Guerre à Gaza, un passage cruel menant à un nouvel état du monde. La phénoménologie de l’Histoire d’Israël et du peuple palestinien
Pourquoi aujourd’hui la guerre à Gaza ? En Ukraine, la guerre a commencé le 24 février 2022, bientôt elle entre dans la troisième année de guerre ; à Gaza, la guerre a commencé le 7 octobre 2023, elle est au cinquième mois. La question qui se pose n’est pas ce qui se passera pour ces guerres mais ce qu’elles sont en elles-mêmes, et surtout ce qu’elles expriment dans leur essence historique dans la marche de l’humanité. Si leur essence historique est déjà prédéfinie par l’histoire, comme le témoignent les guerres passées, dès lors l’issue de ces guerres ne peut qu’aller vers ce qui est attendu, ce qui est en puissance dans l’histoire.
La marche de l’humanité, par les guerres qui la parsèment, ne relève pas d’un mouvement chaotique, mouvement qui n’est en fait pour l’humanité qu’une éclosion d’un schème de l’histoire par la douleur, à l’image d’un accouchement historique aux forceps, mais ce désordre historique qui n’est qu’apparent relève en fait de forces historiques précises, logiques et nécessaires pour assurer toujours le renouveau de l’humanité. Et c’est ce que l’on doit comprendre de ce qu’il en est des guerres dans le sens de l’histoire ; et surtout que les guerres ne préviennent pas, elles arrivent et c’est déjà trop tard pour y parer.
Une guerre qui éclate est une guerre faisant partie de l’évolution du monde ; cela va de soi, on ne peut penser qu’une guerre qui vient et surtout menée, pensée par les hommes, relève d’un caprice de l’histoire ; impossible, toute guerre a un sens historique ; et si elle a éclaté c’est qu’elle est nécessaire à la marche du monde ; et peu importe les souffrances des peuples. En clair, c’est une marche forcée de l’histoire.
Prenons la guerre à Gaza. Était-elle préparée ? Non, elle ne l’était pas ; personne ne s’y attendait ; Israël, avec tous ses services de renseignement, a été pris au dépourvu ; le monde entier n’arrivait pas à croire que les deux ou trois mille combattants palestiniens sont entrés comme par effraction dans le territoire israélien pourtant gardé de jour comme de nuit par des miradors, par un mur de sécurité de 8 mètres, sur plus de 700 kms de long, par une escouade de soldats et certainement des radars. Toute cette barrière fortifiée n’a servi à rien, puisque la branche armée du Hamas a mené une attaque historique bouleversant toute la sécurité d’Israël. Des conséquences extrêmement graves pour Israël : plus d’un millier de morts, une prise d’otage choisies où femmes et enfants faisant du cortège enlevé par ce que les Israéliens appellent des « terroristes ».
Arrêtons-nous un instant sur cette attaque du Hamas. Est-ce réellement le Hamas qui l’a opéré ? Personne ne peut en disconvenir, cependant l’attaque devait survenir parce qu’elle était inscrite dans la marche de l’histoire. Les combattants du Hamas n’ont été que des instruments de l’histoire ; Israël n’a rien vu, parce qu’elle ne devait pas voir. Ce que nous, êtres humains, ne devons pas perdre de vue que, quoique nous fassions, nous ne commandons pas la marche du monde. Nous sommes tous intégrés dans cette marche du monde, une marche herméneutique très insuffisamment comprise par tous ceux qui cherchent à comprendre le devenir du monde ; qu’ils soient historiens, politologues, experts en géopolitique et géostratégie ; leur approche ne reste qu’en surface ; ils ne voient pas la finalité dans la marche de l’histoire.
Précisément, dans l’attaque du Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023, une finalité était poursuivie par l’histoire, et dans cette finalité était inscrite une rupture historique ; rupture qui a marqué les grandes puissances, les pays arabes de la région et d’une manière générale les pays musulmans comme l’ensemble des pays du monde.
Israël a une longue histoire de plus d’un siècle, mais son histoire s’est mondialisée surtout depuis 75 ; la création de l'État d’Israël a été proclamée le 14 mai 1948, après le vote du plan de partage de la Palestine le 29 novembre 1947 par l'Organisation des Nations unies (ONU) qui met fin au mandat britannique et qui prévoit la création d'un État juif sur 55 % des territoires de la Palestine mandataire. Un processus qui a été contesté par le monde arabe, quatre guerres israélo-arabes ont suivi ; mais ces guerres n’ont pas changé la marche de l’histoire de la région du Proche-Orient.
Combien même Israël doit sa puissance à l’Occident, et essentiellement à la puissance américaine, ce processus relève d’une alliance États-Unis-Israël qui résiste à tout événement qui vient contrarier cette union que l’on peut dire presque « sacrée ». Pourquoi ? Tant Israël veut son hégémonie sur le Proche-Orient, et passant, sur le monde musulman, tant les États-Unis veulent le statu quo de leur hégémonie sur le monde. Donc deux objectifs qui expliquent cette union États-Unis-Israël « presque sacrée ».
Cependant, on ne peut occulter un principe non pas presque sacré mais « sacré », ce ne sont pas les êtres humains qui commandent l’histoire, mais l’histoire qui commande la marche des humains dans l’histoire. En clair, quoi que veulent les puissances, quoi que fassent les puissances, l’histoire humaine ne se domestique pas. Si l’État d’Israël a été créé en 1948, c’est qu’un État juif devait être créé ; quant à la détermination des sionistes à bâtir un « foyer national juif » et ce depuis les premières installations de nationalistes et de religieux juifs qui ont débuté à la fin du XIXe siècle en Palestine, alors sous administration ottomane, c’est parce qu’il entrait dans la « finalité » de l’histoire.
Le conflit israélo-palestinien, avec l’invasion du 7 octobre 2023, marque un tournant dans l’histoire de la région mais aussi dans l’histoire du monde. Et tout ce qui arrive de mal à Israël arrive de mal à la puissance américaine. Deux destins dans un même destin ; et le destin que visent Israël et les États-Unis est la puissance qu’ils doivent avoir sur les autres. Un destin inscrit dans la marche du monde.
Après l’attaque du Hamas contre Israël, c’est le branle-bas de combat quasi généralisé d’Israël et de ses soutiens occidentaux ; une réponse tout compte fait naturelle au regard des enjeux qui sont doubles, dans cette guerre ; la remise en question de la puissance du régime sioniste israélien dans la région proche et moyen-orientale et la remise en question du leadership étasunien sur le monde.
« Il a mis quelques heures – le temps du choc face à l’ampleur et à la violence du coup de force du Hamas – à retrouver les habits qu’il affectionne tant : ceux du chef de guerre. Face caméra, Benyamin Netanyahou déploie une rhétorique qu’il sait manier, lui qui s’est toujours érigé en Monsieur sécurité d’Israël. « Nous sommes en guerre, il ne s’agit pas d’une (simple) opération (…). L’ennemi paiera un prix sans précédent », déclare-t-il, sonné, samedi 7 octobre en fin de matinée.
Le 7 octobre 2023, le Hamas, le Mouvement de la résistance islamique, considéré comme un groupe terroriste par certains pays, attaque Israël sur plusieurs fronts. Israël riposte en déployant plusieurs actions militaires sur la bande de Gaza, un territoire administré et contrôlé par le Hamas. » (1)
Depuis cette date, le peuple de Gaza ne cesse de payer le prix de cette attaque ; le chiffre de 29 000 morts est dépassé à Gaza, et 67 000 blessés aussi, des villes de la bande de Gaza réduite en bonne partie en poussière, Israël a-t-il gagné la guerre ? Les États-Unis ont-ils gagné la guerre ? Après quatre mois et demi de guerre, le peuple de Gaza a été rendu « affamé », privé de nourriture comme si le nombre de morts de près de 30 000 soit presque trente fois le nombre de morts israéliens, n’ont pas suffi pour apporter la victoire à Israël.
De même, les États-Unis n’en finissent pas d’opposer leur veto au Conseil de sécurité à toute résolution prônant un cessez-le-feu ; le troisième projet de résolution présenté par l’Algérie au Conseil de sécurité pour un cessez-le-feu à Gaza attendu pour ce mardi, le représentant des États-Unis a déjà averti d’un autre veto sur cette résolution ; les États-Unis ne veulent pas arrêter la guerre même si le peuple ne cesse d’être bombardé, le bilan des morts et blessé qui augmentent chaque jour.
Toute cette cruauté qui émane des États-Unis et d’Israël qu’on ne cesse de définir comme des exemples de démocraties, ne sont en fait que ce qui s’opère dans les consciences de ceux qui décident du destin de leurs peuples, dans les consciences où ne soufflent que la haine de l’autre qui est vu comme un adversaire parce qu’il revendique, parce qu’il lutte pour ses droits humains, mais ses droits lui sont interdits. Et donc le Palestinien n’a pas de droits, ne doit pas avoir de droits, c’est cette pensée qui meut les décideurs israéliens et américains. Et si, devant la cruauté de dette guerre, dénoncée par pratiquement l’ensemble des pays du monde, les États-Unis, pour faire bonne conscience, prônent un États palestinien mais « démilitarisé », et donc ne doit pas avoir une armée qui mettrait en danger l’État d’Israël.
Sur un plan purement phénoménologique, cette conscience des décideurs américains et israéliens, et l’on prend les plus haut dans la hiérarchie des pouvoirs respectifs, qu’il s’agisse du président américain, Joe Biden, ou le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, sont-ils eux dans leurs déclarations d’opposer une guerre sans merci au Hamas jusqu’à l’éradiquer de la bande de Gaza ? Dans le sens, pensent-ils leurs pensées ? Ou sont-ils mus par leurs pensées ? Sur le plan humain, le président américain comme le président israélien pensent réellement leurs pensées et sont pour la guerre contre le Hamas jusqu’à son extinction de la bande de Gaza. Pour ce qui est de coût en vies humaines palestiniennes, le président Joe Biden au Premier Ministre israélien de protéger les vies des civils et pourtant, le nombre de morts ne cessent d’augmenter quotidiennement. En réponse, il va jusqu’à dire de ne pas être « excessif », de ne pas « exagérer » dans cette guerre à Gaza.
Certes, sur le plan humain, c’est ainsi, mais sur le plan de la phénoménologie, de l’herméneutique, l’être ne commande pas sa pensée ; « ceci dit dans l’absolue » ; il ne fait que suivre le cheminement de sa pensée qui est dictée par un Esprit dans l’histoire. Et il ne peut être autrement, tous les êtres humains pensent leurs pensées, mais ils ne savent pas d’où vient leurs pensées ; et c’est plus facile, leurs pensées ne les font pas penser « sur ce qu’est leur pensée » ; ils pensent, c’est tout ; ils croient penser et c’est suffisant ; il faut même dire c’est essentiel. Pourquoi « essentiel » ?
S’ils remettent en cause leurs pensées, prenons l’exemple des deux décideurs au sommet américain et israélien. Si une pensée pacifique vient à Joe Biden et lui dit qu’il faut arrêter la guerre, et de la même façon, pour Benjamin Netanyahou qu’il faut arrêter la guerre vu les souffrances endurées par le peuple de Gaza et de Cisjordanie (qui aussi paie un tribut pour cette guerre) et ces pensées qui viennent à leurs esprits leur « commandent » d’arrêter la guerre, forcément la guerre va s’arrêter après des négociations et un rapprochement des revendications entre eux et le Hamas. La guerre va certainement s’arrêter, et si cette pensée continuerait à les mouvoir dans le bon sens, la crise israélo-palestinienne va trouver une solution définitive.
Mais, dans cette conjoncture, est-ce que ce sont eux qui ont arrêté la guerre et négocié la paix ? Force de dire non, et toujours dans l’« absolu », ce sont leurs pensées qui se sont chargées pour cette solution pacifique. Or, dans le cas de cette guerre, ce sont des pensées guerrières qui leur sont venues. Il fallait à tout prix éradiquer le Hamas de la bande de Gaza qui remettait en question leur pouvoir sur la région.
Et, dans ce qui se passe à Gaza, en Cisjordanie, à la frontière nord d’Israël avec le Liban, au Yémen au détroit d’Aden, à la mer Rouge, force de dire que ce sont des pensées guerrières « naturelles » qui leur sont venues dans leurs consciences. Pourquoi ? Parce que c’est ainsi la marche de l’Histoire de l’humanité ; et dans cette Histoire avec un grand H, une phénoménologie est sous-tendue dans tout ce qui se saisit dans les événements en cours en vue d’une finalité que n’est pas pressentie ; ou même pressentie, elle reste du domaine du possible.
Cependant, dans cette guerre, il existe une phénoménologie qui s’inscrit dans les aspirations de chaque partie dans le conflit ; une phénoménologie qui explique à la fois pourquoi la guerre en lien avec les parties en conflit dans ce qui ressort sur cette terre palestinienne, et paradoxalement, la finalité de cette guerre qu’utilise l’Histoire pour faire avancer la marche du monde.
Que ressortira-t-elle de cette guerre ? Ne nous fions pas sur les pressentiments de ce qui résultera de cette guerre qui ne relèvent que de l’ordre du possible. Parlons plutôt de la marche de l’histoire. Nous savons tous que l’humanité depuis la nuit des temps est englobée dans son histoire. C’est l’histoire qui fait ressortir tous les jalons franchis à partir du premier homme Adam sur terre, selon les trois religions révélées, à ce qu’est l’humanité aujourd’hui.
Aussi pose-t-on cette question de logique. « Est-ce que les hommes ont besoin de l’histoire ? » Peuvent-ils vivre, peuvent-ils se passer de l’histoire ? La réponse est naturellement oui ; les hommes n’ont pas besoin de l’histoire ; même si, par leurs agissements, ils font l’histoire, ils n’ont pas besoin de l’histoire ; l’histoire ne fait, par son essence, que reproduire ce que les êtres humains ont fait depuis leur avènement sur terre jusqu’aux temps présents. Et ce point herméneutique est très important pour la compréhension de la marche de l’histoire du monde.
Dès lors force de constater que si les hommes n’ont pas besoin de l’histoire, l’Histoire cette fois-ci avec un grand H a besoin de l’humanité pour être leur Histoire. Aussi, peut-on dire que l’histoire « protège et doit protéger » l’humanité parce que c’est par l’humanité et ses étapes historiques franchies que se constitue l’histoire de l’humanité. Sans les êtres humains sur terre et leurs événements passés et présents, il n’y a pas d’Histoire de l’humanité. Et même le temps futur, c’est l’Histoire avec un grand H qui le projette pour l’humanité.
Or, qu’avons-nous avec les agissements d’Israël et des États-Unis face au peuple palestinien ? Leur faire la guerre pour les emmurer dans un état de colonisé, d’apartheid, et ce depuis 75 ans. Une question cependant : « Qui a permis la création de l’État d’Israël ? Est-ce les États-Unis et l’Occident ? »
Si les États-Unis et l’Union soviétique sont sortis vainqueurs de la Deuxième Guerre mondiale, ils la doivent avant tout à l’Histoire. De même, l’État d’Israël a vu le jour grâce à l’Histoire. Si Hitler a provoqué la guerre en 1939, c’est parce qu’il devait la provoquer la guerre ; Hitler ne savait pas qu’il allait provoquer la Deuxième Guerre mondiale ; et par cette guerre mondiale, affaiblir les empires coloniaux d’Europe, et puis disparaître. Et cette guerre a permis dans les années qui ont suivi la fin des combats en Europe, la libération de l’Afrique et de l’Asie de la colonisation. Donc, la finalité de l’Histoire est ben visible ; au-delà des souffrances humaines, la finalité visée est la libération des peuples.
Dans la guerre à Gaza, le même processus se joue ; les États-Unis et Israël veulent emmurer les Palestiniens dans un état d’apartheid sans penser que le monde a beaucoup avancé ; l’attaque du 7 octobre 2023 n’a été permise que parce qu’elle était inscrite dans l’Histoire ; de même la guerre que mène Israël avec toutes les destructions, crimes de guerre et génocides perpétrés sur le peuple de Gaza, et portés jusqu’à la Cour internationale de justice de l’ONU, ne fait que témoigner au monde l’état de panique dans lequel se trouvent Israël et leur soutien, les États-Unis.
Aussi, peut-on dire, malgré les pires souffrances qu’endure le peuple palestinien, l’Histoire est là pour protéger son humanité, et le peuple palestinien y a droit d’existence comme tous les autres peuples. Après l’hypothétique offensive sur la ville de Rafa, à la frontière égyptienne, que restera-t-il à Israël pour perdurer une guerre pour une hypothétique victoire qui ne vient pas ? Les combattants tant clamés par Israël qu’ils sont presque tous tués mais qui sont toujours là pour harceler l’armée israélienne ; de même le Hezbollah devenant une menace constante pour Israël.
Il faut dire surtout que les enjeux dans cette guerre dépassent de loin les enjeux qui opposent le peuple palestinien à Israël. C’est l’avenir même des États-Unis qui se joue dans cette guerre et dans la guerre en Ukraine. Les États-Unis sont partout en recul dans le monde ; leur dernière défaite très récente remonte à l’été 2021, en Afghanistan. Une défaite en Ukraine et à Gaza sonnera très probablement le glas de la puissance des États-Unis. Il est certain que la souffrance endurée par le peuple palestinien depuis 75 ans ne sera pas vaine ; un nouvel état du monde surgira qui effacera les souffrances passées ; une ère nouvelle pour ce peuple brave qui a combattu sans relâche pour sa liberté, pour sa dignité ; un flambeau de la liberté pour les autres peuples.
Qu’en sera-t-il pour Israël ? La seule voie qui lui reste, et Israël y est obligé, il n’a plus de parapluie américain, est de mettre fin au sionisme et de s’intégrer au monde musulman. Il n’y aura plus de type Netanyahou ni d’extrémistes ultra-orthodoxes qui visent le pouvoir, la purification ethnique. Il ne restera que la pacification forcée pour l’État d’Israël ; pour leur existence en paix au sein des pays arabes, les Israéliens apprendront à respecter leur proche voisin ; ils n’auront pas d’échappatoire.
Tous ces événements passés, présents et à venir le doivent à l’Histoire de l’humanité qui est en marche ; et il faut le répéter, c’est l’Histoire avec un grand H qui est en marche, qui fait avancer l’humanité et non l’humanité qui fait avancer l’Histoire. Et dans cette Histoire avec un grand H, l’Esprit du monde est présent dans l’Histoire de l’humanité ; et tous les esprits des êtres humains relèvent de l’Esprit du monde. C’est dire l’extrême complexité qu’est la nature humaine ; de même l’extrême complexité pour l’Histoire de faire avancer les hommes. Mais le monde est ainsi conçu pour les humains qui n’ont pas choisi leur monde.
Medjdoub Hamed
Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,
Relations internationales et Prospective
Note :
1. « Hamas - Israël : le chef de guerre Netanyahou aura des comptes à rendre », Par le journal La Croix. Le 8 octobre 2023
https://www.la-croix.com/international/
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