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L’An II du quinquennat de trop

Une opinion personnelle en voix off sur un gouvernement sans doute éphémère et un Macron qui s'affiche en ministre de tout et président de rien, en reprenant des idées qui sentent la naphtaline et en faisant des clins d'oeil à l'extrême-droite dans une prestation avec une mise en scène gaullienne. 

Désarmement de la fonction publique et dégénérescence sociale, réarmement de la casse des acquis sociaux et régénérescence de l’extrême droite. 

La composition du gouvernement ( celui de Macron et non pas celui du 1er ministre déclassé au rang de « porte-mensonge présidentiel ») montre le mépris pour la fonction publique, notamment l’éducation nationale et la santé.

La ministre de l’Éducation nationale est à temps partiel et s’est déjà distingué en dénigrant la fonction publique éducative, ses syndicats et ses enseignants. Elle a fait l’éloge de l’enseignement privé où elle a casé ses enfants. Elle les a inscrits dans un établissement catholique soupçonné d’intégrisme et qui a fait l’objet d’une enquête administrative dont le rapport reste secret. Ce rapport passe donc sous son autorité partisane. La ministre a expliqué qu’elle avait choisi le privé à cause de l’absentéisme des enseignants non remplacés. Elle fait partie de la carte scolaire du 6ème arrondissement de Paris où les établissements ne semblent pas touchés par l’absentéisme. C’est confirmé. Elle a menti. Le fils qu’elle a cité n’a passé que 6 mois dans une maternelle et son enseignante a fait savoir qu’elle ne s’était pas absentée et qu’il n’y avait eu aucun problème de remplacement. Selon des articles de presse, la ministre a été plusieurs fois accusée de mensonge et a même fait l’objet d’une plainte en diffamation. En décembre 2022, Médiapart révèle qu’elle percevait plus de 35000 euros nets par mois du temps où elle était directrice générale de la Fédération Française de Tennis, autant que chez Carrefour, alors que la ministre avait parlé d'une rémunération trois fois inférieure. Un mensonge ! Pire un parjure sous serment devant une commission parlementaire ! En attendant, elle ne pouvait pas faire pire pour se mettre à dos les enseignants et leurs syndicats, mais aussi les parents d’élèves qui ont leurs enfants dans un établissement public. Ces derniers seraient-ils des mauvais parents ou des parents trop pauvres ? Selon Libération : « Une ministre de l’Education nationale qui met ses enfants dans le privé, ça la fiche mal. Mais quand celle-ci, la toute fraîchement nommée Amélie Oudéa-Castéra, se justifie de cette polémique en dézinguant l’école publique qu’elle est censée défendre, c’est encore pire. D’autant que les arguments de l’ancienne tenniswoman de 45 ans pourraient être fragilisés par les informations recueillies par Libération. Notamment le fait que l’expérience du public par ses enfants se résume à six mois de petite section de maternelle… » Elle aurait donc, semble-t-il, beaucoup exagéré l’expérience scolaire d’un de ses enfants dans l’enseignement public, sans doute pour cacher un choix idéologique et élitiste dans le choix du Lycée Stanislas où elle a inscrit ses trois progénitures. 

Mme Oudéa-Castéra est l’épouse en secondes noces de l’ancien PDG de la Société générale ( banque de Kerviel). Extrait Wikipedia de Fréderic Oudéa, mari de la ministre : « En 2016, la Société générale est la principale banque française concernée par le scandale des Panama Papers17. La députée PCF Marie-George Buffet demande alors la démission de Frédéric Oudéa ainsi que des suites judiciaires, étant avéré que celui-ci a menti quatre ans plus tôt, en assurant lors de son audition sous serment par la commission d’enquête sur l’évasion fiscale, que sa banque ne détenait plus de filiale dans des paradis fiscaux. Le sénateur PCF Éric Bocquet a quant à lui annoncé qu'il allait saisir le bureau du Sénat en vue de poursuivre en justice Frédéric Oudéa pour faux témoignage, au sujet de ces déclarations faites sous serment lors d'une audition au Sénat. Le 27 mai, le bureau du Sénat permet à Frédéric Oudéa d'éviter le passage en justice, au grand étonnement du groupe communiste qui avait sollicité le bureau ». Le 17 mai 2022, à l'occasion de l'assemblée générale du groupe bancaire, Frédéric Oudéa annonce son départ. Il est l’actuel directeur générale de Samofi. On connaît l’espoir déçu que Macron a porté sur ce groupe pharmaceutique pendant le gros de la pandémie Covid.

La Macronie et les chiens de garde des chaînes privées de télé se sont mobilisés pour sauver la soldate Oudéa-Castéra, collègue de promotion de Macron à l’ENA. Avec son époux, elle fait partie du cercle rapproché du petit Napo élyséen. Cette bourgeoisie parisienne et provinciale se reproduit dans les écoles privées et les grandes écoles élitistes. Lors de sa conférence du 16 janvier, Macron a parlé de maladresse en minimisant la portée du mensonge proféré par sa ministre de l’Education nationale et des sports. Comme à son habitude il a noyé le poisson, prenant à son compte des annonces en ce qui concerne l’Education nationale, reprenant comme nouveautés des pratiques anciennes comme l’apprentissage du l’hymne nationale et les cours de théâtre. Il y a ajouté l’uniforme comme un cache-misère et une fausse égalité à l’école de la république. Un enfant des cités, même en uniforme, restera un enfant de pauvre avec des parents qui n’ont pas le temps et/ou la force et/ou l’argent suffisant pour lui donner les mêmes chances que celles des enfants de Mme Amélie Oudéa-Castéra. On peut citer les familles monoparentales qui sont celles dans les situations les plus difficiles. Nous n’avons rien entendu sur le nombre des enseignants et les fermetures de classes sui se poursuivent. Il a été très en dessous de moyens nécessaires pour revaloriser le métier d’enseignant. 

Le travail c’est la santé ! En ce qui concerne la Santé publique, elle est maintenant liée au Travail dans un même ministère confié à une réac notoire, Catherine Vautrin. Une sarkozyste, comme la nouvelle ministre de la Culture Rachida Dati. Gabriel Attal a dû évoquer son homosexualité pour justifier que Madame Vautrin n’est pas homophobe bien qu’elle soit une opposante au mariage pour tous. Cette dame est aussi opposée à l’euthanasie. Dans la foulée, le 1er porte-mensonge de Macron a annoncé un effort budgétaire de 32 milliards sur 5 ans en faveur de la santé publique en sortant, comme à son habitude, des périphrases longues et énigmatiques qui n’éclaircissent pas les détails de cette rallonge budgétaire : 32 milliards d’euros sur 5 ans. Donc au-delà de 2027 ! En réalité, Gabriel Attal a annoncé une enveloppe budgétaire déjà décidée par le gouvernement Borne. Il ne s’agit pas d’un effort supplémentaire comme il l’a laissé hypocritement penser. On sait qu’il aime les effets d’annonces. Non seulement il n’a pas la paternité de cette enveloppe budgétaire mais elle est insuffisante pour sauver durablement notre système de santé. L’enveloppe a été votée dans le cadre de la loi de programmation des finances publiques en décembre dernier. Il n’était pas encore 1er ministre. Dans sa conférence du 16 janvier, Macron a minimisé les déserts médicaux. Il a trouvé ses solutions pour palier le manque de médecins. Les pharmaciens pourront diagnostiquer certaines maladies courantes comme les angines pour exemple et prescrire directement les médicaments qui en passant seront encore moins remboursés et feront l’objet d’un euro resté à charge du malade et non plus 50 centimes. Par contre, il n’a pas envisagé d’augmenter le nombre des médecins mais de mieux rémunérer ceux étrangers qui pratiquent en France dans des emplois précaires et viennent souvent de pays africains ou de l’Est.

Venons-en à Rachida Dati à qui Macron a offert le ministère de la culture pour en faire la candidate de « l’arc républicain » à la mairie de Paris contre Hidalgo. Elle a d’ailleurs pu conserver son siège de maire du 7ème arrondissement tout en étant ministre. La culture ? Quelle culture ? Rachida Dati est surtout connue, comme Brigitte Macron, pour s’habiller auprès des grands noms de la Haute couture. C’est la culture bling bling, celle des bijoux, des vêtements et du mode de vie ! Elle est aussi connue pour s’intéresser à la culture de l’Azerbaidjian dont elle est une fervente lobbyiste. Elle a d’ailleurs reçu l’épouse du dictateur Aliyev dans sa maire du 17ème et, en dépit de la vérité historique et contemporaine de ce pays, elle décrit une dictature génocidaire comme une démocratie exemplaire. Elle n’a jamais eu la moindre empathie pour les Arméniens massacrés par les Azéris et chassés d’une région historiquement arménienne depuis la nuit des temps, le Haut-Karabagh. Le dictateur Ilham Aliyev est connu aussi pour pratiquer ce que la presse a baptisé « la diplomatie caviar », c’est-à-dire gratifier des lobbyistes partout dans le monde, y compris le plus souvent des personnalités politiques complaisantes. Rappelons que le pouvoir azeri est monopolisé par une dictature familiale qui se passe de père en fils. Ilham Aliyev est un allié inconditionnel du Turc Erdogan. Actuellement, il fait de la propagande antifrançaise parce qu’il ne supporte pas que la France soutienne le peuple arménien dans sa survie.

Tous les commentateurs auraient dû relever que le nouveau gouvernement est composé de nombreux sarkozystes. C’est donc par Sarkozy que Macron débauche au sein des Républicains. C’est par Hollande et Attali qu’il est arrivé dans les arcanes du pouvoir, donc par les socialistes qu’il les a décimés. Comment va-t-il procéder avec le rassemblement national ?

Les promesses vont se multiplier, avec plusieurs objectifs dans le collimateur de Macron : les Européennes, les élections municipales à Paris et à Marseille, les Présidentielles et les Parlementaires. Il montre, en dehors de Paris, un intérêt appuyé pour Marseille. Macron va encore débaucher ! Il prépare activement son avenir post-élyséen. Il se voit en ludi-magister, maître du jeu politique français voire européen au-delà de son deuxième mandat. L’État de Macronie est le foyer d’un ordre sectaire d’ambitieux qui dirigent un groupe de parasites, mais qui se font également un devoir d’étendre leurs connaissances et leurs prouesses à un jeu politique cynique. Macron se voit en homme responsable de l’administration de ce jeu politique dont lui seul établit les règles. Bien qu’il ait fait ses études en Enarchie, il a passé beaucoup de temps dans le monde de la Finance (meilleur ennemi de Hollande) et, en réfléchissant à ses expériences rothschildiennes, il commence à douter de la valeur à long terme de la vie introvertie que lui et ses fidèles mènent. Il a donc décider d’élargir la Macronie à la Sarkozie par une fusion-acquisition dont l’ancien petit Mozart de la finance est un spécialiste. Il a placé ses défroqués de la droite et de la gauche caviar un peu partout.

Il a évoqué les forces politiques de l’arc républicain à qui il veut proposer une série de rencontres pour déterminer des projets sur lesquels « cheminer ensemble ». Dans un premier temps, chemin faisant, il a exclu les partis qu’il a désigné comme extrêmes : le rassemblement national et les Insoumis. Toutefois cet arc macroniste décoche ses flèches surtout sur les Insoumis et sur Mélenchon. Certains macronistes notoires décernent le label républicain au rassemblement national mais aucun ne l’attribue aux Insoumis. On l’a compris ! En reprenant à son compte des pans de la politique prônée par l’extrême-droite et en commençant par l’immigration, un pas a déjà été franchi hypocritement par Macron. Un allié de Marine Le Pen, Robert Ménard a fait ses offres de service à Macron. Qui au RN va lui emboîter le pas ? De toute façon, si Macron n’arrive pas à débaucher des élus à l’extrême droite, il ira chercher ses électeurs en prônant de nouvelles idées plus xénophobes. Dans sa conférence de presse du 16 janvier, il a fait un clin d’œil du côté d’Eric Zemmour en reprenant à son compte le slogan « Pour que la France reste la France ! »

Macron doit trouver une marionnette pour 2027. Gabriel Attal a déjà les ficelles dans le dos. Le scénario est déjà écrit et n’a pas changé : le vote dit républicain au deuxième tour. Macron compte sur les électeurs et électrices de gauche pour jouer encore les castors après que son clone se retrouve au 2ème tour face à Marine Le Pen, grâce aux débauchages chez les Républicains. Toutefois Sarkozy est à l’orée du bois et Hollande ronge le frein de sa revanche. Dans son arc républicain, Macron risque de faire des mécontents : Edouard Philippe, Darmanin, Gérald Darmanin, François Bayrou, Laurent Wauquiez et d’autres. Si sa flèche présidentielle est Gabriel Attal, la corde trop tendue risque de casser. Gérald Darmanin a déjà jeté un pavé dans la mare ! Dans un entretien au Figaro, le ministre de l’Intérieur a ouvert la voie à son départ, laissant entendre que l’actuel gouvernement n’avait pas vocation à durer au-delà des élections européennes.

Macron a voulu hystériser ses ministres. Il leur a dit qu’il ne voulait pas des gestionnaires mais des révolutionnaires. Ils devront se comporter en bons soldats de l’An II. Cette référence à la Révolution française est une provocation de plus. Il a invoqué d'ailleurs "l'esprit de 2017" devant ses ministres, comme en écho à "Révolution", son livre-programme avant sa première élection. Macron s’est servi de sa jeunesse et maintenant se sert de celle de son 1er ministre, pour faire une politique réactionnaire sous le symbole de la révolution qui est celui de la jeunesse et de l’audace. Il a toujours pris un malin plaisir à détourner tous les symboles de la gauche et de la république. Il a même parler de réarmement et de régénérescence, alors qu’il désarme les salariés et la fonction publique. Il n’a cessé de faire dégénérer la classe politique tout en alimentant le « tous pourris ».

Macron a mis la barre « à tribord toute » ! Sur le bateau ivre élyséen, il a promu un mousse au rang de second de bord… Arrêtons là cette métaphore maritime ! Nous n’avons plus envie de rire tant Macron dévalorise tout et n’a qu’une culture, celle de l’entreprise. Il a entrepris la casse des acquis sociaux et méprise la fonction publique. Il ne veut pas partager son jouet préféré : le pouvoir. Son nouveau premier ministre n’est que son porte-parole et les ministres ont dû accepter d’être des soldats de l’An II du quinquennat. Macron s’amuse avec les références historiques pour les caricaturer, leur enlever leur valeur symbolique, de les détourner à son profit. Non seulement il a démoli les grands partis politiques en jouant sur les ambitions personnelles de chacun mais il a aussi fini de discréditer pour longtemps la classe politique au point où l’abstention aux élections battra encore des records.

Victor Hugo a écrit un poème sur les soldats de l’An II qui se termine ainsi :

La tristesse et la peur leur étaient inconnues.

Ils eussent, sans nul doute, escaladé les nues

Si ces audacieux,

En retournant les yeux dans leur course olympique,

Avaient vu derrière eux la grande République

Montrant du doigt les cieux ! 

Et nous rajoutons à l’intention des ministres…

 « La république, ils l’ont dans le dos ! »

 

Rappelons toutefois que Victor Hugo, l’un des plus grands poètes français, a également été un fervent défenseur de la liberté et de la justice. Dans son poème “Ô soldats de l’an deux !”, il rend hommage aux soldats de la Révolution française qui ont combattu pour la liberté et l’égalité contre les monarchies européennes. Le poème est un vibrant appel à la résistance contre l’oppression et l’injustice. Donc les soldats de l’An II mis en poème par Victor Hugo n’ont rien à voir avec Macron et ses ministres. Je ne résiste pas à l’envi de donner un autre extrait :

Ô soldats de l'an deux ! ô guerres ! épopées !

Contre les rois tirant ensemble leurs épées,

Prussiens, Autrichiens,

Contre toutes les Tyrs et toutes les Sodomes,

Contre le czar du nord, contre ce chasseur d'hommes

Suivi de tous ses chiens,

Contre toute l'Europe avec ses capitaines,

Avec ses fantassins couvrant au loin les plaines,

Avec ses cavaliers,

Tout entière debout comme une hydre vivante,

Ils chantaient, ils allaient, l'âme sans épouvante

Et les pieds sans souliers !

Nous avons retrouvé un vieil article dans Mediapart qui s’intitule « O Soldat de l’An II ». Oh surprise ! L’article date de 2013 et porte sur un discours de Hollande, étant précisé que le journaliste en optant pour un seul soldat a voulu désigner ironiquement François Hollande qui avait évoqué « l’An II de son quinquennat » avant Macron. Macron a donc piqué l’idée pour détourner le symbole de la Révolution française et l’utilisé pour la régression sociale qu’il mène depuis 2017. Les ministres révolutionnaires de Macron ont des souliers cloutés et des ficelles dans l dos. La seule guerre que leur promet leur gourou élyséen est celle contre les acquis sociaux et les services publics.

Macron est un fondu de com ! Il ne pense qu'à ça. Le 16 janvier, il a voulu une conférence gaullienne jusque dans le moindre détail tout en lorgnant du côté des électeurs de l'extrême-droite : politique nataliste, Marseillaise et uniforme à l’école, Service national universel, soutien à Depardieu réaffirmé, clin d’œil à Zemmour en reprenant un de ses slogan, rhétorique belliqueuse…

Macron joue le grand manipulateur avec une jubilation visible. C'est son mépris qui transparaît. Son discours pue la naphtaline réactionnaire. Il a fait du 1er ministre et des ministres des figurants et de la politique une scène de théâtre où il rejoue sans cesse la comédie du langage. Une conférence qui puait la mise en scène avec les chiens de garde notoires. Les questions étaient sans doute convenues. Les journalistes indépendants ont été réduits au silence. Nous assistons ensuite au SAV sur les chaines patronales de la télévision. Dans un article pour ses abonnés, Mediapart pose ses questions en voix off ayant été privé de micro.

Ministre de tout, Président de rien ! Macron ne progresse pas mais régresse. Il dégénère mais ne désarme pas contre les acquis sociaux et le pouvoir d'achat. Un Jupiter sorti du formol avec un discours qui sent la naphtaline !

« Dans un exercice digne de l'ORTF, #Macron enchaîne les poncifs réactionnaires, répète des promesses non tenues et annonce une nouvelle étape de maltraitance sociale. Les Français ne verront pas leurs salaires augmenter. Il n'y aura pas plus de soignants, ni de professeurs. L’électricité sera toujours plus chère. Les franchises médicales vont doubler. Le flot de paroles n’assèchera pas les souffrances du pays.  » Déclarations du député Lfi Bompard.


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2 réactions à cet article    


  • ETTORE ETTORE 18 janvier 19:42

    Mais QUI, pour le croire encore ?

    Il est aussi dépassé, que le tablier de la Mère Denis !

    Il lui reste juste le pouvoir de s’autoriser à mentir, et à embaucher des sbires, qui ont comme seule faculté vitale, celle de vomir des mensonges, assortis à la couleur de ses rejets.

    Penser un seul instant, que cette Hé-Ho-lienne à paroles, puisse développer autre chose qu’un bruit de fond, à évacuer au plus vite, tient juste de l’hypnose !

    Il est planté là ! Raide et sournois, dans un immobilisme décadent ! Et n’existe plus que pas ses messagers, moulés dans la même « glaise jaune » que lui.

    Mais, voilà, cela sent la fin de règne, le vacuum par les égouts de l’histoire !

    Et l’histoire est impitoyable, pour ceux qui la violent si impunément, en croyant écrire tout et son contraire !


    • saint louis 19 janvier 19:17

      https://www.youtube.com/watch?v=R6o3JykqN8c

      Commentaires de Pierre DE GAULLE sur Tocsin, c’est d’un autre niveau politique, d’ailleurs il est actuellement censuré sur les médias mainstream.

      Un face à face entre Macrounet et cet homme de convictions et de prestige serait l’opposition totale entre le réel et l’idéologie démocrate woke US.

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Jean d’Aïtone

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