre la journaliste ? Or les propos de l’accusatrice d’aujourd’hui étaient en effet sans équivoque. Je les ai vus ce matin sur Internet. Ils viennent d’être supprimés à la demande de Paris première pour atteinte aux droits d’auteur. (Source : http://www.menly.fr/2011/05/la-journaliste-agressee-en-2007-par-dsk-temoigne-en-video/)

Il n’est pas concevable que cette émission et son contenu aient pu échapper à la vigilance des responsables du parti socialiste. Or aujourd’hui c’est l’impasse totale qui est faite par tous ses membres, sur cet épisode qui est révélateur d’un problème grave de nature pathologique de celui qui est sous les feux de l’actualité. A une époque ils auraient pu l’aider.

Si certaines femmes ont considéré ses assauts comme venant d’un séducteur un peu pressant, d’autres voix vont peut-être se faire entendre maintenant pour dénoncer d’autres faits.

Or, prévenir étant guérir, en se taisant et en n’acceptant pas la réalité, le parti socialiste a peut-être perdu celui qui apparaîssait être son meilleur candidat pour la présidentielle. Ils ont également perdu un peu plus de crédibilité.

Leurs adversaires n’on pas à se réjouir. Ils savent, eux aussi, ce qu’est le monde du silence.

Quant à la mère de la journaliste, cet épisode de sa vie restera pour Elle, un D.S.K. de conscience.

Gérard GAUTIER

Saint-Brieuc


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13 réactions à cet article    


  • Fergus Fergus 24 mai 2011 10:37

    Bonjour, Coyotebreton.

    L’affaire Tristane Banon, à laquelle Carlo Revelli vient de consacrer un article très complet, est effectivement étonnante en cela qu’elle n’a jamais donné lieu à plainte en diffamation, ce qui accrédite fortement les propos de la jeune femme, sans pour autant que l’on puisse évoquer une certitude, aucune instruction et aucun procès n’ayant été menés.

    Pas d’accord en revanche sur le « discrédit » supposé du PS. Certes, DSK était connu comme étant un homme à femmes parfois un peu lourd, un « cavaleur » compulsif. Cela ne suffisait pas en faire un violeur potentiel. Encore Strauss-Kahn n’était-il connu de près que par une minorité de caciques de ce parti.

    Qui plus est, vous oubliez un point important : Sarkozy était parfaitement au fait de la psychologie de DSK et de son comportement avec les femmes. Et cela d’auatnt plus qu’il a longtemps été ministre de l’Intérieur et a gardé des contacts très étroits avec la DCRI (ex. RG), forcément au courant de tout ce qui touchait cet homme.

    Par chance pour les socialistes, DSK a explosé en plein vol avant même la tenue des primaires où rien ne dit qu’il aurait obtenu l’investiture du PS. Par malchance pour Sarkozy, c’est lui, et lui seul, qui l’a proposé avec insistance pour le poste de DG du FMI.

    Les responsabilités les plus écrasantes ne sont pas toujours forcément là où l’on croit les trouver au premier abord...


    Cordialement


    • easy easy 24 mai 2011 11:25


      Concernant la mère de Tristane, elle se retrouvait, entre autres paramètres, face au dilemme (que des illustres écrivaient dilemne). Le PS est une église, un dieu, sur lequel bien des gens ont projeté une part parfois importante de Nousnarcisisme. Et ce PS était incarné par quelques personnes dont DSK. Briser l’image idéale de cette religion est une immense responsabilité. Dans la balance il y a des millions d’intérêts narcissiques d’un côté et de l’autre celui de sa seule fille. Tant de soldats ont donné leur vie pour un Nousnarcissisme, tant de Christ se sont sacrifiés sur l’autel d’un Nous qu’il y a de quoi en rester à considérer que l’intérêt collectif prévaut sur celui de sa fille. Pourvu qu’elle en convienne.

      Concernant Tristane.
      Au fond, en parlant de cette scène chez Ardisson, tout en ne portant pas plainte officielle, elle avait fait l’essentiel.
      Elle avait d’une part fait acter son sacrifice pour une église (c’est un point que d’autres sacrifiés ont préféré régler par la discrétion absolue et le silence)
      Et d’autre part elle avait ainsi proposé à DSK d’avouer. Elle lui avait laissé la responsabilité du choix. Il était assez logique de sa part à elle, de considérer (même inconsciemment) que DSK était mieux placé qu’elle pour décider si oui ou non il convenait de démolir l’église (pour mieux la refonder car l’Homme ne saurait se passer d’église).

      Et DSK n’a pas relevé cet éclat chez Ardisson.

      Alors, aux yeux de Tristane, la messe était dite.


      A quoi bon porter plainte si à l’évidence DSK allait nier.

      Lorsqu’on porte plainte pour un fait de ce genre, on renvoie au géant qui a abusé, la responsabilité de casser ou pas l’église qu’il incarne. Et galérer contre un capitaine qui refuse que son navire sombre avec tout le monde à bord, peut forcément paraître indigne ou orgueilleux ou Jenarcissique.
      A moins que dans ce combat pour la vérité, on se retrouve à incarner ou servir une autre église.

      Ainsi, je trouve que la mère (qui défendait une grande église) et la fille (qui ne défendait pas une autre église) ont fait ce qu’elles avaient à faire.
      Toute la responsabilité, tout le cas de conscience revenant alors à DSK.



      Accessoirement.
      DSK était-il un grande architecte du PS, un de ses grands prêtres ? A mon sens non, loin de là. Il était devenu son présidentiable pour tout un tas de raisons sauf celle d’avoir construit ou nourri le PS.
      A mon sens, lorsque DSK s’est retrouvé face au cas Tristane-Ardisson, il ne pouvait pas se dire, honnêtement ;, qu’il était le Pierre de l’église PS et qu’en tant que tel, il devait privilégier le déni de sa faute. En ne relevant pas cette déclamation de Tristane, il n’aura agit que par souci strictement personnel ou limité à un cercle restreint.
      Mais le plus grave, c’est qu’il aura continué à agir de la sorte.



      Aujourd’hui que l’église France, l’église PS et l’église FMI ne reposent plus sur lui et lui survivent, DSK se retrouve dos au mur. Il ne peut plus faire semblant de considérer la gravité de la chute de ces églises pour dénier. Désormais, il voit plus clairement que jamais qu’il ne dénie plus que pour se protéger lui de l’effondrement d’image (éventuellement sa famille et ses amis)

      En fait, ce dernier cercle est d’une très grande importance dans la décision que doit prendre DSK à la date du 6 juin.
      Si ce dernier cercle, si ce petit Nous de son Nousnarcissisme, lui demande de dénier (ce que semblent réclamer ses amis qui se sont déclarés surpris, décontenancés, humiliés)
      alors DSK trouvera des raisons de nier et même de lancer des chiens contre ses accusatrices.


      Si au contraire, ce dernier Nous admet qu’il faut tout casser pour tout refonder en mieux, alors il avouera (il dira sa version, nécessairement différente, mais n’insultera pas la parole de ses accusatrices). Pour en arriver là, il lui faut, alors qu’il est cul-par-dessus-tête et extrêmement dépendant d’Anne comme de sa fille, entrevoir l’existence d’une église dont jusque là personne n’a jamais parlé et que personne, pas même Jésus n’a incarné. C’est l’église du sublime et nous assisterons au miracle jamais vu dans l’Histoire où enfin un princissisme reconnaît, en risquant les pires tortures dont l’Humanité est capable, que la parole d’une servante vaut la sienne.

      Sur ce point, il y a division ou déchirement inéluctable. On peut en effet convenir de bâtir ou nourrir une nouvelle église où jamais un prince ne cherchera à discréditer la parole d’une bonne (où nous cesserons de nous injurier les uns les autres) mais il est nettement plus difficile de convenir dans le même temps que le principe de la prison avec son jeu fourbe et hypocrite de triple violence à laquelle un prisonnier est soumis, est valable.



      Le rôle incommensurable du princissisme DSK est donc à la fois d’ouvrir l’église de l’égalité de la parole où la plus grave des fautes consiste à discréditer la parole d’autrui et dans le même temps à dénoncer le système carcéral actuel qui n’est pas du tout sincère ou qui l’est autant qu’une poubelle à couvercle.



      • easy easy 24 mai 2011 11:29


        Concernant la mère de Tristane, elle se retrouvait, entre autres paramètres, face au dilemme (que des illustres écrivaient dilemne). Le PS est une église, un dieu, sur lequel bien des gens ont projeté une part parfois importante de Nousnarcisisme. Et ce PS était incarné par quelques personnes dont DSK. Briser l’image idéale de cette religion est une immense responsabilité. Dans la balance il y a des millions d’intérêts narcissiques d’un côté et de l’autre celui de sa seule fille. Tant de soldats ont donné leur vie pour un Nousnarcissisme, tant de Christ se sont sacrifiés sur l’autel d’un Nous qu’il y a de quoi en rester à considérer que l’intérêt collectif prévaut sur celui de sa fille. Pourvu qu’elle en convienne.

        Concernant Tristane.
        Au fond, en parlant de cette scène chez Ardisson, tout en ne portant pas plainte officielle, elle avait fait l’essentiel.
        Elle avait d’une part fait acter son sacrifice pour une église (c’est un point que d’autres sacrifiés ont préféré régler par la discrétion absolue et le silence)
        Et d’autre part elle avait ainsi proposé à DSK d’avouer. Elle lui avait laissé la responsabilité du choix. Il était assez logique de sa part à elle, de considérer (même inconsciemment) que DSK était mieux placé qu’elle pour décicer si oui ou non il convenait de démolir l’église (pour mieux la refonder car l’Homme ne saurait se passer d’église).

        Et DSK n’a pas relevé cet éclat chez Ardisson.

        Alors, aux yeux de Tristane, la messe était dite.


        A quoi bon porter plainte si à l"évidence DSK allait nier.

        Lorsqu’on porte plainte pour un fait de ce genre, on renvoit au géant qui a abusé, la responsabilité de casser ou pas l’église qu’il incarne. Et galérer contre un capitaine qui refuse que son navire sombre avec tout le monde à bord, peut forcément paraître indigne ou orgueilleux ou Jenarcissique.
        A moins que dans ce combat pour la vérité, on se retrouve à incarner ou servir une autre église.

        Ainsi, je trouve que la mère (qui défendait une grande église) et la fille (qui ne défendait pas une autre église) ont fait ce qu’elles avaient à faire.
        Toute la responsabilité, tout le cas de conscience revenant alors à DSK.



        Accessoirement.
        DSK était-il un grande architecte du PS, un de ses grands prêtres ? A mon sens non, loin de là. Il était devenu son présidentiable pour tout un tas de raisons sauf celle d’avoir construit ou nourri le PS.
        A mon sens, lorsque DSK s’est retrouvé face au cas Tristane-Ardisson, il ne pouvait pas se dire, honnêtement qu’il était le Pierre de l’église PS et qu’en tant que tel, il devait privilégier le déni de sa faute. En ne relevant pas cette déclamation de Tristane, il n’aura agi que par souci strictement personnel ou limité à un cercle restreint.
        Mais le plus grave, c’est qu’il aura continué à agir de la sorte.



        Aujourd’hui que l’église France, l’église PS et l’église FMI ne reposent plus sur lui et lui survivent, DSK se retrouve dos au mur. Il ne peut plus faire semblant de considérer la gravité de la chute de ces églises pour dénier. Désormais, il voit plus clairement que jamais qu’il ne dénie plus que pour se protéger lui de l’effondrement d’image (éventuellement sa famille et ses amis)

        En fait, ce dernier cercle est d’une très grande importance dans la décision que doit prendre DSK à la date du 6 juin.
        Si ce dernier cercle, si ce petit Nous de son Nousnarcissisme, lui demande de dénier (ce que semblent réclamer ses amis qui se sont déclarés surpris, décontenancés, humiliés)
        alors DSK trouvera des raisons de nier et même de lancer des chiens contre ses accusatrices.


        Si au contraire, ce dernier Nous admet qu’il faut tout casser pour tout refonder en mieux, alors il avouera (il dira sa version, nécessairement différente, mais n’insultera pas la parole de ses accusatrices). Pour en arriver là, il lui faut, alors qu’il est cul-par-dessus-tête et extrêmement dépendant d’Anne comme de sa fille, entrevoir l’existence d’une église dont jusque là personne n’a jamais parlé et que personne, pas même Jésus n’a incarné. C’est l’église du sublime et nous assisterons au miracle jamais vu dans l’Histoire où enfin un princissisme reconnaît, en risquant les pires tortures dont l’Humanité est capable, que la parole d’une servante vaut la sienne.

        Sur ce point, il y a division ou déchirement inéluctable. On peut en effet convenir de bâtir ou nourrir une nouvelle église où jamais un prince ne cherchera à discréditer la parole d’une bonne (où nous cesserons de nous injurier les uns les autres) mais il est nettement plus difficile de convenir dans le même temps que le principe de la prison avec son jeu fourbe et hypocrite de triple violence à laquelle un prisonnier est soumis, est valable.



        Le rôle incommensurable du princissisme DSK est donc à la fois d’ouvrir l’église de l’égalité de la parole où la plus grave des fautes consiste à discréditer la parole d’autrui et dans le même temps à dénoncer le système carcéral actuel qui n’est pas du tout sincère ou qui l’est autant qu’une poubelle à couvercle.



        • AniKoreh AniKoreh 24 mai 2011 12:16

          http://www.20minutes.fr/article/729562/direct-proches-dsk-propose-argent-famille-femme-chambre-retracte

          >> Des proches de DSK auraient proposé de l’argent à la famille de la femme de chambre pour qu’elle se rétracte 

          - De l’argent proposé à la femme de chambre pour qu’elle se rétracte ?
          C’est le New York Post qui l’affirme : des proches de DSK auraient contacté la famille de Nafissatou Diallo afin de leur proposer de l’argent pour qu’elle abandonne ses poursuites.

           - « Ils ont déjà parlé avec sa famille. Cela va sûrement s’arranger », a indiqué au quotidien américain une femme d’affaires française, proche de l’ex-directeur du FMI. « Il va s’en sortir et retournera en France. Il n’ira pas en prison. La femme de chambre va obtenir beaucoup d’argent », a-t-elle ajouté, parlant d’une somme à sept chiffres.


          • Cocasse Cocasse 24 mai 2011 14:07

            Traduction : si t’es pauvre, tu finis tes jours en tôle, si t’es riche tu lâche quelques sous et tu retournes faire la fête.
            Où la justice là dedans ?
            Je verrais bien un retour au lynchage populaire pour éviter ce genre de magouilles.


          • Fabienm 24 mai 2011 18:28

            Je rappelle pour les nombreux ignorants de ce site que la femme de chambre n’a pas porté plainte, il n’y a donc aucun intérêt à proposer de l’argent à qui que ce soit. C’est bien le procureur qui poursuit DSK pour l’état de New York.


          • Cocasse Cocasse 24 mai 2011 14:05

            Du statut de violée, elle va obtenir celle de « pute de luxe » à la place.
            Et l’autre bâtard va « sortir et rentrer en France », après que sa pétasse ait bien arrosé pour lui.
            Après le caillassage du pédo-frédo, je verrais un bien un caillassage de DSK.


          • Cocasse Cocasse 24 mai 2011 14:01

            Vu l’artiste, ce serait plutôt le D.S.K.K de conscience...


            • Taverne Taverne 24 mai 2011 16:42

              DSK lamité...

              Pour moi, la présomption d’innocence a été entamée le jour où les avocats de la défense ont clamé haut et fort avoir la conviction que DSK sera acquitté. Ils l’ont fait si fort que l’on a négligé de voir ce que cela signifiait : cela signifie qu’ils ne le croient pas innocent. Sans quoi ils auraient dit plutôt qu’ils étaient convaincus de son innocence dans cette affaire.


              • Taverne Taverne 24 mai 2011 16:51

                Quant à Tristane Banon, sa supposée précédente victime, la chose peut-être dite dans les deux sens : son témoignage est vrai puisqu’elle n’a pas été menacée ou poursuivie pour calomnie ou diffamation en 2002. Son témoignage est faux parce qu’elle n’a pas porté plainte et qu’elle refuse aujourd’hui de le faire ainsi que de porter son témoignage dans l’affaire « Ophélia ». Bref, on peut faire parler les infos dans le sens que l’on veut et l’on ne sait rien. Une plainte 10 ans après les faits serait dangereuse car les preuves se sont effacées avec le temps. Une telle plainte pourrait même se retourner contre la plaignante qui pourrait poursuivie pour dénonciations calomnieuses.


              • le journal de personne le journal de personne 24 mai 2011 18:35

                ASK-DSK : A bientôt et au Revoir !

                Messieurs, de la sécurité intérieure...
                C’est à vous que je m’adresse pour vous prévenir que ce n’est pas là que le bât blesse.
                regardez dedans, pas dehors !
                Pour la joie, comme pour la peine
                il ne peut y avoir de trace d’ADN

                Non, vous ne savez pas ce que vous n’êtes pas censés savoir...
                comme vous ne voyez pas ce que vous êtes censés voir.
                Pourquoi ?
                Parce que vous êtes tous pareils... tous dotés de deux oreilles !
                Comme Salieri !
                Et comme Salieri, vous en voulez à Mozart
                parce qu’il a quelque chose à part :
                une troisième oreille.
                Je me mets dans sa peau
                Mettez vous dans la mienne.
                A bientôt et au revoir !
                http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/dsk-ask-au-revoir-et-a-bientot/


                • sahabas 24 mai 2011 19:32

                  Tribalisme, instrumentalisation du féminisme, ce que révèle l’affaire DSK :

                  http://resistancemusulmane.over-blog.com/article-ce-que-revele-l-affaire-dsk-74569843.html


                  • Nanar M Nanar M 25 mai 2011 08:33

                    STOP aux articles sur DSK !

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