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L’obsolescence du capitalisme en question

Un texte attribué partout à Aldous Huxley, auteur du Meilleur des mondes, et à « Extrait de l’obsolescence de l’homme » de Gunther Anders 1956, est en fait celui de Serge Carfantan, philosophe et prof de philo, il date de 2007 (Leçon 163 : Sagesse et révolte). Il circule régulièrement sur les réseaux sociaux car il faut reconnaître qu’il est d’actualité dans un monde où l’individu se voit dépossédé de la maîtrise de son existence et où même les démocraties ne lui permettent pas de jouir de sa liberté puisque tout s’achète et tout se vend, tout est une question d’argent et dépend donc du pouvoir de l’argent. Que peut-on attendre d’un pouvoir politique entre les mains de communicants qui racontent des histoires comme on raconte des contes de fées aux enfants ?

Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.

Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.

On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux et il faut redresser la courbe de la natalité. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.

Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir.

Ce texte attribué partout à Aldous Huxley, auteur du Meilleur des mondes, et à « Extrait de l’obsolescence de l’homme » de Gunther Anders 1956, est en fait celui de Serge Carfantan, philosophe et prof de philo, il date de 2007 (Leçon 163 : Sagesse et révolte). Il circule régulièrement sur les réseaux sociaux car il faut reconnaître qu’il est d’actualité dans un monde où l’individu se voit dépossédé de la maîtrise de son existence et où même les démocraties ne lui permettent pas de jouir de sa liberté puisque tout s’achète et tout se vend, tout est une question d’argent et dépend donc du pouvoir de l’argent.

Que peut-on attendre d’un pouvoir politique entre les mains de communicants qui racontent des histoires comme on raconte des contes de fées aux enfants ? La propagande libérale a pris le nom de « Storytelling » et singe les campagnes publicitaires. Qu’apprend-on d’une presse qui n’est qu’un relai au service des mêmes communicants et qui établit une hiérarchie de l’information non pas en fonction de l’importance des événements mais en privilégiant le people et le fait divers ? Quelle est la qualité d’une information ramenée à des dépêches laconiques sans approfondissement ? Quel crédit peut-on accordé à des campagnes de propagande qui divisent les gens en politiquement corrects et en extrémistes ? Le pouvoir médiatique désigne les gentils et les méchants. Il écoute les gentils et s’acharne à décrédibiliser les méchants quand il ne les exclue pas du paysage audiovisuel. Pour rester dans le système, il faut l’intégrer. Des députés se sont vu exclus de l’arc républicain, sans être interdit de venir dans l’hémicycle.

Nous disposons d’un grand nombre de chaînes télévisées et d’une télécommande mais tous les journaux télévisés balancent les mêmes informations, les mêmes commentaires et on retrouve le plus souvent les mêmes intervenants. Lorsque l’on veut se distraire, on tombe sur des jeux débiles, des concours de cuisiniers et de chanteurs, des émissions de téléréalité ou des séries policières à gogo. Rares sont les chaînes tournées vers la culture. On a fabriqué le téléspectateur de masse et c’est l’audimat qui détermine les programmes proposés en général par les mêmes producteurs et les mêmes animateurs omniprésents jusque sur les radios. Les animateurs sont souvent leurs propres producteurs. On diffuse massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupe les esprits par ce qui est ludique et futile. Les potins et le bashing font recette. L’accès au savoir devient de plus en plus difficile et élitiste. Il suffit de connaître le prix d’un livre, les tarifs des théâtres et des cinémas pour s’en convaincre.

La vision du « meilleur des mondes » que nous a laissée Aldous Huxley prend forme au fil du temps. Nos enfants et nos petits-enfants n’auront connu que cela. On leur met dans les mains des jeux vidéo qu’ils peuvent transporter de partout. Les écrans remplacent la lecture. Ils communiquent par SMS, ce qui réduit le langage à un petit lexique codifié. A l’inculture s’ajoute l’indigence lexicale et grammaticale.

L’information destinée au grand public est anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. C’est pour cela que la légèreté est favorisée plutôt que le sérieux de l’existence. De faux débats sont ouverts sans véritable contradiction pour faire passer la propagande libérale et ses mesures antisociales. Les cibles sont toujours les mêmes : salariés, fonctionnaires, retraités, assurés sociaux…etc. Aujourd’hui, la responsabilité du chômage des jeunes serait celle du Smic. Alors Gabriel Attal a trouvé un nouveau verbe « désmicardiser ». Pascal Lamy et Hubert Védrine, deux personnalités classées par les médias proches des socialistes et de François Hollande avaient lancé l’idée d’un Smic jeune au rabais et le patron du Medef avait bien entendu emboîter le pas. A l’époque Pierre Gattaz n’en était pas à une provocation près. C’était chez lui un réflexe naturel. Même Florence Parisot à qui il avait succédé à la tête du grand patronat, a trouvé que toucher au Smic relevait d’une logique de l’esclavage. Le pas a cependant été franchi avec les abus provoqués par les détachements de travailleurs européens. A Bruxelles, sur un chantier de la Gare du Nord, des ouvriers portugais détachés travaillaient pour 3,4€ l’heure et certains ont déposé plainte car les salaires ne leur étaient pas versés.

Dans un ouvrage Jeremy Rifkin, essayiste américain, a prédit que l'économie mondiale telle que nous la connaissions allait se transformer en profondeur par une société où le capitalisme serait éclipsé par les mouvements collaboratifs et la production à petite échelle. Publié aux Etats-Unis, « The Zéro Marginal Cost Society » reprend des thèmes déjà abordés dans plusieurs livres qui ont rendu Rifkin célèbre, notamment « La Fin du travail » (La Découverte, 1995) et « La Troisième Révolution industrielle » (Les Liens qui Libèrent, 2011). Mais cet énième essai réactualisait ses prédictions passées à la lumière des nouvelles tendances technologiques et sociétales. Selon lui, les nouvelles technologies, en réduisant quasiment à néant les frais de stockage et de distribution, mettent à mal le modèle capitaliste. Le premier exemple qu'il donne est celui de la communication : « Un tiers de l'humanité publie déjà ses propres informations avec des téléphones ou des ordinateurs relativement bon marché, et peut l'échanger sous forme de vidéo, de son et de texte à un coût marginal proche de zéro ». Après avoir bouleversé les médias, Internet toucherait tous les secteurs. L'éducation se transformait déjà grâce aux cours en ligne donnant accès à des professeurs de haut niveau pour un coût quasi nul. Le financement participatif et le microcrédit court-circuitent les acteurs traditionnels de la banque et de la finance. Même l'énergie, secteur capitalistique par excellence, doit s'adapter à un modèle où chaque individu peut devenir à la fois producteur et consommateur, grâce aux énergies renouvelables et aux réseaux intelligents - une thèse déjà au cœur d’un précédent livre de Rifkin et qui a fait de lui un prosélyte très recherché de la transition énergétique, sollicité notamment par la Commission européenne ou la région Nord - Pas-de-Calais.

« The Zero Marginal Cost Society » est allé encore plus loin, en prophétisant que les objets eux-mêmes finiront par avoir un coût marginal quasi nul et que leur production sera, en tout cas partiellement, assurée à l'échelle locale grâce aux progrès de l'impression 3D. On a déjà vu que de petites pièces peuvent être fabriquées à domicile. On vient de découvrir la production d’armes par impression 3D. L'Internet des objets, les énergies renouvelables, les logiciels libres, l'économie sociale et solidaire, l'intelligence artificielle et les imprimantes 3D seraient les facteurs du déclin du capitalisme selon la prospective de Jérémy Rifkin.

On comprend que chacun doit s’interroger sur la société qui se construit ou se détruit sans nous et que nous laisserons aux générations futures en sachant que l’utopie est simplement ce qui n’a pas encore été essayé, comme l’a si justement dit Erich Fried. La politique est la science de la liberté, écrivait Proudhon. Elle peut être aussi un instrument de soumission du plus grand nombre à des oligarques et des dictateurs. C’est notre crédulité qui fait leur pouvoir. « L’argent est un bon serviteur et un mauvais maître ». Alexandre Dumas fils a écrit dans « La dame aux camélias » ce que nous subissons d’un capitalisme qui a établi que l’homme n’était pas fait pour la liberté car il en abuserait. La liberté n’est possible qu’en restant maître de son existence. Le même capitalisme commet des crimes en son nom et corrompt les démocraties. Si on ajoute tous les moyens de fichage et de surveillance utilisés, le concept « Big Brother » n’est plus tout à fait de la science-fiction. Les révélations sur les écoutes de la NSA en sont un exemple dans les esprits. En France, La loi de programmation militaire a été adoptée à l’Assemblée nationale en 2013. C’est un texte qui, outre le budget des armées, comporte un volet Internet qui fait la part belle à la collecte des données personnelles des internautes. Les services de l’État peuvent légalement accéder à ces données sans autorisation préalable d'un juge.

Quel espoir de changer le cours imposé des choses ? « Quand une multitude de petites gens dans une multitude de petits lieux changent une multitude de petites choses, ils peuvent changer la face du monde. » nous enseigne Friedrich Nietzche. A cette croyance entretenue que rien ne peut changer, il faut opposer notre espérance en un monde meilleur opposé à celui d’Huxley qui se fait sans nous. Les idées anciennes ne sont pas des idées progressistes. Le capitalisme n’est pas porteur d’idéologie nouvelle. Il maintient une économie de marché mise sous perfusion. Il lui faut de la sueur et du sang, des esclaves et des guerres. Il n’offre plus les perspectives heureuses dont la propagande ultralibérale entretient l’illusion. 

Que nous dit l’Intelligence artificielle interrogée par Bing ?

Le capitalisme, ce système économique qui a dominé le monde pendant des décennies, est-il en déclin ? Des experts ont examiné cette question sous différents angles. Voici quelques arguments intéressants :

Fin de l’accumulation du capital :

Immanuel Wallerstein, historien et sociologue économiste à l’Université de Yale, prédit que le capitalisme est en voie de disparition. Selon lui, la poursuite incessante de l’accumulation du capital, qui est l’essence même du système capitaliste, est au point mort. Les quasi-monopoles nécessaires pour accumuler suffisamment de capitaux voient leur rentabilité diminuer, ce qui fragilise le système. De plus, l’automatisation et l’informatisation entraînent la perte d’emplois, contribuant au déclin1.

Tensions actuelles :

Le capitalisme français, par exemple, est sous forte tension. La prise de conscience croissante des inégalités entre les élites dirigeantes et les classes populaires met en lumière les fondements scolaires de cette coupure. Cependant, des stratégies se mettent en place au sein des classes dominantes pour résister à cette période difficile dans le cours naturel de la mondialisation23.

L’automation et l’économie stagnante :

Au fil du temps, le capitalisme crée plus d’emplois improductifs, car ils sont plus difficiles à automatiser. Cependant, les salaires de ces travailleurs improductifs réduisent la profitabilité et renforcent la stagnation économique4.

En somme, le capitalisme fait face à des défis majeurs, et son avenir reste sujet à débat. Seule l’histoire nous dira si ces tendances conduiront effectivement à sa fin.

Après avoir prédit la fin du travail et la troisième révolution industrielle, le prospectiviste Jeremy Rifkin n’annonce rien de moins que le déclin du capitalisme, éclipsé par l'Internet des objets et l'économie solidaire.

Benoît Georges dans Les Echos écrivait après sa lecture du livre en 2014 : « On ressort de ce copieux - et souvent passionnant - voyage dans le futur avec un sentiment mitigé. D'un côté, Jeremy Rifkin se laisse parfois emporter par sa vision d'un monde où l'abondance permettra à l'homme de tourner le dos au matérialisme et n'hésite pas à user de raccourcis que les économistes orthodoxes ne manqueront pas de lui reprocher. De l'autre, il a le mérite de parler des technologies sans tomber dans le scientisme, et n'oublie jamais les enjeux éthiques et sociaux. Surtout, il possède un réel talent pour décrypter des tendances émergentes, les mélanger et leur donner du sens en construisant un futur possible et, même par certains aspects, stimulant ».

Présentation de l’essai de Jérémy Rifkin :

L’ère capitaliste est en train de passer – pas rapidement, mais inévitablement. Ironiquement, la disparition du capitalisme n’est pas le fait de forces extérieures hostiles. Au contraire, soutient The Zero Marginal Cost Society, le capitalisme est victime de son propre succès. La concurrence intense entre les secteurs de l’économie oblige à l’introduction de technologies toujours plus nouvelles. L’auteur à succès Jeremy Rifkin explique que cette concurrence augmente la productivité à son point optimal où le coût marginal de production d’unités supplémentaires est presque nul, ce qui rend le produit essentiellement gratuit. À leur tour, les profits se tarissent, la propriété n’a plus de sens et une économie basée sur la rareté cède la place à une économie d’abondance, changeant la nature même de la société. Rifkin décrit comment des centaines de millions de personnes transfèrent déjà des pans entiers de leur vie économique des marchés capitalistes vers des biens communs en réseau mondial. Les « prosommateurs » produisent leurs propres produits d’information, de divertissement, d’énergie verte et d’impression 3D à un coût marginal presque nul, et les partagent via des sites de médias sociaux, des locations, des clubs de redistribution, des réseaux de troc et des coopératives. Pendant ce temps, les étudiants s’inscrivent à des cours en ligne ouverts à tous (MOOC) qui fonctionnent également à un coût marginal proche de zéro. Et de jeunes entrepreneurs sociaux créent des entreprises sensibles à l’environnement, font appel à des capitaux et créent même des monnaies alternatives dans la nouvelle économie partageable. En conséquence, la « valeur d’échange » sur le marché – qui a longtemps été le fondement de notre économie – est de plus en plus remplacée par la « valeur d’usage » sur les biens communs collaboratifs. Dans cette nouvelle ère, l’identité est moins liée à ce que l’on possède qu’à ce que l’on partage. La coopération remplace l’intérêt personnel, l’accès l’emporte sur la propriété, et le réseautage réduit l’autonomie. Rifkin conclut que si le capitalisme sera avec nous pendant au moins le prochain demi-siècle, bien que dans un rôle de plus en plus réduit, il ne sera plus le paradigme dominant. Nous entrons, dit Rifkin, dans un monde au-delà des marchés où nous apprenons à vivre ensemble de manière collaborative et durable dans un monde de plus en plus interdépendant.


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9 réactions à cet article    


  • lecoindubonsens lecoindubonsens 10 février 10:41

    Une proposition :

    • le libéralisme total, la liberté individuelle maximale quand il s’agit d’une petite échelle (sa propre vie, l’épicier du coin, sa petite entreprise, etc.)
    • le communisme, la planification, l’organisation collective quand il s’agit de thèmes qui conditionnent la vie de tous (sécurité, défense, éducation, etc.)

    avec une gestion aussi participative et directe que possible pour définir les grands orientations voulues par les citoyens sur chaque thème,

    et des gestionnaires élus (et révocables) pour appliquer au quotidien toutes ces grandes orientations.


    • Brutus S. Lampion 10 février 11:45

      @lecoindubonsens

      et la propriété ?


    • lecoindubonsens lecoindubonsens 10 février 14:49

      @S. Lampion « et la propriété ? »
      l’humain aimant naturellement « avoir son truc à lui », aucun problème de principe sur la propriété. Chacun acquiert un pouvoir d’achat en contrepartie de sa production (de son travail) et consomme comme bon lui semble (liberté maximale) incluant des acquisitions.


    • amiaplacidus amiaplacidus 10 février 16:32

      @S. Lampion

      Les outils doivent appartenir à ceux qui les utilisent.

      Donc, propriété collective des moyens de production, sous la forme de coopératives de production. Lesquelles coopératives sont dirigées, en autogestion, par les travailleurs.


    • lecoindubonsens lecoindubonsens 10 février 20:18

      @amiaplacidus
      « Lesquelles coopératives sont dirigées, en autogestion, par les travailleurs. »
      sans oublier les consommateurs qui ont quand même leur mot à dire smiley
      bref coopératives sont dirigées

      par les citoyens

      car l’autogestion par les seuls travailleurs n’empêche pas la concurrence stérile, et les abus contre les consommateurs


    • amiaplacidus amiaplacidus 11 février 10:38

      @lecoindubonsens

      Je ne suis pas d’accord avec vous.

      C’est le personnel d’une entreprise de production qui doit gérer cette entreprise.

      Pour les consommateurs, ils doivent créer des coopératives de distribution dans lesquelles seraient gérée conjointement par les travailleurs de cette coopérative et les clients-coopérateurs.


    • lecoindubonsens lecoindubonsens 19 février 18:40

      @amiaplacidus
      Effectivement, pas d’accord avec vous.
      Laisser l’entreprise décider seule, c’est

      • le SMS vendu par Orange 100 fois plus cher que la normale, ce qui génère la création de Free, SFR et BouyguesT = stupide
      • les vols Air France très chers car les pilotes (et +) se surpaient
      • le labo pharma changer la composition de tel ou tel médicament, peu importe l’impact pour le patient
      • etc.

      Des inconvénients que l’on peut éviter si les consommateurs sont associés aux décisions


    • Jean Keim Jean Keim 11 février 08:48

      Un maton passe une partie de sa vie en prison.

      Les exploiteurs influenceurs et les exploités influencés sont dans la même prison, celle des idées, les uns ne sauraient exister sans les autres, toutefois dans ce jeu les premiers ont beaucoup plus à perdre que les deuxièmes.


      • zygzornifle zygzornifle 12 février 08:43

        Un texte attribué partout à Aldous Huxley, auteur du Meilleur des mondes

        Avec Macron c’est le meilleur des immondes ....

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Jean d’Aïtone

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