Le 27 mars serait-il le point de départ voulu pour instaurer une des premières lois martiales ? NSD (no Sarkozy Day) = Onde violette (Révolution Orange ?) De quoi parle-t-on ?
Le 27 mars aura lieu une journée "No Sarkozy Day" calquée sur le "No Berlusconi Day" italien... No Machin Day (drôle de langue pour des mouvements non anglophones) Car ceux qui ont choisi ce nom pour ce mouvement n’ont même pas pensé une seule seconde que l’anglais est précisément la langue de l’ennemi qu’ils disent combattre, le capitalisme outrancier et le libéralisme sauvage. C’est la langue de Wall Street, Londres ou Washington tant adorée par Sarkozy « the AMERICAIN », ce n’est pas la langue du peuple français, pas plus que de tout autre peuple non-anglophone.
Comme en Italie et le stupide "No-Berlusconi-Day" leur ayant coûté une drastique réduction des libertés sur le net. Berlusconi ? C’est le Sarkozy italien, d’ailleurs ne s’est-il pas fait élire avec un slogan British ? "Inglese, Internet e Imprese" (anglais, Internet et Commerce). Le gouvernement Sarkozy, depuis plus de deux ans, a dangereusement laissé la France se faire envahir par l’anglicisme. CQFD : « No Machin Day c’est pas net » sur le Net... Il s’avère qu’après maintes enquêtes et analyses de tout ce mouvement, l’Etat est certainement derrière ce mouvement, comme ce fut le cas en Italie où la liberté d’expression s’est considérablement réduite pour les internautes (Confiscation des PC, coupure internet, et dans certains cas, arrestations.). Cette fois, les réactions du pouvoir risquent fort de devenir plus contraignantes si ce n’est plus dangereuses. En effet, le Traité de Lisbonne est entré en vigueur le 1er décembre. Ce qui change tout la donne ! Et que dit ce traité ? Le Traité de Lisbonne autorise à tuer des "émeutiers" !!! Le « No Sarkozy day », est un mouvement contrôlé pour créer ces conditions insurrectionnelles. Le 23, il y a eu une journée nationale de manifestation interprofessionnelle... Ce jour là, le NSD, a distribué des tracts pour appeler à manifester vers les Préfectures & Sous-Préfectures, Commissariat de police, Mairies, Tribunaux pour le 27 mars et vers les ambassades de France du monde entier.
Deux options se font jour : - Si le NSD obtient une forte mobilisation, il y a fort à parier qu’il y aura de la casse : Sarkozy sortira gagnant, renforcement des lois sécuritaires, voire loi d’exception (loi martiale) - Échec de la mobilisation : Sarkozy sortira une fois de plus gagnant, pas de mobilisation, les français sont donc satisfaits. Ce mouvement est entaché de mensonges, manipulations, diffamations, menaces et attaques sur la personne voire racisme (âge, religion etc ) , harcèlement téléphonique ! Bref, ce mouvement bafoue tout ce qu’il prétend défendre comme la liberté d’expression, le respect de la personne. Nous avons des centaines de témoins pour justifier nos dires. Il refuse les questions, les critiques. Il censure et banni quiconque pose des questions dérangeantes. Même la presse officielle refuse d’en parler ou de tenir compte des graves problèmes découverts autour des agissements du staff. Action Citoyenne avait annoncé son soutien au NSD. Nous étions en contact étroit avec les créateurs du groupe et le staff technique du NSD. Nous avons fait une communication officielle et nous nous sommes rendus à la conférence de presse à Paris le 1er Mars...
Nous avons été également en contact par téléphone avec l’un des membres du staff technique et dès le 1er contact, nous avons compris qu’il savait beaucoup de choses sur nous et sur les discours que nous pouvions tenir. Nous avons alors constaté sur la blogosphère : censure, plagiat, insulte et utilisations de personnes sans leur consentement. Nous nous sommes rendus à la conférence de presse du 1er mars et nous avons remarqué qu’il n’y avait aucun journaliste. Aucun de leurs soutiens n’apparaissent sur leur vidéo. Nous nous sommes exprimés à la fin de la conférence mais notre intervention n’apparait pas non plus.
Puis, nous avons tenté de nous exprimer à l’extérieur avec des personnes présentes, l’un des représentants du NSD est alors devenu réticent a la discussion et faisait tout pour mettre fin à la conversation. Nous avons par la suite posé des questions : Pourquoi le 27 et pas le 23 ? Pourquoi cette couleur violette comme la révolution orange organisée par les USA ? Pourquoi aucune des personnalités prétendues soutenir le NSD, ne s’est jamais exprimée ou a été présente sur aucune conférence ? Pourquoi cette manifestation avait pour but, au départ, de réclamer la démission du président Sarkozy et que ce n’est plus d’actualité ?
Tout ça, sur le forum du NSD, une heure après nous étions éjectés, commentaires effacés et bloqués ! Le NSD est un mouvement noyauté et sous contrôle d’agents de l’Etat. Ils veulent provoquer un climat insurrectionnel qui débouchera, comme le permet le Traité de Lisbonne, à une loi d’exception (Loi martiale). Le côté "brouillon" du NSD, masque la réalité et leur donne une forme de crédibilité, et de fait il attire les "moins " réfléchis, donc plus facile à entrainer dans la "casse". Ce mouvement qu’il marche ou pas, Sarko sera gagnant. Dernière chose : Pourquoi la presse officielle ne dit rien sur le NSD ? Le traité de Lisbonne autorise à tuer des "émeutiers" SOURCE AGORAVOX du 02 octobre 2009 Auteur de l’article Olivier Bonnet « Je suis journaliste indépendant (carte de presse N° 79839), diplômé en Droit et Sciences Politiques, formé en 1991 à l’Événement du Jeudi. Mon site, plumedepresse.info, nominé par le magazine Challenges dans les 7 meilleurs blogs politiques français, a déjà fait l’objet de référencements par Rézo.net, Wikipédia, la revue de presse (...) » En route vers la tyrannie « La peine de mort est abolie. Nul ne peut être condamné à une telle peine ni exécuté", proclame l’article 2 - 2 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Pourtant, ce texte est discrètement corrigé : "Selon l’article 6 alinéas 1 et 3 du Traité de Lisbonne, « les droits, les libertés et les principes » de la Charte sont à interpréter en fonction des dispositions générales du Titre VII de la Charte qui en définit l’interprétation et l’application ainsi qu’en tenant dûment compte des « explications » mentionnées dans la Charte et où sont indiquées les sources de ces dispositions", explique le professeur de droit allemand Karl Albrecht Schachtschneider, interviewé par le magazine Focus-Money (article traduit par Reporterre).
"Pourquoi tant de complication ?", l’interroge alors le journaliste, nommé Olivier Janich. "C’est pour dissimuler les choses. On ne présente aux députés que le texte du Traité, qui est de toute façon difficile à comprendre et beaucoup trop long", répond le juriste. Une pierre dans le jardin de Nicolas Sarkozy, qui a osé appeler Lisbonne "mini-traité" et "traité simplifié" alors qu’il est évidemment tout le contraire : long de 152 pages, contenant plus de 350 dispositions de droit primaire, auxquelles s’ajoutent 13 protocoles et 59 déclarations, et complexifié à l’extrême à dessein, pour qu’on n’y comprenne rien. Conséquence de ce camouflage sur le sujet qui nous occupe : la noble prohibition de la peine de mort est rendue caduque par "l’explication" suivante : "La mort n’est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d’un recours à la force rendu absolument nécessaire : pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale ; pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l’évasion d’une personne régulièrement détenue ; pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection" (article 2 - 2 de la Convention européenne des droits de l’homme) et "Un Etat peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre ; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions" (article 2 du protocole no 6 annexé à la CEDH). Réglons tout de suite le sort de cette dernière disposition : Selon l’explication, la peine de mort peut être introduite en temps de guerre ou de danger imminent de guerre. Il s’agit là d’un cas très théorique ", croit pouvoir avancer le journaliste de Focus-Money. "Vous croyez ? Ne sommes-nous pas en guerre en Afghanistan ? Qu’est-ce qu’un danger de guerre ? Qu’en était-il de la guerre en Yougoslavie ?", rétorque Karl Albrecht Schachtschneider. " Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que l’on puisse tuer illégalement et sans ordonnance d’un juge lors d’un émeute ou d’une insurrection. Qui définit cela ?", l’interroge alors Olivier Janich. Réponse : "C’est là le problème. A mon avis, les « manifestations du lundi » à Leipzig, en 1989, pourraient être qualifiées d’insurrection, comme pratiquement toute manifestation non autorisée.
Prenons les émeutes en Grèce ou les manifestations récentes de Cologne et de Hambourg. Il suffit que quelques « autonomistes » lancent des pierres." Chez nous, on songe aux émeutes de banlieue ou encore aux accrochages en marge du sommet de l’Otan à Strasbourg. Cette qualification d’émeute, qui autorise donc à s’affranchir de l’obligation de ne pas donner la mort, permet en réalité de rendre légale n’importe quelle répression sanglante. Difficile de ne pas croire que c’est justement le but poursuivi : sinon, pourquoi avoir pris la peine d’inscrire cette disposition dans un texte de plein droit, si ce n’est pour se ménager la possibilité de l’invoquer ? Cette idée est exprimée dans la fin de l’interview du juriste allemand (les questions de Focus-Money sont en italiques) : " Pouvez-vous imaginer une raison pour laquelle on prend ce genre de décision ? Les gouvernements s’attendent manifestement à des insurrections. Le scepticisme à l’égard des gouvernements et de l’appareil européen ne cesse d’augmenter. La crise financière et économique accentue la pression sur la population. Donc on a l’intention de tirer sur les manifestants ? C’est ce qu’il semble. Que peut-on faire contre ça A mon avis, le Traité de Lisbonne justifie la résistance, également parce qu’il sape la démocratie. A quelle forme de résistance pensez-vous ? Par exemple à des manifestations et à toutes les formes d’opposition publique, à la voie suivie par Gandhi.
Manifestations qui vont être qualifiées d’insurrections. Cela évoque les dictatures. Le terme de dictature est impropre mais très usité. Depuis la République romaine, on la définit comme une législation de l’état d’urgence d’une portée limitée dans le temps. Je parlerais plutôt de despotisme, lequel peut dégénérer en tyrannie. D’ailleurs, si en octobre les Irlandais acceptent le Traité de Lisbonne, la peine de mort sera rétablie." Sur le volet anti-démocratique de Lisbonne enfin, faisant écho à notre article de décembre 2007 Traité européen : le foutage de gueule officiel, Susan George (membre du Conseil scientifique d’Attac), Aurélie Trouvé (coprésidente d’Attac) et Michael Youlton (coordinateur de la campagne irlandaise pour le non au Traité de Lisbonne), ont publié hier une tribune sur Rue89 : "Les gouvernements européens se sont ainsi mis d’accord sur des changements cosmétiques à la Constitution pour qu’elle soit plus facile à avaler » : voici ce que Valéry Giscard d’Estaing disait en 2007 du Traité de Lisbonne, frère jumeau du Traité constitutionnel européen (TCE).
Le 2 octobre prochain, les Irlandais iront voter sur un traité rejeté trois fois, par les Français, par les Néerlandais et par eux-mêmes. En France et aux Pays-Bas, ce traité a pu finalement être adopté en privant les citoyens d’un nouveau vote et en le confiant aux parlementaires. Mais en Irlande, une disposition constitutionnelle oblige, pour toute modification significative des traités européens, à une consultation préalable du peuple par référendum. Voilà donc le gouvernement irlandais obligé de faire revoter des citoyens qui ont « mal » voté en juin 2008. (...) quand des centaines de travailleurs de Dell se voient licenciés suite à une délocalisation en Pologne, M. Barroso accourt immédiatement pour distribuer des carottes avant le référendum : quelques millions d’euros pour la formation et le reclassement. Ceci afin que ne soit pas soulevé le fond du problème, une Europe du libre-échange sans processus d’harmonisation sociale vers le haut et où les entreprises se délocalisent là où les règles sont les moins contraignantes. (...) Les partisans du oui mettent en avant ce soutien de l’Union européenne, mais se gardent bien de dire qu’il est conditionné à des coupes drastiques dans les programmes sociaux et les fonds publics, qui poussent des milliers d’Irlandais à manifester en ce moment. (...) Si les électeurs irlandais disaient non pour la seconde fois, cela pourrait au moins offrir l’opportunité de mettre en débat, avec l’ensemble des citoyens, le contenu d’un nouveau traité, qui puisse réellement résoudre les problèmes sociaux, écologiques et démocratiques auxquels est confrontée l’Union européenne." Situation explosive du 27 Mars 2010 Le Traité de Lisbonne est un véritable danger pour nos libertés. Il y a aujourd’hui un paradigme sécuritaire qui enferme et enchaine de plus en plus le droit du citoyen au profit de l’ordre public.
Le point alarmant dans ce Traité parmi tant d’autres est bien celui relatif aux libéralités accordées à l’Etat en cas de situation exceptionnelle. A partir du moment où on laisse l’appréciation discrétionnaire de l’Etat dans son champ d’action, celui-ci peut se constituer comme une menace à l’encontre de ses propres citoyens. Le fait que le Traité de Lisbonne prévoit des cas d’émeutes et d’insurrections est révélateur de l’inquiétude croissante des gouvernements sur la montée en puissance des protestations citoyennes. Mais le pire et le plus grave, alors que Sarkozy nous a vendu ce Traité comme un texte pour le peuple, il est au contraire un texte pour l’Etat. Désormais, il est admis au niveau de l’élite européenne que l’appréciation de l’Etat aura la primauté sur l’appréciation du citoyen. C’est le plus grave car à partir du moment où nos gouvernements signent ce genre de Traité qui prévoit des dispositions violentes contre ses propres citoyens alors nous pouvons le prendre comme une véritable déclaration de guerre à nos libertés. Dans le cas d’une manifestation qui pourrait déborder, rien n’empêche les forces de l’ordre maintenant de tirer dans le tas s’ils "s’estiment" en situation d’émeute ou d’insurrection.
Ce que nous dénonçons aujourd’hui, c’est ce risque de situation explosive pour le samedi 27 Mars 2010, qui nous le savons, a été mis en place sciemment par l’Etat. Ils veulent des débordements entre les la multitude des regroupements appelés à manifester. C’est un test grandeur nature pour Sarkosy et son gouvernement. Action Citoyenne s’oppose donc rigoureusement à cette manipulation par l’instrumentalisation du mouvement "No Sarko Day" et la tentative, par exemple, de la mise en épouvantail du Collectif Cheikh Yassine qui a fort heureusement annulé leur manifestation du 27 Mars 2010 (cf.Communiqué du Collectif en date du 23 Mars 2010 sur leur blog « soutien-palestine »). Pourquoi l’Etat veut réunir le même jour plusieurs manifestations ? Alors que nous savons pertinemment les débordements voire la violence que peut engendrer l’antagonisme fort probable entre une partie des participants de chaque collectif. Il y a bien là une volonté délibérée de l’Etat de réunir toutes les conditions d’insécurité lors de ces manifestations.
Le 27 Mars 2010 pourrait bien être un test grandeur nature "d’un recours à la force rendu absolument nécessaire" et "pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection" comme le mentionne le Traité de Lisbonne. Si des débordements se produisent et prennent une ampleur conséquente, Sarkozy aura réussi son projet de manipulation pour faire passer ses lois oppressives conformément en application du Traité de Lisbonne. Action Citoyenne se bat contre ces méthodes et désire porter le débat au niveau national pour retirer la France au plus vite de ce Traité de la honte. Liste non-exhaustive des participants du 27 Mars 2010 : -Le No Sarkosy Day -La GUPS – Union Générale des étudiants de Palestine – à Paris qui au vu "de la situation dans les territoires Palestiniens occupés, le danger qui pèse toujours et de manière accrue sur la ville de Jérusalem, ses habitants et son patrimoine (notamment les lieux Saints), le couvre-feu imposé sur les villes de Cisjordanie appelle à une grande manifestation Samedi 27 Mars à 14h au départ de Barbès.
Premiers signataires de l’appel de la GUPS : APF (Association des Palestiniens en France), Association de Jumelage entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises,Génération Palestine ,CVPR-PO (comité de surveillance pour une paix réelle au Proche-Orient) ,Collectif Faty Koumba ,CIPPP,NPA ,Saint Ouen Solidarité Palestine , Respaix Conscience Musulmane, Reveil des Consciences , PIR , IJAN ,AAW ,centre Malcolm X ,la Courneuve Palestine, Peace Breather, Reveil des consciences,Marxistes unitaires -Le collectif Ni pauvre Ni soumis -Le Réseau éducation sans frontières (RESF) qui manifestera également dans plusieurs villes dont Lyon, valence, Marseille -Manifestation des anti Fascistes -Sur le forum Anarchiste révolutionnaire MARCHE puis BLOCAGE du CENTRE DE RETENTION de St Jacques de la Lande à Rennes et participation à l’action Ni pauvre Ni soumis -Collectif des SDF et mal logés notamment à Strasbourg -Le CNRBE appelle à participer à une journée nationale d’action contre le fichage des enfants . Il invite parents, enseignants, citoyens, collectifs locaux, syndicats, associations à s’emparer de cette journée afin d’organiser toutes sortes d’actions, de manifestations, de réunions publiques, de débats, de soirées de soutien. Ainsi divers groupes aux orientations opposées vont se retrouver dans la rue en même temps et aux mêmes points stratégiques des plus grandes villes de France ( Paris, Toulouse, Lyon, Marseille etc..).
De fait, Action Citoyenne considère que l’Etat cherche à manipuler ses citoyens et se bat contre ces méthodes d’un autre temps et nous désirons porter le débat au niveau national et nous exigeons un référendum d’initiative citoyenne pour nous prononcer sur ce traité imposé par voie parlementaire. Action Citoyenne