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Accueil du site > Tribune Libre > Résistons ! Et plus si nécessité...

Résistons ! Et plus si nécessité...

Ce 4 novembre, les français désireux de faire acte de réflexion pourront se rendre dans les salles obscures afin de visionner le documentaire réalisé par Gilles Perret, dont le titre évocateur « Walter. Retour en résistance », convoque déjà les consciences [1]. Il s’agit ici de mettre en exergue le parcours exemplaire de Walter Bassan, cet homme aujourd’hui âgé de 83 ans, qui fût un résistant à l’occupant nazi et qui n’aura évidemment pas échappé à la déportation. Le personnage central du documentaire est bel et bien vivant puisqu’il il n’a de cesse d’arpenter quantité de lieux hautement symboliques afin de transmettre, notamment aux plus jeunes d’entre-nous, son esprit toujours résistant, mais avec la volonté farouche de l’actualiser. Dès lors, la question de fond qui habite ce travail, et qui n’est pas sans déranger une certaine frange de nos politiciens, n’est autre que de savoir si « le verbe résister peut encore se conjuguer au présent ? »

Si Gilles Perret [2] s’est penché sur le destin de Walter Bassan, c’est avant tout parce que ce dernier habitait la même commune que lui, et qu’il connaissait son histoire depuis longtemps déjà. Impressionné par le feu sacré de cet esprit résistant, toujours bouillonnant 65 années après la fin de la seconde guerre mondiale, l’auteur a ainsi souhaité faire entrer en résonance le discours de son héros (dans toute la noblesse du terme) avec le présent qui fait la France d’aujourd’hui. Et, en premier lieu, de rappeler que certains acquis sociaux évidents pour nombre d’entre-nous ont été la production du Conseil National de la Résistance [3], au rang desquels figure la retraite par répartition, fleuron du modèle social à la française.
 
À ce titre, il ne manque pas de dire tout son étonnement quant à la méconnaissance du public rencontré lors de la tournée d’avant-première au sujet de cet héritage pourtant historique. Mais, au-delà de cet aspect essentiel, c’est surtout le pont jeté entre deux périodes éloignées de plus d’un demi-siècle qui importe le réalisateur. Ce dernier, par ailleurs, se veut ici pleinement engagé dans un acte militant dont la pensée tient dans cette déclaration centrale : « Et puis je pense qu’aujourd’hui, nous n’avons plus le droit de nous taire face à certaines dérives gouvernementales. La période me paraît grave. La population est de moins en moins cultivée politiquement, et les techniques démagogiques et populistes ont de plus en plus d’emprise sur elle. On assiste à une régression sociale, une diminution des libertés, un accroissement des inégalités, une récupération des symboles historiques, le tout bien emballé par une communication politicienne omniprésente, orchestrée de façon habile par notre président de la République. Je crois que notre rôle de documentariste est de montrer et de dénoncer la supercherie ».
 
Message sans ambiguïté aucune, même si l’auteur a dû se défendre haut et fort contre ses détracteurs qui, de la manière la plus malsaine, auront vu dans son propos un amalgame entre nazisme et sarkozysme. En effet, l’objet est ailleurs, puisqu’il se situe au plan de l’action politique en dénonçant le démantèlement annoncé des acquis sociaux par un néolibéralisme triomphant dont la crise actuelle n’aura eu pour conséquence directe que de retarder les ardeurs. Qui pourra nier cela, d’autant que certains apôtres appellent de leurs vœux la disparition pure et simple du modèle social français. Nul doute que le projet initial de Nicolas Sarkozy, magnifiquement incarné par l’emblématique loi TEPA instaurant un bouclier fiscal qui ne profitera qu’aux plus nantis des français, voulait aller dans le sens d’une thatchérisation de notre société.
 
Mais, c’était sans compter sur le séisme qui vient de secouer le monde, alors les propos maintenant se brouillent, pour se faire plus consensuels, plus doux, par peur d’une éventuelle explosion sociale. Mais ce n’est que partie remise, et tous les beaux discours sur la moralisation indispensable du capitalisme financier, avec son cortège d’indécences, n’y feront rien [4]. La mécanique est déjà relancée, les profits coulent de nouveau à flot, alors que toutes ces belles paroles s’envolent déjà vers le royaume des vœux pieux. Ainsi, vous comprendrez combien résister doit impérativement se conjuguer au présent avant que la machine infernale à générer des profits disproportionnés ne fasse qu’une bouchée des derniers velléitaires de la lutte pour un monde plus juste.
 
Ainsi, l’histoire que porte Walter Bassan évoque avec panache cet esprit de résistance indispensable au devenir du genre humain, puisque salvateur et porteur d’espoir. Alors, il faut reprendre en cœur « l’appel des Résistants » lancé le 8 mars 2004 par treize personnalités issues de la résistance française [5]. Déjà, ces sages s’insurgeaient contre les coups de bélier portés aux conquêtes sociales acquises au sortir de la seconde guerre mondiale, symbole de progrès pour l’humanité, tout en posant cette (im)pertinente question : « Comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes sociales, alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’Europe était ruinée ? » Mais encore, et bien au-delà de nos frontières, l’interrogation de valoir pour l’ensemble de notre globe où, faut-il le rappeler, un milliard d’individus se meurent de faim [6], alors que les nations les plus riches jettent à la poubelle une grande partie des aliments qu’elles produisent [7]. Lorsque l’absurde le querelle à l’indécence, la révolte n’est plus trop loin, son pas lourd gronde déjà à l’horizon.

De toute évidence, le discours de Walter Bassan porté à l’écran par Gilles Perret comporte une dimension merveilleusement universelle. La résistance doit désormais concerner l’ensemble de notre village global qui n’aura d’autre alternative que de produire un modèle nécessairement plus juste, inévitablement plus équitable, afin de tendre vers cet équilibre indispensable pour le devenir d’une humanité toujours plus nombreuse. Sans conteste, d’autres turbulences nous guettent, et elles ne manqueront pas de tous nous jeter dans le même panier, scellant à jamais nos destinées dans la notion supérieure de bien commun.

Il convient donc de résister, aujourd’hui tout autant qu’hier, afin de réduire l’espérance de vie de ce modèle dominant qui fabrique de l’injustice à l’échelle globale. Aussi, inspirons-nous de Walter et des autres, de toutes celles et ceux qui sont entrés en résistance contre un monde où le profit règne, tel un monarque absolu ayant droit de vie et de mort sur tout citoyen qui ne se plierait pas à son bon vouloir. Et puis, par-delà la résistance, n’est-il pas raisonnable d’imaginer que l’état actuel du monde induira, quoi qu’il en soit, une incontournable révolte globale qui ne manquera pas de faire table rase de toutes nos dérives afin de bâtir un monde autre, plus équitable, donc durable ?

[1] Le site consacré au film
[2] Auteur de 11 documentaires dont le très remarqué Ma mondialisation
[3] Le programme du Conseil National de la Résistance
[4] François Chesnais, Anatomie d’un effondrement, Le Monde diplomatique, novembre 2009.
[5] L’appel des Résistants
[6] L’état de l’insécurité alimentaire dans le monde 2008, FAO, Rome 2009.
[7] Observatoire Bruxellois de la consommation durable.
 

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10 réactions à cet article    


  • Paul Muad Dib 3 novembre 2009 11:19

    salut et merci de votre article...résistons ...mais a quoi ?
    l’idée de profit est derrière chaque humain, je pense..
    une remarque ,vous dites : monde plus juste, plus équitable...je n’y crois pas du tout a cette formule, il y aura ou pas, un monde juste et équitable ou ...rien ! il ne peut y avoir de demi mesure, sauf de penser a la force et dans un tel cas qui gagne en utilisant la force, la guerre ,le meurtre d’opposants, et plus.. ?
    tous les enfants qui vont a l’école apprennent a vivre dans un monde de compétition, ni juste , ni équitable, c’est déjà mal barrée, les adultes reproduisant a l’infini ce conditionnement sur les enfants qui consiste a privilégier certains, et donner plus a certains revient a enlever a d’autres..je pense..
    a tort ou a raison ? ainsi des l’école est enseigne le combat , s’habituer a vivre contre ,et non avec les autres..certains ont plus de capacités dans un domaine , oui et alors ?...ces gens doués de capacités ont ils crée un monde juste, équitable, harmonieux ? non, ils ont crée un monde violent,et barbare derrière le bling bling, un monde de haine, un monde qui se suicide lentement...tous coupables , actifs ou passif............
    nous en sommes rendu a des déclarations de bonnes intentions, demain ca ira.....
    ca fait des milliers d’annees que generations apres generations les humains se disent cela,
    non seulement ca ne va pas mieux ,mais le feu d’artifice attends l’allumette...et de mon point de vue ,je trouve que l’on ne s’occupe pas des causes réelles, de la racine du problème,dans notre cerveau , ca n’intéresse personne sauf exception(je ne parle pas de psy), car ca amène a s’occuper de soi même , de voir en soi même et non de constamment reporter la faute sur les autres, sur un système etc...le mal absolu est en chacun ,nous devons nous enfoncer dans ce sujet qui est en nous, remonter a la racine du mal , et l’ayant vu , savoir a ce moment si une transformation radicale est possible en chacun, donc pour la société qui est la résultante de 6 milliards d’interactions humaines..il est possible que des gens comme le bouddha parlaient de cela, nous devons devenir des éveillées, c’est a dire éveillés a ce que nous sommes,notion qui fait rire tout le monde quasiment, car nous ne vivons que d’une manière matérielle, en quête d’une sécurité absolue liée ,peut être a la peur de mourir, que notre cerveau pourtant fini ne veut pas voir, s’imaginant mériter une sorte d’immortalité que l’on retrouve dans les religions, immortalité promise qui ne rassure absolument personne, normal notre finitude est un fait que nous refusons, cette finitude est a jamais liée a la vie, pas de vie sans mort, pas de début sans fin, ainsi déconnectés du réel, de sa finitude , l’humain n’est pas non plus vivant ,mais plutôt une machine stupide plus proche d’un ordinateur que de la vie...une telle machine n’a pas de conscience autre que sa propre mémoire, nous non plus..c’est un point capital, car nous sommes tous séparés les uns des autres par nos expériences , nos désirs propres ,nos peurs et notre mémoire, ceci est le fait de notre cerveau analytique ou ego, qui ne pourra jamais que fonctionner comme cela ....
    alors on imagine que la somme des opinions va créer un monde sympathique..illusoire je pense.. !
    ca veut dire que pour la connaissance de tout cela nous devons absolument emprunter personnellement un chemin de connaissance personnelle tout en survivant, et enfin être libérer du fardeau de souffrance que chacun porte,même ceux qui vous disent que tout va bien, un pieux mensonge ,non ? je pourrais dire se libérer de cette croix que chacun porte..
    pour survivre donc, la nature a disséminé des talents variées chez les humains pour justement fonctionner comme un groupe et garantir une sécurité vitale matérielle a chacun, étant libérés de cette incertitude matérielle, il est alors possible de faire le chemin en soi , la liberté comme absolu n’est pas matérielle, elle est dans l’esprit , libre de conditionnements, libre des peurs, libre des désirs, libre de but a atteindre...se comprendre et se connaitre implique toutes ces choses..de mon joli point de vue.
    merci a ce post en tous les cas et salutations..


    • hans lefebvre hans lefebvre 6 novembre 2009 20:03

      Merci Paul pour votre commentaire étayé et désolé pour cette réponse tardive liée à une impossibilité personnelle. Vos observations sont pertinentes et je vous suis tout à fait dans vos propos sur sa propre personne, il faut d’abord résister à ses propres faiblesses !
      Bien à vous.


    • PhilVite PhilVite 3 novembre 2009 17:01

      Résister, c’est indispensable, mais ce n’est que la moitié du chemin.
      Ensuite, il faut imaginer et mettre en place autre chose.
      Quoi et comment ? Ces questions tournent sur une multitude de forums en ce moment, et je n’ai toujours pas trouvé le début d’une réponse satisfaisante.
      Pourtant, on sent comme une urgence, non ?


      • Christoff_M Christoff_M 3 novembre 2009 19:20

        Au niveau régional les cars financés par les régions entrent en concurrence avec les derniers trains des petites lignes, à part que le car met deux fois plus de temps...

        Une des conséquences des réformes souterraines et pas annoncées clairement d’un gouvernement qui se désengage sournoisement de ses missions de services, nous verrons d’ici peu le meme problème dans les postes...

        Résultat désertification rurale, concentration et stress accru autour des grandes villes, ou comment avoir une « masse » stressée et corvéable à merci, qui n’a plus aucun choix, à part payer pour etre plus pret de son lieu de travail...

        Agir avec quoi ?? est ce que nous sommes consultés sur l’Euro, sur les orientations de la France et décisions européennes, jamais... la démocratie sous Sarkozy a pris un tour spécial...

        Le pire c’est que nous avons moultes moyens, et si le bon sens et la discussions prédominaient nous ferions beaucoup d’économie pour la collectivité, or je dois bien constater depuis que je fais des enquetes terrains, aucune cohésion entre l’état et les régions, un hydre à deux tetes, si on y ajoute des oppositions entre barons locaux, on tourne à la gabegie et la catastrophe...

        Nous sommes en pleine regression avec une structure monarchique, et des barons régionanux qui cirent les pompes et ont un problème avec la notion d’appel d’offres... nous sommes sans arret alertés par la cour des comptes, condamnés par la commission européenne... or ce gouvernement bat tous les records de gaspillage, d’illogismes, de stupidié affichée et d’incohérences en tout genre...

        A croire que le conseil des ministres est un tirage au sort, une loterie ou l’on sort une loi et une opération de com associée en fonction de l’humeur de chacun... meme des gens de l’ump, des gens de droite du sénat commencent à tirer la sonnette d’alarme !!!

        Quelle conséquence, rien !!! nous avons au pouvoir, l’équivalent de dictateurs Nord Africains, regardez d’ailleurs l’opération de sabordement de l’opposition et des syndicats...
        Quand je vois des gens comme Borloo, Mam, Estrosi, Chattel, et autres sbires de Sarkozy s’écouter parler et traiter la moyenne des français comme des attardés, avec mépris, un petit rictus au coin de la bouche, je ne peux être qu’inquiet pour la démocratie...

        Contrairement à ce qu’on nous fait croire, l’accès à la représentation, à la parole, à la critique,
        est de plus en plus limité... on peut faire un parallèle avec la route ou sous Sarkozy nous allons bientôt transpirer de peur, surtout les banlieusards venant travailler à Paris, car opération « repression » à venir, on se demande comment on peut faire pire que ce qui existe actuellement en France...

        Madame Lagarde ou monsieur Sarkozy peuvent nous dire de bouger, on devrait leur envoyer nos notes de déplacements et nos éventuels radars... il est bien sur qu’en ayant un chauffeur et en pouvant se payer la proximité de Paris on peut donner des conseils aux autres... que fait d’ailleurs ce gouvernement à part donner des conseils, pondre des lois inappliquées et lancer des idées en l’air, genre plan com sur la réforme ou les réformes...

        Jamais un gouvernement ne nous aura couté aussi cher en plan com, en publicité gouvernementale, en expertises et réunions inutiles, en blabla promesses, en condamnations inutiles des anciens adversaires pour essayer de se donner une impression de morale, en sondages payés à prix d’or pour orienter l’opinion, sachant que les sondeurs ont des proximités douteuses avec le pouvoir...

        L’opération nettoyage du net fait partie des plans du gouvernement actuel qui n’arrête pas de parler de diversité et d’ouverture, entre deux gros mensonges diffusés massivement, certaines pratiques sournoises et subversives de l’équipe Sarkozy rappellent certains régimes totalitaires qui verraient en lui un digne successeur !! Le Pen avait raison, l’UMPS a brouillé les pistes, on attend toujours une réaction à la hauteur de Royal et Bayrou dont le comportement parait un peu léger....

        Monsieur Sarkozy l’usurpateur de la nation française a réussi son coup, lui continue à parader alors que nous avons largement dépassé les 3 millions de chômeurs !!
        Les rictus pédants de Estrosi et Lefebvre de cette démocratie bancale, nouveau centre d’affaire en projet dans la région de Nice, l’Epad du sud, a part ça il n’y a pas d’argent dans les caisses... nous n’avons rien à envier avec notre chère télé et notre cher président à la république vulgaire de la com de Berlusconi...

        J’oubliais l’escroc de la com et du business Segala, qui sent que les gourous du recrutement ont du mal à faire passer leurs salades démagos... qui nous ressort le QE qui n’est pas de lui, comme le Borloo qui découvre l’ampoule économique, dix ans après sa création, entre deux repas d’affaires et réunions inutiles de brassage d’air et de bonnes idées dégoulinantes...

        L’enfer démocratique est pavé de bonnes intentions, la France et l’Europe actuelle en sont les parfaites illustrations, et relisez bien Brave New World c’est le moment... une info pour vous aiguiller, Ford publie des résultats étonnamment bons en fins d’année après cette « terrible crise mondiale ».... les crédules peuvent encore croire ou se réveiller et se mettre à manifester... mouton de la dette ou citoyen manifestant et lucide vous avez le choix, mais dans le deuxième cas il faut assurer et assumer des conséquences de plus en plus lourdes !!


        • hans lefebvre hans lefebvre 6 novembre 2009 20:08

          Merci pour votre contribution développée et encore désolé pour la réponse tardive. Là encore suis tout à fait en accord avec vos observations et constate avec joie combien nous sommes encore un certain nombre à résister, à tout le moins contre le discours dominant et étouffant.
          Cordialement votre


        • Jicé Jicé 3 novembre 2009 20:07

          Vu ce documentaire en avant-première... Salutaire initiative que celle de Perret que de nous permettre de renouer avec une épopée qui s’est nourrie au meilleur de l’aventure et de la générosité humaine.

          Remarquable et si humble Walter Bassan, admirable Stéphane Hessel, témoins d’exception parmi d’autres qui aspirent à transmettre l’étincelle de la liberté, de l’humanité aux nouvelles générations...

          Leçon 1 à retenir pour notre difficile moment actuel : qui aurait pu imaginer que ces résistants, une poignée d’idéalistes, dans le contexte de l’époque (totalitarisme dominant, collaboration pétainiste et soumission résignée de l’immense majorité de la population), écriraient de leur énergie, de leur sang et très souvent de leur vie, les premières pages de la victoire et de la reconstruction ?

          Leçon 2 à méditer sur la nécessité de l’Histoire : il est un petit pays en Amérique centrale, qui sous le joug de gouvernements d’extrême-droite a banni l’Histoire de l’enseignement obligatoire dans les programmes scolaires... Allez savoir pourquoi ????


          • Marti 4 novembre 2009 08:44

            La loi TEPA n’instaure pas le bouclier fiscal, contrairement à ce qu’affirme l’auteur. C’est usant de relever cette erreur grossière dans la moitié des articles d’Agoravox.



            • zinia zinia 4 novembre 2009 09:46

              Merci et salutations
              Un article lucide et courageux.


              • hans lefebvre hans lefebvre 6 novembre 2009 20:19

                Mille remerciements Zinia !

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