Quand l’image terriblement dégradée de Nicolas Sarkozy nuit à la France
Alors que Nicolas Sarkozy, au nom de la France, va présider le G20 et le G8, il ira sur le trône entouré d’une nuée d’affaires qui ne peuvent que nuire non seulement à l’image de la France mais tout également à son rôle. Wikileaks en est là pour témoigner avec les câbles qui accablent le comportement instable et colérique de Nicolas Sarkozy. Cependant il y a cette information qui n’a pas passionné les foules et qui pourtant est le thermomètre qui nous situe au niveau international. Comme il s’agit du Figaro, on ne pourra l’accuser de partialité et d’esprit anti-national : La diplomatie européenne trustée par les Britanniques.

Cette information n'est pas anodine et démontre à quel point bas, le 0 kelvin, nous sommes tombés, nous les initiateurs de l'Europe, l'un des six pays fondateurs, relégués au fin fond de la forêt alors qu'un pays qui a un pied dans le Commonwealth, un autre aux USA, et donc par voie de conséquence pas beaucoup en Europe, va s'occuper de la diplomatie en Europe ! La France est marginalisée dans la nouvelle diplomatie européenne.
Voici ce que nous raconte ce cher journal, et c'est édifiant :
La France est marginalisée dans la nouvelle diplomatie européenne.
Pour le Quai d'Orsay, c'est l'organigramme de la colère, ou l'équivalent bureaucratique de la bataille de Trafalgar : le Service d'action extérieure (SAE), qui s'imposera d'ici trois jours comme le porte-voix d'une politique étrangère européenne, s'est gonflé in extremis d'une légion d'amis de Catherine Ashton et du Foreign Office, aux dépens d'une minorité de diplomates tricolores.
« Entre eux et nous, c'est désormais à cinq contre un ! », s'étrangle un responsable français en décrivant la pyramide du pouvoir mise au point par la baronne britannique. Sur l'organigramme rendu public à l'approche de l'échéance, l'Union Jack flotte de bas en haut et de droite à gauche, isolant à peu près partout les trois couleurs de la République.
Le SEA -ou plutôt l'acronyme anglais EEAS, finalement retenu- devait conjuguer les talents de 27 diplomaties nationales. Avec, comme clef de voûte, le professionnalisme revendiqué par de vieux rivaux -les Français, les Britanniques et aussi les Allemands. Face à la razzia d'outre-Manche, l'acte de naissance de la nouvelle institution européenne risque plutôt de les dresser les uns contre les autres au 1er janvier. À Paris, le ministère des Affaires étrangères, visiblement gêné, s'est jusqu'ici gardé de faire du bruit. Avec Michèle Alliot-Marie, il vient de changer de patron. Mais l'affaire a déjà suscité des éclats de voix. Les comptes du SAE sont vite faits. À Bruxelles, sur 17 directions et sous-directions attribuées, le Royaume-Uni en rafle cinq (Asie, Afrique, Afrique orientale et Océan indien, Prévention des conflits et Politique de sécurité, Ressources humaines). La France en récupère deux, grâce à des diplomates venus de la Commission européenne : Hugues Mingarelli sera chargé du Proche-Orient, Véronique Arnault des Droits de l'homme.
En fait, Nicolas Sarkozy c'est le Napoléon de la Berezina (1812 -> 2012). Et là, Waterloo n'est pas loin :
Français retoqués
Sur le terrain, le rapport n'est pas plus favorable aux routiers du Quai d'Orsay. « La plupart des ambassadeurs poussés par Paris ont été retoqués » à Bruxelles, poursuit le responsable. L'Afrique devient une autre chasse gardée des Britanniques. En Asie, la France a perdu un de ses poids lourds européens avec le départ de Pékin de l'ambassadeur Serge Abou, remplacé par l'Allemand Markus Ederer.
Dans les étages du SAE, les Français s'inquiètent aussi de voir certains de leurs meilleurs alliés réduits à la portion congrue, en particulier les Espagnols et les Italiens. L'Europe du Nord, toujours suspecte de sympathie pour le Foreign Office, montre ses muscles. C'est le cas des Danois, des Néerlandais et surtout des Suédois. Ces derniers réussissent à truster la super-direction Amériques, le Comité militaire de l'UE et le Comité politique et de sécurité (Cops), cœur de la gestion de crise. La Finlande, elle, décroche le SitCen, bureau central du renseignement européen.
L'offensive britannique, lancée de longue date par David Miliband, a été reprise à son compte par le successeur conservateur William Hague. Catherine Ashton, arrivée à Bruxelles sans expérience et soucieuse de s'entourer de confidents connus, y a sûrement trouvé son compte. Côté français, la nomination de Pierre Vimont, ambassadeur à Washington, comme bras droit de la baronne britannique a longtemps permis de donner le change : « C'est le prix à payer ! », expliquait-on officieusement. Londres n'a pas eu la même retenue. Dans l'organigramme du SAE, quelques cases restent aujourd'hui à remplir. Mais à Bruxelles, le sentiment s'installe que Paris a déjà perdu la bataille.
La conclusion est sans appel : Paris a déjà perdu la bataille. Cependant nous remarquons pis et pire, nous, comme dit plus haut, fondateurs de cette Europe, et ses alliés plus europhiles sont remplacés par les tardifs et eurosceptiques comme les Danois ou les Néerlandais. Ceci est une preuve éclatante ou plus tôt tragique de la perte totale de l'influence de la France, même pas dans le monde, mais en Europe-même. Une claque tonitruante quand Nicolas Sarkozy s'enorgueillit de son rôle magique là où il pose le pied.
Souvenez-vous de son passage comme président de l'Europe comme il aimait à s'en glorifier alors que ce poste n'existe pas. Lors de ce passage, de fait désastreux, il a bénéficié d'une couverture journalistique aussi pleine de flagornerie que lors de son poste de ministre de l'intérieur qui faisait de lui un sur-actif hyper-compétent alors qu'au bout du chemin il n'a fait que de la communication et de la politique dans son sens le pire : de l'électoralisme en paroles et en actes. Vous y trouverez ici une analyse que j'en avais faite en son temps. Depuis les faits ont prouvé cette vérité de son incompétence et de son agitation inutile. Les preuves ? Alors que Bayrou avait demandé en octobre 2008 un grand emprunt solidaire européen, il a fallu attendre près de deux ans pour le mettre en place. La réalité ? La Grèce et l'Irlande sont là bien tristement pour le prouver et si Nicolas Sarkozy avait si bien géré la crise telle qu'il l'a déclaré soutenu par les journalistes, il n'y aurait eu ni Portugal, ni Grèce, ni Irlande. Les systèmes financiers n'ont pas été réformés, sauf un peu en Angleterre et en Allemagne, les banques se sont enrichies et ont saigné la Grèce et saignent l'Irlande alors qu'avec un emprunt solidaire les taux seraient moins de la moitié et aideraient ainsi ces pays à s'en sortir plus vite et avec moins de dégâts. Ces taux élevés enrichissent scandaleusement les banques sauvées par les peuples. Sarkozy a parlé et s'est tapé la poitrine mais n'a rien obtenu. Rien. Là est sa réussite. Et malheur à nous, là est tombée notre influence.
La France est tombée bien bas et sa chute n'est pas finie. Et si Nicolas Sarkozy n'est pas responsable du temps qu'il fait ni des subprimes, il l'est de notre image et il l'est de ses discours, de ses mensonges, de ses amitiés, de sa diplomatie, de ses paroles, de ses actes, de son comportement, de son arrogance, de son injustice.
Il faut se rappeler de ces petites choses comme quand Barak Obama est arrivé au pouvoir et que notre Président lui a fait la leçon car il manquait d'expérience, lui qui venait de découvrir sur Sarkozy son innommable mensonge international : il avait crié sur tous les toits que Bush avait tenté de le dissuader d'aller en Russie, mais que n'écoutant que son courage il y était allé réussissant l'exploit en partant avec un plan en 4 points de revenir se planquer à Cap Nègre en laissant en Géorgie un plan en 6 qui a permis à Moscou de rester encore aujourd'hui avec ses troupes armées dans un autre pays que le sien, de l'occuper de fait. Las Obama avait les enregistrements des conversations et il a découvert stupéfait que c'est tout le contraire, que Sarkozy hésitait et que Bush l'a forcé à y aller.
A son habitude Sakozy a tiré sur tout ce qui bougeait : Zapatero, l'industrie anglaise, les arabes qu'il faut savoir manier, les Tchèques et leur insignifiance, les Polonais, le mari de Merkel et les origines de Rice, il n' a eu de cesse de se mettre en avant, de voler le travail des autres comme la libération des soignantes bulgares et du médecin palestinien naturalisé, de torpiller les initiatives comme sa visite inutile et inefficace au Moyen Orient dans le processus de paix quand l'Europe négociait et que sa « présidence » venait de finir, son Union Pour la Méditerranée, échec cinglant qui venait se superposer au processus de Barcelone autrement plus efficace, cette UPM qui a bénéficié illégalement du budget voté pour la présidence européenne de la France.
A l'étranger les chefs d'Etat et de gouvernement ne sont pas aveugles ni ignorants. Notre passé qui pourrait être parfois une caution fait que de temps à autre, en ce souvenir, ces pays s'intéressent à nous, mais Nicolas Sarkozy leur renvoie une image sans doute la plus désastreuse que la France n'ait eu à renvoyer depuis de très longues années. Son quinquennat ayant commencé au Fouquet's et sur le Paloma ne pouvait que choquer et donner un sens à sa mission. Mais ce sont les multiples affaires de graves à très graves qui parsèment sa route et qui s'immiscent dans ce pouvoir qui est ce qui va rester et qui l'entoure d'une aura exécrable. Cet article de Médiapart est un résumé atterrant de tout cela. Son titre dit tout : La présidence française corrompue.
Il faut lire avec application ce passage : Les présidents africains poursuivis en France dans le cadre des "biens mal acquis", sur la foi de ces nouvelles de Wikileaks relevées par El Pais, peuvent demander la comparution des présidents français conformément aux dispositions de la Convention internationale contre la corruption, qui excluent toute impunité, y compris à l'égard des chefs d'Etat. Ceux-ci sont des "agents publics" selon la Convention (article 2 a : "On entend par “agent public” : toute personne qui détient un mandat législatif, exécutif, administratif ou judiciaire d’un État Partie, qu’elle ait été nommée ou élue, à titre permanent ou temporaire, qu’elle soit rémunérée ou non rémunérée, et quel que soit son niveau hiérarchique") et ils sont en infraction en considération de l'article 15 qui énonce que :
Chaque État Partie adopte les mesures législatives et autres nécessaires pour conférer le caractère d’infraction pénale, lorsque les actes ont été commis intentionnellement :
a) Au fait de promettre, d’offrir ou d’accorder à un agent public, directement ou indirectement, un avantage indu, pour lui-même ou pour une autre personne ou entité, afin qu’il accomplisse ou s’abstienne d’accomplir un acte dans l’exercice de ses fonctions officielles ;
b) Au fait pour un agent public de solliciter ou d’accepter, directement ou indirectement, un avantage indu, pour lui-même ou pour une autre personne ou entité, afin d’accomplir ou de s’abstenir d’accomplir un acte dans l’exercice de ses fonctions officielles.
L'immunité du Chef de l'Etat est donc inconventionnelle en matière de corruption. Elle ne peut pas s'appliquer et le juge l'écartera au motif de l'exception d'inconventionnalité que soulèvera une partie au procès.
Le fait d'apprendre que la politique française est en partie financée par l'argent de la corruption d'Etats étrangers pose aussi la question de la trahison.
La haute trahison n'existe pas dans le code pénal, d'où la réforme de l'article 68 de la Constitution.
La procédure de destitution du Chef de l'Etat a été neutralisée récemment quand la corruption s'affiche sans retenue dans le fonctionnement du pouvoir (Karachi, Bettencourt). Accepter de l'argent corrompu d'un Etat étranger est un manquement aux devoirs manifestement incompatible avec l'exercice du mandat présidentiel. Vouloir soutenir le contraire témoignerait d'une mentalité étrangère à toute moralité publique.
C'est à se demander si la présence de la mafia en France n'est pas plus la conséquence de cette mentalité que celle d'une fatalité. N'est-ce pas plus du "voulu" que du "subi" ? Les conclusions de la "Commission d'enquête sur les tentatives de pénétration de la Mafia en France" présidée par François d'Aubert avaient reçu un accueil dont les révélations d'El Pais éclairent aujourd'hui les sarcasmes d'alors. Le vote à l'unanimité de la réforme de la prise illégale d'intérêts en pleine affaire Woerth montre cependant que le temps des sarcasmes n'est pas révolu.
Et évidemment tout cela a des conséquences : Le fait que les USA et d'autres pays soient informés de la corruption au plus haut niveau des institutions françaises fragilisent gravement la position de la France dans les négociations internationales. Cela pourrait expliquer, par exemple, le ralliement de la France à l'OTAN, son opposition très mole aux OGM, etc.
De telles faiblesses de la représentativité d'un Etat favorisent l'acceptation de clauses économiques défavorables à la France dans les accords internationaux. Les négociateurs confrontés au chantage des révélations sur la vie privée des élus de la République préfèrent signer des accords déséquilibrés plutôt que de déclencher des scandales politiques internes et perdre leur poste.
Les Français en paient forcément les conséquences.
Cela peut expliquer également la fragilité européenne dans le Monde et le peu d'écoute qu'on lui prête. Les incartades françaises plombent le pouvoir de négociation de l'Union européenne. La France est un poids lourd européen, une puissance nucléaire disposant d'un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies. Paralyser la France, c'est entraver l'Europe.
Notre image à l'étranger, et notre influence, pâtissent du comportement de Nicolas Sarkozy et de son pouvoir, des innombrables affaires qui gangrènent notre démocratie et déstabilisent notre pays balayant tous les repères de justice, de moralité, de récompense, de droit et de devoir.
Il est bon de rappeler toutes ces affaires et la manière dont ce pouvoir tel qu'il agit. Il faut condamner cette habitude de recaser les perdants dans des postes prestigieux, de distribuer la breloques à tous les affidés et les imméritants tels que les Frère (belge fortuné) du Fouquet's avec son compère le canadien Desmarais, les Fadela Amara, Charasse, Boutin remerciés de se taire ou de l'avoir soutenu ou d'avoir frauduleusement usé de leur fonctions comme tel appartement fourni à ses frères ou une rémunération pour acheter telle autre pour une mission sans intérêt, ou un Servier autocrate au Médiator devenu tristement célèbre, les ministres au pouvoir alors qu'ils bafouent la justice, le respect des règles, la simple modération et l'honnêteté comme le double condamné Hortefeux, le Santini impliqué avec son musée, la Rachida Dati qui bénéficiait illégalement de voiture avec chauffeur et gardes du corps, le Blanc et ses cigares, le motodidacte et son appartement et ses voyages, les dépenses de Joyandet, les dépenses somptuaires en Afrique du sud d'une Rama Yade, les turpitudes d'un Woerth, les Richard directeur de cabinet de Lagarde alors que condamné pour fraude fiscale massive, les Paillé porte parole alors que condamné pour détournement de fond, des Lefebvre ex porte parole et ministre alors que lobbyiste tout en étant conseiller du ministère dont dépendaient les affairistes qu'il conseillait.
On ne peut que condamner ce qui est patent aux yeux du monde c'est-à-dire l'illégalité de la rémunération de Nicolas Sarkozy de mi-septembre au 31 décembre 2007 tout comme son illégale inscription sur les listes électorales après clôture de celles-ci (ce qui est pénalement répréhensible pour le maire qui l'a acceptée mais qui a marié ensuite le couple futur adoptant), tout comme l'impunité fiscale malgré une déclaration d'impôt déposée hors délai, bien évidemment les rétro-pots-de-vin de l'affaire Karachi et sans doute Sawari, l'appartement de la Jatte et ses travaux, la sous déclaration des biens en tant que président de la République sans ni sa collection de timbres ni sa collection de montres et sans aucun mobilier ni vaisselle (il mangeait comme Kadhafi sous sa tente avec les doigts), aucune cristallerie, aucune argenterie, ni siège ni canapé, rien, juste des dettes et un compte, l'affaire Bongo bien sûr et l'affaire Woerth, les vacances somptuaires au Maroc, en Egypte, tout comme au Mexique dans la villa d'un banquier condamné aux USA pour blanchiment d'argent de la drogue, son attitude indécente devant les cercueils des Français tués en Afghanistan où il s'apitoyait sur son sort, ses mensonges pour GDF, pour l'OTAN, pour les troupes en Afghanistan, ses caprices à l'ONU ou lors du conseil de l'OTAN où il voulait être placé sous les sunlights alors que le placement est alphabétique et qu'après que les caméras furent parties il a été remis à sa place, toute honte bue, ses accointances avec tous les dictateurs en cours, sa lâcheté pour le Tibet, pour le prix Nobel de la paix, son soutien à Ali Bongo encore récemment rencontré au Maroc, les attaques contre l'Europe, ou cette circulaire Hortefeux qui nous a classés justement dans cette Europe comme un pays où il ne fait pas bon vivre, tout le contraire de ce que chantait Montaigne, un pays qui transgresse les lois, un pays qui a des Péchenard à la tête de son contrespionnage qu'il utilise illégalement à des histoires de corneculs et pour espionner les journalistes, lui qui soustrait à la justice son fils, avec un ministre qui soutient des policiers qui ont fait des faux en écriture, faux témoignages, bastonné un innocent et risqué de l'envoyer en taule pour perpétuité, un pays où sa justice avec des Marin et des Courroye est bafouée, piétinée, un pays où la presse et la majorité des médias est entre les mains de financiers cupides amis du Président de la République, un pays où des Pérol et des Proglio trouvent des postes donnés par Nicolas Sarkozy au mépris de toute déontologie et tout intérêt des entreprises, selon le bon vouloir du Président de la République, pays qui où sont nommés directement par le pouvoir les dirigeants de l'audiovisuel, pays où son pouvoir suprême a fait voter une loi l'immunisant contre tout, ou presque.
Le passage de Nicolas Sarkozy à la tête de la France est un ouragan qui a déjà bien dévasté ce pays. Le Vœux que nous pouvons faire pour 2011 est que cette année utile ouvre définitivement les yeux de la majorité des Français, et qu'il s'en aille sur le Paloma pour aller vendre son orgueil dans des conférences où il se fera plein de fric selon son expression élégante et la haute conscience qu'il a du poste qu'il occupe, mais surtout qu'il débarrasse le plancher de l'Elysée et de la Lanterne.
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- La première année de Sarkozy
- La biographie de Sarkozy apocryphe
- La Biographie de Lefebvre
- L’affaire Tapie
- Les petites affaires de l’Immaculé Eric
- l’affaire Karachi
- l’affaire GDF
- l’affaire Tapie
- l’affaire Clearstream
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- l’affaire de la Jatte
- l’affaire Pérol
- l’affaire de l’Epad
- la proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension
- l’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007
- la circulaire Hortefeux
- la position d'Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui
- l’affaire des sondages
- les classements du parquet
- l’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage
- l’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac
- l'affaire Servier
- l'affaire Bongo
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