« Nahel : Stop à la justice émotionnelle – Le procès politique d’un policier »
Alors que le parquet de #Nanterre envisage de juger le policier ayant abattu le jeune homme pour #meurtre, force est de constater que la #justice semble céder à la pression médiatique et communautaire.
***Les éléments à décharge : une réalité ignorée Une situation de danger immédiat : Le véhicule conduit par Nahel était un projectile potentiel. À 100 mètres plus loin, des passants circulaient. Le policier avait des raisons légitimes de croire que ce véhicule représentait une menace mortelle pour autrui.
***Un refus d’obtempérer répété : Nahel a ignoré les ordres des forces de l’ordre à plusieurs reprises, refusant de s’arrêter malgré les sommations. Cette attitude a contribué à l’escalade de la situation. Un contexte de tension extrême : Les policiers agissaient sous pression, dans un environnement où chaque seconde comptait. Leur décision a été prise dans l’urgence, avec pour objectif de protéger des vies innocentes. Un véhicule utilisé comme une arme : Conduire un véhicule à grande vitesse en refusant de s’arrêter équivaut, dans les faits, à utiliser ce véhicule comme une arme. Le policier avait donc des motifs sérieux de croire à une menace imminente.
***Un procès politique... Le parquet de Nanterre, sous la pression des médias et des réseaux sociaux, semble prêt à sacrifier un policier sur l’autel de l’émotion collective. Pire encore, des personnalités comme Mbappé, Omar Sy, Kundé et d’autres ont contribué à l’embrasement de la population, transformant une affaire judiciaire en un brasier communautaire. Leur intervention, loin d’apaiser les tensions, a jeté de l’huile sur le feu, alimentant une inversion des valeurs où un délinquant multirécidiviste est érigé en martyr, tandis que celui qui a agi pour protéger des vies est traîné dans la boue.
***L’inversion des valeurs : quand les médias et les célébrités attisent les flammes Au lieu de calmer les esprits, des personnalités publiques et le président lui-même ont jeté de l’huile sur le feu. En qualifiant l’acte du policier de "inexplicable" et "inexcusable", ils ont alimenté une hystérie collective qui a conduit à des émeutes et des destructions massives. Ces mêmes figures, promptes à dénoncer la police, ont oublié de rappeler que Nahel était un délinquant connu, que son refus d’obtempérer a mis en danger des vies innocentes, et que le policier a agi dans un contexte de légitime défense.
***Conclusion : stop à la justice émotionnelle Il est temps de revenir à la raison. Ce procès n’est pas une quête de justice, mais une manipulation politique qui sert des intérêts communautaires et médiatiques. La question n’est pas de savoir si Nahel méritait de mourir, mais si le policier mérite d’être sacrifié sur l’autel de l’émotion. La réponse est non. Il est temps de dire stop à cette justice à deux vitesses, où les héros sont punis et les délinquants glorifiés.
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