Par solidarité avec George Floyd : Plus personne ne peut respirer
La Belgique plonge pieds et mains liés dans la crise actuelle qu'ils appellent "déconfinement" à moins que ce ne soit le début d'un "monde d'après" ou simplement une étape incontournable du chantage au vaccin ?
En ce samedi 11 juillet 2020, l'obligation de porter un masque facial dans les transports en commun s'étend aux les commerces, bars et restaurants (sauf en mangeant ou buvant, ouf, merci les "experts" !), dans tous les lieux publics, sous peine d'amende de 250€.
On dirait bien qu'ils ont trouvé la poule aux oeufs d'or !
Mais pour en faire son omelette, ce n'est pas si facile : Les commerçants ont de suite réagi en refusant de jouer la police et de toute façon, ils ne peuvent ni dresser de procès verbal ni perçevoir d'amende. On va donc vers un renforcement de la présence policière garanti et potentiellement la mise à niveau des agents ilotiers et pourquoi pas du comité d'accueil, vous savez, cette nouvelle profession de Mr ou Mme gel-hydroalcoolique, étendre leur compétence à intervenir par la force et à coller des PVs ?!
J'étais frappé en parcourant l'horrible canard qu'est "Le soir" il y a deux jours, de tomber sur l'article annonçant les nouvelles obligations de port du masque et juste un peu plus bas un titre "Je ne peux plus respirer, je ne peux plus respirer, les derniers mots de George Floyd". Hormis l'aspect totalement mensonger puisqu'il disait "I can't breath man !", l'association d'idée respiration/masque se fait assez automatiquement. Car le masque est étouffant, ce n'est pas pour rien si une bonne part de tous les néo-chirurgien/nes dégage son nez dès les portiques passés. Ce truc nous diminue, accumule les petites poussières et particules qu'on continue à inhaler, limite la quantité d'air absorbé et force la réaspiration du CO2 rejeté précédemment. Pour ce qui est des virus, bactéries, microbes, ils sont bien trop petit (il y aurait la place pour que des milliers de SARS-cov2 passent en même temps à travers chaque maille des tissus) et si on est "infecté" et qu'on en expulse, on s'en reprend à la bouffée suivante pour les amener plus profondément vers les poumons. Ces masques de chirurgiens ne sont pas une barrière bactériologique mais essentiellement pour protéger d'éclaboussures ! C'est en tout cas ce que présentaient à leur manière nos gouvernement comme avis sur les masques jusque mars 2020.
Mais il n'est pas étonnant de voir un petit pas en arrière avant un grand bond en avant. Décréter l'inutillité du masque en début d'intrigue permettait d'avancer les arguments pro-masques en réaction, de montrer des exemples asiatiques, prenant bien le temps d'en faire ensuite un accessoire de mode, sympa, personnalisé... "Le masque était victime de railleries de la part de ministres, le voilà qui prend sa revanche !". Notre culture aime tant soutenir les victimes des médias qui finissent par triompher dans les médias, les exemples ne manquent pas.
Le symbôle du "I can't breath !" tombe donc à point nommé ! Imaginez le chantier dans les inconscients : Ne plus pouvoir respirer est le symbôle du soutien à l'anti-racisme "Black-Lives-Matter" et en même temps, on ne peut effectivement plus respirer ou en tout cas, les personnes qui passent du temps masquées (et j'en vois en rue qui se balladent tranquillement ou vaquent seuls et masqués) ont certainement cette idée qui leur traverse l'esprit régulièrement. Moi ça me vient dès la première minute "j'étouffe, je ne peux plus respirer", donc je fais au minimum et au plus vite. Quid de ces gens qui ne sortent plus le visage à l'air ? Sensibles à la suggestion, angoissés à l'idée du virus mutant, sont-ils/elles les prochains cas avec problèmes respiratoires qu'on diagnostiquera covid-19-2.0 ?! Que dire des noirs, les plus sensibilisés au BLM, qui se sentent étouffer pour faire une démarche administrative, quelques courses, boire un verre... Ces deux concepts n'ayant rien à voir se téléscopent en un cocktail certainement douteux forçant l'obsessionnel !
Et on les voyait venir, la presse a petit-à-petit commençé à stigmatiser les non-masqués et à promouvoir l'objet comme la solution de bon-sens. L'"expert" du gouvernement, l'a simplement déclaré hier : "On passe à l'obligation parce qu'on voit que la recommandation ne marche pas" soit, on passe de la carotte au baton, si sûr que le baton va le faire ! Les belges ne sont donc pas aussi dociles qu'espéré mais ils /elles n'aiment pas payer 250€ et encore moins goûter au baton...
Pourtant, il me semble que la pilule va être dure à passer, surtout dans les quartiers plus ou moins ghettoisés des grandes villes où les différentes ethnies ont des connexions mafieuses avec la police et une jeunesse assez incontrolable qui souvent estime n'avoir pas grand-chose à perdre. Les raffles de police dans les bars vont être chaudes !
L'enjeu premier du masque est de forcer l'acceptation du vaccin comme une libération du port du masque. Mais les retombées vont être, chacune à sa façon, destructrices, que ce soit sur la santé physique ou psychique, chacun/e à sa façon acteur/trice de cette tragi-comédie grotesque !
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