Femme Détrans : elle regrette d’avoir changé de sexe !
Femme Détrans : la dysphorie de genre s'accompagne souvent d'une comorbidité psychiatrique
La pensée du jour : Le phénomène de la #détransition, c'est-à-dire le retour à l'identité de genre assignée à la naissance après une transition, demeure largement sous-estimé et invisibilisé en France. Cette réalité contraste avec la promotion d'une idéologie valorisant la défiance envers les normes établies, souvent qualifiée de "#woke". Cette idéologie tend à occulter les témoignages de personnes regrettant leur transition, qui réalisent que leur mal-être persiste malgré les changements entrepris.
Des études indiquent que la #dysphorie_de_genre est fréquemment associée à des comorbidités psychiatriques.
Par exemple, une recherche menée sur 105 adolescents présentant une dysphorie de genre révèle une co-occurrence de troubles psychiatriques chez 22,6 % des adolescents de sexe masculin assigné à la naissance, en particulier des troubles émotionnels tels que l'anxiété (21 %) et les troubles de l'humeur (12,4 %) shs.cairn.info . Ces données suggèrent que la dysphorie de genre est souvent accompagnée de #troubles #psychiatriques ou psychologiques qui méritent une attention particulière. Malheureusement, le phénomène de la détransition est peu documenté et souvent ignoré. Selon certaines sources, ce phénomène est sous-estimé et insuffisamment connu, bien que l'Académie de médecine le considère comme ayant une allure épidémique rphweb.fr . Cette invisibilisation peut conduire à une prise en charge inadaptée des personnes en question, négligeant l'exploration approfondie des troubles sous-jacents qui pourraient être à l'origine de la dysphorie de genre. Il est donc essentiel d'adopter une approche prudente et nuancée face aux demandes de transition, en évaluant rigoureusement les comorbidités psychiatriques potentielles. Une telle démarche permettrait de proposer des interventions thérapeutiques adaptées, ciblant les causes profondes du mal-être, et ainsi prévenir des regrets ultérieurs liés à une transition précipitée. En conclusion, la reconnaissance et l'étude approfondie du phénomène de la détransition sont indispensables pour offrir un accompagnement adéquat aux personnes concernées. Cela implique de dépasser les cadres idéologiques actuels pour considérer la complexité des parcours individuels et des souffrances associées, en mettant l'accent sur une prise en charge globale et personnalisée. https://www.jeanlucrobert.fr
19 réactions à cet article
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« l’identité de genre assignée à la naissance »
Comme si quelqu’un décidait de vous assigner un sexe, ou un genre
Rien que le choix des mots, ça craint !
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@Gégène
Biologiquement, on naît homme ou femme. C’est en ce sens qu’on peut utiliser le mot « assigné ».
Maintenant, la biologie a parfois des ratés. Elle produit parfois des bossus ou des gens mal assignés sexuellement. -
@Gégène
Eh oui hélas. C’est une parfaite illusion ! -
On naît homme ou femme. Plus tard on peut parfois avoir envie de changer de sexe. Et c’est parfois possible, mais ce n’est pas un jeu.
Dans ce domaine comme dans tant d’autres, les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Ce qui explique que certains médecins font fortune, et que les patients abusés n’ont plus que leurs yeux pour pleurer...
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@Jean-Luc ROBERT
Merci pour l’article, concis et droit au but.
« On ne naît pas homme ou femme, on le devient (*) » se plaisent à répéter les wokes, les LGBTQQQ et tout ce qui grenouille dans la même vase.
Et madame Sartre, l’auteur de cette phrase, qu’est-elle devenue ? Rien qu’à voir sa tête, on se doute bien qu’elle ne s’est pas épanouie sexuellement, malgré toutes ses tentatives.
Supposons qu’il y ait du vrai dans cette phrase. Quelle conclusion devrait-on en tirer ? Il me semble que si une part de ce qui fait de nous un homme ou une femme vient de l’environnement culturel, alors on devrait éduquer les enfants en essayant de renforcer le « genre » qui correspond à leur sexe, de façon à ce qu’ils se sentent bien dans leur peau. Au lieu de mettre des jupes aux gamins ou d’amener des limaces transgenres à l’école maternelle.
(*) Bizarrement, on n’entend jamais ce beau monde proclamer « On ne naît pas homosexuel, on le devient »
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@SilentArrow
bonjour,
’’Bizarrement, on n’entend jamais ce beau monde proclamer « On ne naît pas homosexuel, on le devient »’’
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De fait, l’homosexualité, à l’inverse du sexe biologique, ça ne se voit pas sur le corps.
Quant à la citation (exacte) de Simone de Beauvoir « On ne naît pas femme on le devient », il faut y ajouter (et vous l’avez fait) qu’on ne nait pas davantage homme. Un nouveau-né, un bébé n’est ni homme ni femme, mais il deviendra celui ou celle que son sexe biologique (XX ou XY) normalement visible à la naissance et davantage encore après, lui commandera de devenir. -
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Tout cela à l’air encore plus compliqué que de prendre le métro parisien.
Non pas en raison des lignes de conduite des rames, mais de leur.....
RETARDS CONPULSIFS !
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Allez, encore une couche de merde réac’ !
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@GoldoBlack
Qu’est-ce que vous avez, ça vous fait bander les transgenres, vous en voulez plus ?
Tenez, en voila deux de l’équipe Biden :
https://www.fdesouche.com/2022/07/16/les-representants-americains-a-la-residence-de-lambassadeur-de-france-pour-la-fete-nationale-du-14-juillet/ -
@GoldoBlack
Encore du clickbait...
Rien que le titre du nartic..
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@berry
Non.
Mais je n’ai pas de haine pour ce qui est différent de moi.
Contrairement à toi. -
Nous vivons une époque formidable.
En France, l’Assurance Maladie prend en charge les opérations de changement de sexe.
Mais quand tu dois changer tes dents, parce qu’elles sont pourries, et que cela joue sur ton état de santé générale, et bien c’est pas donné.
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@Phil
Le monde est petit, c’était la mère de Macron qui s’occupait des dossiers des transgenres à la Sécu.
L’Etat profond aime bien les transgenres, les pédophiles, les zoophiles, les lgbt+ et les tordus de toutes sortes, ils sont plus faciles à manipuler et à faire chanter.Quelques potentiels transgenres américains, selon les rumeurs internet :
Les femmes de Barack Obama, Chuck Schumer, George Bush père, Henry Kissinger... -
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@berry
Les femmes de Barack Obama, Chuck Schumer, George Bush père, Henry Kissinger...
Les autres, peut-être, mais Barbara Bush, la femme de Bush père transgenre ???Faut pas exagérer, elle a eu des gosses et était critiquée par les harpies féministes pour son image de mère au foyer. -
Je pense qu’au départ il y aurait du y avoir un gros travail psychologique sur cette personne. Pour elle ou lui fonction des émotions ou ressenti du moment, le seul changement qui aurait eu un effet positif, c’est le cerveau.
Malheureusement ce n’est pas possible à l’heure actuelle.
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