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Les limites du développement personnel : vous ne pouvez pas vous auto-réparer seul entièrement

L’illusion de l’auto-guérison : quand le développement personnel nie l’inconscient

À l’ère des mantras, des affirmations positives et des « morning routines » sacralisées, il existe une croyance tenace : celle que nous serions, seuls, capables de nous réparer, de nous guérir, de tout comprendre par la seule force de notre volonté et de quelques techniques glanées sur Instagram ou dans un livre de développement personnel.

C’est une belle promesse. Rassurante. Séduisante. Mais aussi... profondément illusoire.

L’inconscient : ce que l’on ne voit pas, mais qui gouverne

Le développement personnel propose souvent des outils efficaces pour améliorer certains aspects de notre quotidien : la gestion du temps, la motivation, les habitudes, la communication. Mais il échoue dès qu’il s’agit de comprendre les racines profondes du mal-être, ces blessures anciennes qui se rejouent inconsciemment, ces conflits intérieurs que l’on ne peut résoudre seul.

 

Car on ne peut pas se révéler à soi-même ce que notre inconscient cache précisément à notre conscience.

 

Et c’est là que réside l’apport irremplaçable du travail thérapeutique, qu’il soit psychologique ou psychanalytique. Contrairement au développement personnel, qui pousse à « optimiser » l’individu pour mieux correspondre aux normes sociales, la démarche psychothérapeutique cherche à comprendre le sujet dans sa complexité, à donner du sens à ses symptômes, à ses blocages, à ses répétitions douloureuses.

La résistance au soin profond

Les coachs en développement personnel – souvent bien intentionnés – évitent rarement de parler en mal des psychologues ou des psychanalystes. Pourquoi ? Parce que ces derniers mettent en lumière les limites d’un système qui vend du rêve sous forme de méthodes toutes faites. Les psys viennent rappeler que la transformation réelle n’est pas un produit rapide, mais un chemin souvent long, inconfortable, et qui demande de la confrontation avec soi-même.

C’est une vérité dérangeante dans un monde où tout doit être immédiat, contrôlable et monétisable.

 

Se libérer… mais pas seul

Bien sûr, il ne s’agit pas de rejeter en bloc tout ce que propose le développement personnel. Il peut accompagner, inspirer, soutenir. Mais il ne peut ni remplacer, ni concurrencer le travail thérapeutique profond, celui qui nous aide à entendre ce que nous ne voulons pas entendre, à voir ce qui nous échappe, à comprendre pourquoi ce qui se répète dans nos vies ne relève pas d’un simple « manque de volonté ».

Nous avons tous besoin, à un moment ou un autre, d’un regard extérieur. Un regard formé, neutre, bienveillant, capable de nous aider à faire émerger une vérité qui nous libère vraiment.

https://www.jeanlucrobert.fr


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14 réactions à cet article    


  • Krokodilo Krokodilo 3 juillet 19:48

    Toute cette mouvance de développement personnel, qui fait vendre plein de bouquins et de stages, de « coaching » d’entreprise, de séminaires, etc. est le fruit d’un courant de psychologie positiviste, né je crois aux USA. Ils profitent du mal-être social ; les meilleurs sont utiles, d’autres profitent de cette soif d’épanouissement, et les pires recrutent pour les sectes ! 

    Les USA et particulièrement les entreprises aiment ce thème car il nie les difficultés sociales, le déterminisme social, la misère, les conflits au travail. Si vous allez mal, si vous ne parvenez pas à devenir millionnaire, ce n’est pas parce que vous êtes né dans un bidonville, que votre père vous battait et que votre mère est alcoolique, que deux de vos frères sont dans des gangs, c’est juste parce que vous n’avez aucune volonté ! Faites un effort, un travail sur vous-même, positivez ! 

    J’avais fait sur AVox la recension d’un bouquin qui m’avait beaucoup apporté, d’un des fondateurs de ce courant positiviste, pas un charlatan mais un clinicien, Vivre.


    • colibri 3 juillet 20:22

      C’est en effet de l’arnaque , c’est superficiel et ne va pas au fond des choses , 

      or on sait que pour se libérer du passé il ne suffit pas de mettre un mouchoir dessus et faire comme si ca n’existait pas , mais le revivre justement , passer par la souffrance et arriver à dépasser cette souffrance , et accepter le réel .

      le passé nous poursuit jusqu’à ce qu’il soit advenu à la conscience , c’est la vérité de l’être , 


      • Gégène Gégène 3 juillet 22:56

        En psychothérapie, 

        si rien ne bouge, c’est normal, ça fermente puissamment à l’intérieur

        si votre état empire, c’est la preuve que ça brasse, donc « ça » travaille

        si vous vous sentez mieux, c’est bien la preuve que c’est efficace, non ?


        • Étirév 4 juillet 08:44

          La connaissance ne peut être acquise que par une compréhension personnelle que l’homme doit trouver seulement en lui-même : « Connais-toi toi-même », disait l’expression inscrite sur le fronton du temple de Delphes ; maxime dont une des variantes modernes se retrouve dans l’investigation du « ko ’ham » ou « Qui suis-je ? » védantique de Ramana Maharshi ou dans le fameux hadîth de la tradition islamique : « Man arafa nafsahu faqad arafa Rabbahu » (« Celui qui se connaît soi-même connaît son Seigneur »).
          Aucun enseignement « conventionnel » n’est capable de donner la connaissance réelle. Sans cette compréhension, dit René Guénon, aucun enseignement ne peut aboutir à un résultat efficace. Et l’enseignement qui n’éveille pas chez celui qui le reçoit une résonance personnelle ne peut procurer aucune sorte de connaissance (« Être ce que l’on connaît ») ; toute vraie connaissance est un ressouvenir. C’est pourquoi Platon dit que « tout ce que l’homme apprend est déjà en lui » et qu’Ibn Sina (Avicenne) exprime ainsi : « Tu te crois un néant et c’est en toi que réside le monde. ».
          Toutes les expériences, toutes les choses extérieures qui l’entourent ne sont pour l’homme qu’une occasion pour l’aider à prendre conscience de ce qu’il a en lui-même. Cet éveil est ce que Platon appelle « anamnésis », ce qui signifie « réminiscence ». Si cela est vrai pour toute connaissance, ce l’est d’autant plus pour une connaissance plus élevée et plus profonde, et quand l’homme avance vers cette connaissance, tous les moyens extérieurs et sensibles deviennent de plus en plus insuffisants jusqu’à perdre finalement toute utilité. S’ils peuvent aider à approcher la sagesse à quelque degré, ils sont impuissants à l’acquérir réellement, quoiqu’une aide extérieure puisse être utile au début, pour préparer l’homme à trouver en lui et par lui-même ce qu’il ne peut trouver ailleurs et particulièrement ce qui est au-dessus du niveau de la connaissance rationnelle. Il faut, pour y atteindre, réaliser certains états qui vont toujours plus profondément dans l’être, vers le Centre qui est symbolisé par le Cœur et où la conscience de l’homme doit être transférée pour le rendre capable d’arriver à la connaissance réelle. « Ainsi, dit Ibn Arabî, il n’y a de Connaissance de la Vérité Suprême provenant de la Vérité même que par le Cœur ; ensuite cette connaissance est reçue par l’Intellect, de la part du Cœur. »
          Ces états qui étaient réalisés dans les Mystères antiques étaient des degrés dans la voie de cette transposition du mental au Cœur.
          Ceux qui se font initier, assure Aristote, apprennent moins quelque chose, qu’ils ne font l’expérience de certaines émotions et ne sont plongés dans un état d’esprit particulier ; « Ne pas apprendre mais éprouver », dit-il à propos des Mystères d’Eleusis ; « Non pas apprendre mais subir la vérité », disent également les moines orthodoxes à propos de l’acquisition des états conduisant à la Réalisation spirituelle.
          C’est ainsi que le Pèlerinage est une figure de l’Initiation, de sorte que le « Pèlerinage en Terre Sainte » est, au sens ésotérique, la même chose que la « Recherche de la Parole perdue » ou la « Queste du Saint Graal » ; expressions qui se rattachent à un symbolisme que l’on retrouve dans presque toutes les traditions, et qui font allusion à quelque chose qui, à partir d’une certaine époque, aurait été perdu ou tout au moins caché, et que l’Initiation doit faire retrouver.
          Julius Evola définit l’Initiation comme une réalisation de la Connaissance au moyen d’une sorte de dessillement, tout comme si, à la suite d’une opération chirurgicale, « l’Œil aveugle », que l’on peut identifier avec l’« Œil de la Connaissance » ou « troisième Œil » de la tradition hindoue, voire aussi l’« Œil du Cœur » (aynul-qalb) de l’ésotérisme islamique, c’est-à-dire « l’Œil de l’Âme » se rouvrait et se mettait à voir.
          « Tu souriras alors, en connaissant si simples, les notions qui te paraissaient si abstruses lorsque tu n’étais qu’un profane, et tu avoueras qu’il n’était pas d’explication possible, avant l’investigation personnelle, destinée à préparer ton esprit à recevoir les semences du vrai. » (E.J. Grillot de Givry, Le Grand Œuvre) Et c’est dans ce sens qu’il est dit que nul ne peut être initié que par soi-même ; « Aide-toi, le ciel t’aidera » nous dit la sagesse populaire.
          C’est pourquoi la Vérité ultime n’est pas quelque chose qui reste à découvrir, mais quelque chose qui reste à être compris par chacun, et chacun doit faire le travail pour lui-même.
          « Tu ne me chercherais pas si tu ne m’avais pas trouvé » dit le Christ aux Paiens ; « Je trouve et ensuite je cherche pourquoi j’ai trouvé » dit Jean Cocteau, à propos de la Gnose (la connaissance première).
          Le discernement du Cœur (apprendre « par le Cœur » et non « par cœur ») permet de séparer la paille et le grain, l’esprit de la lettre. C’est cette faculté de l’âme qui donne le sens des « causes premières ».
          NB : La Solitude ou le goût irrésistible de la Liberté
          Dans « Les Sept Tours du Diable », Jean-Marc Allemand rappelle que René Guénon signa certains de ses écrits de ses initiales A.W.Y. soit respectivement les trois lettres arabes « Alif », « Wâw », « Yâ’ ». La lettre « Alif » a pour valeur 1, le nombre de l’Unité. « Sache, dit le Cheikh Ibn ’Atâ’ Allah al-Iskandarî (dans son Traité sur le nom d’Allah), que celui à qui est dévoilée la connaissance du secret du Alif et qui se réalise par lui, a été gratifié de la connaissance du secret de la réalisation de l’Unicité ; il accède ainsi à la station de la connaissance du secret de la solitude (Wahda) de l’Unité ».
          N’oublions pas, rappelle encore J.-M. Allemand, que la réalisation initiatique de René Guénon est celle des Afrâd (les solitaires).
          « L’homme de l’initiation doit s’arracher du monde, obstacle à la réflexion qui empêche la spéculation de l’absolu en lui », écrit Solange Sudarskis (« La Solitude du nombre 1 »).
          « Seuls les solitaires ont accès au Royaume », disait Guillaume de St Thierry au XIIe siècle.
          Cet enseignement peut être retrouvé dans les textes et catégories de pensée qui évoquent le thème du « désert » et de la « quête », thème qui apparaît dans la plupart des religions et traditions initiantes.
          Ce que l’on peut retenir dans ces hiéro-histoires, c’est que le désert permet un temps sacro-saint, où s’accomplit l’expérience religieuse ou mystique, où s’abolit la différence du saint et du sacré. C’est un mouvement par lequel l’homme en se recueillant au « désert », s’élève à la transcendance (souvent appelée Dieu ou le divin). Dans sa quête, le désert est l’épreuve et le lieu du combat contre le principe du Mal. En ce sens c’est un lieu de passage : se quitter soi-même, abandonner son moi superficiel pour trouver son Soi. Il est comme un centre de labyrinthe où se vivra aussi l’expérience fécondante de la solitude et des combats. Mais cette solitude, cet esseulement n’est jamais le lieu où doit se fixer définitivement l’initié.
          Le désert, lieu où la quête ne s’y achève pas, conduit à une deuxième naissance, celle de toutes les « terres promises ».

          La Solitude s’avère le contraire de l’égocentrisme, du repliement sur soi et de la revendication pour sa petite personne. Le véritable Solitaire se passe de témoins, de courtisans et de disciples. Le Solitaire sait qu’il a beaucoup à apprendre alors que la plupart ne cherchent qu’à enseigner, à avoir des disciples. Il lit, écoute, réfléchit, mûrit ses pensées comme ses sentiments. En cet état, il pèse le moins possible sur autrui : il ne cherche pas, au moindre désagrément, une oreille où déverser ses plaintes, il ne rend pas l’autre responsable de ses faiblesses et de ses incompétences, il ne peut exercer sur personne un chantage affectif.
          La solitude, comme l’humilité, est bien une école de respect de l’autre et de maitrise de soi.
          Blog


          • Gollum Gollum 4 juillet 09:44

            @Étirév

            Le Solitaire sait qu’il a beaucoup à apprendre alors que la plupart ne cherchent qu’à enseigner, à avoir des disciples.

            Oui on sent, en effet, que vous ne cherchez pas de disciples... Vous êtes là, sur ce site de has-been, par pure compassion et désintéressement spirituel...


          • Traduction du livre du Dr Bryan Ardis « Au-delà des mensonges COVID-19 », 4ème et dernière partie : COVID-19, protéine spike = venin / peptide, le crime, la technologie et les remèdes à court et long termes pour sauver des millions de gens en souffrance


            Chapitre 14 : Le COVID long reflète les effets secondaires à long terme du venin de serpent

            En 2024, un comité a publié un résumé des effets secondaires de ce qui est appelé le “COVID long”. Ce document fait 242 pages. (NdT : copie de la couverture p.245). Je vais le résumer ici. Je n’ai jamais présenté cette information auparavant et il ne fait aucun doute que vous serez estomaqué à la lecture des quelques pages qui suivent.

            Il a des centaines de milliers, voire des millions de personnes, qui souffrent toujours aujourd’hui de ces symptômes qui débutèrent lors de la pandémie COVID-19. Beaucoup de gens rapportent que ces symptômes de fait empirent avec le temps et qu’il n’y a aucun soulagement en vue.

            La chose la plus incroyable est qu’alors même que j’écris ces lignes, la médecine ne peut toujours pas expliquer ces symptômes de longue durée. Pourquoi la médecine cale t’elle, je vais vous montrer par ma recherche la cause de non pas 50% de ces problèmes de santé, mais je peux les expliquer tous à 100% !

            Les agences de santé se sont accordées pour nommer ces effets le “COVID long”.

            La définition du CDC : “Le COVID long peut inclure une grande variété de symptômes récurrents et de conditions qui peuvent durer des semaines, des mois et même des années.

            https://www.quebecnouvelles.com/traduction-du-livre-du-dr-bryan-ardis-au-dela-des-mensonges-covid-19-3eme-partie-venins-de-serpent-p-1061807.html


            • @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
              suite../

              Chapitre 9 : un vaccin antiviral qui ne contient aucun virus

              Les “vaccins” à ARNm contre la COVID-19 ne contiennent aucun virus SRAS-CoV-2, Le NIH l’a complètement admis dans cette déclaration :

              “Les vaccins ARNm ne contiennent pas de virus SRAS-cOv-2, vous ne pouvez donc pas contracter la COVID-19 d’un vaccin ARNm.”

              http://www.genome.gov/about-genomics/fact-sheets/Understanding-COVID-19-mRNA-Vaccines

              Cela m’a effaré la première fois que je l’ai lu. Parce que si c’est vrai… Alors qu’y a t’il exactement dans ces injections ?

              Vient ensuite une phrase tirée directement du document du NIH afin de vous aider à comprendre ce pour quoi sont fait les vaccins.

              “Les vaccins à ARNm injecte les cellules (dans votre corps) avec des instructions pour générer une protéine (spike), qui est normalement trouvée à la surface du virus SRAS-CoV-2, qui cause la maladie de la COVID-19.”

              Ils ont dit au monde entier qu’un virus tuait du monde et que tout le monde sur la planète avait besoin d’un vaccin pour se protéger du dit virus. Mais ils ne vaccinèrent personne contre le virus qui était supposé être une menace. D’après la citation du NIH, ils injectaient les humains avec des instructions génétiques de produire la protéine spike supposément trouvée sur la surface du virus.

              Vous avez du maintenant saisir le concept que les gouvernements du monde étaient absolument décidés de nous gaver de ce vaccin et d’en bourrer nos corps par milliards. […] D’après le document ci-dessus (NdT : capture d’écran p.138), les vaccins à ARNm furent développés sur plusieurs décennies !

              Attendez un peu ! Quelle information la science aurait eu depuis des décennies leur faisant savoir que la protéine de surface du supposé futur virus SRAS-CoV-2 serait la cause de maladie et de souffrance durant une contagion future ?.. Ils ont commencé à travailler sur des vaccins qui “injecteraient des instructions” dans nos cellules, les instruisant de produire les protéines de surface d’un virus, référées comme protéines spike, ce il y a plusieurs décennies.


            • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 5 juillet 19:31

              @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
               
               “Les vaccins ARNm ne contiennent pas de virus SRAS-cOv-2, vous ne pouvez donc pas contracter la COVID-19 d’un vaccin ARNm.”

              — >
              Sauf si on ne sait pas distinguer les effets indésirables d’un covid long.
              Manque de chance, les symptômes d’un covid long sont les mêmes que les effets indésirables. C’est ballot, hein ! Le test PCR ? Même des bananes peuvent s’y révéler positives. Et puis avec une amplification idoine, on arrive à tout.


            • xana 4 juillet 15:44

              La moindre des choses serait d’avoir un peu confiance en soi. Mais cela me fait pas vendre des livres ni du coaching (ou n’importe quel mot à la mode).

              Ici vous vous adressez à des gens qui se trouvent très heureux de se plaindre d’être les « victimes » et ne cherchent surtout pas à se prendre en main eux-mêmes. C’est très « à la mode » surtout avec le « peuple ouin-ouin » qui règne en Occident de nos jours.

              Ce n’est pas de « victimes » geignantes que l’humanité a besoin, mais de personnes à forte personnalité, votre public est donc destiné à pourrir dans les poubelles de l’histoire.


              • Jean Keim Jean Keim 5 juillet 06:39

                Quelque chose nous attendrait-il ?

                Le temps fait son petit et gros œuvre ; les petits ou gros tracas de santé contrarient l’harmonie du corps ; des savoirs, souvent bien inutiles, encombrent nos mémoires, il ne s’agit plus simplement de lutter, mais de se laisser porter par le mouvement de la Vie et son incroyable énergie ; religieux, athées, philosophes, ou sans credo particulier, nous avons tous le même rendez-vous.


                • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 5 juillet 09:59

                  Est-ce qu’on peut se déconstruire seul ?

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