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Montrons du respect aux reptiles en cette année du serpent

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Selon l’astrologie chinoise, 2025 marque « l’année du serpent ». Les 12 prochains mois seraient ainsi notre chance d’adopter l’énergie sage et intuitive du serpent et son talent pour la transformation. Outre la croissance personnelle, il existe de nombreuses raisons de célébrer les serpents, et la meilleure façon de le faire est de réfléchir à la manière dont notre société peut être incroyablement cruelle envers eux et de commencer à leur montrer un peu de compassion.

Les serpents font partie des animaux les plus incompris. Même les espèces les plus redoutées, comme les mambas, attaquent rarement les humains à moins d’être provoquées, et les gens sont souvent surpris d’apprendre à quel point les serpents peuvent être sensibles. Par exemple, les pythons sont des parents aimants, tandis que les crotales sont sociaux et plus calmes en présence de leurs amis. Bien qu'ils ne soient pas les impitoyables chasseurs d’humains comme nous veut le faire croire certains mythes, les serpents sont des animaux sauvages qui, selon le biologiste, herpétologue et expert en serpents Dr Clifford Warwick, « veulent toujours – et regrettent biologiquement – ​​​​une vie dans la nature », ce qui rend cruel de détenir ces êtres comme animaux de compagnie.

Alors que l'interdiction de la vente de chiens et de chats dans les animaleries est entrée en vigueur en France l’année dernière, la législation exclut de nombreuses autres espèces couramment achetées de manière irréfléchie, dont les reptiles, et la France en garde plus en captivité (environ 2,1 millions) dans des habitations privées que tout autre pays européen. Des serpents provenant d'aussi loin que l'Australie sont vendus en magasin et en ligne, sans tenir compte des compétences ou de l'éducation de l'acheteur ni de la façon dont il envisage d'héberger son nouveau compagnon. Certains magasins vendent même des serpents dans de minuscules aquariums en lot, comme s’il s’agissait d’un Happy Meal chez McDonald's, ce qui renforce l'idée absurde selon laquelle les serpents sont des « animaux de compagnie pour débutants » ou qu’ils peuvent être heureux dans un petit espace. On sait que cela est faux, grâce aux avertissements des experts selon lesquels les serpents doivent être capables de s'étirer sur toute leur longueur pour la digestion, la santé musculaire et la réduction du stress.

Tout comme les orques sont misérables dans les delphinariums, les serpents souffrent dans les vivariums de la taille d’une boîte à chaussures dans lesquels certaines personnes les détiennent. Dans leur habitat naturel, selon l’espèce, les serpents chassent, grimpent aux arbres, nagent et creusent sous terre et dans le feuillage – et ils n’aiment pas être manipulés. Comme tous les reptiles, les serpents sont des individus complexes, et le manque de connaissances et de soins spécialisés en captivité fait que 75 % des reptiles « de compagnie » meurent au cours de la première année, selon le Dr Clifford Warwick. D’autres sont abandonnés, parfois à l’extérieur, où ils peuvent être gravement blessés ou mourir.

La chaîne d’approvisionnement des animaux sauvages est cruelle et manque de transparence. Personne ne sait vraiment d'où vient chaque animal, mais une grande partie des serpents vendus sont achetés en gros dans des salons de reptiles géants, où ils sont conservés dans des bacs en plastique si petits qu'ils sont à peine capables de bouger. Une enquête de PETA États-Unis sur une usine à reptiles a révélé que des animaux mouraient dans des pièges à glue après avoir tenté de s’échapper et qu’ils étaient privés des nécessités de base comme les lampes UV et l’eau. Sans surprise, on estime que jusqu’à 90 % des reptiles exportés meurent dans l’année qui suit.

Bien sûr, alors que certains magasins français vendent des serpents vivants, d’autres vendent des peaux de serpents morts sous forme d’articles de mode, un commerce pour lequel des serpents sont tués par suffocation ou cloués aux arbres ou suspendus à des crochets, puis découpés de bas en haut et écorchés alors qu'ils sont encore vivants et conscients. Que vous croyiez ou non à l’astrologie chinoise, vous pouvez toujours faire de chaque année l’année du serpent simplement en vous engageant à ne pas acheter de reptile comme animal de compagnie, en n’achetant jamais de peaux exotiques et en écrivant aux marques qui s’obstinent à en vendre.

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34 réactions à cet article    


  • juluch juluch 29 janvier 19:36

    La grande utilités de reptiles dans la nature est bien démontrée.

    Foutons leur la paix.


    • charlyposte charlyposte 30 janvier 11:38

      @juluch
      T’aime pas les souris !!!


    • juluch juluch 30 janvier 12:10

      @charlyposte

      si...aussi....


    • Étirév 30 janvier 07:18

      « Kâna el-insânu hayyatan fil-qidam. » (« L’homme fut serpent autrefois. »), nous rappelle une expression arabe.
      Certains, encore aujourd’hui, parlent de « reptiliens » dirigeant la terre en gardant les humains dans l’ignorance. Un terme, évidemment, à prendre au sens figuré et non au sens propre.
      L’antiquité a donné un grand rôle au serpent.
      Le serpent, animal rampant (ancien emblème de l’homme pervers), symbolise ce qui est bas, lâche, vil.
      Le Serpent est le « Prince de ce Monde ».
      Satan est souvent appelé en grec διάβολος, le détracteur ou l’accusateur, d’où on fait le « Diable ». Dans l’Apocalypse, il s’appelle aussi le « Dragon », le « Serpent » ; on sait que, dans le symbolisme, le dragon c’est l’antiféminisme.
      N’est-ce pas l’Archange Saint-Michel (à figure de Femme) qui, à la fin des temps, doit remporter la victoire finale du Bien sur le mal, en terrassant (c’est-à-dire maîtrisant mais sans le tuer) Satan représenté par un dragon ?
      On représenta par les deux serpents du caducée les deux aspects du pouvoir de l’homme : le Roi, le Prêtre. Ensemble, mêlant la force à la ruse, ils vont torturer l’humanité… serpents qui, entourant la terre, enserrent le monde matériel et humain dans une venimeuse limite.
      Le caducée est un des attributs du dieu Hermès.
      Précisons que « Hermès », est le nom générique des prêtres égyptiens qui sont venus, dans le cours des siècles, jeter le voile du mystère sur toutes les antiques vérités.
      Les dégénérés ont fait du serpent une divinité qu’on adore.
      Le serpent, l’homme vil, a mille noms. Chez les Chinois, c’est Kong-Kong (ou Gong-Gong), à la face d’homme et au corps de serpent, qui détruit l’humanité par ce grand cataclysme moral dont la symbolique a fait un déluge universel, quand on a tout caché sous des allégories.
      Ce soulèvement, provoqué par l’invasion de la barbarie des hommes forts, des brutes, dans le monde régi par des femmes, est devenu une grande inondation parce que, dans le symbolisme antique, on représentait l’Esprit de Vérité par le feu qui brille, par la torche qui éclaire, et l’erreur qui est son contraire par l’eau qui éteint le feu ; l’eau, symbole de l’ignorance qui éteint les lumières, devient le domaine du dieu mâle, Poséidon ou Neptune, et on créé le baptême par l’eau, par opposition à la purification spirituelle par le Feu : en Grèce, on a le déluge d’Ogygès, celui de Deucalion et de Pyrrha ; en Scythie, celui d’un autre Deucalion ; chez les Hindous, celui de Satyavrata ; chez les Mexicains, celui de Coxcox ; chez les habitants de la Floride et les Apaches, celui de Massou ; les Frisons appartiennent à la race « de la chute de l’homme » ou « Déluge de Lao », que quelques symbolistes font remonter à 12.000 ans environ avant le submergement de l’Atlantide ; le déluge des Brahmanes fut appelé Dinapralaya. La légende du déluge universel a inspiré Raphaël qui nous a montré les hommes dans l’eau cherchant à y entraîner les femmes. Donc, à son époque, on savait encore ce que signifie le symbolisme.
      En Egypte, le serpent, symbole du mal et des ténèbres, c’est Apophis, l’adversaire de la grande Déesse Séti (Apophis, en grec, ou Apofis, en égyptien, est une inversion du mot « Sophia », la Sagesse en grec)
      Nous trouvons aussi Typhon chez les Égyptiens (anagramme du « Python » des Grecs, menaçant Léto), qui personnifie les fléaux de la Nature et les maux du corps et de l’âme. Les hommes-serpents sont nombreux en Egypte. On les appelle les 72 conjurés de Typhon. Rappelons que 72 est le nombre de grammairiens ayant révisé les poèmes homériques, œuvres originales de la déesse Hemœra ; c’est également Précisons le nombre de Docteur ayant introduit, deux siècles avant notre ère, la légende du serpent et de la pomme dans la Bible (mais on préféra admettre un nombre rond, 70, d’où la version de la Bible appelée « Version des Septante »). Dans l’original du livre fameux, cette histoire qui n’existe pas, cache, sous un langage équivoque, un épisode se rapportant à la vie sexuelle.
      La Déesse solaire Pasht (Bastet, Bast), à figure de chat, animal aimé par la Femme et tenu en grande vénération dans la ville de Bubaste, veille en écrasant sous sa patte le serpent des ténèbres, l’homme méchant, son éternel ennemi ; cette représentation anticipait la Vierge écrasant la tête du serpent sous son talon.
      En Syrie, c’est Nahash. C’est celui-là qui est le héros de la légende d’Adam et Eve.
      Chez les Perses, le méchant est représenté par le serpent Ophinéus.
      Dans les tablettes chaldéennes, on mentionne le vaisseau d’Ea, Déesse de la mer, qui serre le cou du serpent à sept têtes. Dans les Védas, Indra lui tient la tête basse sous les flots écumants.
      Les Druides représentaient le serpent (l’homme méchant) par Hu.
      Thoth était représentée par la tête d’Ibis, et cet oiseau lui était consacré.
      L’Ibis était un oiseau sacré parce que sa spécialité était de faire la chasse au serpent qui personnifie l’esprit du mal, le mensonge, la fausseté et la ruse.
      D’autres oiseaux sont symboliquement représentés comme ennemis et destructeurs des reptiles : le combat de l’aigle et du serpent se retrouve au Mexique mais aussi dans la tradition indienne, où l’oiseau mythique Garuda, « roi des oiseaux » et « véhicule » de Vishnou, combat contre le Nâga ; Krishna, incarnation de Vishnou, danse sur les sept têtes du Nâga. Les Dravidiens de l’Inde avaient une tradition semblable.
      L’oiseau et son ennemi symbolisent l’opposition entre le Ciel et la Terre, entre l’ange représentant les états supérieurs et le démon assimilé aux états inférieurs, entre le monde céleste et le monde infernal.
      Remarquons néanmoins qu’il existe des exceptions où, sous un aspect bénéfique, le serpent s’unit à l’oiseau, telles que le Quetzalcóatl (serpent « ailé » ou « précieux jumeau ») des anciennes traditions américaines appelé également « Etoile du matin » et « teotecpatl » qui signifie « Pierre divine » (voir l’ouvrage de Edward King, vicomte Kingsborough, Les antiquités du Mexique, vol. VI, p. 100) ou, plus simplement, le serpent « Nâginî », non pas celui des aventures d’Harry Potter, mais celui de la mythologie védique et hindoue, ou encore « Uachet » appelé la « dame de la flamme » en Egypte. Ajoutons encore qu’en cyclologie nous trouvons le « Feu-Serpent », ce qui est le sens du mot sanscrit « Koundalini », un des noms du « Serpent Astral » (principe vital du Monde) ; « Koundalini » est le terme qui sert également à désigner le principe qui, dans l’homme, correspond à ce qu’est le « Serpent Astral » dans le monde.
      Un 25ème degré des Mystères fut créé par des chevaliers qui, étant en Palestine lors des Croisades, avaient trouvé des Israélites captifs des Musulmans et les avaient délivrés. Ceux-ci, en reconnaissance leur firent connaître la tradition du « Serpent d’airain », qui s’était perpétuée en Judée. La révélation de cette tradition qui leur fut faite est l’origine de la fondation de l’Ordre des Templiers.
      Au Louvre, on peut voir Minerve assise et menacée dans sa sagesse et dans sa dignité par des serpents qui s’élèvent autour d’elle.
      Enfin, il y a peu, une expression était également explicite quant à son application concrète qui allait s’avérer extrêmement néfaste pour l’Humanité, telle « le serpent monétaire », ce dispositif économique « venimeux », finalisant, avec la mise en place de la « dette », le traité de Maastricht puis celui de Lisbonne, le monde « orwellien » dans lequel nous sommes aujourd’hui, l’U.E., devenue cette « abomination de la désolation » avec l’aide du Dollar, évidemment.
      Faisons remarquer que le sigle du Dollar n’est pas un « D » mais un « S » comme… « Serpent » ou « Snake », dans sa version US ; ce « S » est barré de deux traits verticaux : n’y aurait-il pas là une allusion à peine voilée aux colonnes du fameux Temple de « S », celui du veau d’or, et à ses non moins fameux « marchands » ?
      Une Vierge viendra qui écrasera la tête du serpent et régénérera la race coupable !


      • Gollum Gollum 30 janvier 10:27

        @Étirév


        le dragon c’est l’antiféminisme.


        Nom de Zeus ! (Zeus qui était une femme bien évidemment) Fallait la trouver celle-là ! smiley


      • Gégène Gégène 30 janvier 10:50

        @Gollum

        « sources »
        comme dirait l’autre smiley


      • Seth 30 janvier 14:31

        @Étirév

        Et l’intérêt de ce catalogue SVP ?


      • SilentArrow 30 janvier 09:05

        Mon chat ramène régulièrement des serpents, parfois venimeux, à la maison et s’amuse à leur foutre des baffes jusqu’à ce que je mette le reptile à la porte et en liberté avec un balai.

        Je n’éprouve pas cette répulsion à la vue ou au toucher d’un serpent que j’ai souvent observés chez d’autres.


        • John John 30 janvier 09:56

          SilentArrow salut !

          « Je n’éprouve pas cette répulsion à la vue ou au toucher d’un serpent que j’ai souvent observés chez d’autres. »

          J"ai remarqué que souvent ceux qui n’éprouvent pas de répulsion à la vue des serpents en éprouvent à la vue des araignées ...

          Je n’ai pas de souci avec les araignées ... Par contre les serpents même inoffensifs comme les couleuvres me font souvent bondir quand ils me surprennent ... J’ai vraiment du mal avec les serpents ...  


        • Gollum Gollum 30 janvier 10:25

          @John

          J"ai remarqué que souvent ceux qui n’éprouvent pas de répulsion à la vue des serpents en éprouvent à la vue des araignées ...

          Aucun souci ni avec les uns ni avec les autres.. Je conserve les araignées chez moi elles me servent d’attrape-mouches et moustiques...


        • John John 30 janvier 10:44

          Gollum salut !

          Pour les araignées depuis tout petit je suis à leur contact ... Tu sais dans les granges ou dans les hangars il y en a même parfois des balaises ... Dans les fermes elles tisent leurs toiles un peu partout ... Donc à la longue tu n’y fais vraiment plus trop de cas ... Par contre les serpents ben mon petit cerveau n’accroche pas du tout avec eux ... Peut-être qu’en ayant été depuis tout petit plus souvent en contact avec eux j’aurais sûrement moins d’appréhension ...


        • Gollum Gollum 30 janvier 11:10

          @John

          Yep je comprends.. Moi je n’ai jamais eu d’aversion pour les serpents, c’est inné, j’ai même eu un python améthyste autour du bras lors d’une visite d’un pote qui avait un terrarium.. sacrément musclée la bestiole au passage c’est impressionnant.

          Et lors d’un voyage dans une île lointaine, le guide nous montre une grosse araignée qui ne pique jamais.. Je fus le seul du groupe à tenter le contact en la faisant courir le long de mon bras.. smiley

          Pas d’aversion non plus pour les scorpions, je sais qu’il y en a des grands noirs avec lesquels on ne risque rien..

          M’enfin on est des petits joueurs quand on sait que certains plongeurs sont capables de nager juste à côté du grand requin blanc, là j’avoue : respect. smiley


        • Seth 30 janvier 11:30

          @John

          Ya pas beaucoup serpents dans le bled, pour ne pas dire plus du tout.


        • charlyposte charlyposte 30 janvier 12:01

          @Seth
          Les serpents sont à Bruxelles smiley


        • Seth 30 janvier 14:36

          @John

          Perso je hais les serpents. Dans le bled de ma famille maternelle, il n’était pas question de marcher dans les prés sans bottes sinon on se faisait gnaquer à tous les coups. Vipères ou aspics, on avait le choix. Brrrr...


        • JPCiron JPCiron 30 janvier 22:55

          @charlyposte

          Les rats aussi ....


        • John John 31 janvier 08:24

          Salut Seth !

          « Ya pas beaucoup serpents dans le bled, pour ne pas dire plus du tout. »

          Ben j"ai quelques couleuvres qui gravitent autour de la maison ... Puis j’en croise souvent quand je vais dans les bois ... Par contre je n’ai pas souvent vu de vipères par chez moi ...


        • John John 31 janvier 08:30

          Salut Charlyposte !

          « Les serpents sont à Bruxelles »

          Dirigés par une hyène qui leur joue de la flûte et du pipeau ...


        • xana 30 janvier 09:11

          Du wokisme à l’herpétologie ?

          Mme Putois vous ne sembles absolument rien connaître aux serpents, à part la répulsion instinctive des femmes humaines et de leurs cousines femelles chimpanzées.

          Comme tout être vivant sur terre, les serpents ont le droit de vivre leur vie sans être stupidement massacrés par des inbéciles mâles ou femelles. Et de vivre en liberté sans être l’objet d’un commerce comme des curiosités malsaines.

          Comme le dit un autre commentateur, commencez donc par leur foutre la paix.


          • xana 30 janvier 09:16

            Bon, je ne veux pas vous saboter votre article. Vous n’avez probablement rien d’autre à faire pour tenter de vous faire une place comme « journaliste » et de profiter d’une mode passagère.

            L’humanité est pleine de gens comme vous qui parlent de ce qu’ils ne connaissent pas, juste pour se faire du « buzz ». Pour tenter d’exister...


            • Gégène Gégène 30 janvier 10:40

              @xana

              Allons, personne ne veut te faire avaler de couleuvres !


            • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 30 janvier 10:47

              @Gégène
              il passe juste pour « tenter d’exister... » en laissant son venin d’aigri !


            • Gollum Gollum 30 janvier 12:14

              @PaulAndréG (PàG)

              Surtout qu’il fait un contresens monstre en croyant que c’est un pamphlet anti-serpent alors que c’est l’inverse exact.. smiley

              Bon c’est pas la première fois qu’il nous fait le coup hein.. smiley et il recommencera, l’âge sans doute.. smiley


            • xana 1er février 09:20

              @PaulAndréG (PàG)
              Quelle haine tenace... Parce que je t’ai critiqué une fois (je ne me souviens même plus à quelle occasion), j’imagine.
              Tu es vraiment l’illustration de tous ces haineux qui n’ont rien d’autre à faire sur le net que d’y cracher sur ceux qui les dépassent.
              Mais tu ne peux rien faire d’autre, et ca te rend encore plus frustré.
              Allez, PàG, crache encore un peu et va te laver la bouche.


            • xana 1er février 09:31

              @Gégène
              Bien sûr que non. D’ailleurs j’ai déjà mangé des couleuvres quand j’étais gosse, j’ai mangé de tout par principe et pour ne pas mourir idiot.
              Quant à Anissa... Je n’ai rien contre elle, mais je me méfie beaucoup de ces gens qui prennent parti sans comprendre de quoi il est question. En particulier sur les animaux sauvages, avec tous les préjugés que cela comporte.
              De nos jours beaucoup de femmes (et d’hommes) se jettent sur des sujets à la mode, non pas qu’elles aient des choses intéressantes à en dire, mais juste pour « exister » sur le Net. Evidemment elles en ont le droit, mais elles enconbrent inutilement les discussions... C’est juste pour cela que je l’ai prise à partie.


            • ZenZoe ZenZoe 30 janvier 10:21

              Un article comme ça, mettant les serpents à l’honneur, est rare, très rare. Et j’approuve. Fichons-leur la paix, dans leur milieu naturel, ils ont plus peur de nous que nous d’eux, et à raison !


              • xana 1er février 09:12

                @ZenZoe
                Oui, ici vous avez bien raison.
                Les serpents sont tellement mal connus, à cause d’une crainte instinctive qui nous vient de la nuit des temps.
                Tous nos cousins les singes éprouvent la même crainte des serpents, sans doute dans notre passé commun les serpents devaient enlever les jeunes de nos espèces à leur famille.
                Les serpents ne sont pourtant pas les plus dangereux pour les jeunes singes ou les jeunes humains. Bien d’autres dangers les guettent, y compris les guerres incessantes entre adultes.


              • charlyposte charlyposte 30 janvier 10:39

                J’ai une préférence pour le serpent à sornette...tout un programme selon certaines sources ! smiley


                • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 30 janvier 10:45

                  @charlyposte
                  Sources ?!


                • charlyposte charlyposte 30 janvier 10:53

                  @PaulAndréG (PàG)
                  Sources via les politichiens made in France à la retraite smiley


                • Jason Jason 30 janvier 15:44

                  @charlyposte

                  Certains disent qu’ils ont un cerveau de reptiles. C’est une insulte faite aux serpents.


                • Seth 30 janvier 14:38

                  A quand un article pour la défense des aoutats ?  smiley


                  • Jason Jason 30 janvier 15:42

                    @Seth

                    Ne vous faites pas de souci, ils sont en trin de disparaître, comme une bonne partie des insectes d’ailleurs.


                  • xana 1er février 08:51

                    Pour ce qui est des serpents, mais aussi de tout ce qui vit sur Terre, nous les hommes devrions surtout comprendre que ce n’est pas à nous de décider qui a le droit de vivre ! Nous saccageons notre planète par sottise et seulement parce que nous avons des jouets qui nous le permettent, mais à quoi cela nous avance t’il ?

                    Il est vrai que nous avons (en Occident) des religions qui nous affirment que ce monde nous « appartient »... Religions auxquelles nous ne croyons plus trop, mais qui nous permettent commodément de massacrer qui nous déplaît.

                    Y compris tous nos concurrents, humains ou non. Sous des prétextes quelconques pour ne pas « blesser nos sentiments », mais toujours pour satisfaire notre immense avidité.

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Anissa Putois

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