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Accueil du site > Tribune Libre > Généralisation du vaccin papillomavirus = danger !

Généralisation du vaccin papillomavirus = danger !

UN PROJET CONTRAIRE A L’INTERET PUBLIC

APPEL A MORATOIRE

Il y a 20 ans, Philippe Douste blazy lançait une campagne publicitaire mensongère et agressive avec le vaccin contre l'hépatite B . 

20 ans après, dans le plan cancer, il est noté la généralisation des vaccins contre les papillomavirus 

Les vaccins contre le papillomavirus présentent un bénéfice/risque défavorable.

Vouloir étendre cette vaccination à l’ensemble des jeunes filles, c’est :

→ Prendre un risque important malgré les nombreuses alertes sanitaires internationales,

→ Pour une couverture partielle, car elle ne concerne que 2 à 4 souches de virus,

→ Pour une efficacité inconnue à court et à long terme.

Alors que :

→ Le cancer du col de l’utérus représente 0,7% de l’ensemble des décès par cancer, tous sexes confondus, soit moins de 1000 décès par an,

→ La meilleure prévention du cancer du col de l’utérus, de l'avis même des autorités sanitaires, est la généralisation du dépistage par frottis. Il réduirait de 80% le nombre de décès. Il permet de surveiller l’ensemble des souches de papillomavirus, et continuera donc à être utilisé et largement promu.

→ La vaccination induit un coût prohibitif pour la sécurité sociale, s'établissant à près de 1 Milliard d’Euros sur les 4 premières années.

De plus, la vaccination donne un sentiment illusoire de protection. Les médecins craignent que les jeunes filles se dispensent alors du frottis, ce qui pourrait générer une augmentation du nombre de cancers du col de l’utérus.
 

Les signataires du présent appel :

ü demandent à la Ministre des Affaires Sociales de :

Ø surseoir à sa décision d’étendre la vaccination contre le papillomavirus,

Ø diligenter au plus vite des études indépendantes sur l’opportunité de cette vaccination.

ü Invitent toute organisation à signer l’appel : www.moratoire-gardasil.fr

 

Premiers signataires :

Association E3M - Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages

REVAHB - Réseau vaccin Hépatite B

Amalyste - Association des victimes des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson

CNMSE - Coordination Nationale Médicale Santé Environnement

 

Contact : Annie NAJIM – 06 82 16 60 58 – [email protected]

 

 

Les raisons de cet appel

Le Président de la République a annoncé le 4 février 2014 les grandes lignes du Plan cancer 2014-2019. Celui-ci prévoit de généraliser le dépistage systématique du cancer du col de l'utérus mais aussi d'étendre la vaccination contre le papillomavirus (HPV).

Or cette vaccination suscite de nombreuses controverses et mises en garde.

Deux vaccins existent actuellement :

- le Gardasil (Sanofi Pasteur MSD) protège contre 4 souches de HPV (dont 2 à haut risque oncogène) ;

- le Cervarix (GlaxoSmithKline) protège contre 2 souches de HPV.

 

L’efficacité de ces vaccins n’est pas démontrée :

- ils ne protègent que contre 2 à 4 souches de virus. Or plus de 100 souches existent, dont 18 considérées à haut risque oncogène) ;

- la durée de protection n’est actuellement pas connue.

 

Ces vaccins sont sous surveillance :

- ils contiennent de l’aluminium, adjuvant accusé d’être à l’origine de nombreux effets secondaires graves. Cet aluminium migre dans l’organisme et atteint le cerveau, où il s’accumule. Les questions qui en découlent sont suffisamment importantes pour que les autorités sanitaires françaises aient accepté de financer les études menées sur le sujet par une équipe INSERM de l’hôpital Mondor à Créteil ;

- ils sont accusés d’entraîner de nombreux effets indésirables, en France et dans d’autres pays : décès, convulsions, syncopes, syndromes de Guillain-Barré, myélites transverses, paralysies faciale, syndromes de fatigue chronique, maladies auto-immunes, embolies pulmonaires, myofasciites à macrophages, pancréatites… ;

- des brins d’ADN viral ont été retrouvés dans le vaccin par un chercheur nord-américain (présence anormale dans un vaccin pourtant entièrement fabriqué par génie génétique) ;

- des particules de papillomavirus ont été découvertes dans le cerveau de deux jeunes filles décédées de vascularite, juste après leur vaccination par le Gardasil

- des procédures judiciaires sont engagées par des jeunes femmes dont la vie est brisée par cette vaccination ;

- face à ces risques, l’Autriche a refusé d’inclure ces vaccins dans le calendrier vaccinal, le Japon ne recommande plus cette vaccination, de nombreuses contestations existent dans d’autres pays (Pays-Bas, Espagne, …).

 

Ils pourraient avoir un effet contraire au but recherché :

- Le Pr Claude Béraud, ancien vice-président de la commission de transparence de l'Agence française du médicament : « La vaccination pourrait induire une modification dans l'équilibre des souches virales, soit en favorisant le développement de souches résistantes, soit en accroissant la virulence de souches aujourd'hui inoffensives »

- D’après le Haut Conseil de Santé Publique, « il serait possible que, si les femmes vaccinées se faisaient moins dépister, l’incidence et plus encore la mortalité du cancer du col de l’utérus augmentent » 

 

Les vaccins proposés atteignent des prix record :

- La dose de Gardasil coûte 123,44 euros, soit 370,32 euros pour les 3 injections nécessaires. Ce coût pourrait être majoré, si des rappels s’avéraient nécessaires. En effet, on ignore la durée de la protection de cette vaccination initiale ;

- La période « de rattrapage » pourrait générer un coût pour la sécurité sociale de 926 M° d’euros. Les années suivantes, le coût annuel serait de 148 M° d’euros.

 

Une campagne de communication agressive et indécente est engagée :

Des campagnes de lobbying et de publicité agressives sont menées par les laboratoires, qui jouent sur les peurs et la culpabilité, en particulier des mères : “Protéger sa fille, c’est ce qu’il y a de plus naturel pour une mère”. L’une de ces publicités a d’ailleurs été interdite par l’Agence du Médicament en août 2010 pour « manque d’objectivité », pouvant « induire le prescripteur en erreur ».

Ces campagnes sont malheureusement relayées par des « experts » qui recommandent en outre d’étudier “les conditions d’amélioration de l’accès à la vaccination pour les mineures dont les parents n’acceptent pas la vaccination” (cf. Recommandations pour le troisième Plan Cancer du Pr. J-P Vernant, juillet 2013).

 

Pour en savoir plus :

« Etendre la vaccination contre le papillomavirus : un choix dangereux pour la population et contraire à l’intérêt public », dossier référencé qui répertorie prises de position de médecins, de chercheurs, d’autorités sanitaires, en France et à l’étranger, disponible ici : www.moratoire-gardasil.fr


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17 réactions à cet article    


  • benedicte_gab 16 avril 2014 18:05

    de surcroît : 

    - il n’y a pas de preuve réelle démontrant que le cancer du col de l’utérus soit une conséquence de présence de papillovirus
    - aucune efficacité de ce prétendu vaccin ne saurait être démontrée puisqu’il faudrait attendre plusieurs décennies pour voir si il y aurait une incidence significative sur le cancer du col de l’utérus 
    Mais comme les politiciens palpent tous auprès de l’industrie criminelle chimico-pharmaceutique allons-y et là tant pis pour la santé de la population et le trou de la sécu, engraissons engraissons !!!



    • benedicte_gab 16 avril 2014 18:08

      ajout pétition contre ce projet du gouvernement initié par une jeune victime du gardasil : 



    • baron 16 avril 2014 20:04

      Dommage qu’il n’y ait aucune référence à cet article qui mériterait d’être étayé par des études scientifiques.


      La, c’est du prêche pur et simple.

      • REVAHB 16 avril 2014 20:26

        Dommage Baron que vous ne preniez pas le temps d’aller lire le site indiqué , il y a une page argumentaire dans laquelle se trouvent toutes les références... 



      • appoline appoline 17 avril 2014 10:34

        Avec une Dominique Voynet nommée à la tête de l’IGAS à 115 000 euros par an, cette incapable ne va pas arranger les choses


        • njama njama 17 avril 2014 11:13

          la généralisation de cette vaccination ne risque jamais de se produire simplement parce qu’aucune vaccination est obligatoire, et, parce que son coût est très prohibitif pour beaucoup de familles.

          370,22 € + le 3 visites médicales, soit 440 € (pris en charge à 65 %), donc après remboursement un coût de 154 € ... 

          pour beaucoup de familles la question ne se posera même pas, il faut avancer l’argent, et il resterait 154 € à leur charge, ce qui peut représenter 10 % de leurs revenus mensuels, c’est énorme  ! ... donc, elles continueront à se nourrir d’amour et d’eau fraîche et basta ce vaccin pour les « riches ». C’est le marché qui fait la loi.
          le président de la République s’est inquiété que le vaccin ne soit « administré qu’à 30% des jeunes filles... »,
          qu’y a-t-il d’étonnant à cela, avec un tel prix c’est déjà un exploit ! 

          donc prétendre la généraliser est une pure illusion, un trompe l’oeil pour vendre, de la démagogie, car il faut exagérer le danger, dire qu’il est partout, créer la peur ... 

          Sachant que « par an, il naît un peu plus de 400 000 filles susceptibles d’être la cible de ce vaccin », et que la protection contre le cancer du col de l’utérus concernerait au final seulement 144 femmes  !

          On apprend que dans 3 études réalisées à Reims, Amiens et Besançon le portage d’HPV à haut risque concerne 14 à 15 % de la population soit 60 000 femmes.

          Parmi ces dernières 2 à 3 % sont porteuses des HPV 16 et 18 prédisposant au cancer du col et présents dans ce vaccin soit 1 800 femmes.

          Dans 90 % des cas, ces virus s’éliminent naturellement dans l’année il ne reste donc que 180 femmes concernées.

          Elles ne seront protégées que contre 70 % des virus à haut risque soit 144 femmes.

          (chiffres indiqués dans cet article de 2007 publié ici sur AV) on obtient donc un taux de protection effectif de l’ordre de 0,036 % voilà l’efficacité réelle ... pour un vaccin qui protégerait contre 2 (Cervarix) ou 4 (Gardasil) des 60 papillomavirus.

          Quand on arrive à une efficacité aussi dérisoire, quel est l’intérêt de cette vaccination ? avec un bon placebo 100 fois moins cher, ou quelques recommandations d’hygiène, on peut obtenir le même résultat


          • Loatse Loatse 17 avril 2014 11:50

            Mais c’est déjà étendu ! Il y a quatre ans à une simple visiste médicale pour un mal de dos, mon medecin de famille a prescrit dans la foulée le gardasil à ma fille ainée qui venait de fêter ses 16 ans...à titre préventif.

            Me suis rappelée les suites de la vaccination contre l’hépatite B dont un cobaye tout fier m’avait vanté les mérites à l’époque (je me suis abstenue, méfiante devant le manque de recul)

            Bref me voici avec le vaccin dans mon frigo et l’horrible dilemne qui est celui d’une mère qui n’a aucune garantie de l’inocuité du vaccin et à qui revient l’immense responsabilité de faire un choix à double tranchant.. Ce fut non.

            4 années à me demander si j’avais bien fait, jusqu’à ce que le scandale éclate avec nombre de jeunes filles handicapées à vie, d’autres décédées suite à cette vaccination. Je pense à toutes ces mamans qui croyaient agir pour le bien de leur enfant et dont la vie aussi est brisée..

            Evidemment, on occulte le fait que le papillomavirus est une mst et que le nombre de partenaires augmente le risque de l’attraper... Rappeler ce simple principe de précaution étant percu par beaucoup comme une entrave à la liberté sexuelle et donc de disposer de son corps comme bon nous semble...ou plutot de la façon dont nous est vendue l’épanouissement de l’individu dans nos société, soit quantitativement.

            Qui plus est, ce mode de vie à risque représente une manne pour les labos. Entre trithérapies couteuses pour contrer un rétrovirus associé aux pratiques sexuelles, vaccins contre le cancer de l’utérus, il va de soit que ce n’est pas demain que l’on verra des campagnes d’affichage vantant les avantages de la fidélité ou du partenaire unique...ou (oh horreur ! :) de la chasteté...

            Trop connoté religieusement, en mode « bien ou mal » et hélàs souvent imposées alors qu’il ne s’agit en fait que de prescriptions/mode d’emploi visant à nous préserver de toutes ces maladies.

            paradoxalement, les campagnes parfois trashs de prévention routière qui se multiplient n’hésitent pas à mettre l’accent sur les conduites à risque...

             


            • njama njama 17 avril 2014 12:51

              Campagne de vaccination en milieu scolaire

               ????

              Sauf erreur, il me semble que cela est impossible de vacciner des mineur(e)s sans l’accord des parents ... 
              la vaccination ne pourrait être imposée, ni rendue obligatoire, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) ayant déjà statué sur cette question - y compris dans le cas de pandémie cf Avis n° 106 -, donc à fortiori contre quelque chose qui n’est pas contagieux, on imagine mal comment on pourrait justifier une vaccination de masse dans les écoles !

              GARDASIL, CERVARIX, des vaccins contre le col de l’utérus ????

              « Comme peu de gens sont sensibles à l’argument d’une maladie transmise sexuellement, alors on met en avant le cancer du col ce qui est beaucoup plus fort (car officiellement 70 % de ces cancers auraient pour origine des infections dues à 2 des 60 papillomavirus) , en même temps on tente de faire vacciner les garçons, car lorsqu’une fille est contaminée lors d’un rapport sexuel c’est bien par un garçon qu’elle l’est et on doublerait les ventes, mais avec un argument moins fort on risquerait de sensibiliser moins de monde. Le laboratoire a choisi l’argument de protection du cancer du col, au risque de manquer les ventes pour le sexe masculin, mais on le voit mal préconiser également cette vaccination dite contre le cancer du col de l’utérus à des garçons. C’est comme cela qu’on s’aperçoit que les arguments de ventes sont des arguments spécieux. »

              http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/gardasil-un-vaccin-tres-30223

              La grosse arnaque du ministère et des labos

              Il y a tromperie car on associe Gardasil avec « cancer du col de l’utérus », ce qui inexact, car ce vaccin est supposé protéger contre un virus cancérogène transmis par voie sexuelle, présent chez l’homme comme chez la femme.

              L’histoire de la « protection contre le cancer de l’utérus » n’est qu’un argument commercial et la volonté des pouvoirs publics de vouloir protéger les seules jeunes femmes contre ce risque, relève soit d’une méconnaissance du problème, soit d’une hypocrisie profonde, et dans cette alternative (?) il s’agirait d’une imposture ...

              Faut-il vacciner les garçons contre le papillomavirus ?

              Vacciner contre le papillomavirus (HPV) tous les garçons âgés de 11 à 21 ans. C’est ce que vient de recommander un comité d’experts américains. 


              • njama njama 17 avril 2014 13:04

                Gardasil, contre le cancer de l’utérus ? 

                Quelles maladies provoquent les papillomavirus ?

                La famille des papillomavirus humains (HPV) comporte de très nombreux types qui sont à l’origine de différentes maladies. [ il existe plus de 150 types de papillomavirus dont environ 40 peuvent infecter les organes génitaux des hommes et des femmes].

                Certains d’entre eux entraînent des lésions bénignes de la peau (les verrues), des muqueuses des régions génitale et anale (les condylomes) ou extragénitales (les papillomes de la bouche) ou encore de l’appareil respiratoire (la papillomatose respiratoire récidivante). Ces types de papillomavirus, qui sont principalement les HPV 6 et 11, sont appelés à bas risque. D’autres types sont impliqués dans le développement de lésions précancéreuses ou de cancers de différents organes au premier rang desquels le col de l’utérus.

                Ce sont des papillomavirus à haut risque, dits oncogènes, dont les plus courants sont les HPV 16 et 18.
                http://sante.lefigaro.fr/sante/maladie/hpv-papillomas-virus-humains/quelles-maladies-provoquent-papillomavirus


                • njama njama 17 avril 2014 14:18

                  Une campagne de vaccination envisagée en milieu scolaire
                  Les infirmières vont être autorisées à pratiquer la vaccination.

                  une vaccination en milieu scolaire est-elle seulement possible ?

                  Actuellement la vaccination peut être réalisée par des infirmier(e)s sous couvert d’une prescription médicale ayant recueilli la volonté du patient, et attestant qu’il a été informé des risques d’effets secondaires possibles.

                  la question du contrôle préalable de la santé du patient, voire de contre-indications multiples, liées à des maladies et traitements médicamenteux en cours, ou autre, cela va de soi, ...

                  donc une vaccination en milieu scolaire supposerait de passer d’abord par la case « médecin ». Pourquoi donc réaliser la vaccination en milieu scolaire, puisque le médecin serait à même de l’administrer dans la foulée ?
                  c’est pas bien clair tout cela !
                  et que se passerait-il en cas de chocs anaphylactiques de grades III ou IV ? qui endosserait la responsabilité ? et comment seraient-ils médicalement « constatés » s’il doit y avoir des recours juridiques ?

                  Pourquoi la vaccination ne serait-elle pas faite par des vétérinaires d’ailleurs, comme suggéré pendant la campagne Bachelot de la pandémie H1N1


                  • Depositaire 17 avril 2014 15:08

                    Toute cette histoire repose sur un postulat qui, malgré une campagne de près d’un siècle, veut nous faire croire que les vaccins protègent contre les maladies. Hors après de multiples enquêtes, le constat est affligeant : Aucun vaccin n’a contribué à faire diminuer les maladies. Si elles ont disparues, comme certaines c’est essentiellement à cause du développement de l’hygiène et de la prévention.

                    Par contre, ce qui est certain ce sont tous les décès et troubles graves causés par ces vaccins. Même les fabricants ne savent pas comment ils fonctionnent. Mais comme la publicité et l’information dans les milieux médicaux, dans les universités de médecine et dans l’enseignement en général est essentiellement fournie par les multinationales pharmaceutiques, autant dire que l’information est biaisée.

                    Pasteur qui, en passant n’a jamais été médecin mais chimiste, ce qui n’est pas tout à fait pareil, était un imposteur. Il n’a jamais découvert de vaccin contre la rage comme on se complait à le dire, mais par contre, avec ses expérimentations, il a fait mourir des dizaines de personnes. Comme bienfaiteur c’est un peu léger...

                    Par ailleurs, cette conception de microbe ou virus causant les maladies et devant être traité soit par des médicaments soit par des vaccins à titre préventif, repose sur une conception tout a fait fantaisiste de la médecine. Ce qui compte c’est le terrain. Si l’organisme est déséquilibré, quelle qu’en soit la cause, il tombera malade. S’il est équilibré, ce n’est pas un virus ou une bactérie qui le fera tomber malade. Mais bien entendu, pour l’industrie pharmaceutique, il FAUT que les gens soient malades pour pouvoir vendre leurs « médicaments ». Ce qui compte pour elle, ce sont les bénéfices, pas la santé des gens. S’ils sont en bonne santé, ce n’est pas intéressant. Donc on fait le maximum pour que la population soit malade, au besoin en provoquant les maladies.


                    • Ronfladonf Ronfladonf 17 avril 2014 16:26

                      D’ailleurs Pasteur n’a-t-il pas dit sur son lit de mort « Béchamp avait raison : le terrain est tout et les microbes sont rien » ?


                    • liebe liebe 17 avril 2014 17:25

                      En 1994, Philippe Douste Blazy a lancé une campagne mensongère et extrêmement agressive dans le but de faire vacciner une majorité de français contre l’hépatite B.
                      Il a racheté des vaccins destinés aux pays d’Afrique (à ce moment ces derniers n’avaient pas les moyens de les acheter) et a lancé une grande campagne pour vacciner les élèves de sixième contre l’hépatite B.

                      Ce qui est inquiétant actuellement, c’est qu’en lisant le plan cancer il est écrit : que les infirmières scolaires vont vacciner à la fois contre les papillomavirus mais également contre l’hépatite B. Pour ceux qui ne l’ont pas déjà été.
                      Dans le plan de préparation du plan cancer, il y a même une phrase qui indique : qu’il faudrait réfléchir aux moyens de passer outre la volonté parentale :
                      Étudier les conditions d’amélioration de l’accès à la vaccination pour les mineures
                      dont les parents n’acceptent pas la vaccination.

                      www.e-cancer.fr/.../10686-recommandations-pour-le-troisieme-plan-cancer...

                      Actuellement, les infirmières scolaires dépendent intégralement de l’éducation nationale.
                      Mais elles se battent pour ne pas devenir polyvalentes en refusant la création d’un corps interministériel : http://www.snies-unsa-education.org/

                      Lors de la campagne de vaccination massive , elles avaient été réquisitionnées et celles qui voulaient refuser étaient passibles de 6 mois d’emprisonnement et de 10 000 euros d’amende.
                      Nous pouvons être inquiets.


                      • njama njama 17 avril 2014 18:05

                        face à l’offensive de la propagande

                        Gardasil, combien de morts ?

                        Gardasil les victimes s’accumulent, mais il est toujours vendu et remboursé, sous la « haute surveillance » de l’Afssaps.
                        par Sylvie Simon

                         Les dernières données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System ) sont de plus en plus inquiétantes : En août 2011, on comptait 23 388 victimes, dont 763 infirmes et 103 décès, en octobre, elles étaient 23 982, 780 infirmes et 104 décès, et en novembre, 24 184 victimes, 789 infirmes et 108 décès, sans compter les quelque 5 000 victimes, n’ayant toujours pas récupéré leurs fonctions normales. Enfin, aux dernières nouvelles, en mars 2012 il y avait 25 132 victimes, dont 110 décès et 826 infirmes.

                        à eux seuls, ces chiffres devraient faire immédiatement retirer ce vaccin de la vente, mais il est notoire que les déclarations d’accidents au Vaers représentent un minuscule pourcentage de la réalité. En effet, le 2 juin 1993, la FDA avouait dans Jama qu’une étude du CDC démontrait que : « Seulement 1 % des accidents graves lui étaient rapportés ». Le magazine Money de décembre 1996 a bien confirmé cette considérable sous notification. Il est certain que si l’on multiplie les chiffres officiels par ce pourcentage, la situation est terrifiante. En outre, tout le monde ne connaît pas le Vaers, ne serait-ce que la France, où le massacre continue, sous « haute surveillance ». On peut se demander ce qu’ils surveillent, les accidents, les morts, ou les bénéfices des laboratoires.
                        Les parutions sur le sujet ne cessent d’arriver chez ceux qui se penchent sur le malheur des autres, au lieu de les balayer d’un revers de main.
                        [...]
                        http://www.sylviesimonrevelations.com/article-les-victimes-du-gardasil-s-accumulent-mais-il-est-toujours-vendu-et-rembourse-sous-la-haute-sur-102321683.html

                        sur le même site, une série d’articles sur le sujet « Vaccin Gardasil/Cervarix
                        Danger »

                        http://www.sylviesimonrevelations.com/categorie-12122508.html


                      • njama njama 17 avril 2014 17:42

                        @ Dépositaire
                        une conception tout a fait fantaisiste de la médecine.
                        c’est le principe même de l’inoculation qui est fantaisiste, et, en fait, historiquement tout démarre d’une pratique de rebouteux (sic) ... 

                        Le principe est encore aujourd’hui exactement le même, à la différence près qu’on essaie depuis Pasteur de le justifier par des données scientifiques, aujourd’hui invérifiables que l’on nous demande d’admettre car les fabrications sont protégées par des brevets.

                        Pasteur n’est pas l’inventeur du vaccin, ce n’est un secret pour personne, il a eu des prédécesseurs, et on en attribue usuellement la paternité à Jenner :
                        80 ans avant Pasteur, le 14 mai 1796, Édouard Jenner découvre la vaccination ici
                        Or Jenner n’en est pas l’inventeur, 75 ans avant lui ...

                        GENÈSE AFRICAINE DE LA VACCINATION

                        (Do you remenber ? ... The Boston Marathon Finish Line was at « 666 Boylston Street, Boston, Massachusetts, États-Unis », et au 666 il y a le bâtiment « Boston public library » qui longe la ligne d’arrivée.)

                        Zabdiel Boylston (1679-1766) was a physician in the Boston area.

                        During a smallpox outbreak in 1721 in Boston, he inoculated about 248 people[4] by applying pus from a smallpox sore to a small wound on the subjects, a method said to have been previously used in Africa. Initially, he used the method on two slaves and his own son, who was 13 at the time. This was the first introduction of inoculations to the United States. An African slave named Onesimus taught the idea to Cotton Mather, the influential New England Puritan minister.

                        His method was initially met by hostility and outright violence from other physicians, and many threats were made on his life, with some even threatening to hang him on the nearest tree. He was forced to hide in a private place of his house for 14 days, a secret known only by his wife. During this hostility, his family was also in a dangerous situation. His wife and children were sitting in their home and a lighted hand-grenade was thrown into the room, but the fuse fell off before an explosion could take place. Even after the violence had subsided, he visited his patients only at midnight and while disguised.[5] After his initial inoculations of his son and two slaves, he was arrested for a short period of time for it (he was later released with the promise not to inoculate without government permission). In 1724, Boylston traveled to London, where he published his results as Historical Account of the Small-Pox Inoculated in New England, and became a fellow of the Royal Society two years later. Afterward, he returned to Boston.

                        Traduction Google :
                        (désolé c’est pas terrible, mais bon ... pour donner une idée à ceux qui ne sont pas très à l’aise avec l’anglais)

                        Lors d’une variole épidémie en 1721 à Boston , il a inoculé environ 248 personnes [4] en appliquant pus d’une variole mal pour une petite plaie sur les sujets, une méthode auraient déjà été utilisée en Afrique. Initialement, il a utilisé la méthode sur deux esclaves et son propre fils, qui avait 13 ans à l’époque. Il s’agissait de la première introduction de vaccins au États-Unis . Un esclave africain nommé Onésime a enseigné l’idée à Cotton Mather , l’influent ministre puritain de la Nouvelle-Angleterre.

                        Sa méthode a initialement rencontré de l’hostilité et de la violence pure et simple d’autres médecins, et de nombreuses menaces ont été faites sur sa vie, certains allant même jusqu’à menacer de l’accrocher sur l’arbre le plus proche. Il a été forcé de se cacher dans un lieu privé de sa maison pendant 14 jours, un secret connu seulement par son épouse. Au cours de cette hostilité, sa famille était également dans une situation dangereuse. Sa femme et ses enfants étaient assis dans leur maison et une grenade allumée a été jeté dans la salle, mais la mèche s’éteignit avant que l’explosion puisse avoir lieu. Même après que la violence ait diminué, il rendait visite à ses patients qu’à minuit et en étant déguisé. [5] Après ses inoculations initiales de son fils et de deux esclaves, il a été arrêté pour une courte période de temps pour elle (il a été libéré avec l’ promettre de ne pas inoculer sans l’autorisation du gouvernement). En 1724, Boylston s’est rendu à Londres , où il a publié ses résultats sous forme de récit historique de la petite vérole inoculée dans la Nouvelle-Angleterre, et est devenu un membre de la Société royale deux ans plus tard. Par la suite, il est retourné à Boston.

                        ---------------------------

                        « An African slave named Onesimus taught the idea to Cotton Mather ... » (cité ci-dessus voir Zabdiel Boyston)

                        Onesimus (fl. 1706 - 1717), slave and medical pioneer ...

                        Little is known of Onesimus after he purchased his freedom, but in 1721 Cotton Mather used information he had learned five years earlier from his former slave to combat a devastating smallpox epidemic that was then sweeping Boston. In a 1716 letter to the Royal Society of London, Mather proposed “ye Method of Inoculation” as the best means of curing smallpox and noted that he had learned of this process from “my Negro-Man Onesimus, who is a pretty Intelligent Fellow” (Winslow, 33).

                        Onesimus explained that he had undergone an Operation, which had given him something of ye Small-Pox, and would forever preserve him from it, adding, That it was often used among [Africans] and whoever had ye Courage to use it, was forever free from ye Fear of the Contagion. He described ye Operation to me, and showed me in his Arm ye Scar.” (Winslow, 33)

                        (dsl, concernant cette citation, le lien que j’avais publié en commentaire dans cet article Par njama (---.---.100.244) 26 juin 2013 16:13 est mort ! )

                        Louis Pasteur n’est l’inventeur de rien, un siècle et demi avant lui ces pratiques douteuses existaient déjà
                        . Il ne s’inscrit que dans la continuité de ses prédécesseurs


                        • njama njama 17 avril 2014 17:49

                          autre lien :
                          Onesimus (fl. 1706 - 1717), slave and medical pioneer, was born in the...

                          Little is known of Onesimus after he purchased his freedom, but in 1721 ...

                          Public and medical opinion in Boston was strongly against both Mather and Dr. Zabdiel Boylston, the only doctor in town willing to perform inoculations ;

                          http://hutchinscenter.fas.harvard.edu/dubois/projects/african-american-national-biography/sample-entries/onesimus-fl-1706-1717-slave-and


                        • njama njama 17 avril 2014 18:25

                          Pour couper court à toutes contestations sur la GENÈSE AFRICAINE DE LA VACCINATION, l’ouvrage peut être téléchargé sur le site « The Medical Heritage Library » :

                          Historical Account of the Small-Pox Inoculated in New England
                          par Zabdiel Boylston

                          « An historical account of the small-pox inoculated in New-England, upon all sorts of persons, whites, blacks, and of all ages and constitutions : with some account of the nature of the infection in the natural and inoculated way, and their different effects on human bodies ; with some short directions to the unexperienced in this method of practice ; humbly dedicated to Her Royal Highness the Princess of Wales (1726) »

                          https://archive.org/details/2544007R.nlm.nih.gov

                          ou le lien PDF direct :
                          https://ia601700.us.archive.org/16/items/2544007R.nlm.nih.gov/2544007R.pdf

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