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Accueil du site > Tribune Libre > Protection rapprochée : des tsars au président Vladimir Poutine

Protection rapprochée : des tsars au président Vladimir Poutine

« Je promets de payer un million de dollars à tout officier de police ou officiers qui, conformément à leur devoir constitutionnel, arrêteront Poutine comme criminel de guerre en vertu du droit russe et international. (...) Si ce dictateur paranoïaque déclenche une guerre nucléaire, cela me coûtera beaucoup plus que 1 million de dollars. (...) Je ne veux pas être confondu avec ces Russes qui ont été complices en silence. (...) Poutine n'est pas le président russe car il a violé la constitution en abolissant les élections libres. (...) Poutine ne peut pas désamorcer la situation en Ukraine. (...) L'offensive de Poutine ne peut que dégénérer. La désescalade équivaudrait à admettre sa défaite  ». Alex Konanykhin, président directeur de la start-up « Transparent Business » à San Fransisco (Californie). Le 3 mars, juste après le bombardement de la centrale nucléaire de Zaporijjia par les Russes, Lindsey Graham un sénateur proche de Donald Trump avait déclaré : « La seule façon de mettre fin à cela est que quelqu'un en Russie élimine ce type. (...) Vous rendriez un grand service à votre pays et au monde entier. (...) Les seules personnes qui peuvent régler ce problème sont les Russes. À moins que vous ne souhaitiez vivre dans l'obscurité pour le reste de votre vie, être isolé du reste du monde dans une pauvreté abjecte, et vivre dans l'obscurité, vous devez prendre les devants  ».

Au mois de février 1697, Ivan Tsykler, un ancien lieutenant-colonel des strelski (militaires en charge de la sécurité du tsar) et ses complices ont projeté de poignarder le tsar Pierre I° lors de sa promenade autour de Moscou, espérant la restauration de Vassili Golitsyne. L'assassinat échoue grâce à la vigilance de deux gardes du palais. Le tsar fait exterminer la plupart des streltsi lors de la révolte de 1698, ensuite de confier sa sécurité à deux régiments de la garde (Preobrajenski et Semionovski du nom de leur commandant) qui seront renforcés au XVIII° siècle de deux régiments de cavalerie pour former la Garde Impériale. Celle-ci va devenir une force politique à part entière et conduire à l'assassinat de l'empereur Paul Ier (12 mars 1801) et au soulèvement « décembriste » (1825). Dix années plus tard, son fils Alexandre Ier décide de confier sa sécurité à des Cosaques. Au cours de la bataille de Leipzig (octobre 1813), les Cosaques soustraient, in-extremis, Alexandre I° à l'attaque de la cavalerie française.

Le 16 avril 1866, Dmitri Karakozov, un étudiant tire en direction du tsar Alexandre II dans les jardins de Saint-Pétersbourg. L'homme sera pendu six mois plus tard et l'Okrana (police secrète) renforcée de la III° section. Le Tsar Alexandre II réchappera à une dizaine de tentatives d'assassinat avant de succomber, le 13 mars 1881, victime d'un attentat au retour d'une parade militaire au manège de Saint-Pétersbourg. Les conjurés ont pris place sur les deux itinéraires possibles. Une première bombe fait plusieurs victimes mais épargne l'empereur. Il sort de sa voiture et va s'enquérir de la situation lorsqu'une deuxième bombe explose (attentat à double détente), l'empereur est atteint au visage, aux jambes et au bas-ventre, transporté au Palais il y meurt le 13 mars.

L'empereur, Alexandre III, informé des difficultés à assurer sa sécurité personnelle au Palais d'Hiver de Saint-Pétersbourg déménage avec sa famille au palais Gatchina situé à une trentaine de kilomètres plus au sud. Le palais est ceint par des douves et flanqué de tours de guet. Des unités de Cosaques de la Garde assurent la protection du tsar et celle de la famille impériale. Les hommes du bataillon des chemins de fer assurent la sécurité ferroviaire et le service à bord de la rame ; deux trains identiques circulent simultanément en permutant leur place, et une haie de militaires en arme est disposée sur le parcours du convoi !

Lors d'un voyage au Japon, le tsarévitch (prince) Nicolas Alexandrovitch (futur Nicolas II) est sabré au visage par l'un des policiers japonais de son escorte le 28 avril 1891. Le tsarévitch doit la vie au prince George de Grèce et de Danemark (1869-1957) qui a bloqué la seconde attaque avec sa canne ! Le tsarévitch reçoit les premiers soins à bord d'un croiseur russe mouillé dans le port de Kobé. Six mois plus tôt, l'ambassade de Russie avait été attaquée. La protection du tsar Nicolas II (novembre 1894) sera assurée par une unité de Cosaques, une compagnie d'infanterie, un régiment de chemin de fer, la police du palais (gendarmes) et un détachement spécial de sécurité.

La périmétrie du parc Alexandre est couverte par vingt-six postes de gardes et protégée par des chiens. Les itinéraires y aboutissant sont parcourus par des patrouilles de Cosaques montés et les villages alentours surveillés par des policiers en civil mêlés à la population. Les couloirs des résidences Impériales sont placés sous la surveillance d'hommes en arme, et une quinzaine de gardes du palais portent la livrée de serviteurs. Tout visiteur se doit d'attester de son identité, du motif de sa visite et subir une fouille avant de pénétrer dans le palais escorté par un garde. Les appartements du Tsar et ceux de la tsarine Alexandra Feodorovna sont reliés par un système d'alarme à deux salles de garde situées à l'étage inférieur. La résidence est éloignée des communs, les employés du palais se doivent d'emprunter un tunnel reliant les deux parties. Dans la nuit du 17-18 juillet 1918, le tsar Nicolas II, sa famille et leurs serviteurs sont assassinés à Ekaterinbourg par les Bolcheviques et sur ordre de Lénine. Les Romanov seront réhabilités le 1 octobre 2008.

En 1918 les dirigeants soviétiques s'installent au Kremlin qui relève du district militaire de Moscou. Le 30 août Lénine est blessé au cou et au visage atteint de trois balles tirées par une femme ; septembre 1919, une bombe explose lors d'un discours de Lénine faisant douze morts et une cinquantaine de blessés. La direction de la Commission extraordinaire pan-russe (Tcheka ou VChK) crée une unité spéciale pour assurer la protection des « travailleurs de l'État les plus importants » (le président du Conseil des commissaires du peuple, Trotsky et Dzerjinski). Le 26 novembre 1920 l'unité devient une branche spéciale placée sous le contrôle du Service de sécurité de l'État (OGPU). Le 16 novembre 1931, un membre de l'organisation d'émigrants Union générale des combattants russes se précipite vers Staline qu'il a reconnu parmi les passants moscovites, Staline a la vie sauve grâce à l'intervention d'un homme de la Guépéou.

Le 10 juillet 1934 un décret instaure le Commissariat du peuple aux affaires intérieures (NKVD) qui englobe la Direction principale de la sécurité d’État (GUGB). Son département opérationnel a en charge la protection des plus hauts fonctionnaires de l'État, des membres du corps diplomatique, des hôtes étrangers et tous les événements publics importants : défilés, congrès, etc. Le 6 novembre 1942, un soldat quitte son lieu de casernement et se rend à la porte Saint-Sauveur du Kremlin afin de s'y faire passer pour une sentinelle. Il tire sur un véhicule pensant atteindre Staline. Il s'est trompé de voiture, celle-ci transportait le commissaire du peuple au commerce extérieur et intérieur de l'URSS. Le tireur ignorait-il que le petit père des Peuples utilisait une Packard ? La mort de Staline survenue le 5 mars 1953 reste nimbée de mystère.

En 1969, un déserteur se faisant passer pour un policier appartenant au cortège présidentiel tire sur une voiture pensant Leonid Brejnev à l'intérieur. L'ancien métallurgiste ukrainien passionné de voitures disposait d'un parc d'une centaine de véhicules : ZIL 114, Rolls-Royce, Mercedes, Maseratti, Cadillac, Buick, Lincoln, Jigouli, VAZ-Porche, Chrysler, Chevrolet et une SM offerte par le président Pompidou en octobre 1971, véhicules enregistrés et immatriculés à Moscou par le KGB (Le camarade Lenine ne disposait que d'une Delaunay-belleville et d'une Rolls-Royce Silver Ghost). L'automobiliste Brejnev aime semer ses gardes-du-corps entassés à bord de voitures moins puissantes. En 1980, grisé par la vitesse et la vodka, il heurte un camion et détruit l'avant de la Rolls-Royce qui sera exposée au Musée à Riga.

Vladimir Poutine (né le 7 octobre 1952), quatrième président russe, dirige depuis une vingtaine d'années une population de 147 millions d'habitants et un pays s'étendant sur onze fuseaux horaires. Le président préfère vivre dans sa résidence de Novo-Ogarevo à une trentaine de kilomètres de Moscou. Un mur d'enceinte de six mètres de hauteur truffé d'alarmes protège la demeure et son parc, un hélicoptère assure les déplacements entre la résidence et le Kremlin ; un tunnel long de plusieurs kilomètres aboutit à un abri anti-atomique.

Vladimirovitch Poutine n'ignore rien du passé tragique de la Russie contemporaine ni celui des souverains russes. Sa protection incombe aux hommes du Service fédéral de sécurité, des hommes triés sur le volet âgés de moins de 35 ans qui doivent mesurer entre 175 et 190 cm et peser entre 75 et 90 kg, et suivre une formation avec au programme : dispositifs de protection, tir, relations internationales, protocole, langue étrangère, géopolitique, éducation physique et sportive, etc. Particularité, il ne s'agit pas d'une formation calquée sur les « forces spéciales », à quoi bon être « chuteur » pour assurer la protection d'une haute personnalité (sauf pour percevoir la prime de saut ou exfiltrer le président par un saut en tandem). La fonction est simple, protéger le Président et l'évacuer afin de le mettre en sécurité. Pas question de livrer combat ni de tenir le terrain, au contraire.

L'espace dans lequel se déplace le président est divisé en quatre cercles ou bulles ; protection immédiate : les gardes à ses côtés sont capables de s'interposer entre le président et la menace, au besoin le recouvrir de leur propre corps (on appelle cela la « tortue ») - protection rapprochée, les officiers de sécurité viennent en appui afin de faciliter la protection et l'évacuation du président (triptyque, parapluie en kevlar) - protection éloignée, des agents sont dissimulés parmi la foule afin de déceler tout geste ou comportement suspects - protection très éloignée avec tireurs placés sur points hauts et d'angles.

Les officiers appartenant aux premiers cercles sont équipés d'un walky-talky crypté, porteur d'un gilet pare-balles et d'un pistolet semi-automatique SR-1 Vektor en polymère et à double action, calibre 9 mm x 21 d'une capacité de 18 balles. Cette arme tirant des munitions à forte pénétration (4 mm d'acier à 40 mètres ou trente couches de kevlar) fut conçu pour équiper le personnel du FSB, du MVD et les OMON (forces anti-émeutes). Le fusil T-5000 (groupement de 15 mm à 100 mètres) a remplacé le fusil de sniper Dragunov en 2011. Le convoi embarque des armes automatiques (full-auto), riot-guns, LRAC et des contre-mesures électroniques visant à brouiller les engins explosifs improvisés, les drones et les radiocommunications. La sécurité des lieux repose sur un audit : risque d'accident domestique, chien renifleur d'explosifs, détection des dispositifs de surveillance (micros et caméras), installation des radiocommunications, état de la literie, des fournitures et coordination des nombreux services impliqués. Lors de l'apparition du président en plein-air, des équipements supplémentaires sont installés : écrans en verre pare-balles, calicots, projecteurs puissants pour entraver la vue d'un éventuel tireur embusquée, poste de contre-sniping, etc.

Tous les déplacements du président sont précédés d'une équipe de précurseurs (advance tean) qui s'assure des itinéraires empruntés : circulation, points de ralentissements, tunnels, ponts, carrefours, zones industrielles, hôpitaux, propice à une attaque, des activités contestataires et des risques de catastrophes naturelles ou industrielles, etc., même à l'étranger. Début mars 1960 (mandature Charles de Gaulle) des inspecteurs de police ont interpellé, sur ordre du ministre de l'Intérieur, près d'un millier de réfugiés politiques d'Europe de l'Est installés en France afin de s'assurer qu'aucun n'ira manifester sa réprobation lors de la visite de Nikita Khrouchtchev. Tous sont frappés d'une mesure d'éloignement en Corse (départ d'Orly) d'une durée de trois semaines ! Qui en a dressé la liste, le ministère de l'Intérieur (certains réfugiés bénéficiaient d'un passeport Nansen) ou les services de sécurité de l'URSS ?

Le FSO dispose d'énormes moyens et prérogatives policières : fouille, rétention de sûreté, interception du courrier, etc. La sécurité du président a le droit d'accès à tout bâtiment et d'y d'installer et utiliser tout type de matériel de radiocommunication et de brouillage, de procéder à des fouilles des bâtiments et des individus, de réquisitionner tout véhicule. Depuis le 5 avril 2016, la Garde nationale est directement rattachée à la protection du président russe. Il n'est pas question qu'en cas de crise une force quelconque puisse venir s'opposer à une autre ; tentative de putsch contre Mikhaïl Gorbatchev en 1991. L'année précédente, un ingénieur a tiré sur Gorbatchev lors de la parade militaire à Moscou.

Le président russe dispose de deux Ilyushin-96-300PU capables de parcourir 14.500 kilomètres à la vitesse de croisière de 870 km/h. Chaque appareil dispose d'un bloc médical, de moyens de communications cryptés et tout un système de contre-mesures électronique. En cas d'alerte nucléaire un appareil se tient prêt à décoller avec le président et des officiers généraux à bord. Gageons que ce ne soit pas le sosie du président Vladimir Poutine qui embarque à bord du « Kremlin volant ».

Le service de sécurité semble préoccupé par la santé du président russe. Depuis la Covid 19, Vladimir Poutine s'adonne au télétravail et aux visioconférences, et son lieu de vie est bardé d'alarmes et de « diffuseurs de virucide » (dioxyde de chlore). L'entretien avec le président Macron, chacun se tenant à l'extrémité d'une table de six mètres de long, aurait été motivé par le refus du président Macron de subir un test PCR. Cela fait des lustres que les Services de renseignement collectent l'ADN et les fluides de leurs hôtes afin d'en établir le bilan médical, gageons que celui du président Macron figure dans leurs tabelles.

Le 4 janvier 2012, les services de police ukrainiens et russes découvraient les préparatifs d'un assassina dirigé contre Vladimir Poutine après l'explosion prématurée d'une bombe dans un appartement d'Odessa. Le chef de la rébellion islamique du Caucase russe avait appelé à poursuivre les attentats contre les « officiels » russes. L'attentat devait avoir lieu après la présidentielle du 4 mars, et des explosifs avaient été entreposés avenue Koutouzovski (Moscou) sur l'itinéraire emprunté par le cortège présidentiel. Le 5 juin 2014, une Femen ukrainienne, seins nus avec inscrit sur sa poitrine « Kill Poutine », poignardait la statue de cire représentant Vladimir Poutine au Musée Grévin (Paris). Aucun de ses homologues « présents » n'a daigné intervenir.

Dans l'éditorial de la Stampa du 22 mars sous la plume du reporter de guerre Domenico Quirico : « L'intervention militaire étant exclue, la seule solution diplomatique inopérante, il ne reste plus qu'à théoriser l'assassinat du Tsar de la main d'un proche. (...) Sommes nous certains que l'élimination violente du tyran ne provoquerait pas un chaos pire encore ? »

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12 réactions à cet article    


  • Doume65 31 mars 2022 14:53

    « juste après le bombardement de la centrale nucléaire de Zaporijjia par les Russes »

    Centrale bombardée mais qui fonctionne normalement...


    • André 31 mars 2022 14:59

      Je n’ai lu que la partie écrite en gras... et j’ai arrêté de lire ces radotages.

      Au lieu d’écrire ces balivernes, vous auriez pu vous informer un peu en regardant la vidéo postée également sur AgoraVOX : « Ukraine - excellente intervention d’Éric Denécé : on nous présente la moitié des faits et on nous dissimule l’autre moitié » !

      https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/ukraine-excellente-intervention-d-93489


      • cétacose2 31 mars 2022 18:08

        Ce qui est certain c’est que la CIA est trés certainement en train d’étudier un moyen d’assassiner Poutine . Il sont trés doués dans ce domaine ou la lacheté n’a d’égale que l’abjection......


        • Ecureuil66 31 mars 2022 20:53

          Je pense que l’auteur a voulu nous dire qu’il n’y avait rien de nouveau sous le soleil et que l’éventualité d’un assassinat est bien évidemment prévue par les services de sécurité de Poutine (comme c’est le cas pour tous les chefs d’état d’ailleurs !)


          • Matlemat Matlemat 1er avril 2022 00:27

             Certains seraient prêt à payer un milliard de dollars pour assassiner le président russe, il y a tellement plus de richesses à piller en Russie...


            • zygzornifle zygzornifle 1er avril 2022 09:20

              La France va envoyer par les canalisations de flotte l’équipe de plongeurs qui avait saboté le Rainbow Warrior a l’époque de la mite errante ......


              • I.A. 1er avril 2022 12:09

                « Sommes-nous certains que l’élimination violente du tyran ne provoquerait pas un chaos pire encore ? »

                • Donnez une arme à feu chargée à un gosse de 10 ans.
                • Mettez un bolide de course entre les mains d’un conducteur de tramway
                • Faites gouverner un pays riche par un jeune autiste ou par un vieux sénile
                • Donnez un couteau à un djihadiste après avoir insulté son dieu
                • Nommez un macaque à la tête d’un Conseil Scientifique
                • Donnez un arsenal nucléaire à monsieur Michu

                Les moins cons ne feront rien, ne toucheront à rien, ne diront rien.

                Les autres, comme vous le faites si bien remarquer, pourvu que nous ne sachions jamais...





                • microf 1er avril 2022 21:46

                  Très bon article.

                  Il ya un film que j´ai toujours recommandé pour comprendre les évènements qui se déroulent dans le monde depuis des années, ce film c´est « Attila le Hun » malheureusement, ce film n´est plus accessible á youtube.

                  Ce film commence par ce générique « malgré la corruption et le décadence, affaiblie par les rivalités politiques et les guerres, l´Empire Romain était toujours la plus grande puissance sur la terre.

                  Puis un nouveau peuple les Huns, fiers et indépendants, surgirent des terres de l´Est. Une ancienne prophétie raconte que de ce peuple surgira un homme qui unira les tributs et luttera avec succès contre l´Empire Romain »

                  Dans le film cette prophétie se réalisa, les Huns surgirent de l´Est, de ce peuple un homme Attila, qui unifia les tributs et lutta avec succès contre l´Empire Romain.

                  La fin de ce film est tragique car Attila fut tué par un complot ourdit par Rome. Toutefois, á la mort d´Attila dans le film, l´Empire Romain s´éffrondra.

                  En méditant sur les évènements actuels, il ya beaucoup de similitudes.

                  Le nouvel Empire Romain l´Occident, est miné par la corruption et la décadence et, affaiblie par les rivalités politiques et les guerres.

                  Pendant ce temps se lève ce nouveau peuple les Russes, de ce peuple un homme POUTINE qui unifie les peuples ( Brics et autres pays émergeants ) qui résistent efficacement contre le nouvel Empire Romain á savoir l´Occident.

                  Peut être que le Président Poutine sera tué, mais cela ne changera á rien á la suite des évènements, le nouvel Empire Romain á savoir l´Occident, va s´écrouler, c´est ce qui est important.


                  • Le bébé de Macon Le bébé de Macon 2 avril 2022 07:21

                    @microf

                    A vous lire, vous semblez souhaitez être envahi par les russes.


                  • Belpère 2 avril 2022 08:56

                    Article bien documenté ( les sources auraient été un plus) et intéressant !

                    On peut imaginer que des dispositions identiques sont en place pour nombre de dirigeants politiques de premier plan. 

                    Et quand bien même Poutine serait mis hors circuit, il n’est pas acquis que la situation serait radicalement changée. 


                    • zygzornifle zygzornifle 2 avril 2022 09:27

                      Macron avait bien son Benalla .....


                      • chantecler chantecler 2 avril 2022 09:31

                        " Le 5 juin 2014, une Femen ukrainienne, seins nus avec inscrit sur sa poitrine « Kill Poutine », poignardait la statue de cire représentant Vladimir Poutine au Musée Grévin (Paris). Aucun de ses homologues « présents » n’a daigné intervenir."

                        Mince et personne n’a été averti de cet horrible attentat ?

                        En tous cas il faut se méfier des ukrainiennes seins nus .

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