L’eau sera-t-elle le bien commun le plus précieux du XXIème siècle ?
En ce mois de juin 2023, les zones de sècheresse se sont étendues en France de l’Oise au Var et la question de l’eau a rejailli dans le débat public. La fameuse molécule H2O va-t-elle se raréfier sur nos territoires au point de devenir une ressource à laquelle le commun de l’humanité n’aurait plus qu’un accès limité ?
Des conférences internationales à l’émergence du concept d’empreinte eau, faisant écho à celui d’empreinte carbone, l’eau nous rappelle qu’elle est un élément essentiel de la transition écologique. Dans ce contexte le plan Eau du Président Macron fait sans doute la part trop belle à la sobriété, alors que d’autres projets de société sont possibles.
L’eau élément essentiel de la transition climatique
En 2023 selon l’OCDE, seuls 40 % de la population mondiale ont accès à l’eau potable. Ce chiffre interroge, tant l’usage de l’eau s’est banalisé dans nos sociétés occidentales. Or, cette ressource indispensable à la vie n’est plus un sujet exotique lié aux pays en développement, puisqu’en France, comme dans l’Union européenne (UE), elle est devenue un problème majeur du fait du changement climatique. Selon les prévisions du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), le changement climatique diminuera de 30 à 40 % l'eau douce disponible dans notre pays d’ici 2050. Les Nations unies elles-mêmes se sont saisies du sujet, une conférence sur l’eau à la clef en mars 2023. C’est dire combien le problème devient crucial et combien il exige un traitement international. Le réchauffement climatique multiplie les sécheresses et les pluies diluviennes. Le volume d’eau qui circule au-dessus de nos têtes est en constante augmentation et cela va de pair globalement avec un manque de pluie. Cette eau que les scientifiques qualifient d’eau verte par opposition à l’eau bleue qui représente les rivières, les océans et les lacs ne tombe plus assez souvent, ni sur nos têtes, ni sur nos sols, sinon à coup d’orages ou d’inondations dévastateurs. Elle reste prisonnière des nouvelles rivières atmosphériques dont le cours a été dévié, notamment à cause de la déforestation.
Le cycle hydrologique est profondément bouleversé : les surfaces bétonnées sont trop étendues ou inadaptées pour évacuer les pluies diluviennes, de même que les sols trop secs et les forêts devenues des plantations industrielles, dont les capacités d’absorption du carbone se dégradent de jour en jour. La saison froide devenue plus sèche, les neiges plus rares, la plupart des pays de l’Union européenne (UE) sont en état de stress hydrique, ne-serait-ce qu’en raison de la baisse des cours d’eau et surtout de celle des nappes phréatiques. Le plan Eau du gouvernement propose un imposant train de mesures, qui pourraient certes s’avérer utiles au final, prises une par une et supposant toutes choses égales par ailleurs. Or, on sait bien que ce ne sera pas le cas. Excepté le volet gouvernance (c’est bien la moindre des choses, après les majestueux couacs liés aux réserves ou « bassines »), que l’on peut saluer, tout le reste paraît calqué une fois de plus, sur une étrange méthode.
Pour un projet de société qui soit en rupture avec l'inertie climatique
Cette dernière qui a non seulement fait ses armes ces dernières décennies ; mais, qui semble s’installer ou plutôt s’incruster désormais comme une norme s’appuie sur deux béquilles : d’abord gérer la pénurie, ensuite aborder les questions systémiques ou complexes en mode silo. Pour un grand pays comme la France, qui ne manque guère de talents, qu’ils soient intellectuels ou footballistiques, multiplier les approches de ce type ne manque pas de piquant ! Pour l’efficacité, c’est moins sûr. Le cap fixé à la Nation est ainsi celui des 10 % d'économies d'eau à accomplir d’ici 2030. Voilà qui est dit. Quant aux risques liés à l’eau, la stratégie préconisée est celle de la sobriété, avec force de solutions techniques à l’appui : compteurs intelligents, surveillance, etc. Veolia et Suez ne vont certainement pas rechigner. Après l’Ecowatt pour l’énergie de cet hiver, l’Ecowatt de l'eau est convoqué pour cet été. La sobriété hydrologique succède à la sobriété énergétique pour le bien être de la population. Le plan présidentiel aurait sans doute été mieux inspiré de repenser le système de régie de l’eau, ne serait-ce que celui de la gestion des eaux grises (eaux usées). Les hydro-économes qui limitent à 30 % les économies d’eau ne la rendront certainement pas plus accessible. La réutilisation de l’eau grise pourrait être davantage développée. L’objectif est de récupérer 10 % de ces eaux d’ici 2030. En Israël, ce ne sont pas moins de 90 % des eaux usées qui sont recyclées.
En vérité, le seuil levier qui eût amélioré la situation est bien différent de celui de la sobriété. Repenser un projet de société pour le XXIème siècle en rupture avec l’inertie climatique s’impose. Préserver la vie sur la planète. Réparer les dommages causés par l’homme à la nature. La Commission européenne s’est engagée sur cette voie. Le Pacte vert européen édicte la restauration des dommages infligés à la nature dans l'UE d'ici 2050. La Loi de restauration de la nature obligera les Etats membres à reconstituer les écosystèmes sur 20 % des zones terrestres et maritimes dégradés par la pollution ou l’exploitation intensive d’ici 2030, puis sur 100 % de ces surfaces à l’horizon de 2050. Souhaitons que cette loi soit adoptée, malgré la difficile bataille politique en cours au Parlement européen.
Depuis la COP21, aucun gouvernement français n’a vraiment pris aucune mesure véritablement efficace pour lutter contre le réchauffement climatique. L’eau sera parmi les biens communs les plus précieux à conserver en ce XXIème siècle. Les services urbains en gestion directe de l’eau, tout comme ceux des entreprises, telles que Veolia, La Lyonnaise ou encore Saur auront un rôle à jouer. La puissance publique pourra s’appuyer sur ces fleurons industriels aux compétences internationalement reconnues, en prenant soin de définir les objectifs qui leur seront donnés, ainsi que les coûts de facturation. L’eau est le milieu originel de l’Homme. Sans elle, point de vie sur la terre. A nous de savoir la préserver, si nous voulons maintenir la vie humaine sur la planète bleue pour nous-mêmes, comme pour les générations futures.
80 réactions à cet article
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« les surfaces bétonnées sont trop étendues pour évacuer les pluies diluviennes »
c’est sans doute vrai sur telle ou telle zone urbaine, mais si l’on regarde par le hublot en avion, ou tout simplement si l’on regarde les vues Google Earth du monde (et même de la France), quand même un peu de mal à se convaincre que la surface bétonnée est suffisamment significative pour changer quelque chose au phénomène global
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@lecoindubonsens
Une évidence et nous sommes bien face à une psyop de grande envergure visant à nous faire accepter de nouvelles contraintes et privations car « on ne peut pas faire autrement, vous comprenez... »
Tant qu’il y a des océans et du soleil, il y a de l’évaporation et le cycle naturel de l’eau se poursuit (note : on étudie ça en primaire, mais beaucoup préfèrent le confort du radiateur du fond...) .
Qu’il y ait des variations locales temporaires (à l’échelle de la Terre) est tout à fait possible . Mettre ça sur le dos de l’activité humaine est une fumisterie quand on sait QUI fait détruire les grandes forêts pour alimenter le cycle si juteux de l’obsolescence programmée . -
@Lynwec
mais cette peur du bétonnage (loi SRU 2021 https://www.midilibre.fr/2023/06/27/tout-comprendre-interdiction-de-betonner-pourquoi-la-zero-artificialisation-nette-des-sols-inquiete-11304140.php)une nouvelle grosse bourde inspirée par les écolos après celle du nucléaire,
va nous conduire à être de plus en plus entassé au sein des villes (développement des cages à poules), tout en abandonnant ceux qui habitent en plus plus dispersée (zone verte, zone rouge, zone ... toutes plus liberticides les unes que les autres).Encore une fois, certes il y a parfois des excès de bétonnage, mais renvoyer très loin le balancier de l’autre côté est aussi un excès.
Arriverons nous à trouver un juste milieu de bon sens. -
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@Lynwec
... quand on sait QUI fait détruire
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Ils sont hélas bien humains, ces gus, il faudra bien troiver un moyen de leur faire porter la part de responsabilité qu’ils veulent nous refiler.
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@eau-mission
C’est trop tard....le bourrage de cerveau est en marche pour culpabiliser les innocents de gré ou de force et quoi qu’il en coûte
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@lecoindubonsens
@ « Arriverons nous à trouver un juste milieu de bon sens ».
J’ai de gros doutes sur cette perspective. Dans la paranoïa actuelle centrée sur l’obsession à montrer du doigt la responsabilité de l’humain d’abord dans le domaine climatique.
Une mécanique implacable s’est mise en marche : l’origine anthropique du réchauffement acceptée comme une vérité scientifique, comme dogme, les décideurs politiques sommés de prendre dans l’urgence des mesures drastiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, une opinion manipulée, résignée à la catastrophe inéluctable.
Le matraquage permanent des médias autour de ce « global warming » anthropique sert à tout justifier : les épisodes de canicule, une, inondation inédite, une tornade comme jamais auparavant, des sécheresses dévastatrices de plus en sévères, des ouragans plus puissants que jamais, et même des truffes en baisse et des chenilles processionnaires en plus ! vivrions-nous les débuts de l’apocalypse ! Tout est pain béni pour servir ce dogme.
Un programme de décroissance forcée n’entamerait qu’à peine le réchauffement climatique, qui va se poursuivre avec ses conséquences, quoi qu’il arrive. Beaucoup de scientifiques sensés le répètent.
Cette propagande sur une catastrophe climatique à venir permet de laisser dans l’ombre les catastrophes mondiales bien réelles, catastrophes à la fois humaines et environnementales : les guerres et la faim dans le monde, la pollution des sols, des mers et des rivières (par des composants chimiques plus problématiques que le CO2), l’appauvrissement de la biodiversité,...etc
Bref, on peut constater que l’argument climatique développé par les politiques, une fois de plus, ne sert qu’à justifier des taxes, et favoriser les phénomènes spéculatifs sur la nature, en jouant sur la peur et la culpabilité des citoyens. On peut s’attendre aux mêmes dérives pour l’eau..
Toutes ces croyances en une possibilité de lutter contre la nature relèvent de l’imposture. Prétendre que l’objectivité des informations scientifiques est suffisante aujourd’hui pour mettre tout le monde d’accord sur ce sujet relève d’un scientisme faussement naïf, pour ne pas dire d’un machiavélisme dogmatique.
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@charly10 "Toutes ces croyances en une possibilité de lutter contre la nature relèvent de l’imposture."
Bien sur !
Comment imaginer que l’humain soit responsable du 18eme cycle de réchauffement alors qu’à l’évidence il n’y est pour rien dans les 17 premiers (le dernier date de 15 000 ans, donc bien avant le développement industriel).Bon certains disent que l’humain simplement accélère ce réchauffement.
Admettons ! Certains proposent de limiter l’augmentation à +1 +2 +3 +4°... dans 20 30 50 100 ans (prenez les valeurs qui vous arrangent), mais personne n’imagine que le phénomène ne s’arrête.Alors question que personne ne pose, si l’objectif est juste d’aller moins vite, pourquoi avoir +1 +2 +3 +4°... dans 20 30 50 100 ans est un drame, alors que personne ne se pose la question que faire si cette température n’est atteinte que 20 30 50 100
ou 200 ans plus tard ? Si c’est viable dans 100 ou 200 ans, pourquoi est-ce affreux dans 50 ou 80 ans ?
OK, dans 100 ou 200 ans, nous ne serons plus là, et cela pourrait être une motivation égoïste, mais tout est fait sous le motif « laisser une terre sympa pour nos descendants » = pas cohérent !
Par ailleurs, entendu encore hier sur les médias "c’est dramatique : l’eau de la méditerranée se réchauffe et atteint xx° (j’ai oublié le chiffre exact mais une température inférieure à celle de l’eau aux Antilles et en Polynésie)
Certes un changement de température peut amener des changements dans la faune et la flore, il faut s’adapter (les groendlandais sont enchantés par le réchauffement qui permet de développer pêche et agriculture), mais pourquoi cette même température de l’eau est invivable et dramatique si c’est en France de Nice à
Perpignan, et plutôt sympa et viable depuis toujours si en France à Papeete ou Fort de France ? -
@charlyposte
Quand j’étais à l’école maternelle on m’avait appris qu’il y avait 70% d’eau sur la surface de la terre , on m’aurait menti ?
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@lecoindubonsens
https://fr.wikipedia.org/wiki/Vaison-la-Romaine
la mémoire étant sélective il n’est peut être pas utile d’en rajouter mais quand même un peu https://fr.wikipedia.org/wiki/Artificialisationensuite il n’y pas de doutes que la plupart des commentateurs de AC soient intelligents, cependant être borné et intelligent conduit aux refus des évidences. Certes la foret des Landes n’est pas en risque mais l’ensemble de la cote d’azur une partie du bassin rhodanien la totalité des grandes et moyennes agglo ont canalisé les ruisseau rivières et fleuves qui les traversent entrainant un effet d’accélération des eaux et par manque d’étal des risques aggravés d’inondation dangereuses d’autant que le manque de clairvoyance des élus a permis de construire dans des zones inondables décennales et centennales ce qui a entrainé plus d’un drame et notamment à Faute sur mer Bref quand il pleut faut prendre un parapluie et un zodiac ! -
@charclot
https://fr.wikipedia.org/wiki/Artificialisation desolé -
@lecoindubonsens
En France l’eau était depuis le Moyen-Âge sous la responsabilité du service public des Eaux et Forêts qui étaient responsables de tout le territoire, notamment des rivières, des lacs, des sources et du gibier, c’est Giscard qui a décidé de séparer les eaux des forêt en créant l’ONF qui ne s’occupe plus que de l’exploitation et de la vente du bois des forêts domaniales.
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@charclot "mais l’ensemble de la cote d’azur ... ont canalisé les ruisseau rivières et fleuves«
Certes, comme écrit, il y a quelques excès ici ou là (mais la surface globale bétonnée est négligeable pour justifier une mesure générale)
Toutefois votre exemple »cote d’azur« est »amusant" si l’on regarde le PLUM que la metropole de Nice lance actuellement : application max de la loi SRU, densification des parties urbaines, et plus rien de construit (à terme) dans les habitats dispersés.
Ainsi en caricaturant à peine, s’il restait qqs m2 en ville pour l’écoulement, c’est la fin = béton partout. Mais si un habitant du haut pays à une maison de 100m2 sur un hectare, interdiction d’ajouter un abri voiture de 20m2. Que l’eau de pluie tombée sur 10000m2 s’écoule sur 9900m2 ou 9880m2 change t-il réellement les choses. -
@Joséphine « 70% d’eau sur la surface de la terre »
pour être intellectuellement honnête, c’est le ratio des mers et océans (Superficie des océans : 360 700 000 km2 (70,71 %)
), mais pas lié directement à la quantité d’eau.
https://www.notre-planete.info/terre/chiffres_cle.phpConcernant la quantité d’eau, confirmation que certains l’affirment constante quoi qu’il arrive. Donc aucun risque global de pénurie, mais besoin d’adaptation.
entre autres ...
https://fondation-lamap.org/node/7061et aussi
https://www.consoglobe.com/combien-eau-et-eau-douce-sur-terre-cg -
@Et hop !
« service public des Eaux et Forêts »
ok avec vous, ce serait bien que l’eau appartienne et soit gérée par le collectif (par les citoyens) au lieu d’en laisser la gestion a qqs sociétes dont l’objectif est de verser des dividendes aux actionnaires. -
@lecoindubonsens
Un collectif local de citoyen ne peut pas être responsable des eaux de la Loire, de ses crues, de ses basses eaux, de ses berges, de sa navigation, de sa pollution, de sa faune et de sa flore, de la végétation qui se trouve dans son bassin qui recouvre des dizaines de départements.
La gestion des eaux (fleuves, rivières, ruissellements, lacs, étangs) doit se faire dans son ensemnble, et avec celle des forêts, des haies, c’est-à-dire de la couverture végétales, et forcément à l’échelle nationale car il faut avoir une vision et une action d’ensemble à long terme. La
C’est ce que faisaient les Eaux et Forêts qui existaient déjà au XIIIe siècle.
Elles avaient des juridictions avec une hiérarchie d’officiers, de contrôleurs et d’agents, elles faisaient planter des forêts de feuillus de haute tige, ou de conifères sur les dunes, faisaient assainir des marais, elles donnaient ou refusaient les autorisations pour installer un moulin ou une tannerie polluante ou une retenue, en faisant déjà faire des enquêtes publiques « comodo et incommodo », elles autorisaient et limitaient la pêche, la chasse, s’occupaient de limiter les prédateurs : sangliers, loups. -
« Sans elle (l’eau), point de vie sur la terre. »
Toutefois certains écrivent que l’eau peut changer de forme (glace, liquide, gazeuse) mais que quoi qu’il arrive, sa quantité reste constante sur terre.
Il s’agit donc bien de s’adapter au changement, comme l’humain le fait depuis toujours, sans nécessité de crier à la catastrophe, ni vouloir lutter contre la nature (vouloir changer l’évolution naturelle de la Terre est bien présomptueux).
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@lecoindubonsens
quoi qu’il arrive, sa quantité reste constante sur terre.
Certes mais comme la bombe atomique ce qui compte c’est l’endroit où’s qu’elle tombe -
@charclot « ce qui compte c’est l’endroit où’s qu’elle tombe »
oui, d’ou le besoin bien réel d’adaptation,
alors que la lutte contre la nature et le réchauffement ne sont que prétentions et illusions -
< Repenser un projet de société pour le XXIème siècle en rupture avec l’inertie climatique s’impose. >
Oui.
Il faut d’abord penser aux raisons & règles structurelles qui forment l’architecture de nos sociétés. Il faut ’’penser au-dehors de la nasse’’ !!
L’Occident a ses Principes fondamentaux, et les Valeurs qui les sous-tendent.
Il faut donc remettre en cause le Système du Libéralisme économico-financier, lequel n’est pas remis en cause ni par nos partis de droite comme de gauche ni sérieusement par nos religieux de toutes obédiences.
Tant que nous ne taillons pas dans le corset, nos efforts ne traiteront que les effets des problèmes... jusqu’à l’épuisement total.
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@JPCiron
Enfin... Merci
Le probleme actuel n’est ni lié aux comportements individuels, ni aux habitudes de consommation mais bien au systeme qui en fait des solutions individuellement admissibles. Le probleme c’est pas rouler en bagnole pour aller bosser, c’est les 20000 porte containers geants qui se baladent en permanence pour livrer du bullshit wish à 1.50 eurosUn faux dilemme est un sophisme très fréquent. C’est un raisonnement fallacieux qui consiste, pour résoudre un problème ou expliquer un phénomène, à avancer deux solutions comme si elles étaient les deux seules possibles alors qu’il en existe d’autres qui sont occultées.Ici ca consiste à présenter comme seule alternative de griller comme des saucisses, ou de revenir à la bougie en renoncant au confort moderne (enfin si on est pas blindé, les riches s’en foutent). Mais sans toucher au systeme capitaliste
Alors qu’on pourrait très bien continuer à profiter du confort tout en rationnalisation quelque peu le systeme économique.
Mais ceux qui décident n’y ont pas interet. Alors ce sera dictature ET bougie pour tout le monde -
« tant l’usage de l’eau s’est banalisé dans nos sociétés occidentales »
C’est exact ! Et même banalisation très rapide. Car simplement le temps d’une vie dans nos campagnes de France profonde, j’ai vu mes grands parents
- aller puiser l’eau à la fontaine avec des seau de 10 litres
- récupérer un mince filet d’eau sur l’évier avec un petit tuyau relié à une source
- installer une pompe à main avec une source sous la maison
- bien sur, pas de WC, pas de lavabo, pas de douche ni baignoire
à maintenant, ou les appartements et maisons accueillent de multiples WCs lavabos douches baignoires, voire jacuzzis et piscine.
Et dans le petit village, la fontaine alimentait sans problème tous les habitants venant avec leur seau, mais quelle désillusion pour eux quand elle s’est avérée largement insuffisante après les travaux d’installation de l’eau courante.
La morale : évitons le gâchis, mais ne nous privons pas de l’amélioration des conditions de vie. A nous de trouver le bon compromis avec bon sens.
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@lecoindubonsens
c’est comme demander à un pitbull de lacher son os... Je te laisse faire ! -
@charclot
pourquoi « évitons le gâchis, mais ne nous privons pas de l’amélioration des conditions de vie » est-il « comme demander à un pitbull de lacher son os » ?
je ne comprends pas ... merci de préciser le sens de votre message. -
« En ce mois de juin 2023, les zones de sècheresse se sont étendues en France de l’Oise au Var »
J’ai fait la route du Finistère au Var la semaine dernière et il a plu tout du long donc de quoi parlez vous ? De l’inquiétude de Jean de Florette face à la météo ? Il y avait 40 à 50 mm dans les pluviomètres dans le Poitou et dans le Lyonnais donc c’est très bénéfique pour une seconde quinzaine de juin.
Tant que vous n’analysez pas le climat sous l’angle de l’électrosphère et du géomagnétisme, vous êtes dans le vent sans oublier que les erreurs et mensonges des pontes de la physique aveuglés par leur laïcisme vous empêchent de conclure.
Bref, mieux vaut faire des bébés pour les femmes que de s’épuiser dans les pièges de la pensée que certains ont dressé à moins que vous vouliez qu’on reparle des neutrinos supraluminiques, de l’anomalie pionner et des multiples erreurs d’Einstein. Il n’y a pas de stress hydrique, il y a juste la colère divine face aux prostitutions de la pensée humaine et ça, vous pouvez y réfléchir longtemps, vous ne l’éviterez pas sauf à vous repentir ou vous enterrer très profondément sous terre.
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Chez Veolia & co, que faites-vous des contrôleurs financiers qui surveillent les flux d’énergie monétaire ? Pas mal de communes se sont rendu compte des limites de la délégation de service public.
Mon pseudo, c’est aussi pour rappeler que les alternatives concrètes existent, à côté des rêves de vertu.
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@eau-mission « les alternatives concrètes existent »
Avec vos deux piliers : la toilette sans eau et l’eau hygiénique au robinet.Si l’on peut comprendre votre idée de remplacer l’eau potable actuelle par de l’eau simplement « hygiènique » (si 97% du volume de potable n’est pas bu), avec un circuit parallèle pour l’eau consommable/bue, bon courage pour nous convaincre sur « toilette sans eau »
Mais ok avec vous sur la reprise en mains des circuits d’eau par le collectif, pour ne plus engraisser (via dividendes) des actionnaires inutiles.
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@lecoindubonsens
L’eau potable n’existe plus .
Certes débarrassée des germes par le chlore .
Mais nappes phréatiques truffées de pollution chimique , agroalimentaire et de toutes origines .
Bref du poison à dose moyenne dont les tolérances officielles augmentent en permanence .
Et très difficiles et très chères à traiter .
Les vraies sources sont réservées à la vente en bouteilles plastiques -
@lecoindubonsens
Objection votre honneur, je ne suis pas l’auteur du paradigme exposé sous le lien que j’ai donné. J’affirme que, connaissant un peu le fonctionnement du ministère de l’agriculture, je crois la dame quand elle dit par ailleurs avoir été poussée à la démission pour ne pas s’être soumise aux pratiques maffieuses de ce ministère.
Sur le fond, si on admet que l’impact des molécules de synthèse que nous ingérons est très puissant, il est logique de limiter leur dispersion dans les eaux usées. N’étant pas éliminées dans les stations d’épuration, leurs effets néfastes se dispersent dans la nature.
Savez-vous que la ville de Paris a installé initialement un double réseau d’adduction d’eau ?
Et merci pour les encouragements rapport aux toilettes sèches, il en faut.
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@eau-mission
oui le retour de la poudrette ! -
@charclot
Je me rappelle quand j’étais marmot de voisins qui vidaient religieusement chaque année le trésor de « cabane au fond du jardin » et répartissaient tout cela sur les légumes du jardin.
C’était la poudrette locale avec le parfum en plus. Pour les plus riches, il y avait le guano.En fait toutes les chiottes extérieures étaient conçues pour cela, tout comme il y avait des citernes pour recueillir l’eau de pluie (elles ont été obligatoires sur les plans des maisons neuves pendant pas mal de temps jusque vers 1960).
O tempora, o mores...
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@charclot
Connaissais pas le terme « poudrette », merci. Je me souviens vaguement que Cavanna raconte avoir poussé les charettes de poudrette vers chez les maraîchers parisiens.
En plus de ce que dit @Seth, j’ai connu un village au milieu duquel il y avait une écurie, et aux alentours des jardins familiaux. Le propriétaire de l’écurie n’avait pas à curer les stalles, les jardiniers s’en chargeaient, et laissaient tout bien propre.
Qu’est-ce qui a stoppé ce cycle vertueux et quand ? je ne sais pas trop. Les engrais chimiques en partie, le mode de vie moderne aussi. Je sais que récemment, une entreprise est venue déposer un container pour que le proprio le remplisse, et même ça s’est avéré pas rentable.
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@eau-mission
La merde des poulets était de l’or. La meilleure merde existante, elle allait dans les jardins et sur les fleurs.
Après ils ont pris la manie d’épandre le lisier de cochon, ça s’est gâté, surtout en Bretagne. Avec le parfum en prime.
Il y avait même des déserts où l’on faisait sécher et bruler la merde des animaux. Ça se fait encore en certains endroit où il n’"y a pas de bois.
La merde était une richesse. -
@eau-mission
PS. Tu parle d’écurie ou d’étable ? Il me semble que l’on n’utilisait pas la merde des chevaux qui était trop acide.
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@Seth
C’est l’équilibre azote/carbone qui est à rechercher.
Dans les déjections des cochons il y a trop d’azote. Les cochons devraient vivre sur de la paille (ou des paillis végétaux riches en carbone, comme la paille de miscanthus) pour compenser l’azote qu’ils rejettent à travers les fèces et l’urine. Cela ferait un excellent compost. Mais, malheureusement, le lisier n’est pas enrichi en carbone et c’est la catastrophe. Les « marées vertes » se développent partout où il y a trop d’azote (et d’ammoniac, un dérivé de l’azote)
https://terra-potager.com/comprendre-le-rapport-carbone-azote-et-la-faim-d-azote/
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@Seth
Etant plutôt expert de la fourche que de la bêche, je ne peux qu’affirmer que c’étaient bien des chevaux. Dans l’écurie, on trouve du fumier et pas de la merde compactée. Il y a de plus comme à l’étable une légère pente et des rigoles pour écouler la pisse excédentaire.
Outre l’acidité, le fumier de cheval contient souvent des graines non digérées d’où peuvent éclore des plantes indésirables. Le jardinier laissait donc sa collecte fermenter 6 mois au moins, en la retournant de temps en temps. Dans ma colline, les sangliers se chargent de cette dernière opération. C’est peut-être pour cette raison que le gros tas de fumier amassé en haut de la pente n’a apporté que peu de fertilité.
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@eau-mission
Merci de l’explication. Tout cela est un peu loin et je suis nul de chez nul en bêche et fourche.
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Arrêter de nous bassiner avec le climat , l’impact mondial de la politique française sur climat est de 0,08 % dans le meilleur des cas..... Tous les autres s’en foutent .
Il se déroule en Europe une guerre en Ukraine qui a un impact énorme pour la santé des gens ( les Ukrainiens et les Russes ).
Les bonasses socialistes viennent nous jouer les pleureuses .
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@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
Salut, pas de faute à bonasses ??
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@Géronimo howakhan
si, les konasses -
Je propose en urgence l’arrêt immédiat de la bière, du coca, de l’eau minérale et autant le vin !!! hum
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Je remarque que 100 ans après la création de la FED, rien n’a changé sinon pour le pire
c’est à dire faire payer au plus grand nombre le moindre bien sensé être un besoin commun -
Vous pensiez que le réchauffement climatique était une spécificité terrestre ? On a une mauvaise nouvelle pour vous. La température de la Lune a augmenté de deux degrés entre les années 1970 et aujourd’hui. Une mesure qui vaut pour la surface de la Lune et qui serait encore plus importante en profondeur.
Pareil sur MARS ...
Les humains (et leur pétrole) réchauffent tout le système solaire ??
Les humains sont puissants , mais au dessus c’est le soleil ^^
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@MagicBuster
C’est vrai aussi sur Neptune. Il semblerait en fait qu’il y ait réchauffement sur l’ensemble du système solaire. Ou du moins c ’est ce qui se dit...
Sais pas si Greta est au courant.
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"Pauline Gavrilov est ingénieur-conseil en ESN.
Elle est membre du Parti socialiste et elle est secrétaire fédérale adjointe à l’économie sociale et solidaire de la Fédération de Paris.
Elle anime le collectif Index Orion qui étudie l’élaboration d’un modèle d’économie alternatif. Ce collectif rassemble principalement des scientifiques et des personnalités du secteur privé."
mais vous ne participez jamais aux débats....
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@adeline
Perso je ne lis jamais les socialisses qui sont des gens de droite ultra-libérale. Les personnes sensées ont quitté ce parti (1,75% aux dernières érections pestilentielles).
Quant à leur think tanks n’en parlons pas (il y a think dedans qui veut dire penser et penser est bien au-dessus de leurs possibilités). -
Non..........d’éviter de se faire éliminer par les truands du sommet, que nous avons mis là le sera..
et comme la masse n’existe pas, pas de nous, pas de on, les + salauds qui eux coopèrent pour niquer les autres sont en route vers la victoire sauf si.....
l’inconnu étant ce qui domine....
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@Géronimo howakhan
oops, je n’avais pas vu, socialiste ah mon dieu, pipeau assuré..
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@Géronimo howakhan
l’inconnu étant ce qui domine....ah c’est cela ton exeption, merci maintenant je comprend ce que tu crois comprendre,tu est toujours dans la compétition et tu ne te débarassera jamais de l’inconnu connu qui te domine, alors parle moi de ta vision au lieux de dire de la merde,explique moi les exeptions de cet inconnu connu
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« L’eau sera-t-elle le bien commun le plus précieux du XXIème siècle ? »
Oui, si on persiste à ne pas recycler les eaux de pluie et si on s’obstine à ne pas dessaler l’eau de mer (sans rejeter, au bout du processus, le sel éliminé dans... la mer).
Mais n’est-ce pas le propre de l’homme, que de faire des choses les plus anodines des richesses rares ? De l’eau (qu’il faut de toute façon traiter avant de la consommer), des cailloux brillants ou le l’huile de pierre (hydrocarbures) ?
Le contraire de sage, c’est quoi, crétin, fainéant, ou voleur ?
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L’Institut Tavistock des relations humaines :
"A façonné le déclin moral, spirituel, culturel, politique et économique des États-Unis d’Amérique"
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Des gens comme cela , je les enfermerais dans une pièce nue pendant 20 jrs avec pour seule boisson un petit verre d’eau avec vingt gouttes d’épilobe matin midi et soir . rien d’autre ......
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je me surprend à penser et à culpabiliser lorsqu’il m’arrive parfois de pisser dans la nature, que cette action toute naturelle peut avoir un impact sur , à la fois le changement climatique, l’augmentation du co2, la progression de la sècheresse et des ouragans, la monté des eaux des mers, la fonte des pôles et des glaciers, la monté des extrêmes droatttes, les succès de poutine et de trump, la survenue des virus du covid , des confinements et des vaccins ARNm, et même le basculement au final de l’axe de la terre
j’en tremble encore d’effroi, au point que çà m’a coupé l’envie de pisser
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@vesjem
Remettez vous, la pisse est un excellent engrais par contre les écolos se battent pour interdire le pet. mézoui.
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encore une nana payée à brasser de l’eau
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L’eau sera-t-elle le bien commun le plus précieux du XXIème siècle ?Devant la retraite ?
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Depuis la COP21, aucun gouvernement français n’a vraiment pris aucune mesure véritablement efficace pour lutter contre le réchauffement climatique.
Pendant ce temps Poutine augmente la température et la pollution en bombardant a outrance les ukrainiens, ou sont passés les écolos ? Personne n’a été tagué les tableaux exposés au Kremlin ?
Quand a la cop 21 ce sont les « copains comme cochons » qui en se déplaçant en avion avec leurs milliers de snipers génèrent plus de pollution que toute l’inde et la Chine réunis et en plus ils ne font que brasser de l’air en se disant on se revoit très bientôt pour une sauterie entre amis au frais du mougeon ...
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Les ecolos dans leurs délires...
Les répports tous plus imbécilles les uns que les autres de fonctionaires qui veulent se rendre utile sortent niaiseries sur niaiserie que les béas devant de tels rapports estampillés « sérieux » se gavent comme si c’était la réalité sans réfléchir a un sens critique totalement oublié.
70% de la terre est recouverte d’eau.
Elle est renouvelable, elle est traitable, dessellable, elle est canalisable, pompable sur des milliers de kilomètres.
Les écolos dans leurs délirent ignorent la technologie, la transformation et l’adaptabilité de l’homme..
Les techno-ignorants, les régressifs, l’écologie et le monde de bobo qui sort pas beaucoup.
Vous imaginez Israel et ses déserts ? Pourtant tout le monde a de l’eau.
Incroyable pour les bobos.
Et Las Vegas, il fait 35 degrès toute l’année on arrive a se doucher. Pas possible imaginent les bobos pas sortis de leurs rapports et qui n’ont jamais voyagé.
L’eau n’est absolument pas et n’est pas un problème, le problème c’est la disponiblité de la technologie. Le problème ce sont les ecolos, qui empechent la construction d’aqueducs, de bassines de réserves, des tarés ignorants qui veument donner des leçons et n’ont jamais creusé un puis.
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@Spartacus Lequidam
il était une fois une planète toute bleu...en surface.... Et tout un ensemble de nano particules qui se marient très bien avec h2o et ne sont pas filtrés que se soit par l’évaporation ou l’osmose inverse . Petit à petit les organismes se chargent de poisons divers et avariés, les terres se saturent de poisons venus des émanations d’usine lubrizol par exemple et plein d’autres aventures sympathiques comme la réaction des océans au réchauffement....et son réchauffement qui engendre moult petites morts de ces poissons qui servent de nourriture aux humains
Oui joie gloire et bonheur soit rendus aux incultes et bannissons les scientifiques qui passent la totalité de leurs vies à faire des prélèvements des comparaisons des analyses et autres totalement imbitables et puis on s’en fout tant qu’on a du Ricard madame placard... ! -
@charclot
ah et pour las Vegas c’est alimenté par la récupération des eaux du lac Mead du barrage Hoover t’as qu’à lire ça va faire un peu comme le mer d’Aral... Faut juste voyager un peu pour s’en rendre compte... ! -
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L’eau recouvre 72 % de la surface de la planète terre. Une piste ?
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@Bruno Hubacher
oui mais elle ne représente à peine 1400 millions de km3 contre 1,083 21 × 1012 km3soit une goutte d’eau sur un melon... Et l’eau douce à peine 2,5% de ce volume ... Bref c’est la merde
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@charclot
Oui, j’entend bien, mais l’homme est un être ingénieux, et le dessalement de l’eau de mer, par exemple, cela existe. Mais, c’est toujours la même chose. L’investissement se fait là, où le capital trouve son profit, en l’occurrence dans les domaines de la technologie de surveillance (smartphones) par exemple ou la biotechnologie plutôt que dans ce qui risque d’améliorer concrètement le sort des gens. -
@Bruno Hubacher
oui c’est vrai que le génie humain est là et c’est une partie du problème qui dit génie dit orgueil L’humain a oublié qu’il fait parti d’un tout et qu’il ne trouve plus sa place. Dessaler l’eau de mer entraine tout une mise en œuvre notamment sur le traitement du sel extrait et du traitement de l’eau extraite et de sa qualité et à la vue des siècles passés cela ne présage rien de bon.... On peut survivre dans des conditions extrêmes mais quand il n’y a plus que des conditions extrêmes la survie devient aléatoires. L’extrême capital nous entraine avec lui dans une chute que nous ne pouvons contrôle parce que les organismes de contrôle sont noyautés par les tenants de l’impérialisme. Avec le gâchis, scientifique économique etc etc , que nous avons produit ce sont nos descendants qui vont souffrir et ça c’est dégueulasse -
@charclot
Le subventionnement du GIEC, dont les conclusions flairent la mauvaise foi, n’aurait-il pas pour effet de faire perdurer la main-mise des « croissants » sur nos modes de vie ? La « croissance verte », bof !
Dans la course folle de la science orientée, on peut rêver que de vrais savants arrivent à prédire vraiment le climat, à identifier les interactions fines, et pourquoi pas à utiliser ce vrai savoir pour que le lien précis entre activités humaines et météo soit établi, et serve même à orienter ces activités. On peut rêver, n’est-ce pas, que ce ne soit plus le goût de la compétition (it’s more fun to compete) qui passe avant les autres motivations d’agir ... En tous cas, les vrais savants fantasmés plus haut arrêteraient de servir les maîtres du GIEC.
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@eau-mission
« fleurent », pas « flairent »
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@eau-mission
en fait si tu crais qu’il n’y a que le GIEC faut que tu fasses davantage d’ornithologie, que tu t’intéresses aux glaciologues indépendants qui carottent l’arctique et l’antarctique et que tu sortes un peu de cette jalousie mesquine de ceux qui n’ont pas trouvé en premier... De partout les nouvelles merdiques arrivent et même sans être alarmiste il suffit juste de se poser 1 ou 2 questions et surtout d’y répondre... Dans une dizaine d’années comme notre égoïsme ne va pas changer il n"y aura plus de poissons en mer parce que les températures de l’eau changent https://www.lameteoagricole.net/ tiens remontes sur 20 ans compares faits des graphiques fais le job et après tu causes sinon prends les insultes que tu infliges aux chercheurs et sers te les -
@charclot
Je ne vois pas quelles insultes me servir, à part peut-être d’avoir accepté de gagner ma vie dans un système politico-économique qui part à la dérive.
J’ai parlé du ministère de l’agriculture. J’y ai moins gếné que la dame du site mis en lien plus haut, mais quand même un peu ... Si je transpose au GIEC les techniques tordues du greewashing que j’y ai vues à l’aouvre, est-ce si abusif ? Tu as vu sortir de cette administration des mesures autres que d’affichage ?
Je ne crois pas au diagnostic « CO2 ». Des mesures de bon sens, style arrêter chez nous l’artificialisation des sols, il n’y a pas besoin de regarder la température des océans pour les prendre. Le fait-on ? Non, on concentre toujours plus les productions végétales sur les terres encore fertiles, et les productions animales dans des ateliers de plus en plus denses.
Sue ce forum, la question est posée par Silent Arrow : quel mécanisme mystérieux fait-il du CO2 le principal responsable ? Au niveau thermodynamique, ça reste à prouver. Par contre, comme mesure des activités réellement polluantes, c’est indéniable. Ce n’est pas clair dans une lecture superficielle des rapports du GIEC ou de Jancovici. M’est avis que ce qui se passe réellement dans l’atmosphère, les interactions importantes avec la biosphère, c’est mal modélisé. Quand on objecte que l’activité du manteau sous-marin n’est pas prise en compte, j’ai bien l’impression que c’est vrai.
Alors je ne ferai pas de graphiques qui ne résoudraient pas la question : dans quel sens faut-il voir une relation de cause à effet.
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@eau-mission
quel mécanisme mystérieux fait-il du CO2 le principal responsable ?Premier point l’hadéen et l’archéen composant principal de l’air le carbone avec une atmosphère anoxique
La concentration, du fait de la constitution de la molécule de carbone, premier élément utilisé en pétrochimie et dans les nouvelles technologies, contribue à la réduction de la réfraction des rayons solaires et constituent une couche isolante comme la laine de verre dans les maisons Elle n’est pas étanche et parfaite mais largement suffisante pour changer l’agitation moléculaire de l’atmosphère le mécanisme mystérieux s’appelle effet de serre et est étroitement lié à la capacité du carbone de se constituer en chaines, à l’échèle moléculaire en voile, et lié à une très grande capacité à se combiner avec l’ensemble d’autres éléments.
Deuxième point l’activité sous marine est compensée en très grande partie par la capacité d’absorption des micro organismes végétaux en suspension qui en plus absorbe une grande partie de la production humaine 30% environ.... Le problème est que l’augmentation de CO2 change la composition de l’océan et sa température ce qui a terme ralentira le tapis roulant océanique et perturbera très fortement la reproduction halieutique déjà mis à mal par la surpêche tout en augmentant son acidité... Une augmentation de température de l’ordre de 1% semble négligeable mais c’est ce qui fait la différence entre vivable ou non chez de nombreuses espèces.
troisième point les perturbations atmosphériques. quatrième point l’artificialisation des sols.... etc etc Il y a une littérature trés nombreuse et fondée genre CNRS et autres groupes de recherches de par le monde dont beaucoup sont indépendant et mais certains d’orientation discutable. ça prend des plombes à lire et plus encore à accepter mais au final personne ne reste dans un garage avec une voiture en marche à moins de vouloir se suicider -
@charclot
Le mécanisme n’a rien de mystérieux . C’est la pratique assidue du mensonge qui réalise cet exploit . La comparaison avec un garage vaut ce qu’elle vaut (et je ne dirai pas quoi ici, par courtoisie) : la planète n’est pas un garage, elle abrite de nombreuses formes de vie différentes et des mécanismes naturels qui travaillent à la régulation de tout ce qui s’y « produit » .
Seulement, ça prend du temps, et le temps, c’est de l’argent, et vous m’avez compris...
L’argent...si on peut leur taxer un petit billet « justifié », c’est ça de pris...Mais si vous êtes conscient de la seconde pratique assidue de nos « dirigeants » (et de leurs sponsors cachés), la culpabilisation à outrance, vous comprenez vite tout l’intérêt du message qui consiste à dire que « si tout va mal, c’est votre faute, bétail humain... »
Foutage de gueule et le pire, c’est que visiblement, certains aiment en être victimes...Autre foutage de gueule : « vous allez tous mourir car les non vaccinés sont des assassins.... » Bah non, finalement .
https://nouveau-monde.ca/le-taux-de-deces-covid-des-amish-est-90-fois-plus-faible-que-pour-les-americains-masques-enfermes-injectes/
Tiens, pas de masques, pas de con-confinement, pas de distanciation asociale, pas de poison pfizerien et.... l’hécatombe chez les Amish ? Ah non ! Bien au contraire... -
@Lynwec
la comparaison avec le garage c’est la même que celle de l’eau personne ne boit directement l’eau des chiottes et pourtant au final nous ingérons des substances qui ne peuvent être filtrés de la même manière que nous les rependons dans la nature aux détriments d’espèces endémiques. Pour ce qui est de l’eau je me souviens des ruisseaux des années 70 80 complètement saturés d’eaux usées et autres merdes et qui aujourd’hui sont redevenus propres parce que les pécheurs du dimanche se sont bougés le cul Seulement l’air surtout en très haute altitude ça ne sert à rien à part faire voler les avions ... tiens les navions pour aller faire du tourisme sexuel en Thaïlande et ailleurs c’est trop cool comme les bateaux de tourisme pour les vielles bourgeoises en mal de frissons et toutes ces petites choses si mignonnes qu’ont transportent pour que nos gosses aient de la merde au pied du sapin et le sapin vendu à des intérêts étrangers qu’il faut transporter couper réimporter etc etc... Evidemment comme ce n’est pas interdit parce c’est noootttrrreee projjet de foutre le monde en l’air et tant pis pour nos descendants.... Après c’est qui qui vient parler d’honneur de fierté nationale et tout et tout....
De plus, ton retour à la covid est hors sujet Je men bats le troisième rouleau à gauche des putes qui s’enrichissent sur le dos des gogos j’en ai rien a braire de ceux qui ne font rien Mon allégorie est peut être de la merde mais si on parlait aussi de la merde sa surproduction cette incapacité de mettre les bras dedans tout ce que représente ce mot et son usage entendu ou sous entendu... Le mépris un vrais délice pour tous ceux dont le cerveau est rempli d’autres choses que de courants d’air... Se faire traiter de con par un imbécile est une volupté de fin gourmet (frederic dard les Con) -
@charclot
Où as-tu vu que les molécules de CO2 s’associaient dans l’atmosphère ? Première nouvelle (je ne dis pas que c’est faux). J’en reste à des molécules libres qui ne réfléchissent quasiment rien des ondes électromagnétiques réémises par le sol, et n’absorbent qu’une faible partie de l’énergie transportée par ces ondes, celle qui est comprise dans une bande de fréquence étroite. J’ai cherché en vain des modèles physiques s’opposant à cette théorie microscopique (basée sur les interactions molécule-onde et des chocs entre molécules).
Pour les molécules d’eau, on ne sait pas trop comment elles s’associent pour former des nuages.
Je garde le sentiment que les scientifiques du GIEC font partie d’un schéma de greenwashing dans lequel le souci de préserver les équilibres des éco-systèmes est très secondaire, le premier des soucis étant de préserver la pyramide sociale en place.
Les articles sur le sujet pullulant, j’ai vu passer récemment un truc intéressant : la mesta. Il s’agit de la désertification de grandes zones de l’Espagne, par un enchaînement de phénomènes climùatologiques déclenchés par le surpâturage. Je n’ai pas approfondi pour voir si cet exemple d’influence néfaste de l’homme sur le climat ne serait pas le reflet de la structure sociale locale (les grands d’Espagne n’en ayant rien à foutre des sols de leurs immenses propriétés) mais je parierais que c’est vrai.
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@eau-mission
les couches atmosphériques
les reactions carbonées
raffinage
Bon ça fait longtemps que je ne fais plus de chimie mais c’est rigolo. L’atmosphère est mobile il y a donc transport de matériaux dans les différentes strates qui agissent certaines comme refroidisseurs d’autres comme milieu caloporteur positif De plus les changements de pression et tout ce qui peut être complexe dans les fonctionnements climatiques fait de l’atmosphère le milieu parfait pour créer des nouvelles molécules. L’élévation de hydrométrie et donc des suspensions d’H2o et la très forte attractivité du carbone sur les autres molécules (1 2) le tout dans un espace électromagnétique non neutre favorisent la « chimie sauvage » confer pluies acides. En fait en regardant bien n finit par trouver un ensemble de phénomènes qui combinés ne font qu’aggraver le problème de base, notre voracité...
Désolé je m’arrête j’ai le gamin qui va au Karaté -
@charclot
je me répète souvent mais...
j’habite en bord de mer, près d’un quai gradué, depuis 70 ans, et je N’ai constaté AUCUNE monté de l’eau de mer depuis lors ; peut-être même ai-je remarqué au contraire une infime régression de quelques microns aux plus forts et aux plus faibles coefficients de marées ; et çà me fait bien marrer de lire et d’entendre les élucubrations de bonne foi ou mafieuses des uns et des autres , réchauffistes catastrophiques !
je sais, je sais, çà va venir brusquement ; un jour ou une nuit, on va se réveiller avec les pieds dans l’eau ;
pendant qu’on parle de çà, les glyphoseurs d’agent orange et les fomenteur de révolutions orange font avancer leurs agendas au nez et à la barbe des mougeons
bisous (nourse) appuyés -
Les exploits de la grosse cochonne ....
https://reseauinternational.net/le-fiasco-de-annalena-baerbock-au-bresil/
par le Mouvement de Solidarité ibéro-américain
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a expérimenté un fiasco diplomatique lors de sa visite au Brésil en compagnie de son collègue du ministère du Travail, Hubertus Heil. Outre le fait qu’elle ne s’est pas contentée de déclarations creuses et de platitudes, elle a prononcé un discours désastreux à São Paulo, ce qui a obligé l’ambassade d’Allemagne à Brasilia et Itamaraty à apporter les précisions officielles habituelles sur le fait qu’elle avait été « mal interprétée ».
Tout d’abord, elle n’a pas été reçue par son homologue, le chancelier Mauro Vieira, qui était en déplacement et avait délégué cette tâche à la secrétaire générale d’Itamaraty, Maria Laura da Rocha. La seule autre personne officielle qu’elle a rencontrée est la ministre de l’environnement et du changement climatique, Marina Silva, en compagnie de laquelle elle a exprimé le soutien obligatoire de l’Allemagne à la politique de préservation de la forêt amazonienne.
Quant à l’intention d’influencer un changement dans la position brésilienne de neutralité par rapport au conflit ukrainien, l’échec a été mis en évidence dans l’allocution qui a été prononcée à São Paulo, où elle a tenu un discours à la Fondation Getúlio Vargas. Elle y a feint la condescendance à l’égard de la position du Brésil, mais l’a justifiée par un prétexte qui ne permet pas d’utiliser les adjectifs adéquats pour le qualifier : « Je voudrais dire clairement : je comprends parfaitement que vous, ici en Amérique latine, perceviez la menace de cette guerre différemment de nous en Europe. J’ai entendu partout dans le monde tout d’abord la question suivante ; « où étiez-vous quand nous avions besoin de vous ? » mais aussi « où est vraiment l’Ukraine ? ». Je comprends parfaitement qu’une mère d’Itaquera [un quartier de São Paulo] ou de Campinas dise : « Pour moi, le prix du riz et des haricots au supermarché cette semaine est plus important que ce qui se passe dans un pays situé à 11000 kilomètres » (Sputnik Brésil, 09/06/2023) ».
Dans un commentaire sur la chaîne Arte da Guerra, le capitaine de frégate Robinson Farinazzo (RRm) a déclaré que Baerbock « a quitté le Brésil les mains vides » et a ajouté : « L’Occident a investi 124 milliards de dollars et a mis en place une coalition de 28 pays contre la Russie, envoyant toutes sortes d’armes, de mercenaires, de satellites, et ils ne parviennent toujours pas à résoudre le problème. Et maintenant, ils essaient de rejeter le problème sur le Brésil ? Les problèmes de l’Europe ne sont pas les problèmes du monde. Il faut que ces gens coincés, obtus, le comprennent ».
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@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
oui une grosse cochonne..c’est écrit sur elle....c’est une coconne en fait...comme Macron et autres foutriquets..
et si ces crétins dirigent même comme marionnette, qui sont les plus crétins dès lors ?
mes respects du jours.. -
@Géronimo howakhan
Ces corrompus(es) ont trouvé le moyen de tricher (par l’informatique) lors de leur élection ;
macron, qui s’est ramassé une branlée, au sens propre et au sens figuré, à toutes les élections intermédiaires entre 2017 et 2022, a réussi le tour de passe-passe en passant en tête en 2023, et en ayant comme rivale l’épouvantail attitrée !
Partout où cet individu passe, il est sifflé, hué au point qu’on lui sélectionne à chacune de ses sorties, des spectateurs compatibles ! avec un périmètre de sécurité « sonore et visuel » de 200 m ;
L’insee, à la tête duquel « on » a dû poster des crapules inféodées, a recueilli (pour la 1ère fois et il en sera de même à l’avenir) les comptages de tous les bureaux de vote du pays ; il suffisait alors, par quelques « clics d’ordi » de faire voter des non votants anonymes (pas les votes répertoriés blancs, ni inverser les votes rouges ou bleus) pour charger la barque au détriment du concurrent
Un hold-up parfait qui se répète et qui va se répéter à l’avenirL’électorat crédule n’a plus eu qu’à constater, admettre et entériner avec étonnement cette fausse évidence : les urnes ont parlé « démocratiquement » ; slogan que les merdias se plaisent et se complaisent à répéter en boucle face à toute opposition
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