Les commentaires de Miona

@Krokodilo
Le mettre à son programme, pourquoi pas... mais qui permettrait que ce droit d’asile devienne effectif ?
Les Américains ou les Anglais (qui ne sont plus liés à la France par les traités européens) le laisseraient partir en France, alors qu’ils le détiennent et veulent faire passer sur lui le rouleau-compresseur de leur Justice (pas la Justice de la France) ?

Destin carcéral ! 

 (^-^)

« dans une performance à la De Niro » et à la Keitel (Bad Lieutenant) ?

Quand la soumission se met au service des pires perversions, elle se transforme en compromission... ( ;_ ;) (X_X)

@Aimé FAY
(^_^) Merci pour cette réponse rassurante (^_^)

@siatom
Le Thalys ? très peu pour moi !
Je voyage sur un kahnasson ou en kahnoë... (O_o)

Aimé FAY : « Je viens de recevoir ma 2ème dose d’AstraZeneca » (28 avril 10:36)
 
Aucune intervention d’Aimé FAY depuis ce message...
Inquiétant, non ?

Je le verrais bien se fâcher tout rouge façon Mélenchon : Genghis Kahn, c’est moi ! O_ô

(^o^)

"En ce sens, non seulement Emmanuel Macron est un digne successeur de De Gaulle, mais également de toutes les figures du roi dont la République a été privée depuis plus de deux siècles."

(O_o) Sylvain Rakotoarison, le 30 avril 2021 (@_@)

(>_<) J’ai mal. J’ai mal. J’ai beau être matinale... j’ai mal (>_<)

@Trelawney
« Reprendre ou fonder un hedge fund, je vois que vous aimez jouer sur la dialectique. »
A priori, il n’a ni fondé ni repris le hedge fund... (ici ce n’est pas moi qui raconte des salades et joue sur la dialectique pour noyer le poisson... O_ô ) 
 
Il a été recruté comme un « simple employé » du hedge fund, dans lequel il a gravi quelques échelons pour aboutir à une position de « manager » d’un groupe d’employés du fonds. Et il a quitté ce job pour fonder sa boîte...
 

Bezos ran the « Third Market » group just prior to leaving to found Amazon.

His group was charged with creating an off-exchange market for listed equities by effectively competing with the NYSE. The idea was to make the bid-ask spread by crossing buy and sell market orders before they hit the floor of the exchange.

 

At D. E. Shaw, he was tasked with researching new business opportunities on the rapidly growing Internet. While researching, he read that the internet had grown 2300% in one year, and that number captivated him. He immediately saw the prospects of selling products online, and sought to leave. Despite Shaw’s best efforts to convince him to stay, Bezos was fixed in his vision. He left midway through the year meaning he missed his annual bonus, and set out to build Amazon.

I don’t know what Bezos’ title at DE SHAW was, but if it was “VP” it’s important to understand that in the finance world, “VP” isn’t a senior title. Virtually everyone who has three to four years of experience is a VP or AVP on Wall St.

@Trelawney
« Encore un qui a envie d’entendre ce qui lui plait. Il est orphelin de père ! »
Son père biologique était toujours bien vivant en 2013 :
The Astonishing Story Of Jeff Bezos’ Biological Father
 
Si son père était vivant en 2013, Jeff Bezos n’était donc pas orphelin de père en 1993... (>_<)
 
« Pour créer sa société il a fondé un hedge fund qui est une pratique courante aux USA »
Jeff Bezos n’a pas fondé le hedge fund dont je parle dans mon précédent commentaire... (il a été fondé en 1988 par David E. Shaw) (>_<)
Il n’a donc pas fondé ce hedge fund pour créer sa société... (>_<)
 
Etc... On va s’arrêter là, ça vaut mieux...  

@Trelawney
Il n’est plus orphelin, donc ? Tant mieux pour lui (^_^)
 
A 30 ans, il était « fourth senior vice-president » d’un hedge fund avant de créer sa boutique de vente de livres en ligne :

« In 1990 Bezos left Bankers Trust to join a newly founded hedge fund, D. E. Shaw & Co. At 30-years-old, Bezos became the hedge fund’s fourth senior vice-president. Bezos worked here until 1994 »

Ses parents lui ont bien donné environ $300,000 :

« He received an estimated $300,000 to invest in Amazon from his parents. »

Juste avec sa famille et ses amis, il lève $1 million (« help him raise $1 million »)...

Financièrement parlant, il part donc avec un beau pactole... Vu qu’en 1993-1994 on n’est pas encore dans la « bulle internet » (le site Yahoo est lancé en 1994)...

@Trelawney
"c’est par la nature propre et les origines de son fondateur (orphelin), qui n’a pas hésité à investir énormément au risque de tout perdre s’il se plante."
 
 Avec des parents (sa mère et son beau-père) qui pouvaient se permettre de claquer 300.000 $ (de 245k à 300k selon les sources) en 1994, pour aider le fiston à lancer sa boîte...
 Ça facilite beaucoup les choses quand ce n’est pas un problème pour tes parents de te prêter 300.000 $...

@VDJ
Merci pour cet article ! (^_^)
 
@sylvain
Par ici il y a un entretien (de 2h) très éclairant avec V. Dedaj sur l’affaire Assange.
 
Julian \(^_^)/ Assange !

@sylvain
Noir c’est noir ....... ( ;_·)

Un extrait de sa conférence (ou comment la 3ème classe « invisible » (« les pires d’entre tous les hommes ») se sert des 2 autres classes — « la majorité vertueuse » et la « classe vile » (les racailles d’en bas) — pour prospérer ) :
 

« Si on veut que les hommes, égoïstes par nature, se tiennent tranquilles, il faut les amener à modérer leurs appétences.
Avant, dans les anciens régimes, il y avait le joug, la servitude. Maintenant il faut employer la ruse.
Pour qu’ils consentent à obéir aux lois, il ne reste - c’est la rançon de leur égoïsme - qu’à les payer : « je te donne quelque chose et tu te calmes ». Ça fonctionne encore aujourd’hui...
Mais comme ils sont nombreux, et qu’il n’y aurait jamais assez d’argent pour les rémunérer, il faut les dédommager avec une monnaie qui ne coûte rien. En paroles, avec des flatteries... utilisant le fantasme de leur vertu. Cette façon de circonvenir les hommes constitue pour Mandeville l’essence du politique, le coeur de l’économie politique en démocratie.
De cette politique il résulte deux classes (au sens plus psychologique que sociologique) et un petit nombre auprès de qui cette politique de la flatterie n’est pas efficace. Et ils composent donc une classe d’individus courant sans cesse après les avantages immédiats, les jouissances immédiates ; la classe dangereuse donc : composée des bandits, voleurs, proxénètes, trafiquants... Donc une petite classe vile, d’irréductibles, qui est cependant forte utile car elle peut agir sur le reste comme un répulsif, qui permet donc la création en regard d’une large classe « vertueuse » composée de créatures qui pourront se targuer d’avoir réussi là où les premiers ont échoué. Nous voici donc avec deux classes...

Cette manipulation politique n’a qu’un but : créer une troisième classe, invisibilisée, composée dit-il des pires d’entre tous les hommes (les pervers). Cette troisième classe fait semblant d’obéir à la loi, dans un double but : profiter du prestige des vertueux et surtout tenir tout le monde tranquille afin d’en tirer tous les bénéfices possibles. C’est-à-dire que ceux de cette troisième classe simulent l’abnégation, en parlant comme ceux de la classe vertueuse, et dissimulent leurs penchants, notamment l’avidité, qui les rattachent à la classe vile, cela en prônant donc le bien public. Ils forment donc cette troisième classe d’ambitieux qui récoltent tous les bénéfices, font tourner les affaires et qui grâce à leur double-jeu peuvent gouverner avec facilité. Il leur suffit en effet de prêcher l’esprit de dévouement au bien public, pour mieux contraindre à l’abnégation et à l’honnêteté tous les autres, en les faisant au besoin bêler de concert contre la corruption... Ce qui permet ainsi de les faire travailler à leur service, afin de récolter tranquillement les fruits de leur labeur. »

@Clocel
Mandeville décrivait déjà ce phénomène en 1714 !
Dany-Robert Dufour explique cela dans son livre « Baise ton prochain ! Une histoire souterraine du capitalisme ».

@velosolex
 Norman Fieldman ?
Milton Friedman plutôt ?
Merci pour le conseil de lecture. ^0^

@Nicolas Kirkitadze
 ( ^_^)
 (fact-checking)
« cet article a été refusé trois fois » depuis le 23 décembre ?
C’est marrant parce que en demandant des précisions sur le délai de publication/refus des articles, ils m’ont répondu qu’un refus était signifié au bout de 10 jours (pas avant) passés en modération et la publication pouvait se faire à tout moment pendant ces 10 jours.
Donc votre article refusé 3 fois depuis le 23 décembre, ça ne colle pas... (fact-checking)

@velosolex
de Naomi Klein