Google, créé par la CIA sur ordre de Goldman-Sachs
La communauté du renseignement des États-Unis a financé, encouragé et incubé Google dans le cadre d'une stratégie visant à dominer le monde par le contrôle de l'information. Google, financé initialement par la NSA et la CIA, n'était que le premier d'une multitude de start-up du secteur privé cooptées par les services de renseignement américains pour conserver une « supériorité informationnelle ». L'influence du secteur financier sur les décisions militaires et les mesures de surveillance nécessite une attention particulière de la part des citoyens sur ce que font les décideurs politiques imposés par la finance internationale.
Google, souvent vendu comme une entreprise jeune et sympathique, est en réalité une façade pour le complexe militaro-industriel américain. Derrière son image relax se cachent les objectifs de sécurité nationale des États-Unis.
La stratégie trouve ses racines dans un groupe soutenu secrètement par le Pentagone, agissant comme un intermédiaire entre le gouvernement américain et les élites des affaires, de l'industrie, de la finance, des entreprises et des médias. Ce groupe a permis à des intérêts spéciaux puissants de contourner la responsabilité démocratique et l'État de droit pour influencer les politiques gouvernementales et l'opinion publique aux États-Unis et dans le monde. Les conséquences de ces actions ont été la surveillance de masse par la NSA, la militarisation croissante. L'armée américaine s'est donnée comme mission le contrôle mondial.
Après les attentats de Charlie Hebdo à Paris, lorsque les gouvernements occidentaux ont cherché à justifier des pouvoirs accrus de surveillance au nom de la lutte contre le terrorisme, les services de renseignement américains se sont impliqués dans le développement des plate formes web.
Le Forum des Highlands, une initiative financée par le Département de la Défense des États-Unis (DoD) est un réseau d'influence au sein du Pentagone. Fondé par Dick O'Neill, ancien capitaine de la marine américaine, ce forum rassemble des hauts responsables militaires de divers organismes et divisions, ainsi que des membres de la direction du DoD.
Présenté comme un « réseau informel », le Forum des Highlands se concentre sur l'information, la science et la technologie. Il offre également des services de planification stratégique, de création de scénarios et de développement de stratégies pour les marchés mondiaux. En plus de ses activités régulières, le forum organise le « Forum de l'île », en collaboration avec le ministère de la Défense de Singapour, depuis les événements du 11 septembre.
Le site Web du Forum des Highlands révèle des partenariats stratégiques avec des entreprises privées influentes, notamment SAIC/Leidos, l'un des principaux entrepreneurs de la NSA. Ce lien étroit entre le forum et l'industrie de la défense montre que celui-ci joue un rôle central dans la formulation des politiques de défense des États-Unis.
Un personnage clé associé au Forum est Andrew Marshall, également connu sous le surnom de « Yoda ». En tant que directeur de l'ONA du Pentagone, il a joué un rôle majeur dans les initiatives stratégiques, influençant ainsi les discussions du Forum des Highlands.
Bien que le forum ne produise pas de recommandations officielles, son influence est significative dans la formulation des politiques de défense américaines, en étroite collaboration avec des acteurs du secteur privé.
En effet, une série de révélations ont mis en lumière les liens étroits entre le Pentagone, les agences de renseignement, et des entreprises technologiques majeures telles que Google et SAIC/Leidos.
Le Forum des Highlands sert de pont d'influence entre le Pentagone et des experts en technologies militaires, le Forum a développé des stratégies de guerre de l'information, mettant en lumière l'importance de l'influence psychologique dans les opérations militaires.
Google, l'une des entreprises les plus influentes au monde, a bien entendu été impliquée dans cette toile complexe. Financé en partie par des programmes gouvernementaux tels que le programme MDDS supervisé par la DARPA et la NSA, Google a été associé à des investisseurs et à des dirigeants ayant des liens étroits avec des agences de renseignement américaines. Des contrats spéciaux avec la CIA et la NSA, ainsi que des investissements d'In-Q-Tel, ont démontré la dépendance de Google vis-à-vis du gouvernement.
En parallèle, des entreprises de défense telles que SAIC/Leidos ont joué un rôle crucial dans le développement de la surveillance électronique. Des programmes comme TIA, visant à collecter et analyser massivement les données pour lutter contre le terrorisme, ont été supervisés en partie par ces entreprises.
Alors que la technologie continue de progresser et d'impacter nos vies, la connexion entre Goldman-Sachs et le Pentagone révèle l'influence des intérêts financiers sur les politiques de sécurité nationale et de surveillance de masse.
Richard O'Neill, président du Forum Highlands, a admis que les discussions stratégiques au sein du forum ont directement alimenté la révision stratégique du Département de la Défense (DoD) commandée par l'administration Bush. Ces discussions ont influencé des politiques, stratégies et doctrines du DoD, notamment sur la guerre de l'information, témoignant ainsi de l'impact direct du forum sur la politique militaire américaine.
Le rôle de Goldman-Sachs dans cette convergence entre les intérêts financiers et militaires est central. George C. Lee, associé principal chez Goldman-Sachs, a été impliqué dans l'évaluation de grandes entreprises technologiques (Facebook, Google, Microsoft et eBay), toutes liées au Forum Highlands. Stephen Friedman, ancien PDG et président de Goldman-Sachs, a occupé des postes influents au sein du gouvernement américain, notamment au sein du President’s Intelligence Advisory Board, ce qui ne laisse aucun doute sur l'influence du secteur financier sur la sécurité nationale américaine.
La cybersécurité, un domaine crucial pour le Pentagone, est également touchée par cette connexion. Le MIIS CySec, partenaire formel du Forum Highlands, bénéficie du soutien financier de George Lee. Dirigé par le Dr. Itamara Lochard, membre senior du Forum Highlands, cet institut s'aligne sur les intérêts financiers de Goldman-Sachs.
Source : https://medium.com/insurge-intelligence/how-the-cia-made-google
19 réactions à cet article
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Ils sont en train d’élaguer furieusement la ressource en ce moment,(Google/YouTube), nous n’aurons bientôt plus que le « culture » Wikipédia, autre monstre de la secte.
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même chose pour le smartphone, champion de la traçabilité, qu’il soit allumé ou éteint, et même avec la batteir déchargée, la seule « solution finale » étant de retirer la batterie et la carte SIM
et même chose pour le GPS, tributaire des satéllites militaires américains qui peuvent stopper le fonctionnement quand ils veulent et où ils veulent
le piège dans lequel il est difficile de ne pas tomber, c’est que ça fonctionne comme la drogue : audébut c’est gratuit et très agréable, et rapidement, on ne peut plus s’en passer, et là, non seulement on est sous l’emprise des dealers, mais en plus, ils rackettent grave
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@Brutus
Ce qui laisse à penser que la prochaine guerre sérieuse commencera dans l’espace, crever les yeux du Moloch, ce qui laissera la part belle aux anciennes technologies « types soviétiques »...
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@Brutus
Et allez hop, poussons les feux. La meilleure solution serait encore de le laisser là où il est , c’est à dire chez le marchand.
Une jolie pirouette anthropologique.
Ah, on me dit que ce n’est plus possible... -
@Brutus
Ne suffit-il pas de mettre ces appareils dans une boite métallique ou les envelopper dans du papier aluminium pour désactiver la traçabilité. ? -
Waouh ! Rudy, à l’aide ! Un article complotiste !
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Je ne sais pas si cette thèse est exacte, mais en tout cas elle est tout à fait plausible. Les Européens devraient bien se méfier. Les Chinois ont bien compris le truc eux, et tentent d’imiter les Américains. Au bout du compte, c’est la sélection naturelle. Pour survivre et dominer, mieux vaut ne pas être naïf et sot.
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Macron, créé par la clique des milliardaires, de l’UE, des lobbies etc ....-
@zygzornifle
Tu proposes quoi pour tout changer ??? -
@charlyposte...
Dévoiler mes sources .... -
@zygzornifle
La révolution pure et dure comme en 1789 .... -
On peut étendre le propos de l’article quand on observe les systèmes d’exploitations pour ordinateurs et téléphones : MacOS (Apple) et Windows (Microsoft) sont toutes 2 Américaines, et Linux, bien que créé originellement en Europe par un Européen, est aussi 1/2 Américain. Il n’y a AUCUN système d’exploitation généraliste non-US pour PCs dans le monde.
Concernant les OS pour téléphone, c’est encore plus flagrant : les 2 entreprises majeures dans les mobiles étaient Nokia (Européen) et Blackberry (Canadien), qui avaient chacun des systèmes d’exploitations pour portables indépendants : Symbian + MeeGo pour Nokia, BlackberryOS + QNX pour Blackberry. Eh bien, suite à des rachats en bourse, les 2 entreprises ont disparus du marché et leurs OS avec, et il ne reste plus que iOS (Apple, USA) et Android (Google, USA) pour accéder à Internet.
Donc oui, il est assez clair que la CIA et la NSA participent activement à l’influence des géants du tech US, et qu’ils visent à détruire toute concurrence. C’est d’ailleurs la seule raison de vouloir bannir TikTok : c’est un concurrent sur Internet qui échappe à la CIA + NSA
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@Zolko « Linux, bien que créé originellement en Europe par un Européen, est aussi 1/2 Américain. »
Dans ce cas là on peut aussi dire que TCP/IP est américain ?
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@Zolko
"seule raison de vouloir bannir TikTok
"
TitTok tel que nous le connaissons est interdit en Chine.
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Coté russe, c’est pas mieux et ça rapproche même du modèle chinois.
https://vsquare.org/kremlin-leaks-russia-putin-ai-surveillance-facial-recognition-ntechlab/
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La destruction du potentiel informatique de la France fut aussi l’une des raisons qui ont motivé le déchainement de la C.I.A. contre la France de Gaulle et contre sa tentative informatique nationale à travers l’expérience Bull !
Bull torpillée financièrement avant d’être vendue à General Electric de la même façon et pour les mêmes raisons qu’Alsthom, fabriquant les turbines de notre force nucléaire, sera vendue plus tard aux mêmes.
Là encore, les fractions françaises diverses et variées toujours en lutte ouverte contre de Gaulle et les gaullistes peuvent se frotter les mains ! Elles ont bien contribué à la situation globale dans laquelle se trouve notre pays aujourd’hui !
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Idem pour Facebook qui est une création du renseignement militaire américain.
A l’origine Facebook est un programme de surveillance dénommé Lifelog développé par le DARPA.
Facebook a été lancé exactement le même jour où le projet Lifelog du DARPA a été stoppé avec Zukerberg à la direction pour lui donner une apparence civile. Les équipes de Lifelog ont été reprises par Facebook.
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et nous les français sous l egide de la DGSE , nous avons crée un moteur de recherche QWANT en 2013.
Un moteur d avant garde comme il se doit .
Le microprocesseur la CIA
Le transistor encore la CIA
le premier micro ordinateur, le MICRAL encore la CIA , non la c est une erreur , il est francais avec le premier microprocesseur d INTEL le 4004
Et comme nous avons pas la force de frappe « marketing » des Américains ce sont eux qui ont pu imposer la micro informatique ..
En revanche , INTERNET est un projet derivé d ARPANET , militaire il est vrai
Et un des pionniers a avoir envoyé une information par un « paquet » est Louis Pouzin Il travaillait pour la cii honeywell bull
Les amériacains ont certes la CIA , nous des politiques non visionnaires , ; CQFD
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@L’auteur
Bah moi j’ai travaillé pour une startup il y a 20 ans.
Le projet c’était de créer un moteur de recherche.
Google n’était pas encore ce qu’il est aujourd’hui.
Il y avait Lycos, Yahoo... bref, il y avait encore de la place... une autre époque.Le projet peut se résumé à 2/2/2 : 2 ans, 2 jours, 2 mois.
2 ans : c’est la durée de développement.
2 jours : c’est le temps d’exploitation avant la première plainte en droits d’auteurs d’un groupe de presse pour avoir indexé les pages de son site web, et les avoir présentées en résultats de recherche.
2 mois : la condamnation à faire disparaitre les pages en question sous astreinte.Ce qui a signifié la fin du projet, nos investisseurs ayant pris peur.
Le truc rigolo, c’est que le site du groupe de presse en question existe toujours, et que maintenant il paie des « adwords » pour apparaitre sur Google.
Donc c’est bien beau de dire que c’est la CIA, ou je sais pas qui, qui permet la prépondérance des technos US.
La réalité c’est que c’est la connerie française qui le permet
Tout simplement
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