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MH370, vers une disparition non conventionnelle ?

Ma passion pour l'aéronautique, l'électronique, l'informatique et mes activités dans le domaine des drones et des systèmes de contrôles et de pilotage automatiques, mais aussi mon insatiable curiosité dès lors qu'il s'agit de problématiques technologiques m'ont naturellement fait m'intéresser au dossier MH370, le Boeing 777-200ER disparu le 8 mars 2014 quelques heures après son décollage depuis Kuala Lumpur, Malaisie vers Pékin, Chine.

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Dès les premières minutes, je n'ai pas cessé de suivre de près toutes les évolutions dans le dossier, ayant conscience de ses lourdes conséquences à venir dans l'industrie aéronautique, probablement en matière de sécurité, mais pas uniquement.

L'intrigue ne cessant pas de s'amplifier, les contradictions des autorités toujours grandissantes, j'ai alors décidé de me rendre en Asie dès le 25 mars 2014, j'étais à Dubai échanger des points de vue avec des pilotes de 777-200ER, puis le 4 avril 2014 à Bangkok pour rencontrer d'autres passionnés et j'ai aussi passé du temps là bas avec des spécialistes chinois pour obtenir leur feed-back et les traductions de toutes les communications originales des médias et des officiels. Par chance, mes amis ingénieurs à Kuala Lumpur sont restés étroitement en contact avec moi pour évoquer la moindre information qui ne serait pas parvenue jusqu'à moi.

On nous explique que le Boeing 777-200ER de la Malaysia Airlines aurait « disparu de tous les radars » civils, mais également militaires.

Immédiatement après avoir entendu que l'avion avait disparu des radars militaires, j'ai conclu auprès de mon entourage et dans mes réseaux qu'il en était fini de cet avion.

En effet, qu'un avion « disparaisse » d'un écran radar civil est assez plausible dès lors que le transpondeur ait été intentionnellement ou accidentellement coupé et cesse de communiquer son identification et ses coordonnées, mais que dans le même temps les militaires ne le localisent soudainement plus rend la situation terriblement plus dramatique en général.

Quelle surprise quand on nous apprenait ensuite que l'avion avait été détecté ultérieurement à d'autres endroits géographiques, ce qui laissait entendre qu'il aurait continué sa route « de façon furtive », sans aucune détection militaire vers une destination inconnue, avec plusieurs changements de route au passage.

Quand on connaît le fonctionnement des radars militaires, on ne peut que douter de tout ce qu'on nous raconte ensuite.

Le fonctionnement d'un radar militaire est le même partout sur la planète, la technologie est largement éprouvée, le système radar émet une puissante impulsion électrique dans l'espace par un balayage intelligent et bien ordonné, qui va potentiellement à la rencontre de tout objet dans l'air « ayant une réaction électromagnétique avec le signal émit depuis le radar », le rebond de l'impulsion électromagnétique sur la matière de l'objet va alors renvoyer le signal vers le radar, qui va pouvoir calculer (à partir de l'effet dit « Doppler-Fizeau » et de quelques autres paramètres) ses coordonnées précises, on va également pouvoir évaluer la nature de l'objet rencontré (est-ce un avion, petit ou gros, un missile, ou autre chose). Ce fonctionnement est la base commune de tous les radars, tous les objets volants de fabrication humaine sont considérés avoir une résonance à ce type d'impulsion électrique (puisqu'ils sont tous fabriqués avec un minimum de matériaux réagissant électromagnétiquement), on est certain de pouvoir détecter absolument tout dans l'espace autour d'un radar, même un petit missile qui évoluerait à grande vitesse.

Les appareils volants qui résistent aux radars militaires sont appelés « avions furtifs », ils sont conçus pour que les ondes électromagnétiques des radars « glissent » sur eux ou soient « absorbés électroniquement ou dynamiquement », et ne raisonnent pas, les ondes ne peuvent à priori pas y rebondir, il a fallu des dizaines de milliards de dollars aux Américains pour mettre au point quelques appareils furtifs (F-117, B-2 et F-22 par exemple). Ces avions ne sont d'ailleurs pas invisibles, ils ne font qu'atténuer énormément leurs émissions électromagnétiques (qu'on appelle aussi « signature électromagnétique »), ce qui les rend potentiellement indétectables électroniquement à l'immense majorité des radars.

En ce qui concerne notre Boeing 777, non seulement l'avion n'a naturellement aucune capacité furtive, mais en plus il est l'un des objets les plus facile à identifier par un radar militaire, même de technologie ancienne, compte tenu de son énormité (environ 70m de long, 540m2 de surface et 300 tonnes) et des matériels utilisés qui ont une « signature électromagnétique » vraiment très spécifique.

En plus de la Malaisie et sans compter les moyens de surveillance satellitaire des grandes puissances militaires, les autres pays voisins (tels que la Chine, le Vietnam, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge, l'Indonésie) disposent de radars militaires dont les technologies sont largement suffisantes pour identifier un 777 même si son transpondeur avait été coupé (un avion de ligne, même si son transpondeur est coupé, reste bien entendu détecté et suivi par les radars militaires, les routes empruntées étant récurrentes, figées et connues, les militaires comprendraient immédiatement ce qui se passe lorsqu'un avion civil quitte une route habituelle, et l'alerte serait quasiment immédiate, puis après quelques minutes, des intercepteurs en alerte permanente et dont c'est la mission seraient envoyés au contact, c'est une procédure appliquée dans tous les pays modernes).

L'administration de la Défense Aérienne au Vietnam confirmait d'ailleurs dès le 9 mars 2014 avoir bien enregistré le vol MH370 sur ses radars aériens (l'avion était censé suivre normalement sa route dans l'espace aérien Vietnamien, au contact avec Ho Chi Minh Airport) avant qu'il ne fasse un changement de cap et retourne supposément vers Kuala Lumpur. Il entrait alors à nouveau dans l'espace aérien supervisé par les militaires Malaisiens, où le droit de regard ne peut pas être Vietnamien théoriquement, et légalement.

Le dernier contact radar (par l'aviation civile) était à 01:21MYT 6°55'15''N 103°34'43''E.

Deux choses. L'avion ne communiquait déjà plus à ce moment avec les autorités, le contact était totalement rompu, il représentait potentiellement une menace pour la Malaisie où il semblait se diriger. Les autorités Vietnamiennes ont indiqué avoir capté un signal de détresse très caractéristique d'un ELB « Emergency Locator System » alors que l'avion était loin au sud-ouest de la pointe du Vietnam (potentiellement au milieu du Golfe de Thaïlande, pas forcément dans une zone où le Vietnam avait une autorisation de surveillance légale). Le Vietnam s'est d'ailleurs rétracté assez rapidement et on n'a plus entendu parler de ce signal d'urgence, cette information était pourtant tellement importante. Nous avons appris très tardivement (vers le 19 avril 2014) que l'avion était équipé de 4 balises ELB autonomes situées à 4 endroits différents à bord (pour s'assurer qu'au moins une balise déclenche un signal en cas d'avarie sur l'appareil en vol), toutes opérationnelles, et non pas une seule comme il avait été évoqué.

Le dernier contact radar (militaire) était à 02:15MYT, 200 miles au nord-ouest de Penang.

Je considérais donc qu'à ce stade, et compte tenu des éléments dont nous disposions, la disparition du vol MH370 des radars militaires était un élément suffisant pour considérer que l'avion avait été matériellement détruit au dernier point connu d'un radar militaire (donc vraisemblablement dans la zone de contrôle Malaisienne), ce qui explique l'absence totale de traces sur les radars militaires a posteriori de la dernière trace connue, et qui explique également le signal de détresse émit par au moins une balise ELB détectée par le Vietnam, même si ce dernier s'est rétracté officiellement.

C'était sans compter sur la société Britannique Inmarsat (opérateur de satellites privés de communication) et le AAIB qui ont, quant à eux, sur la base de leurs informations incomplètes et de calculs algorithmiques audacieux jamais ni éprouvés ni validés par le passé, conclu que le 777 avait continué son vol de façon automatique (sur pilote automatique donc), soit sur une « route du Nord vers l'Afghanistan » ou sur une « route du Sud vers l'Océan Indien ».

Personne n'a officiellement remis en question ces fameux « pings » satellitaires captés par Inmarsat qui pourtant ne sont a priori « pas signés », pas indiscutablement identifiés et pouvaient donc en toute logique provenir d'autres avions.

Inmarsat n'a en effet jamais confirmé que le signal électronique détecté était un message du type « je suis le système de communication satellitaire ACARS du vol MH370, d'ailleurs vous pouvez m'identifier à l'aide de mon identifiant unique inviolable et faire le lien avec l'avion Boeing 777-200ER immatriculé 9M-MRO, système ACARS qui d'ailleurs est déconnecté et ne va rien vous transmettre mais je suis toujours en veille, et je suis toujours actif à bord, la preuve » mais plutôt du type « je suis un système ACARS en veille à bord d'un avion quelque part ».

Rapidement, la route du Sud a tout de même été privilégiée par les Malaisiens et les Américains (la route du Nord étant considérée très étroitement surveillée, l'avion n'aurait pas pu passer inaperçu or il n'y a aucune trace).

Les recherches en mer se sont rapidement concentrées exclusivement et massivement sur une toute petite zone cible, supposée être la meilleure option pour y retrouver l'avion (option basée exclusivement sur les calculs réalisés par les ingénieurs de chez Inmarsat qui ont élaboré seuls ce fameux algorithme qui n'avait à priori jamais été utilisé auparavant et jamais validé scientifiquement, à partir de « pings » satellitaires, leur raisonnement est séduisant, mais plein d'incertitudes mathématiques et physiques).

Des « pings » acoustiques ont ensuite été captés par les Chinois et les Australiens à deux endroits différents dans la zone cible, puis d'autres, tous mobiles. Les autorités, confortées, ont alors très rapidement communiqué sur le fait qu'il s'agissait des boîtes noires, sans trop de précaution, les militaires étaient très sûrs d'eux, Chinois et Australiens menaient la chasse en mer et le premier qui trouvait l'avion était sûr d'être un grand champion technologique.

J'ai été le premier à remettre en question l'authentification de ces « pings » des boîtes noires compte tenu de l'énorme risque de les confondre bien malencontreusement avec des signaux spécifiques de Grands Cachalots de l'Océan Indien dont l'habitat naturel était précisément à l'endroit des recherches en mer (théorie d'ailleurs reprise et partagée par le Professeur Hervé Glotin, CNRS, Université de Toulon, spécialiste mondial en bioacoustique, voir http://glotin.univ-tln.fr/mh370whale).

Le 21 avril 2014 ma thèse initiale de la disparition de l'avion au dernier point de contact radar militaire est donc potentiellement confortée par le fait que depuis la disparition de l'avion, aucun débris n'a jamais été retrouvé dans l'Océan Indien, pas même dans la zone cible, et il n'existe absolument aucune trace de l'avion, ni immatérielle, ni matérielle en dehors du dernier point de contact entre le Golfe de Thaïlande et la Mer d'Andaman (et dans la partie sous contrôle Malaisien) qui remonte à quelques heures après le décollage de l'avion le 8 mars 2014.

Très actif sur Twitter où j'y commente en temps réel l'évolution du dossier, j'ai depuis été contacté par certains spécialistes en électronique qui suivent l'actualité de l'armement et des contre-mesures et qui considèrent qu'il existe peut-être une technologie qui pourrait rendre furtif n'importe quel appareil civil, à partir d'un « brouillage électronique des signaux radars » et un contrôle électromagnétique des signaux renvoyés par l'avion aux radars conventionnels terrestres et aériens. Selon moi, si cette technologie existe, elle repose nécessairement sur un dispositif très conséquent qui aurait dû être embarqué dans l'avion, constitué d'ordinateurs très puissants, des systèmes de contre-mesures électromagnétiques, des systèmes d'antennes, de nombreux éléments seraient visibles de l'extérieur de l'avion et auraient nécessité des installations très spécifiques et du personnel hautement qualifié à bord de l'avion, à l'insu du commandant de bord.

Je n'ai jamais pu me résoudre à la furtivité de l'avion et je me suis résolu à penser que rien de conventionnel n'était arrivé.

 

Qu'est-ce qui peut faire disparaître un Boeing 777 instantanément ?

Nous savons qu'il n'y a pas eu d'explosion au sens habituel du terme (détonation depuis l'intérieur de l'avion qui aurait endommagé la structure au point de le faire se disloquer et s'écraser), il n'y a officiellement pas d'enregistrement d'une explosion sur les radars acoustiques aériens de plusieurs pays et de plusieurs institutions (dont les installations spécifiques de l'ONU qui surveillent l'espace aérien dans le cadre du « TNP » traité sur la non-prolifération des armes nucléaires). Aucun débris n'a par ailleurs été repêché en mer.

Le scénario d'un missile qui aurait détruit l'avion est peu probable également car il laisserait une signature radar spécifique, des traces chez les militaires dans toute la région, au point d'origine, et au point d'impact, et surtout également des débris auraient été repêchés. Les Américains n'auraient pas pu ne rien observer. Une telle attaque criminelle aurait probablement été d'origine terroriste (bien que l'avion aurait été détruit à plus de 30000 pieds, hors d'atteinte des missiles terrestres mobiles), faisant les choux gras de tous les gouvernements agressés et de leurs médias respectifs.

De toute évidence, plus de 6 semaines après la disparition du 777, je considère que la disparition de l'avion n'est pas due à une action conventionnelle.

Ce que je veux dire c'est que, quel que soit l'évènement qui a permis à l'avion de disparaître furtivement, qu'il soit resté intègre ou qu'il ait été désintégré, les moyens déployés pour obtenir un tel résultat ne peuvent pas être conventionnels et ne correspondent à rien d'habituel.

Deux grandes thèses deviennent alors plausibles, bien que très spectaculaires elles ne doivent pas être considérées comme conspirationnistes, leurs explications sont rationnelles, je vais les évoquer sans pour autant entrer dans les détails compte tenu de l'extrême sensibilité des domaines associés.

 

La thèse de la prise de contrôle total de l'avion.

Le Boeing 777 n'est pas n'importe quel avion. C'est le premier Boeing à être entièrement contrôlé par un logiciel à bord (comme Airbus d'ailleurs, qui a fait ce choix stratégique en premier dans l'histoire de l'aéronautique), un système de pilotage entièrement électronique et informatique, il n'y a plus de commandes directes, tout est numérique, toutes les commandes mécaniques sont pilotées par des systèmes informatiques, et une seule fibre optique est utilisée à bord pour transporter toutes les informations numériques de tous les éléments de l'avion sans exception, c'est d'ailleurs la fierté de Boeing.

Pour faire simple, le pilotage d'un avion tel que le 777 est réalisé entièrement à partir d'un logiciel, et le cockpit intègre toutes les interfaces de ce logiciel, dont les commandes numériques de tous ses différents modules (moniteurs, claviers, sticks, pads, interrupteurs, etc.).

Tout miser sur l'électronique et l'informatique rend en principe l'avion très vulnérable à une défaillance logicielle, accidentelle, involontaire, mais aussi volontaire, et Boeing a toujours insisté sur le fait que de « puissants pare-feux » sur les ordinateurs à bord, leur « multiplexage » et leur « redondance » permettent une sécurité absolue et totale. L'informaticien que je suis depuis plus de 25 ans, et ancien hacker, sait bien qu'un tel discours ne passe pas auprès des spécialistes en sécurité informatique, mais admettons.

En principe, et officiellement, Boeing et Airbus conçoivent leurs systèmes de sorte que le pilote est en mode « superadmin » dans le système, c'est à dire qu'à aucun moment l'ordinateur ne décide in fine, le pilote reste maître de toutes les décisions, jamais l'ordinateur n'a de droits supérieurs au pilote, même en pilotage automatique, en cas d'anomalie soudaine, l'ordinateur rend spontanément la main au pilote humain, et dans toutes les phases sensibles (décollage et atterrissage notamment), le pilote reste maître des commandes et des décisions.

Une façon « simple et logique » de prendre le contrôle d'un avion serait envisageable avec ce qu'on appelle le mode « override ». Pour faire simple, le logiciel du système de vol accepterait des ordres d'un niveau supérieur « ayant des droits supérieurs » à ceux du pilote et du copilote qui pourtant étaient considérés comme les seuls « maîtres à bord ». Ce mode aurait la faculté d'outrepasser tous les ordres et commandes du pilote, voir même de ne plus du tout ni les prendre en compte, ni les considérer. Le pilote et son copilote seraient face à un logiciel qui ne leur répond plus, qui ne leur permet plus d'avoir le moindre contrôle sur le moindre module de commande de l'avion, quoi qu'ils tentent, quoi qu'ils fassent sur l'interface, et ils assisteraient, complètement frustrés et paniqués à quelque chose qui se déroule seul sous leurs yeux, qu'ils n'ont jamais envisagé et à quoi ils n'ont jamais été formés. Un tel scénario n'est tout simplement pas prévu dans les formations de pilotage sur 777.

Ces « ordres de pilotage » qui outrepassent le pilotage humain pourraient être transmis depuis l'intérieur de l'avion (logiciel malveillant spécifiquement élaboré pour l'occasion et préchargé dans le système de vol par exemple) ou depuis l'extérieur (liaison informatique satellitaire), la reprogrammation du système de vol serait alors un jeu d'enfant pour qui sait comment « dialoguer » avec le « core system » (le cœur informatique, le système central) de l'avion.

Ce n'est pas de la science fiction... Pour s'en convaincre, il suffit de s'intéresser au programme ASTRAEA (http://astraea.aero) ou aux programmes Européens, Américains ou Anglais (sur les innovations liées aux UAV (systèmes sans pilotes) et de voir le niveau de réflexion très avancé (et je parle là des informations accessibles au grand public, c'est dire où ils en sont en réalité) de certaines organisations internationales en 2014 sur le sujet.

Dites-vous bien que le système de pilotage automatique d'un Boeing 777 est tellement technologiquement abouti qu'il peut faire atterrir l'avion absolument seul sans aucune intervention humaine et même dans des conditions dégradées. Cette technologie d'atterrissage automatique n'est validée dans aucun pays au monde, c'est pourquoi elle n'est jamais utilisée, mais c'est totalement au point, et déjà depuis plus de 15 ans !

En adhérant à la thèse de la prise de contrôle, et compte tenu des technologies qui sont mises en œuvre, on devra également accepter l'idée que d'autres technologies permettent cette « relative mais objective furtivité » de l'avion ainsi contrôlé. La finalité dans le cadre du dossier MH370 qui nous occupe sera alors soit d'envoyer l'avion au beau milieu de l'Océan Indien mais pas là où tout le monde l'a cherché (laissant ainsi tous les passagers et les pilotes à leur triste sort sans aucun moyen de communiquer avec l'extérieur ni de ne jamais plus pouvoir reprendre le contrôle de l'appareil) ou de le faire atterrir quelque part (sans que les pilotes n'aient eu à aucun moment le contrôle de quoi que ce soit sur les opérations), mais dans ce cas, quid des passagers et de l'équipage...

 

La thèse de la désintégration (« atomisation ») de l'avion.

Dans le monde de la Défense et des technologies d'Armement, il y a un sujet absolument verrouillé et classifié, c'est celui des « armes à énergie dirigée » (les « DEW » pour Directed-Energy Weapons dans le jargon). Depuis un peu plus de 10 ans, de nombreux pays (dont les USA, l'Angleterre, Israël, la France, la Russie et même la Chine) travaillent d'arrache-pied pour mettre au point de nouveaux jouets militaires qui permettent d'envoyer une quantité absolument hallucinante d'énergie électromagnétique en un point plus ou moins large, à très grande distance, et de façon dynamique.

Ces énergies prennent généralement la forme d'un laser ou de micro-ondes et sont toujours électromagnétiques et de très forte intensité. Elles sont « dirigées » car leur « canon émetteur » est techniquement en mesure de pointer une cible avec une très haute précision, même si cette cible est mobile, le canon est alors associé à un radar de suivi en temps réel qui réajuste automatiquement le dispositif sur la cible.

On dit que les « armes à énergie dirigée » sont plus prometteuses que l'armement nucléaire (qu'elles sont amenées à remplacer à terme). De telles armes sont indétectables, ne laissent aucune trace au point d'origine, sont invisibles a priori, sont souvent compactes et donc mobiles, inoffensives pour leurs opérateurs, sont silencieuses et leurs dégâts ne ressemblent pas à ce qui est connu jusqu'à présent.

Le champ d'application des armes à énergie dirigée est très vaste, le terme « DEW » regroupe tous les types de systèmes, de telles technologies, selon la nature et la puissance énergétique, peuvent aller de l'incapacité d'un groupe d'humains (dont on veut avoir le contrôle), sans aucune action létale, jusqu'à la « carbonisation » (je préfère le terme « atomisation », mais les deux termes sont très forts et seront mal acceptés) d'un immense objet constitué de matière, dont l'action est létale à 100%.

Selon les usages, les armes à énergie dirigée peuvent être très petites, mais peuvent aussi être de très gros canons électromagnétiques. Ils sont généralement mobiles, embarqués dans des éléments militaires maritimes ou aériens, rarement terrestres à ce jour et à ma connaissance.

Là non plus, ce n'est pas de la science fiction... Pour s'en convaincre encore une fois, et à l'heure où j'écris ces lignes, un bâtiment Américain (l'USS Ponce) embarque officiellement l'une des toutes premières armes à énergie dirigée au monde, il s'agit d'un « LaWS » (pour « Laser Weapon System ») qui est spécialement conçu pour désintégrer un objet en vol, comme un drone par exemple (annonce officielle http://navylive.dodlive.mil/2013/04/10/solid-state-laser-gun-to-be-placed-aboard-uss-ponce). Pour l'USS Ponce, il ne s'agit pas de faire des essais, l'arme est de notoriété publique désormais, en opération au large du Golfe Arabique officiellement. Personne dans le public ne connaît le potentiel ni la puissance maximale de cette arme.

La caractéristique des dégâts causés par les plus puissantes armes à énergie dirigée est véritablement saisissante. La matière est « carbonisée », « atomisée », l'impact électromagnétique est tel qu'il « désintègre » la matière à très grande vitesse, un peu comme la réaction physique d'une mèche de pétard, sans flamme, sans explosion, sans trace, sans réaction particulière autre qu'une sorte de combustion spontanée. Les éléments matériels sont réduits à l'état primaire, probablement de petits résidus de matière carbonique. Si l'objet est en l'air et en mouvement, on peut parfaitement imaginer que même à très grande vitesse, le rayonnement électromagnétique de l'arme pouvait « suivre » son objet ciblé jusqu'à l'avoir très largement désintégré, et plus il est éloigné, plus c'est facile...

Je n'ai aucune difficulté à imaginer qu'une arme à énergie dirigée puisse permettre la désintégration d'un avion de ligne en vol. Je suis même convaincu qu'un tel dispositif existe déjà quelque part même si je ne sais pas quelle armée dispose de telles technologies.

J'ai beaucoup de mal à accepter l'idée qu'une telle arme puisse être utilisée, même par erreur,

Objectivement, je ne pense pas qu'une organisation terroriste puisse mettre en œuvre une telle technologie.

Mes thèses ne sont pas fantaisistes et ceux qui s'intéressent à toutes ces questions seront d'accord avec moi, mais j'espère me tromper, j'espère que l'Histoire me donne tort, j'espère qu'on va retrouver très vite des débris de l'avion et qu'on puisse résoudre l'énigme du vol MH370 avec un dénouement plus acceptable pour l'opinion publique, par un cheminement d'évènements beaucoup plus habituels et conventionnels qui pourront être expliqués, documentés et permettre d'améliorer la sécurité du transport aérien.


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116 réactions à cet article    


  • TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE 22 avril 2014 09:30

    DEMANDONS A LA CIA ET A L US AIR FORCE

    ils connaissent bien la route POUR DIEGO GARCIA

    on ne retrouvera rien  tout a été nettoyé

    • Ariane Walter Ariane Walter 22 avril 2014 10:06

      Merci. Passionnant. Et certainement très juste. 

      Quant à l’attitude des autorités Malaysiennes, elle est plus que louche... Je pense à ces textos envoyés aux familles quand des débris avaient été trouvés, lesquels débris n’ont rien donné, mais qui permettait de dire qu’il n’y avait aucun survivant ! Il fallait le faire...
      Un grand mystère qui n’a pas fini de faire parler...

      • framart 22 avril 2014 10:47

        pourquoi aucun média n’a t il enquêté sur les aveux tardifs de la Malaysian concernant un chargement de batteries au lithium ? c’est un produit dangereux dont le transport est interdit sur un vol commercial. Un empoisonnement lent dû à des fumées toxiques est un scénario plausible également, le pilote ayant alors tenté de rebrousser chemin avec une fausse manœuvre pour le transpondeur ca il aurait été en perte de conscience.


        • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 12:26

          des batteries lithium-ion sont transportées quotidiennement sur des milliers d’avions, en cargo ou en cabine, en réalité, même s’il elles représentent un risque, il semble que ça ne soit pas la meilleure thèse, sauf à ce que la boîte noire puisse être repêchée et nous démontre l’inverse, ce que j’espère d’une certaine manière.


        • morice morice 22 avril 2014 11:33

          Là non plus, ce n’est pas de la science fiction... Pour s’en convaincre encore une fois, et à l’heure où j’écris ces lignes, un bâtiment Américain (l’USS Ponce) embarque officiellement l’une des toutes premières armes à énergie dirigée au monde, il s’agit d’un « LaWS » (pour « Laser Weapon System ») qui est spécialement conçu pour désintégrer un objet en vol, comme un drone par exemple (annonce officielle)...


          eu ça ne marche que par beau temps.... et ce jour là il ne faisait pas beau temps :les nuages auraient empêché le tir !!!.

          pour ce qui est de « l’atomisation’ c’est de l’ordre de la foutaise : on cherche à échauffer le réservoir d’essence du missile ou du drone, pas à le détruire : il explose par échauffement, mais on est loin, très loin du terme »atomiser" !!!

          toutes les tentatives de faire du laser une arme sont des échecs car le refroidissement du bidule pompe une énergie dingue. Il n’y a aucune raison à retenir cette thèse hautement fantaisiste, donc.

          • morice morice 22 avril 2014 11:35

            J’ai été le premier à remettre en question l’authentification de ces « pings » des boîtes noires compte tenu de l’énorme risque de les confondre bien malencontreusement avec des signaux spécifiques de Grands Cachalots de l’Océan Indien dont l’habitat naturel était précisément à l’endroit des recherches en mer (théorie d’ailleurs reprise et partagée par le Professeur Hervé Glotin, CNRS, Université de Toulon, spécialiste mondial en bioacoustique, 


            les cachalots n’émettent pas dans la gamme de fréquences détectées....

            • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 12:24

              confrontez vos arguments directement à notre spécialiste mondial en bioacoustique qui pense l’inverse... j’ai pris soin d’indiquer le lien dans la publication.


            • morice morice 22 avril 2014 11:37
              La caractéristique des dégâts causés par les plus puissantes armes à énergie dirigée est véritablement saisissante. La matière est « carbonisée », « atomisée », l’impact électromagnétique est tel qu’il « désintègre » la matière à très grande vitesse, un peu comme la réaction physique d’une mèche de pétard, sans flamme, sans explosion, sans trace, sans réaction particulière autre qu’une sorte de combustion spontanée. Les éléments matériels sont réduits à l’état primaire, probablement de petits résidus de matière carbonique. Si l’objet est en l’air et en mouvement, on peut parfaitement imaginer que même à très grande vitesse, le rayonnement électromagnétique de l’arme pouvait « suivre » son objet ciblé jusqu’à l’avoir très largement désintégré, et plus il est éloigné, plus c’est facile...

              là c’est du pur délire de SF... aucun engin actuel au laser n’est capable de faire ça...à distance et avec ce résultat : ils chauffent à distance et c’est TOUT.... délire complet là.

              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 12:47

                Les canons lasers sont tellement du délire que les américains les utilisent déjà dans le cadre de la lutte anti missiles.


                Evidemment, d’AUCUNS qui sont d’ailleurs les PIRES ... BRANQUIGNOLS de ce site n’en ont évidemment JAMAIS entendu parler : a croire qu’ils IGNORENT jusqu’à l’existence de wikipedia !


                Sans parler d’autres informations .... 


                D’AUCUNS devraient ... APPRENDRE A LIRE .... BON SANG !



              • bourrico6 22 avril 2014 12:51

                Les canons lasers sont tellement du délire que les américains les utilisent déjà dans le cadre de la lutte anti missiles.

                Alors pour le coup, je te suggère d’aller voir le texte signé Morice à ce sujet, parce que là, tu racontes un peu de la merde.
                En fait, on pourrait presque te prendre pour une plaquette publicitaire.


              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 12:58

                Et en plus il y a aussi celle là qui a déjà abattu une roquette du Hamas , mouvement que d’AUCUNS ... IDOLATRENT !



                Rater ça, c’est carrément la ... HONTE  !

              • bourrico6 22 avril 2014 13:04

                T’espère démontrer quoi avec ton lien qui pointe dans le vide ? smiley


              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 13:04

                Zallez me dire que déjà oser écrire que les Talibans sont des résistants il fallait oser alors, hein, une connerie de plus ou de moins hein ...




              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 13:08

                Mon lien ne pointe pas dans le vide, il suffit juste de suivre le lien nautilus système d’arme.


                Mais je constate que tu n’en n’avais manifestement pas entendu parler ...

                C’est pourtant célèbre non ?

                Avant ça s’appelait THEL et puis MTHEL ...


              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 13:28

                Mainant ils appellent ça nautilus et dans six mois ce sera encore un autre nom.


                Mais ça fonctionne en conditions réelles, vla la copie de l’article :

                Le Nautilus est un laser développé à des fins militaires. C’est un projet israélien commençant début 1990, capable d’abattre des roquettes. Il fut plus tard financé par les américains. Le nom officiel est MTHEL (en anglais : Mobile Tactical High-energy Laser) ou laser mobile et tactique à haute énergie.

                Historique[modifier | modifier le code]

                À l’origine, les Israéliens ont débuté le projet seuls. Ils conçurent d’abord le radar d’acquisition, puis le laser. Mais les premiers tests sont désastreux. Les Israéliens ouvrirent donc le projet aux Américains.

                Le nouveau projet démarre en 1995 en coopération avec Northrop Grumman. L’objectif premier de l’Armée israélienne est de contrer les fameuses roquettes Katioucha, mais l’armée américaine veut aussi prendre en compte n’importe quelle menace volante (Obusroquettesmissiles et avions).

                Northrop Grumman Space Technology, en devient le maître d’œuvre avec la collaboration des firmes Elbit, Electro-Optics Industries, Israel Aerospace Industries, MBT Systems & Space Technology, Tadiran et du Centre de développement de moyens de combat Raphaël. Cette collaboration fait évoluer le programme (le THEL devient MTHEL, M pour Mobile) et permet la mise au point du Nautilus.

                En 2000, le THEL (la première version n’était pas mobile) abattit sa première roquette Katioucha.


                voilà, en ce qui me concerne, c’est pas du ... RIEN.

                J’ai également lu que les chleuhs avaient récemment développé un truc dans le genre mais c’est pas encore dans wikipedia, ou alors sous un nom que j’ignore ...

                Mais, comme qui dirait, la mode est au laser même si ça fait un peu penser à de la science fiction. 

              • morice morice 22 avril 2014 15:59


                Sans parler d’autres informations .... 

                franchement, renseignez-vous donc sur leur manque d’efficacité PATENT : l’engin a été retiré du service !


                ne pas le savoir et poster c’est grave en effet ...

              • morice morice 22 avril 2014 16:00

                 micro ondes.


                le problème est que cette arme à « micro ondes » n’existe même pas alors, c’est encore plus simple !

              • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 18:01

                Il a été retiré du service parce que les THEL et autres projets sont nettement plus porteurs....


                Plus petits, moins chers et tout ça ...

                Il n’y a qu’à suivre les liens que j’ai fourni pour se rendre compte à quel point les militaires y croient à fond, contrairement à ...CERTAINS...

              • bourrico6 23 avril 2014 13:05

                pour se rendre compte à quel point les militaires y croient à fond

                C’est ça ton argumentaire ?
                Tu veux une liste des conneries auxquelles les militaires ont cru à fond ?

                La théorie physique est une chose, la mise en oeuvre une autre, la théorie d’une bombe A tient sur une page, le mise en oeuvre fut le projet Manhattan.

                Et si tu rajoutes le coté militaire, il faut en plus qu’il puisse opérer en condition dégradée, et être servi et entretenu par du personnel militaire.

                Je passe les soucis de propagation dans l’atmosphère.


              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 22 avril 2014 12:19

                Bonjour ,pour la polémique « remise des gaz » ,il me semble qu’il s’agissait du crash d’Habsheim ,http://www.crashdehabsheim.net/synthese%20globale%20les%20moteurs.htm.
                http://youtu.be/Yk-Hy83k2Nk.
                Pour le Mont St Odile ,erreur de navigation en approche ...
                http://dai.ly/xsnbl0.
                Les moteurs ne répondent pas immédiatement ,temps de réaction 8 secondes ...
                Sinon pour l’article ,une chose me parait étonnante c’est qu’avec les progrès en batteries ,les boites noires n’émettent toujours que 30 jours ,comme il y a ...30 ans !


              • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 12:23

                vous avez raison à propos des boîtes noires qui émettent 30 jours, à noter tout de même qu’une recommandation FAA de 2012 va être appliquée à partir de janvier 2015 pour porter la durée à 90 jours... nul doute qu’après MH370 beaucoup de choses vont changer dans le domaine des données de vol...


              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 22 avril 2014 12:47

                En même temps les 2 lieux sont proches .
                Et pour la cécité ,un ballon de riesling pour Marc ! De l’eau ...pfff...


              • Croa Croa 22 avril 2014 18:37

                Tu confonds l’accident du Mont St Odile avec celui d’Habsheim !


              • Croa Croa 22 avril 2014 18:46

                Pour le Mont St Odile, L’avion est aussi en cause mais pour d’autres raisons, les systèmes ayant mal interprété les variations de dérives dans un environnement montagneux et à cause d’un temps épouvantable. (Officiellement c’est la faute des pilotes et comme il ne fallait pas savoir la vérité on a laissé crever les survivants, l’avion étant finalement trouvé pas des journalistes !)


              • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 22 avril 2014 18:52

                On a laissé crever les survivants ...Ben voyons ...


              • Croa Croa 22 avril 2014 22:58

                Référence (payante mais ça vaut la peine.)


              • bourrico6 22 avril 2014 12:14

                (à partir de l’effet dit « Doppler-Fizeau » et de quelques autres paramètres)

                Attention, les radars à effet doppler ne sont pas une généralités.
                Leur particularité est de détecter les objets en mouvements (éloignement/rapprochement) grâce à l’effet doppler qui va décaler le fréquence du signal dans un sans ou dans l’autre selon les cas.

                Ils sont utiles pour détecter les cibles vers le bas, car on peut alors extraire le signal décalé du bruit de fond du au sol, qui lui n’est pas décalé.


                • bourrico6 22 avril 2014 12:16

                  « Cette technologie d’atterrissage automatique n’est validée dans aucun pays au monde, c’est pourquoi elle n’est jamais utilisée ! »
                  Elle est tellement “jamais utilisée” qu’elle est obligatoire depuis au moins une trentaine d’années sur les avions de ligne en atterrissage par très mauvaises conditions météo.

                  L’aterrissage en automatique et le guidage ILS ne sont pas la même chose.


                • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 12:21

                  comprenons bien que j’évoquais là en effet un mode d’atterrissage « full auto » sans aucune intervention humaine à aucun moment... chose qui ne se pratique jamais sur 777 à ma connaissance...


                • bourrico6 22 avril 2014 13:00

                  C’est bien ce que je corrigeait oui, l’auteur du commentaire que je cite semble mélanger les deux.

                  Le full à ma connaissance est plus que réalisable, vu qu’un a fait atterrir un avion en automatique sans commande de vol, uniquement aux moteurs.
                  Seulement très peu de plateforme et d’avions sont équipés.

                  Par contre, l’ILS et tout autre système de guidage sans visibilité existent depuis au moins la WW2


                • bourrico6 23 avril 2014 13:13

                  Désolé pépère mais ça ne fait pas de toi une divinité, vu le nombre d’expert qui racontent n’importe quoi, je prends pas ça pour un argument.

                  Donc oui, ça se fait, pas ça n’est pas une généralité, contrairement à ce que tu laisses entendre.


                • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 12:27

                  l’auteur semble oublier la piste la plus probable, à savoir la destruction délibérée de l’appareil par les deux pilotes pour le compte d’une organisation terroriste quelconque qui avait des comptes à régler avec la Malaisie.


                  Il n’y a qu’à voir comment les autorités malaises communiquent sur cette affaire pour se rendre compte qu’ils cachent des informations sensibles à un point tel qu’on se demande s’ils ne font pas l’impossible pour qu’on ne retrouve jamais les boites noires de l’avion.


                  • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 12:36

                    votre remarque est indiscutable.


                  • bourrico6 22 avril 2014 13:01

                    la piste la plus probable

                    Ceci par contre est plus que discutable.


                  • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 13:11

                    la thèse du suicie est hautement polémique en effet, et aucun élèment ne peut venir la corroborer à ce stade.


                  • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 13:19
                    C’est pourtant l’hypothèse la plus probable : une sorte d’avertissement à la Malaisie pour qu’elle change d’attitude vis à vis de je ne sais quel groupe terroriste vraissemblablement islamiste qui s’estime injustement incompris et/ou insuffisamment subventionné par rapport à ses rivaux, parce qu’à ce niveau là, on ne peut pas dire que la Malaisie est un pays qui se caractérise par son attachement indéfectible à la laïcité et au rejet de l’islamisme le plus obtus ... vu qu’ils ont financé et armé ( zétaient pas les seuls non plus, hein ) tout ce qui voulait faire le djihad aux quatre coins de la planète.

                    Et , dans ces conditions, on imagine aisément qu’ils n’ont pas envie de mettre ça sur la place publique.

                    Si on retrouvait les boites noires pour y entendre des gugusses allakbarer en plantant l’avion ça les foutrait on ne peut plus mal...




                  • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 13:36

                    Faut bien se rendre compte que dans les autres cas les pilotes auraient envoyé des signaux de détresse à la pelle.


                    Vu qu’ils ne l’ont pas fait c’est que la destruction de l’appareil était VOULUE.

                    Donc l’attentat est la piste la plus probable.

                    Surtout que quand les militaires veulent faire joujou avec leurs armes dernier cri, ils utilisent des cibles construites exprès pour ça.




                  • morice morice 22 avril 2014 16:02

                    l’auteur semble oublier la piste la plus probable, à savoir la destruction délibérée de l’appareil par les deux pilotes pour le compte d’une organisation terroriste quelconque qui avait des comptes à régler avec la Malaisie.


                    ah ouais ? des kamikazes alors. Enfin pas des bons, car ils se seraient fait Hara-Kiri dans la flotte alors qu’ils pouvaient s’écraser sur une ville en bons kamikazes...

                    ça ne tient donc pas debout votre thèse.

                  • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 18:09

                    Sur une ville ou dans la flotte, qu’est ce que ça change : ils ont viandé tout un appareil et comme je l’ai dit c’est vraissemblablement un avertissement à la Malaisie.


                    Une ’tite tape sur les doigts avant de passer à la vitesse supérieure dans le genre un avion planté dans la tour Petronas si les autorités Malaises ne font pas amende honorable.

                    Il y a comme qui dirait un malaise en Malaisie ...

                  • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 18:14

                    Outre le fait que al Zawari a demandé à ses potes de mieux mesurer la conséquence de leurs actes vu les réactions des cibles.


                    Zont du penser que de planter un avion dans la mer c’est moins grâve que de le planter dans une tour ...

                    Les islamistes sont des malades mentaux shootés au carnage comme on le voit tous les jours en Syrie où ils ne résistent pas à leurs pulsions d’étaler leurs crimes contre l’humanité sur youtube à défaut de passer à la téloche.

                  • Croa Croa 22 avril 2014 19:01

                    « ça ne tient donc pas debout votre thèse. »

                    Sauf si nous avons affaire à un suicide raté-réussi ! smiley (Ils se sont bien tués mais pas là où ils voulaient.)


                  • Petrus Amritam Romanus Petrus Romanus 22 avril 2014 20:09

                    Le commentateur ne semble pas être conscient que son estimation de « piste la plus probable » - à savoir "la destruction délibérée de l’appareil par les deux pilotes pour le compte d’une organisation terroriste quelconque qui avait des comptes à régler avec la Malaisie" - n’est qu’un jugement arbitraire qui ne fait que refléter l’état d’esprit de terreur qui l’habite et qu’il projette gratuitement sur l’esprit - a priori innocent - des pilotes.

                    Il convient de ne pas négliger la piste de la propagande de séparation et de guerre qui sert les intérêts industriels et financiers des fabricants et marchands d’armes quant à l’origine de cet état d’esprit pathologique et sa prévalence dans la populace des prétendus états démocratiques.

                    Prêter gratuitement à autrui des intentions de nuire est pathologique, par définition.


                  • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 21:17

                    Ouais, ben si c’est pas un acte volontaire, pourquoi les pilotes n’ont pas envoyé des messages d’alerte ?


                    Après, on dira ce qu’on voudra sur tout et n’importe quoi, mais il me semble que quand on est le pilote d’un avion en perdition la première chose qu’on fait c’est d’appeler au secours, ne fut ce que pour dire dans quelle zône est l’avion et où il va se planter.

                    Donc, vu que les pilotes n’ont rien dit, c’est qu’ils ont planté VOLONTAIREMENT l’avion.

                    Ou alors les autorités malaises font de la rétention d’informations depuis le début vu que le dernier message sensé avoir été reçu c’était juste un souhait de bonne nuit de la part des pilotes à la tour de contrôle.

                    Il me semble dés lors que l’hypothèse des pilotes kamikazes soit la plus vraissemblable, sinon ils auraient fait état de la prise de contrôle de l’appareil par un commando ou d’un début de problèmes techniques. Mais là, le dernier message c’est juste un bonne nuit paisible, pas un appel au secours parce qu’il y a une grosse merde technique ou politique.



                  • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 21:29

                    Et quant aux intentions pathologiques, je ne fais que préter aux riches : il n’y a que les islamistes qui détournent et/ou plantent des avions depuis 20 ans ...alors quand un avion a des problèmes de ce genre il est parfaitement naturel qu’ils soient les premiers dans le viseur ....


                    Outre le fait que j’ai du mal à comprendre qu’un individu civilisé essaye de prendre la défense d’un islamiste qui est par définition un ennemi assumé du reste du genre humain, mais bon, on finit par avoir l’habitude hein.

                    Zallez me dire que vous êtes aussi un athée comme l’autre gugusse mais que pour rien au monde vous n’écririez malgré tout que le vil et mensonger coran n’est qu’un ramassis de mensonges malgré que la base de l’athéisme repose sur le fait que les divinités n’existent pas et que dés lors les prophètes sont obligatoirement des menteurs ...





                  • morice morice 24 avril 2014 19:19

                    Donc, vu que les pilotes n’ont rien dit, c’est qu’ils ont planté VOLONTAIREMENT l’avion.`
                    ` vous n’en savez rien.


                    • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 13:50

                      oui, il y a un gros débat entre spécialistes radars, ceux qui affirment que les radars militaires n’ont pas nécessairement pu voir un 777 sur toute sa route, même près des terres, et ceux qui disent que les radars militaires actuels ont nécessairement dû voir l’avion.

                      il n’y a pas consensus actuellement, et même moi, je suis perplexe au milieu.

                      néanmoins, si un radar militaire n’est pas en mesure de suivre, identifier et localiser un 777, la sécurité est donc très loin d’être assurée contre toutes les menaces aériennes inopinées.


                    • foufouille foufouille 22 avril 2014 15:48

                      il y a un plancher radar ou pas ?


                    • vachefolle vachefolle 22 avril 2014 17:54

                      Bien sur que les radars militaires peuvent voir un boeing !!, mais il faut encore que le radar soit en marche, qu’il alimente le centre de contrôle, (réseau en marche+système en marche), et qu’il y ait des contrôleurs reveillés, et pas en train de jouer aux cartes ou de lire le journal.

                      Si leur système était en maintenance ou en panne (ils vont pas le crier sur les toits) l’avion se promène tout seul.

                      Sans parler que pour intercepter l’avion, il faudrait lancer la chasse, donc réveiller 1 ou 2 généraux,... Prenons l’exemple de l’armée suisse qui n’a pas pu intercepter un avion de ligne car c’était en dehors des heures ouvrables (7h-17h) (sic il y a quelques mois).


                    • Croa Croa 22 avril 2014 23:18

                      La piste de Vachefolle est excellente. Il est presque impossible en effet que des radars militaires n’aient pas vu l’avion et il est très probable que cette surprenante anomalie a été mal gérée... Et que font toutes les armées du monde lorsque leurs personnels n’ont pas été à la hauteur ?

                      (Le truc devient top secret.) 


                    • Gasty Gasty 22 avril 2014 14:14

                      « La thèse de la prise de contrôle total de l’avion. »

                      Mon avis si c’est le cas, la prise de contrôle puis la direction donnée à l’avion ne prévoyait pas un retour possible à partir d’un certaine limite. Peut être que pendant ce temps, des négociations étaient en cours. Pourquoi ne le saurait-on pas ? Parce que en ce moment tous les 777 sont des cibles potentielles.

                      Alors il doit aussi y avoir en ce moment beaucoup d’activité autour des 777.

                      Ou rien !


                      • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 14:16

                        il y a en ce moment une intense activité dans toute l’industrie à propos de MH370, pas seulement autour du 777 mais aussi du 787 et de tous les Airbus pilotés informatiquement... partout dans le monde, des checkups sont réalisés pour vérifier d’innombrables aspects informatiques.


                      • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 22 avril 2014 14:17

                        pour vous dresser le tableau, dans l’industrie aéronautique, en ce moment on ne dort plus depuis MH370...


                      • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 14:43

                        Ce qui prouve bien qu’on a affaire à un attentat et pas juste un bug fortuit.


                        Avant, les pirates de l’air prenaient le contrôle de l’avion et négociaient avec les autorités, et puis on leur a envoyé des unités spéciales d’intervention dés qu’ils sont posés et ils perdaient à tous les coups, ce qui fait qu’ils ont modifié leur technique et que maintenant ils anéantissent les avions avec le commando qui est à bord, voire qu’ils parviennent à manipuler mentalement les pilotes pour ne plus devoir recruter un commando suicide qui ne passera peut être pas les contrôles de sécurité.

                        La manipulation mentale des pilotes me semble la solution la plus évidente compte tenu du savoir faire avéré des groupes islamistes actuels en la matière.

                        En plus vous sous entendez qu’il est peut être possible à des personnes extérieures à l’avion d’en prendre le contrôle via l’électronique embarquée et de piloter l’appareil à sa guise ou de le reprogrammer pour que l’appareil accomplisse un programme donné à partir d’un certain laps de temps, ce qui permet de ne plus devoir fanatiser des pilotes ou des commandos mais juste de concevoir un programme à placer dans l’ordinateur de l’avion, à ceci près qu’il ne doit pas y avoir grand monde qui doit être capable de faire ça de nos jours vu que ce genre de technologies ne sont pas dans le domaine public, ce qui impliquerait qu’ils disposent d’un complice qui a travaillé dans la conception des dits programmes alors qu’en théorie les personnes qui ont bossé là dessus sont screenées en permanence pour leur éviter des tentations financièrement intéressantes mais néanmoins funestes à moins que vous ne pensiez à du hacking pur et dur qui parviendrait à faire du rétroengineering complet du programme mais pour ça il faut être surhumain au minimum.



                      • vitassio jeremy 22 avril 2014 14:43

                        Oui bon, il ne s’agit que de la disparition d’un avion dans un océan qui a vu tellement de navires disparaitre. A bord une bande de bipèdes uniquement préoccupés par leurs problèmes personnels. Pas de quoi fouetter un chat !
                        @morice depuis le 11 sept, plus rien ne devrait nous surprendre, et pourtant !


                        • vitassio jeremy 22 avril 2014 14:56

                          J’irai jusqu’à dire que la destinée d’un avion est de s’écraser, si l’on considère le poids phénoménal de cet objet, et la gravité terrestre qu’il doit affronter.
                          Plutôt que considérer un incident(terrorisme/jalousie)/accident(panne/négligence) comme l’exception ne devrions-nous pas le considérer, non comme la règle, ce serait exagérer j’en conviens, mais comme une possibilité probable car inhérente à ce mode de transport. Comme la noyade en cas de naufrage. Car il est beaucoup plus rare de s’écraser en bateau, voyez-vous ?
                          En voiture, par contre, contre un mur, c’est possible...
                          Ainsi chaque mode de transport comporte son risque. Se promener à pieds aussi. Des gens se font écraser, eux, plutôt que de s’écraser.
                          C’est notre politique du zéro mort qui remet en cause un fondement de notre participation à la vie dans le grand Tout.
                          Je vais m’arrêter là car autrement je sens que je vais écrire un livre chiant.


                        • Petrus Amritam Romanus Petrus Romanus 22 avril 2014 19:51

                          Qu’est-ce qui vous permet d’affirmer avec mépris « à bord une bande de bipèdes uniquement préoccupés par leurs problèmes personnels » ?

                          Etiez-vous sur piste au moment de la fermeture des soutes que vous auriez constatées vides ?

                          Etiez-vous dans les pensées de tous les passagers ?


                        • Mowgli 28 avril 2014 08:23

                          « vitassio jeremy (---.---.174.136) 22 avril 14:56

                          J’irai jusqu’à dire que la destinée d’un avion est de s’écraser, si l’on considère le poids phénoménal de cet objet, et la gravité terrestre qu’il doit affronter. »

                          Et moi j’irai jusqu’à dire que la destinée de la Lune est de s’écraser, si l’on considère le poids phénoménal de cet objet, et la gravité terrestre qu’il doit affronter. Alerte ! Les femmes et les enfants d’abord !


                        • vachefolle vachefolle 22 avril 2014 15:12

                          Je crois qu’on peut faire plus simple, sachant que l’incompétence est une cause de problèmes bien plus fréquente que le machiavélisme.

                          Hypothèses les plus simples basées sur la bêtise humaine :
                          Les deux iraniens sont effectivement des terroristes et détournent l’appareil pour aller se crasher spécifiquement vers l’europe ou Israel (meme si c’est trop loin, rien n’indique qu’ils le savent, c’est deja arrivé ce genre de gag !). Franchement que personne ne s’etonne de voir 2 iraniens avec de faux passports monter dans un avion, ca me laisse pantois !

                          Les militaires malaisiens dorment devant leurs écrans durant le survol de l’avion, ou bien avaient des equipements en panne ou en maintenance a ce moment la. Ils ne réagissent donc pas (franchement très très probable en temps de paix si l’avion ne se dirigeaient pas explicitement vers une zone sensible). Rappelons que les militaires ne disposent pas systématiquement des informations des civils (normalement si, enfin si tout marche...).

                          L’avion est mis en autopilote vers une destination sud (pas forcement lointaine).
                          A un moment donné une révolte des passagers ou des pilotes abouti a un carnage. Dépressurisation tuant tout le monde, par exemple. Plus de pilote a bord.

                          L’avion continue sa route jusqu’a epuisement de son coco et plonge.

                          Toutes ces étapes etant deja arrivées individuellement, le scénario global est le plus simple. Reste a retrouver l’avion a 5000m de profondeur, c’est pas gagné.

                          Effectivement ce scénario devrait laisser des débris visibles, mais comme il y a une mer de débris dans cette zone, difficile d’identifier ceux d’un avion.


                          • vachefolle vachefolle 22 avril 2014 17:58

                            Moi je trouve la thèse du piratage informatique bien fumeuse.
                            D’une part rien ne dit que le Boeing etait equipé de ce genre de contrôle, qui n’est pas encore loin d’etre autorisé par l’aviation civile !!, mais meme encore faut-il le pirater.

                            Le piratage ne pourrait avoir lieu que de l’intérieur de l’avion, pour des raisons de portée de com, donc quel est la plus value par rapport à un bon flingue en savon pour détourner l’avion ? Moins de compétence nécessaire, efficacité identique.


                            • Petrus Amritam Romanus Petrus Romanus 22 avril 2014 19:42

                              « Rien ne dit » est un bien bel argument pour réfuter...

                              « Des raisons de portée de com » : ne pilote-t-on pas depuis la Terre des petits robots sur la planète Mars ?

                              Pourquoi se faire connaître sur la liste des passagers, pourquoi se déplacer à Kuala Lumpur pour monter à bord, pourquoi prendre le risque d’être détruit avec l’objet, pourquoi prendre le risque que le chantage au « flingue » ne prenne pas... alors qu’il est si facile - quand on dispose de la technologie de prise de contrôle à distance - de l’utiliser discrètement et de l’éprouver ?

                              Pourquoi la bombe sur Nagasaki après celle sur Hiroshima ?


                            • Mr Mimose Mr Mimose 22 avril 2014 18:12

                              C’est un article intéressant et en effet on sent bien qu’il y a quelque chose de louche dans cette disparition et dans le cafouillage dans les recherches qui s’ensuivent ! Cependant quel est le mobile du crime et à qui profite t’il ??? C’est la question principale à se poser avant toute autre.



                              • Petrus Amritam Romanus Petrus Romanus 22 avril 2014 19:32

                                Sur quel fondement la question du mobile serait-elle la question à se poser avant toute autre en dehors du prétexte arbitraire à refuser de poser une autre question ?


                              • Plus robert que Redford 22 avril 2014 19:03

                                Armes à énergie dirigée ???

                                Mouais ?!!...

                                Pour « Carbodésatomiser » un 777, faut une quantité d’énergie plus que considérable !!!

                                D’après les principes de la thermodynamique qui sont responsables de moult sueurs nocturnes lorsque j’étais en classe préparatoire, faudrait au bas mot deux tranches de Fukushima flottantes pour réaliser la performance !

                                Sincèrement, je n’y crois guère, à moins que l’on ait eu affaire à un modèle du type de celui qui s’est totalement vaporisé lors de son contact avec le pentagone un certain onze septembre...

                                Va savoir !


                                • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 21:39

                                  Il semble que les systèmes de type THEL sont relativement performants, du moins pour péter une roquette et vu que ça prend juste la place d’un camion il est envisageable d’en faire un plus gros pour péter une aile d’avion pleine de carburant bien que les pilotes auraient alors eu le temps d’appeler au secours ou de faire état de l’avarie.


                                  Mais les pilotes n’ont officiellement rien dit, à part un « bonne nuit ».



                                • franc tireur 22 avril 2014 20:21

                                  "...de nombreux éléments seraient visibles de l’extérieur de l’avion et auraient nécessité des installations très spécifiques et du personnel hautement qualifié à bord de l’avion, à l’insu du commandant de bord."

                                  Bah justement il y avait 20 ingénieurs de la société Freescale a bord du vol ..
                                  Freescale Semiconductor est une firme basée à Austin. Elle dispose d’une équipe de spécialistes dédiée à l’appui aux forces de défense.
                                  Les produits commerciaux de Freescale couvrent divers secteurs :
                                   -Les Communications sur le champ de bataille
                                   -L’avionique
                                   -Les bandes radar HF par L et S
                                   -Le guidage des missiles
                                   -La guerre électronique
                                   -L’identification, ami ou ennemi (IFF )
                                  http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/malaisya-airlines-vingt-ingenieurs-149314

                                  Etonnant qu un article qui focalise sur des théories technologiques omettent un tel détail

                                   A partir de maintenant on bascule dans le Tom Clancy


                                  • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 21:35

                                    20 ingénieurs ok, mais sur combien en tout dans la dite société ?


                                    C’est peut être juste une quantité négligeable après tout ...

                                  • Stoïque 22 avril 2014 21:54

                                    Il y avait des gens de Freescale à bord, mais ils étaient chinois et malaisiens. Comment peut-on penser qu’une société américaine travaillant pour l’armée américaine ait pu permettre à des salariés chinois et malaisiens de connaitre des sujets sensibles pour la sécurité américaine ? ..à part si certains d’entre eux avaient pu pirater la société elle-même ?


                                  • Petrus Amritam Romanus Petrus Romanus 22 avril 2014 22:41

                                    Freescale c’est anciennement Motorola, ce n’est pas la première boîte de semi-conducteurs venue...

                                    http://fr.wikipedia.org/wiki/Freescale_Semiconductor


                                  • colere48 colere48 23 avril 2014 09:55

                                    Oui c’est étonnant le quasi silence sur cette info !
                                    On ignore la « qualité » réelle de ces ingénieurs, sur quel projet travaillaient-ils, pour qui ?? etc etc...
                                    J’ai lu une fois qu’ils étaient spécialisés dans la « guerre électronique »....

                                    Où en est l’enquête sur ces « guguss »  ???? bien étrange omerta !!!


                                  • morice morice 24 avril 2014 19:21

                                    ça n’a aucun intérêt !!! 


                                  • Perseval13 22 avril 2014 21:44

                                    Bonjour


                                    Le Système automatique d’aide a l’atterrissage existe depuis les années 50. C’est l ILS (instrument landing system). Pour savoir comment ça fonctionne :


                                    Pour le reste j avoue que je me suis régalé à lire tout ceci. Même si je reste très sceptique sur vos théories. 

                                    D.autre part, à une certaine altitude le froid et le manque d oxygène liés à une dépressurisation volontaire ou involontaire de la cabine aurait pu tuer toute vie à bord de l’avion, mais aussi endormir les passager . Le plafond théorique du 777 doit être de 43000 pieds. C est haut...


                                    • Croa Croa 22 avril 2014 23:30

                                      Ça fait plus de 13 000 mètres.


                                    • Mortargent 23 avril 2014 05:13

                                      @ Sampi : désolé cher ami, mais peux pas m’empêcher de poser ma connerie en vous citant : PAPI VASI FEU

                                      Ca fait presque pub pour Viagra ca non ?


                                    • Stoïque 22 avril 2014 22:01

                                      Je ne m’y connais pas du tout en radar...

                                      Quelle peut être la portée maximale d’un radar militaire au sol et embarqué ?

                                      Si on doit croire à la théorie du vol vers l’océan indien, le vol MH 370 est passé pas très loin de l’Australie. N’aurait-il pas pu être détecté par les radars australiens, notamment s’il volait à haute altitude ?

                                      N’y avait-il aucun navire militaire sur toute la trajectoire supposée de l’avion ?

                                      Merci d’avance pour les réponses.


                                      • Alois Frankenberger Alois Frankenberger 22 avril 2014 22:26

                                        La portée d’un radar dépend de sa puissance et de sa hauteur pour qu’il ne soit pas limité par la courbure de la Terre.


                                        On peut dés lors estimer qu’un gros radar militaire ou civil ( d’aéroport par exemple ) peut porter à 200 km mais il me semble que les radars militaires les plus perfectionnés portent encore plus loin pour rendre les missiles anti-radars trop lourds pour être tirés depuis un avion.

                                        Si un avion vole trop bas par contre, le radar ne parvient plus à l’accrocher à cause du terrain qui renvoie trop d’ondes au radar pour voir l’avion mais il s’agit d’avions de guerre qui volent au ras des arbres et pas de gros porteurs.

                                      • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 23 avril 2014 00:57

                                        Les plus primaires des radars primaires (civils) ont une portée technique de 200 Nautical Miles (ce qui fait grosso modo 350 à 400km), non pas limitée à leur puissance, mais à la problématique de ce qu’on appelle « l’horizon radar » lié à la « rondeur terrestre »...


                                        C’est une autre histoire concernant les radars primaires militaires, leur portée est bien sûr classifiée (non connue du grand public), mais pour vous donner une idée de ce qui se pratique, le radar militaire JORN (Jindalee Operational Radar Network) situé à l’ouest de l’Australie (là où ça nous intéresse par chance) a une portée —officielle— de 3000km (et donc très probablement le double en réalité), vous aurez donc compris où je veux en venir...


                                      • Croa Croa 23 avril 2014 08:30

                                        à mon avis c’est beaucoup plus du double pour ce genre de cible ( gros avion volant à très haute altitude.)


                                      • morice morice 24 avril 2014 19:23

                                        La portée d’un radar dépend de sa puissance et de sa hauteur pour qu’il ne soit pas limité par la courbure de la Terre.


                                        pas tous les radars... vous n’y connaissez rien, et ça se lit.

                                      • beluga123 22 avril 2014 23:23

                                        Bonjour,

                                        Merci pour cet article très bien écrit et documenté.

                                        Malheureusement vous cédez à la théorie du complot, sans donner la moindre piste sur les motivations de ceux qui auraient pu détourner ou détruire précisément cet avion-là. C’est la grande faiblesse de votre démonstration.

                                        En réalité, c’est sans doute un simple accident, dont vous donnez vous même la clé : toutes les informations qui circulent dans cet avion passent par le même système informatique. Si l’on imagine une défaillance majeure de ce système, qui aurait privé l’avion de toute capacité de communication et de localisation, mais laissant quelques capacités de pilotage à l’équipage, nous pouvons comprendre la suite des événements.

                                        Contrairement à ce qui a été maintes fois écrit, rien ne démontre que le transpondeur et l’Acars ait fait l’objet d’une déconnection malveillante. Ils ont cessé d’émettre, c’est tout. De même la trajectoire supposée bien préparée pour éviter les radars se révèle être une tentative de demi tour avec variations un peu erratiques de l’altitude. Comme si les pilotes avaient mis un peu de temps à comprendre que plus rien ne répondait normalement à bord. Tentative de retour vers la Malaisie, sans communiquer, ce qui explique que le Vietnam ne se soit plus préoccupé de l’avion (hors de son espace), ni aucun autre pays d’ailleurs car il est rapidement repassé au-dessus de la Malaisie puis s’est perdu dans l’océan indien, où peu de monde scrute le ciel.

                                        Pas de messages ? A part son passage au-dessus de la Malaisie, l’avion était trop loin des relais de téléphonie portable, même en volant à basse altitude.

                                        Les pilotes ne sont sans doute pas formés à se guider aux étoiles et ne savaient pas où ils allaient. Peut-être étaient-ils inconscients dans les dernières heures. Un incendie dans le cockpit aurait pu mettre hors d’usage une partie de l’électronique et émettre des vapeurs toxiques. Monter à 45000 pieds peut être une manœuvre désespérée pour éteindre un incendie.

                                        Pas de débris ? C’est probablement que l’équipage a tenté et presque réussi un amerrissage : l’avion ne s’est pas désintégré. Mais il était suffisamment abimé pour couler rapidement sans que personne ne puisse sortir.

                                        Il est probablement au fond, pas loin de là où ils le cherchent, presque d’une seule pièce, et il se pourrait que l’on retrouve tous ses occupants équipés de leur gilet de sauvetage. Terrible scénario, mais banal accident du à une faille du système (tous les systèmes ont des failles).

                                        Souhaitons que l’on retrouve rapidement un trace de l’épave. Nous le devons aux familles des disparus en premier lieu, mais également pour sécuriser un peu plus le transport aérien et ne pas laisser s’installer le doute.

                                        Quelque soit le coût des recherches, il faut les mener à leur terme, qui ne peut être que la découverte de l’épave et l’élucidation des circonstances du drame. 


                                        • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 23 avril 2014 00:29

                                          Je suis comme vous, j’espère que l’on retrouve ce qu’il reste de l’avion, et qu’on puisse documenter l’incident éventuel qui est à l’origine éventuelle des conséquences éventuelles pour encore davantage sécuriser le transport aérien.



                                        • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 23 avril 2014 00:26

                                          N’attendez pas, fouillez le web sur l’algorithme utilisé par Inmarsat et ce qu’en pensent les spécialistes, ou allez lire par exemple les commentaires des passionnés de physique http://physicsbuzz.physicscentral.com/2014/03/how-did-inmarsat-really-find-flight.html


                                        • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 23 avril 2014 00:36

                                          Je pourrais comprendre que ça le soit pour vous, surtout en relevant vos remarquables interventions dans ce débat, mais les choses ne sont tout de même pas binaires à ce point...


                                        • Gethen 23 avril 2014 00:47

                                          J’attends de celui qui affirme qu’il le prouve et pas qu’il me renvoie sur le web où n’importe où ailleurs.
                                          Pas comme sur disons en sorte.... smiley

                                        • Gethen 23 avril 2014 00:51

                                          @ l’auteur

                                          Votre « contradicteur », pour vous expliquer, est actif sur un blog xénophobe où « J’attends de celui qui affirme qu’il le prouve et pas qu’il me renvoie sur le web où n’importe où ailleu.rs. » ne s’applique jamais. Il peut toujours balayer devant sa porte avant de l’ouvrir

                                          PS : dis à ton ex pote cosmic de surveiller son blog, on y raconte que des menteries sur Léon. smiley

                                        • Gethen 23 avril 2014 00:55

                                          En fait, l’auteur, son point de vue est très simple et tient en une phrase : « tous des connards sauf les populistes lepénistes ». Faut croire qu’il vous a pas catalogué dedans. Il y a de quoi avoir honte en effet...


                                        • Gethen 23 avril 2014 01:06

                                          Je pense qu’elle a un peu disparu de la circulation. Je penche pour un internement psychiatrique. Ceci dit, trêve de plaisanterie, je vais t’apprendre une chose, parce qu’à vous observer je crois que vous vous en rendez pas bien compte. En fait on peut se faire une idée de l’état réel des relations entre les gens sur AV, c’est à dire que si vous vous causez plus par mail ou ailleurs, ça se voit comme le nez au milieu de la figure même si vous essayez de donner l’impression du contraire. 

                                          Dans votre cas d’ailleurs, l’absence de contacts est logique, à force d’avoir uniquement des comportements d’agression envers l’extérieur, vous vous supportez plus entre vous, sauf en tous petits groupes isolés. Les disoneux supporteraient pas les commentateurs de causeur plus de deux minutes, faut dire que moi non plus. smiley D’ailleurs, vos sympathies devraient vous pousser à aller faire causette sur atlantico ou le figaro, mais on pourrait vous faire confiance pour être incapable de nouer des contacts.

                                        • Gethen 23 avril 2014 01:21

                                          Dans le cas de la pauvre cosmic, faudra au passage que tu demandes à des francesca ou Yohan d’éviter de dire qu’ils arrivent plus à la contacter. Ca fissure l’image d’unité que vous essayez de donner. Et pour en revenir à mon com précédent, par exemple quand tu causais avec CD en 2012 en tant que denis rezler ou en 2013 avec Francesca sous je sais plus quel pseudo, ça faisait pas crédible, ça faisait mecs qui avaient pas échangé depuis trois plombes. C’est pour rendre service mon grand, je sais à quel point faire bonne figure devant les « gauchos » est important pour vous, faire bloc, donner l’impression d’unité, même si ça suppose d’abdiquer tout honneur et de cautionner les pires saloperies, les pires discours, les pires comportements (prends mmarvin et wesson, ils s’aiment pas et le font savoir, alors que dans votre camp on peut toujours rêver, le jour où un d’entre vous proposera les chambres à gaz pour les arabes ou les chomeurs, vous trouverez le moyen de rien dire, voire d’approuver). Alors comme je vous aime bien, je vous dis juste que ça doit être mieux travaillé que ça. Parce que ça fait aussi bien joué que du Torreton pas en forme, c’est dire si c’est crédible. smiley


                                          PS : si tu as encore des contacts avec la chère francesca et avec Yohan, ce dont je doute par ailleurs. 

                                        • morice morice 24 avril 2014 19:26

                                           fouillez le web sur l’algorithme utilisé par Inmarsat et ce qu’en pensent les spécialistes, 


                                          c’est un CALCUL, qui peut aussi être erroné.

                                        • Gethen 23 avril 2014 01:27

                                          « La grande famille des humains » ? Ben moi j’ai renoncé, j’avoue ouvertement maintenant mes sympathies transhumanistes, ça règlera le problème. smiley 


                                        • Gethen 23 avril 2014 01:46

                                          Toi tu règles pas de comptes ? Franchement, reconnais le au moins. Moi je m’en cache pas au moins. smiley

                                          Et ça m’amuse de te provoquer, au passage le transhumanisme est l’exact contraire du racisme, mais comme je sais que tout ce qui relève des formes avancées de la modernité en occident vous pose de gros problèmes (sans que je sache vraiment pourquoi d’ailleurs), je résiste pas. Pense y en te couchant, un jour, on vivra tous comme des Californiens ou des Floridiens, et ce sera le paradis sur terre. smiley C’est ça que je comprends pas avec vous, pourquoi toujours l’étriqué, la nation, le terroir, le passéisme, alors qu’on pourrait vivre comme des rois sans trop se fatiguer et se prendre le chou ? 

                                        • morice morice 24 avril 2014 19:29

                                          version Waldingo 


                                          et hop un posteur venu de disons se pointe et se fait repérer par son vocabulaire : c’est Waldganger qu’il vise, un ancien d’ici réinscrit sous un autre nom et qui est allé les squatter pour s’en faire jeter ; depuis ils se vengent sur lui ;.. tous les jours !

                                        • Gethen 23 avril 2014 01:56

                                          Réfléchis y bien, un monde qui ressemblerait de la Patagonie à l’Alaska et de New-York à Tokyo à l’univers de la série Beverly Hills. Et la gôôôche toujours au pouvoir, des Pigasse et Bergé par milliers. Sur cette vision paradisiaque sous la houlette de tonton Raymond (j’adore ses livres), je te laisse, je suis pas encore un H+, hi hi hi, j’ai besoin de faire dodo.


                                          • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 23 avril 2014 07:31

                                            « Qu’est-ce qui peut faire disparaître un Boeing 777 instantanément ? »


                                            SON ATTERRISSAGE

                                            Réfléchissez...

                                            PJCA






                                            • morice morice 24 avril 2014 19:30

                                              « Qu’est-ce qui peut faire disparaître un Boeing 777 instantanément ? »


                                              SON ATTERRISSAGE

                                              allons allons vous n’allez pas croire ces fadaises j’espère...

                                            • Francis, agnotologue JL 23 avril 2014 09:05

                                              Bonjour Olivier Rimmel,

                                              j’ai lu votre article, mais je n’ai lu aucun commentaire. Aussi, mes remarques seront-elles redondantes avec d’autres, et je m’en excuse par avance..

                                              Questions de forme :

                                              - Vous dites : ’’Les appareils volants qui résistent aux radars militaires sont appelés « avions furtifs », ils sont conçus pour que les ondes électromagnétiques des radars « glissent » sur eux ou soient « absorbés électroniquement ou dynamiquement », et ne raisonnent pas’’

                                              Selon moi, les ondes radars arrivant sur une surface métallique ne reviennent au point d’émission que si l’élément réflecteur rencontré est une surface perpendiculaire aux rayons reçus. C’est pourquoi, une surface arrondie est toujours détectable puisqu’elle diffuse dans toutes les directions alors qu’une surface plane diffusant dans une seul direction ne l’est pas. Les ’furtifs’ sont carénés avec des tôles planes : la résonance, intense, est renvoyée sur une trajectoire qui statistiquement, exclut quasiment toujours le point d’émission..

                                              - Deuxième question, vous écrivez en substance : ’’Inmarsat n’a en effet jamais confirmé que le signal électronique détecté était un message du type « A » mais plutôt du type « B ». Je suppose qu’il s’agit d’une faute de frappe, mais qui rend ce § incompréhensible. Quel était le message ?


                                              Sur le fond :

                                              -
                                              La thèse de la désintégration  : Si c’est l’équipage qui a délibérément échappé aux contrôles radars, alors on se demande comment un tiers aurait pu le détruire de l’extérieur puisque en l’occurrence personne d’autre que l’équipage ne savait où il était.

                                              - La thèse de la prise de contrôle : Si un tiers a pris le contrôle total de l’appareil, alors pourquoi ce tiers aurait-il détruit l’appareil ?

                                              Enfin, dernière question : la prise de contrôle total de l’avion par une instance extérieure permet-elle techniquement d’interdire toute communication depuis l’équipage vers l’extérieur ? De l’extérieur peut-on rendre muet un avion ?


                                              • Francis, agnotologue JL 23 avril 2014 12:51

                                                Je vais préciser ce qui n’est peut-être pas évident à la lecture de mon commentaire ci-dessus :

                                                Si j’ai bien suivi le raisonnement de l’auteur, l’alternative à sa thèse de la désintégration n’est pas comme il le dit, la prise de contrôle de l’avion par un tiers, mais une disparition classique ou un atterrissage quelque part.

                                                Et inversement, l’alternative à la prise de contrôle par un tiers n’est pas comme il dit, la désintégration, mais le contrôle de bout en bout par l’équipage.

                                                Si bien que toutes les interprétations sont possibles et cette longue analyse aussi précise et minutieuse soit-elle, n’apporte aucun éclaircissement, désolé.


                                              • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 23 avril 2014 13:08

                                                à l’heure actuelle et compte tenu de ce que nous savons, l’intrigue MH370 permet en effet un « dénouement totalement ouvert »...


                                              • djea 23 avril 2014 11:13

                                                Et que pensez-vous de l’article d’Ariane Walter sur Agoravox :


                                                «  Il y avait donc vingt employés du groupe Freescale à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines. Ils étaient en route pour une réunion d’affaire en Chine.

                                                C’est le PDG du groupe, Greg Loewe, qui l’a annoncé dans un communiqué précisant que douze d’entre eux étaient de nationalité malaisienne, huit de nationalité chinoise

                                                Freescale Semiconductor est une firme basée à Austin. Elle dispose d’une équipe de spécialistes dédiée à l’appui aux forces de défense.
                                                Les produits commerciaux de Freescale couvrent divers secteurs :
                                                 -Les Communications sur le champ de bataille
                                                 -L’avionique
                                                 -Les bandes radar HF par L et S
                                                 -Le guidage des missiles
                                                 -La guerre électronique
                                                 -L’identification, ami ou ennemi (IFF ) .... »

                                                http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/malaisya-airlines-vingt-ingenieurs-149314




                                                • Olivier Rimmel Olivier Rimmel 23 avril 2014 13:06

                                                  il n’existe aucune information corroborée permettant d’impliquer ces gens dans quoi que ce soit, les enquêtes sur les passagers sont à priori toutes encore ouvertes, aucune piste n’est fermée, j’ose espérer que des moyens sont mis en oeuvre en Malaisie pour investiguer toutes latitudes.


                                                • roblin 23 avril 2014 11:52

                                                  Je conseille les articles en anglais de jim stone sur ce sujet, les plus réalistes qui soit comme sur tous les sujets qu’il aborde :

                                                  https://www.google.com/?#q=site:http:%2F%2Fwww.jimstonefreelance.com%2F+370


                                                  • Defrance Defrance 23 avril 2014 13:41

                                                     Bonjour à tous,
                                                     Ma conviction est que toutes les pistes sont brouillées des le départ et que par conséquent on ne retrouvera jamais RIEN ?
                                                     L’auteur parle de « mode Admin » sur les ordinateurs de bords et cela me rappelle une « faille volontaire » dans le systeme NT des années 90 qui permettait a certains « services étasuniens » de se connecter a n’importe quel réseau NT . Alors pourquoi n’y aurait il pas ce genre de « gateway » sur les softs des 777, exploitables via wifi par un des nombreux ingénieurs qui étaient à bord , par dessus les commandes manuelles ? Ils ont peut être même pu verrouiller la porte du cockpit et couper l’oxygène dans le cockpit pour ensuite se « promener » là ou ils voulaient ? ? cela peut sembler « tiré par les cheveux » mais de nos jour, la folie humaine semble avoir dépassé, largement l’imaginable ?
                                                     


                                                    • lancelot_du_lac 23 avril 2014 17:26

                                                      Pour le laser, il existe une vidéo pour avoir une idée de son impact sur un drône :
                                                      http://www.telegraph.co.uk/news/newsvideo/9980726/US-Navy-laser-cannon-shoots-down-drone-in-latest-test.html
                                                      Elle vaut ce qu’elle vaut mais on peut y voir comment le drône est touché.
                                                      Votre article sinon est très clair, vous êtes plus expert que moi en la matière, je ne peux pas juger de tout. Mais dans cette affaire, quelque soit l’anguille, elle est sous roche !

                                                      Cordialement,


                                                      • morice morice 24 avril 2014 19:31

                                                        Pour le laser, il existe une vidéo pour avoir une idée de son impact sur un drône :


                                                        marche pas par mauvais temps ;, donc complètement con.

                                                        • Gérard Luçon Gérard Luçon 25 avril 2014 16:32

                                                          même si le site qui a mis ce travail en ligne me parait « contestable », voici un sujet sur lequel j’ai personnellement un peu « planché » ....

                                                          http://www.alterinfo.net/Detournement-de-la-science-et-de-la-technologie-Nikola-Tesla-contre-JP-Morgan-Rockefeller_a101950.html

                                                          on ne nous dit pas tout !


                                                          • Naw 26 avril 2014 15:49

                                                            Peut être mais qui et pourquoi ?


                                                            • wpjo 26 avril 2014 23:29

                                                              Rprenons. L’auteurt clairement que l’avion n’a pas pu échapper aux radars militaires et donnent des arguments plausibles. Conclusion : l’avion ’a pas échappé au radars et quelqu’un qui sait beaucoup, tient bien à se taire. Et probablement, lancer des fausses pistes. Alors, c’est bien la Chine qui nous avait découvert la première des débris dans l’océan Indien. La première aussi à y avoir un bateau qui avait détecté un signal ... mais aussi bien trop tard pour être confirmé par les autres. Deuxième chose qui me frappe : comment le PC à la maison des pilotes, n’a t-il pas livré des informations ? Pour vraiment tout effacer, il faut reformater complètement la partition et encore .... le magnétisme remanent aurait du livrer quand même les infos qu’on a essayé d’effacer. Il me semble donc au final bien plus plausible que l’avion a été dérouté vers notre ami Kim mais, en se rendant —un peu tard— compte de l’énorme incident diplomatique que ça allait créer, qu’on a préféré de faire crasher l’avion quelque part dans la mer de Chine. ... et de nous débiter une toute autre histoire.


                                                              • patrick590 patrick590 27 avril 2014 14:03

                                                                L’engin est peut être tout simplement tombé en panne, c’est un ordinateur volant et les ordinateurs ça tombe en panne parfois, belle descente en vrille sur 10000 mètres et atomisation pour de bon sur la planète, faut demander aux poissons.


                                                                • patrick590 patrick590 27 avril 2014 14:18

                                                                  Ça rappel l’Airbus af447 qui pensait être capable de traverser les cumulonimbus pour gagner un « temps précieux » ou économiser du carburant ?


                                                                  • Pierre Galzin 27 avril 2014 19:35

                                                                    Si l’avion a été détourné électroniquement à distance, comment expliquer que le transpondeur a été coupé et que le système ACARS a été désactivé ?
                                                                    Le Uninterruptible Autopilot permet il de couper le transpondeur et de désactiver l’ ACARS ? On doit en douter car ce système a été conçu pour teleguider un avion et le ramener à bon port. Cela voudrait donc dire que s’il y a eu détournement volontaire et malveillant, quelqu’un à bord a désactivé ces systemes ?
                                                                    Qu’en pensez vous ?


                                                                    • Pierre Galzin 27 avril 2014 19:58

                                                                      Selon les articles de presse, le systeme ACARS a été désactivé et le transpondeur coupé. Si l’avion a été détourné électroniquement , est il possible que l’ACARS ait été désactivé à distance ? 
                                                                      Le système de téléguidage qui équipe ces avions a été conçu pour ramener l’avion à bon port en cas de défaillance des pilotes ou en cas de détournement. On imagine mal que ce systeme comporte aussi une fonction qui permette de désactiver certains des systemes de communication de l’avion.
                                                                      Qu’en pensez vous ?


                                                                      • stamp stamp 27 avril 2014 20:02

                                                                        C’est dommage, l’on ne parle jamais du mode dit « ininterruptible » du pilote automatique (le pilote n’a plus la main en cas d’activation), mode qui aurait été mis en oeuvre sur les Boeing dans les années qui ont suivi les événements du 11/09/2001...
                                                                        Néanmoins seuls quelques rares articles sur internet existe sur ce sujet.


                                                                        • eau-du-robinet eau-du-robinet 27 avril 2014 21:15

                                                                          Bonjour Olivier,

                                                                          Blackstone et Jacob Rothschild, bénéficiaires de la disparition de l’avion de Malaysia Airlines ?

                                                                          Alors que fait rage la guerre des sanctions depuis les États-Unis et l’Union Européenne contre Vladimir Putin, Russia Today publiait de manière pressée quatre jours après que le vol MH 370 ait disparu, qu’un brevet de semi-conducteur a été approuvé par l’Office des brevets des États-Unis [1]. La guerre des brevets a-t-elle éclaté ?

                                                                          Selon Russia Today, le bénéficiaire du brevet de semi-conducteurs est Jacob Rothschild, de la dynastie controversée et ô combien légendaire des banquiers.

                                                                          Le brevet était partagé entre les cinq titulaires avec 20 % pour chacun : la société Freescale Semiconductor dont le siège est situé à Austin (Texas), et les quatre autres natifs de la ville de Suzhou (Chine), des employés de la compagnie texane, qui se trouvaient à bord de l’avion manquant.

                                                                          Selon le portail russe, si le titulaire du brevet décède, les autres titulaires se partageront à parts égales les dividendes du défunt, du moment que ce ne soit contesté dans son testament. Les quatre copropriétaires chinois du brevet étant disparus (et/ou morts), celui qui reste en vie va donc obtenir la totalité du brevet. C’est ce qui est arrivé au profit de la firme texane Freescale Semiconductor, qui appartient à la société contestée et invisible Blackstone, dont le propriétaire est le banquier britanico-israélien Jacob Rothschild [2].

                                                                          source et suite ...

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