L’esprit démocratique s’étiole
En août 2018, j'écrivais L'automne de la démocrature ?
Nous sommes à la croisée des chemins de démocrature annoncée.
La Belgique est-elle fatiguée de la démocratie ?
2% des Belges estiment vivre dans une dictature. 51,8% pensent qu'il faut un leader fort sans l'influence d'un Parlement. Fracture entre classes sociales, générations et régions se répercutent sur le politique qui souffre d'un discrédit généralisé maintenant le régime sous tension. Le cordon sanitaire a maintenu l'extrême droite dans les marges et des arguments convainquent du monde même dans la région francophone.
La démocratie est un sujet que j'ai déjà traité sous plusieurs formes en la connectant à d'autres aspects de la société.
Celle-ci esprit durcit son esprit dans les extrêmes par des convictions politiques ou des croyances religieuses.
Tel est l'enquête qui a été menée en 3 semaines par le Vif.
1-3 : La démocratie sous pression
"Certains chiffres ont beau rassurer, ils ne composent parfois que des poisons sucrés, même en appréciant l'étiquette, ils pensent en goûter ne correspond pas à la saveur originale. Un marginal 2.2% des Belges pensent vivre dans une dictature et un ridicule 1.7% considèrent que le moyen le plus efficace de diriger le pays serait un dictateur et 10.4% estiment que notre système doit être supprimé et remplacé par un système plus autoritaire. De grandes puissances mondiales ont basculé dans d'autres formes modernes d'autoritarisme. L'illibéralisme s'installe en Europe et l'extrême-droite gouverne. Les Belges qui aspirent à la dictature, sont peut-être aussi nombreux que ceux qui détestent les frites. Ce désamour cache une batterie de malentendus et de frustrations." commence l'article.
Un retour à Wiki : "Le terme démocratie, du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, combinaison de δῆμος / dêmos, « peuple » (de δαίομαι / daíomai, « distribuer, répartir »), et kratos, « le pouvoir », dérivé du verbe kratein, « commander », désigne à l'origine un régime politique dans lequel tous les citoyens participent aux décisions publiques et à la vie politique de la cité. Ce dispositif s'effectue soit de manière directe en soumettant des décisions au vote à tous les citoyens, soit de manière indirecte par des représentants préalablement désignés, de façon aléatoire ou par élection, pour faire des propositions de loi ou prendre des décisions urgentes. Ce terme désigne aujourd'hui tout système politique dans lequel le peuple est souverain. Par extension, la démocratie peut aussi qualifier une forme de société, la manière de se gouverner qu'adopte une organisation ou encore un système de valeurs".
La démocratie peut donner lieu à des interprétations différentes. L'une concerne la signification concrète de la souveraineté populaire et son application pratique, par exemple selon que la démocratie est directe ou représentative. La seconde sorte de difficulté provient de la diversité des régimes politiques qui se sont revendiqués ou se revendiquent comme démocratie. Pour sortir du premier dilemme, on utilise des critères. Pour résoudre la seconde difficulté, on utilise le dénominateur commun des démocraties, c’est-à-dire les principes qui les distinguent des autres régimes politiques. Le dénominateur commun des démocraties est l’existence d’institutions et de lois qui visent à protéger la population des dérives tyranniques ou dictatoriales que peut exercer une personne ou un groupe quelconque, y compris la majorité. Toute démocratie doit disposer de lois permettant aux citoyens de changer de gouvernement ou de projets politiques légalement, c’est-à-dire sans avoir besoin de recourir à la violence et en respectant les procédures définies par les lois. La distinction entre la notion de « peuple » et de « citoyens » dont les membres du peuple ne sont pas automatiquement des citoyens".
La liberté d'expression, la liberté de la presse sont des points essentiels de la démocratie dans un Etat de droit.
Il ne s'agit pas d'être sécuritaire au point où une parole trop sceptique, trop dubitative, non croyante, dissidente qui utilise des mots autres que celles qui sont autorisées, viennent enrayer le concept de la démocratie au risque de se retrouver derrière les barreaux pendant plusieurs années.
Les citations avec le mot "démocratie" sont très nombreuses.
L'existence de groupes d'opposition qui est en principe le contre-pouvoir, sans coexistence de partis politiques, est peut-être là que le bât blesse.
Comment avoir un pouvoir fort sans être géré par un dictateur ?
La démocratie est un sujet à la crème fouettée.
En Belgique, c'est clairement dit : "pour créer un gouvernement composé de partis élus à la proportionnelle des votes, s'il n'y a pas d'accord sur tout, il n'y a pas d'accord sur rien". C'est le statuquo comme lors de l'élection du pape. Pas de fumée blanche qui sort de la cheminée sacrée et on revote pour souvent obtenir le même bottle neck. L'image de la démocratie se dégrade quand cela dure trop longtemps. L'idée de corruption, que les politiciens ne pensent qu'à leur propre intérêt et que la population n'est pas entendue, vient immédiatement à l'esprit de la population attentiste à voir apparaître des réformes. Le Nord et le Sud de la Belgique, les tranches d'âge, les langues et le niveau d'instruction sont des obstacles qui empêchent de partager les mêmes opinions de comment gérer le pays "Belgique".
Très fragile, la démocratie doit souvent être remise en chantier quand on ne se rend pas compte de ce qu'elle implique en points positifs et négatifs.
Au rayon négatif, une démocratie est souvent plus lente dans l'action que la dictature réduit à un parti unique comme on peut le voir en Chine ou en Russie où les opposants doivent rester clandestins sous peine d'être envoyé en prison.
Si on prend du recul, on a l'air de voir la population à plusieurs vitesses avec une démocratie à la mesure de chaque particulier plutôt que partisane. Manifestations, pétitions et désobéissance civile apparaissent dans le processus de démocratisation souvent sous le chapeau des réseaux sociaux.
La population a-t-elle du temps à consacrer à concrétiser sa démocratie ?
Au travail, c'est difficile et à la retraite, l'envie de participation n'y est pas plus présente.
Les jeunes "révolutionnaires de système" ne se bousculent pas au portillon et les vieux restent attachés aux institutions tout en disant que les politiciens sont incompétents. Désinformation, croyances, racisme, ingérences étrangères, revendications non suivies et peur de demain sapent la base de la démocratie.
Le tirage au sort des élus vient à l'esprit, au petit bonheur la chance.
Désolidariser les rumeurs des vérités factuelles et vérifiables devient de plus en plus difficile.
"L'éducation est l'arme la plus puissante que l'on peut utiliser pour changer le monde", écrivait Mandela. Moins elle est appliquée, plus le sentiment de satisfaction diminue.
Quatre Belges sur dix ne désirent plus le vote obligatoire. Les générations les plus anciennes y sont toujours attachés.
L'ère de le l'algocratie a commencé. Elle sera numérique ou ne sera pas.
La vision de la désinformation, de la manipulation, de l'intoxication, de la polarisation, de la stigmatisation, de la délation, de la déstabilisation, de la suspicion, de l'émotion, du flicage et de la surveillance démultiplie la puissance numérique des pouvoirs législatifs, judiciaires et médiatiques.
En 2005, j'écrivais "Coup de pouce à la Démocratie"dans cette vision alors qu'Internet n'a pas tenu ses promesses de sécurité. Des algorithmes ont été développés dans le but de pirater le cerveau humain en optimisant des intérêts particuliers et le débat politique.
Ce n'est pas de l'IA qu'il faut avoir peur mais des hommes qui l'utilisent.
La menace est réelle si les citoyens renoncent à se gouverner par eux-mêmes.
Le dernier mot sera de tirer la prise.
2-3 : L'Europe en arrière-plan
Le petit parti Chez nous est parrainé par le Vlaamse Belang et le RN.
Des pays comme la Hongrie montre une autre vision de ce que peut être la droite radicale dans une sorte de test de Rorschach, non rongé par la "cancel culture" et l'activisme woke. Le puissant logiciel d'espionnage Pegasus permet de surveiller les journalistes critiques.
Le trumpisme n'est pas mort. Il se régénère progressivement dans un réseau d'amis en mettant, au besoin, la main au portefeuille.
La France a réussi à résister à l'extrême-droite mais des liens se sont tissés avec elle.
La Suède et les Pays Bas ne donnent pas plus de confiance dans un investissement international.
L'extrême-gauche du PTB utilise parfois les mêmes méthodes pour attirer des électeurs. C'est loin d'une maison de verre.
Mais les discours des partis présentent toujours bien et un système paranoïaque.
3-3 : Les communes cherchent des candidats
Les élus ont le blues. Chahutés, quatre mandataires exécutifs sur dix ne désirent plus se représenter aux élections à cause d'un mauvais équilibre entre vies professionnelles et privées.
L'envie n'y est plus. Un maïorat est estimé être payé dix euros de l'heure.
Le lynchage sur les réseaux, l'obligation de répondre à tout projet dans le plus bref délai et leur suivi sont des points difficiles à supporter dans leur management entre le marteau et l'enclume.
C'est un rôle à responsabilités qui comprend les agissements de ses membres.
Revaloriser la fonction dans l'intérêt général. Comment résister quand il s'agit souvent d'intérêts particuliers plaintifs en disant "non" quand la gestion impose des finances qui sont absentes ?
ChatGPT
Question : quel serait le type de démocratie qui serait durable ?
La durabilité d'un système démocratique dépend de plusieurs facteurs, et il n'y a pas de modèle unique qui convienne à tous les pays ou toutes les situations. Cependant, certaines caractéristiques et principes peuvent contribuer à renforcer la durabilité d'une démocratie. Voici quelques éléments clés à prendre en compte :
- La participation citoyenne : Une démocratie durable encourage la participation active des citoyens dans le processus politique. Cela peut inclure des élections libres et équitables, des mécanismes de consultation publique, des référendums, des pétitions, et d'autres moyens pour que les citoyens puissent faire entendre leur voix.
- L'État de droit : Une démocratie durable repose sur le respect de l'État de droit, où les institutions gouvernementales sont soumises à des lois justes et équitables. Cela garantit que personne n'est au-dessus de la loi et que les droits fondamentaux des citoyens sont protégés.
- Séparation des pouvoirs : Une séparation claire des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire est essentielle pour éviter la concentration excessive de pouvoir entre les mains d'un seul organe. Cela permet de garantir une vérification et un équilibre entre les différentes branches du gouvernement.
- Liberté de la presse : Une presse libre et indépendante est cruciale pour informer les citoyens et surveiller le gouvernement. Une démocratie durable protège la liberté d'expression et la liberté de la presse.
- Protection des droits de l'homme : Une démocratie durable respecte et protège les droits de l'homme fondamentaux, y compris l'égalité, la liberté d'expression, la liberté de culte, la non-discrimination, etc.
- Éducation civique : Une population bien éduquée sur les principes démocratiques est essentielle pour la durabilité de la démocratie. Les citoyens doivent être informés, critiques et engagés dans le processus démocratique.
- Lutte contre la corruption : La corruption peut saper la confiance du public dans le gouvernement. Une démocratie durable met en place des mécanismes efficaces pour lutter contre la corruption et promouvoir la transparence.
- Système électoral adapté : Le système électoral doit être conçu de manière à représenter au mieux la diversité des opinions et des intérêts de la population. Différents pays optent pour différents systèmes, tels que le scrutin majoritaire, le scrutin proportionnel, etc.
- Inclusion et diversité : Une démocratie durable reconnaît et respecte la diversité de la société, en encourageant l'inclusion des minorités et en protégeant leurs droits.
- Adaptabilité : Les systèmes démocratiques doivent être capables de s'adapter aux évolutions de la société, aux crises et aux défis nouveaux.
Il est important de noter que chaque pays a ses propres besoins et sa propre histoire, ce qui signifie qu'il n'existe pas de modèle unique de démocratie durable. Les principes fondamentaux demeurent les mêmes, mais la manière dont ils sont mis en œuvre peut varier en fonction des circonstances locales.
L'Intelligence artificielle pourrait-elle apporter une aide en justice
?
Réflexions du Miroir
En 1960, JFK dans son discours d'allocution de président disait comme un slogan « Vous qui, comme moi, êtes Américains, ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. Vous qui, comme moi, êtes citoyens du monde, ne vous demandez pas ce que les États-Unis peuvent faire pour le monde, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour le monde. ».
Deux clans se font face : les "any where" qui voient leur intérêt dans la mondialisation et les "some where" qui voient leur intérêt dans la fermeture des frontières.
Au Portugal, un pays dans lequel on se sent bien physiquement, on en part quand on n'est pas bien financièrement
.
Il est amusant de lire "Ce n'est pas factuel" (entre parenthèses : tu n'es pas assez célèbre pour avoir une telle opinion factuelle).
Cela ne marche plus ainsi. Internet a décollé sur les chapeaux de roues. Tout le monde du bas en haut de la hiérarchie, il faut y attacher une écoute attentive.
Le principe factuel est de répondre à tous commentaires point par point des généralités aux détails en ne sautant aucun élément qui dérangerait.
Les coulisses du pouvoir de Bertrand Henne
La France est-elle décliniste ?
Tout va dans le même sens pour correspondre à l'ambiance anxiogène dans laquelle nous sommes entrés bien malgré nous. Les Trente glorieuses sont loin.
C'est vrai qu'il y a un besoin de références pour répondre aux problèmes de notre temps quand on ne voit plus la sortie des problèmes.
La majorité des gens ne cherche pas les réponses aux problèmes en eux-mêmes pour se sécuriser.
Ils vont la rechercher dans leurs supérieures hiérarchiques ou dans les croyances religieuses.
Est-ce par la propagande autour de la personnalité de Poutine que l'on a créé des fanas de l'autorité ?
Tout semble bien fonctionner en Russie. Oui, mais...
Le Frussien dont j'ai parlé continue à chercher recruter des Français pour aller habiter en Russie. Il ne dit pas pourquoi et qui le paye pour faire le chasseur de têtes. Son dernier mail reçu parle de cinq livres qu'il conseille de lire pour expliquer la Russie.
Les cinq parlent de l'aspect de la Russie historique sauf un, celui de Hélène Carrère d’Encausse, « La Russie entre deux mondes » publié en 2010 avec le monde vu de Russie.
J'en avais déjà parlé pour commencer le billet "La Russie, un pays à la mode ?"
Hélène Carrère d'Encausse, d'origine géorgienne, est morte le 5 août 2023. Elle est la seule qui a donné son sentiment depuis l'attaque de l'Ukraine en évoluant son discours en fonction des événements.
Bon, si je dis que la Russie actuelle est démocratique, c'est que j'oublie quelques principes essentiels.
Souvent, en démocratie, on n'est pas d'accord avec nos élus qui ont l'habitude de dire "faites ce que je dis, mais pas ce que je fais".
Les voyages en avions sont un sujet de discussion à prendre en considération.
Les riches ne sont pas bien vus. Leurs richesses ne sont pas que financières, morales et politiques. Poutine les dépasse tous...
La justice en question
Tout évolue, même les idées en fonction des circonstances évolutives de l'actualité. Peut-être pas assez rapidement pour l'opinion publique.
Il faut parfois mordre sur sa chique et faire amende honorable quand on se trompe entre les prédateurs et les proies même si les proies peuvent devenir elles-mêmes prédatrices dans d'autres circonstances.
L'affaire de l'attentat de deux suédois à Bruxelles a poussé notre Ministre de la Justice à la destitution et laissé des places vacantes à des débats interminables pour savoir s'il s'agissait d'une faute individuelle ou des dysfonctionnements du système judiciaire belge en entier.
Le 2 novembre, nous fêtons les morts
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A ce sujet, j'avais écrit en 2007 "Point mort " et en 2009, "L'après "Point mort"
A cette occasion, je me suis à nouveau promené dans cet endroit où l'on rencontre le calme, le luxe séculaire des tombes et des monuments, mais sans la voluté. Le cimetière de Bruxelles est une véritable nécropole dont les tombes remontent au 19ème siècle.
En ce début de novembre, on y rencontre des gens plus modestes qui portent des fleurs sous le bras (surtout la veille qui est un jour de congé).
Mais, on y rencontre aussi des monuments avec des mentions comme "Mort pour la patrie" ou des "In Memory of...".
Dimanche, j'apprenais que des Ukrainiens essayaient de quitter l'Ukraine pour ne pas aller à la guerre que l'on appelle déserteurs
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Se battre pour un lopin de terre est toujours une question à se poser. Le conseil de mon grand-père partis à la guerre 14-18 et revenu gazé, a passé comme message de "foutre le camp".
"Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente" chantait Brassens.
La sanction de la dernière justice, c'est perpète et cette mort est très longue vers la fin.
Mais nous sommes en période de guerres à l'Est et au Sud-Est.
Parfois, la géopolitique prend le pas sur la politique pour répondre à des impératifs qui dépassent l'entendement.
La semaine dernière, je parlais "Des âmes animales vs les âmes humaines"
Chez les animaux, la guerre n'existe pas.
On bouffe ou on crève en se faisant bouffer. On ne revendique pas un espace de vie ou un pays. On s'y installe quand il permet de vivre.
Les diasporas s'en sortent sans guerre jusqu'au moment où l'envie de se sédentariser se présente par nationalisme.
Conclusions en pensant aux jours meilleurs
"Laisse-moi dire deux-trois conneries, avant que t'en fasses une
Le problème de la vie c'est qu'il y en a qu'une
On soignera jamais la dépression comme on soigne un rhume Mais dis-toi que tu pourras compter sur moi le temps qu'ça dure Allergique à la vie, les matins sont obscurs Quand tout a un arrière-goût d'déjà vu Les nuits sont mortes, tout le monde t'a abandonné, même la lune Mais la fin du désert se cache peut-être derrière chaque duneTout va s'arranger, c'est faux, je sais qu'tu sais
Des fois j'saurai plus trop quoi dire, mais j'pourrai toujours écouter Tout va pas changer, enfin, sauf si tu l'fais Quand t'as l'désert à traverser, il y a rien à faire sauf d'avancer Rien à faire sauf d'avancerOn en rira quand on l'verra sous un jour meilleur
Jour meilleur, jour meilleur On en rira quand on l'verra sous un jour meilleur Jour meilleur, jour meilleur, jour meilleurComme dans toutes les chansons d'variét' où les meufs sont parties
Comme dans tous les morceaux de rap où tous tes potes t'ont trahi Des fois t'as besoin de soutien, des fois t'as besoin d'un ami Des fois t'as besoin d'avoir la haine, des fois t'as besoin d'un ennemi En vrai, tu peux pas tout contrôler faut que tu l'acceptes Être heureux, c'est comme le reste, faut d'abord apprendre à l'être, je sais Tu vas te coucher en disant "Demain j'le fais" Tu t'réveilles en disant "Demain j'le fais", mon amiJ'ai été responsable d'autres pendant ma vie active. Aujourd'hui, je ne suis responsable que de mon épouse et de moi-même. En 2006, j'écrivais "Au diable, les partis". Je n'ai pas changé d'un iota. Aux élections, je ne peux même pas panacher mes votes sur plusieurs partis.
Alors oui, je m'en fous de toutes conneries humaines qui se font la guerre en permanence. Comme ces Ukrainiens qui désertent, en cas de guerre, je mets les bouts ou les voiles en mécréant de tout.
Que savons-nous sur la psyché humaine
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Je fais partie des alexithymiques avec « une inhabilité à pouvoir faire des connexions entre les émotions et les idées, les pensées, les fantasmes, qui en général les accompagnent ».
A vous de me contredire...
Allusion
(*) autres livres sur la Russie
- « Russie-Occident, une guerre de mille ans : La russophobie de Charlemagne à la crise ukrainienne » écrit par l’excellent Guy Mettan et publié en 2015 qui explique les racines historiques de la haine et de la peur de la Russie
- "Que reste-t-il de notre victoire ? Russie-Occident : le malentendu » de Natalia Narochnitskaya publié en 2008 qui analyse la responsabilité de la philosophie libérale occidentale, dans de nombreux malentendus historiques.
- « Vie quotidienne en Russie au temps du dernier tsar » par Henri Troyat publié en 1959 qui raconte le voyage de Moscou à Kazan d’un Français, Jean Roussel, dans la Russie de 1903
- « Rêves de Russie » par Yasushi Inoué publié en 2005 qui raconte l’histoire vraie d’un équipage japonais qui fait naufrage aux abords d'une île située juste au sud du détroit de Béring au 18ieme siècle. Toute la Russie éternelle y est décrite.
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