• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > Politique > L’alternative ?

L’alternative ?

Que cherche Dominique de Villepin pour 2012 ? Une victoire - improbable - ou la défaite de son principal rival ?

Faire perdre l’ennemi sonne parfois comme une victoire. Adepte, depuis 2005, de l’antisarkozysme primaire, Dominique de Villepin, sorti grandi du procès Clearstream, mobilise ses troupes lundi 27 octobre à la Maison de l’Amérique Latine. Toujours ce côté « Affaires Etrangères », qui l’avait gratifié d’une côte de popularité record après sa célèbre allocution à l’ONU (contre les Etats-Unis et la guerre en Irak, NDLR).

L’opposant

Toujours aussi beau, Dom’ propose, devant une salle comble, de revenir aux fondamentaux de la France « républicaine, solidaire et indépendante ». Le premier opposant à Nicolas Sarkozy aux yeux des Français (sondage Le Figaro du 16 octobre, NDLR), devant Royal et Besancenot, tacle régulièrement le gouvernement sur nombres de sujets, à commencer par la politique fiscale, dimanche 26, sur le plateau de RTL : "En matière de politique fiscale, nous ne posons pas les bonnes questions", affirme-t-il, troquant ses habits de prévenus avec ceux de juge. Et il n’est pas le seul, à l’UMP, à tirer ce constat. A commencer par Jean-François Copé, le deuxième meilleur ennemi de Sarko, qui « n’aime pas beaucoup le grand emprunt », comme titrait Libé le 25 octobre. « Toujours inquiet par les mesures trop rapides », le président du groupe UMP à l’Assemblée se dit plus préoccupé par la manière de réduire le déficit et de désendetter le pays.

Ses alliés

"C’est un ami et nous avons travaillé efficacement ensemble", déclare Domnique ce mercredi 28 octobre à l’égard de Jean-François. Copé, allié de Villepin en 2012 ? Rien n’est moins sûr... Car le jeune député rêve plutôt à 2017, et ne se risquera pas à se griller avant que son heure ne soit venue. Reste alors Juppé, le cerveau sacrifié de la droite au lendemain de 2007 et de son échec aux législatives. Après avoir joué le rôle de fusible de Chirac, le maire de Bordeaux ne s’est pas réjouit de ce mauvais remake sarkozyste. Numéro 2 du gouvernement pendant un petit mois, il ne manque plus une occasion de voler dans les plumes du coq de la basse-cour. La réforme des collectivités territoriales ? « C’est tout de même se foutre du monde ! » lâche-t-il, décomplexé.

« Le gouvernement cherche la provocation », enchérit-il, en évoquant la suppression de la taxe professionnelle versée par les entreprises aux collectivités territoriales, et qui devrait faire perdre plusieurs millions à la communauté urbaine de sa ville.

Identité

Position identique pour Juppé et Villepin sur le débat à venir sur l’Identité Nationale. Qualifié d’« inutile » pour le premier, de « dérive » pour le second. Sarkozy, aidé de l’ex-socialiste Besson, tente de remobiliser son électorat de la droite dur, qui lui avait tant apporté en 2007. L’UMP, à l’approche des régionales, et fragilisé par la récupération FN des polémiques Mitterrand-Polanski ? Patrick Buisson, l’éminence bleu foncé de Sarkozy, tire la sonnette d’alarme. Résultat  : un virage à droite sitôt suivi par Marine Le Pen, réclamant un Grenelle de l’Identité au sein duquel le FN occuperait aux premières loges.

Mais si l’Identité Nationale est un bon prétexte pour chasser, de nouveau, sur les terres de l’extrême droite, quelle est l’identité politique de Dominique De Villepin, plus antisarkozyste que le PS et Bayrou réunis (c’est tout dire !). Car l’opposition systématique à l’actuel chef de l’Etat ne saurait remplacer une ligne politique. Et n’a d’ailleurs jamais été récompensée, électoralement parlant. Avec un Modem affaibli et plus que jamais à gauche, Villepin voit un boulevard pour incarner les valeurs de droite « à la papa ». Charismatique, brillant orateur, le chiraquien pense avoir un coup à jouer en 2012. Après tout, Sarkozy lui-même s’est relevé du gouffre dans lequel l’échec des élections européennes de 1999 l’avait plongé.

Mais Dominique n’a pas autant de temps pour se refaire. Car si 47 % des Français préfèrent Villepin (contre 44 % pour Sarkozy, à la question « des deux personnalités, laquelle préférez-vous ? », posée par l’Ifop, NDLR), 56 % refusent de lui voir un avenir politique.

Jamais élu par le peuple, l’auteur de la funeste dissolution de 1997 ne se livre-t-il pas à un combat perdu d’avance ? A moins que son objectif ne soit pas la victoire, mais la défaite de son concurrent directe. Dans ce cas, il reste à l’avocat deux années pleines pour préparer sa plaidoirie et arriver à son but.

Un article du site www.animalpolitique.com
 

Documents joints à cet article

L'alternative ?

Moyenne des avis sur cet article :  3.17/5   (24 votes)




Réagissez à l'article

18 réactions à cet article    


  • franck2010 29 octobre 2009 07:42

    Si Sarko veut tuer Villepin c’est qu’il a compris le danger.
    La droite classique ne peut pas saquer le gnome et sautera sur la moindre occasion de lui faire payer.
    Si le FN reprend des forces, la petite enflure sera prise en tenailles.
    Et, l’afflux de voix sur la gauche de Villepin, le vote utile pourrait faire basculer le scrutin dés le premier tour.
    C’est la combinaison cauchemar des sarkozystes, et elle est se met en place à mi-mandat.
    Wait & see...



    • Charles Belmondi Charles Belmondi 29 octobre 2009 16:22

      Franck2010, votre haine maladive n’a pas sa place sur ce site. Vous êtes un nul !

      Concernant l’article, je le trouve de très bonne qualité. Bravo à l’auteur !


      • franck2010 29 octobre 2009 17:25

        Je sais Charles Belmondi à chaque fois que je parle du clan gaulliste à un sarkozyste il pète les plombs. J’imagine que celà doit lui rappeller que face à la légitimité de l’héritage gaulliste, un sarkoziste passera toujours pour un arriviste mal dégrossi .... :)......


      • BA 29 octobre 2009 16:31

        Face à Marie Drucker, sur France 2, Pasqua a lancé une première bombe : «  Je demande au président de la République de lever le secret-défense sur TOUTES les ventes d’armes, sur toutes ces opérations qui ont été réalisées à l’étranger afin que l’on sache s’il y a eu DES RETOURS DE COMMISSIONS en France et qui en a bénéficié.  »

        Hier soir, deuxième bombe : sur le site internet Le Figaro.fr, Pasqua donne des noms. Pasqua cite 8 noms d’hommes politiques au courant des ventes d’armes à l’Angola.

        - Pour la période 1993-1995 : François Mitterrand, Edouard Balladur (Balladur est littéralement flingué par Pasqua dans cet interview), Edmond Alphandéry, François Léotard.

        - Pour la période 1995-1998 : Jacques Chirac, Alain Juppé, Jean Arthuis, Charles Millon.

        Enfin, il accuse Balladur d’avoir menti concernant l’Angolate.

         

        LE FIGARO. - Vous n’étiez pas mardi à l’audience pour la lecture du verdict sur l’Angolagate. Aviez-vous peur d’un mandat de dépôt à l’audience ?


        Charles PASQUA. - Pas du tout. Je n’ai pas eu peur de la prison. Je vous rappelle que je suis parlementaire et que l’immunité ça existe. Personne ne savait d’ailleurs ce que le tribunal allait dire. Mes avocats, qui m’avaient conseillé de m’y rendre, étaient plutôt optimistes : ils pensaient même à une relaxe ! Lorsqu’on est venu m’annoncer la décision, dans l’après-midi, je me suis dit qu’il s’agissait d’un jugement aberrant.

         

        LE FIGARO. - Le porte-parole du gouvernement laisse entendre que votre demande de levée du secret-défense pourrait être examinée. Qu’en attendez-vous ?


        Charles PASQUA. - Je vois que cela progresse… Tant mieux ! Dans l’affaire de l’Angolagate, de nombreux documents ont été classifiés secret-défense, et le tribunal n’a pas pu y avoir accès. Or, avec ces documents, on aura la preuve que tout le monde était au courant des ventes d’armes à l’Angola.

         

        LE FIGARO. - Tout le monde ? Qui visez-vous ?


        Charles PASQUA. - Le président de la République, le premier ministre, le ministre des Finances et le ministre de la Défense. Tous les quatre étaient forcément au courant.

         

        LE FIGARO. - De quelle période parlez-vous ?


        Charles PASQUA. - Sous le mandat de François Mitterrand de 1993 à 1995, puis sous la présidence Chirac de 1995 à 1998. Plus, les deux premiers ministres concernés que sont Édouard Balladur et Alain Juppé.

         

        LE FIGARO. - Édouard Balladur a pourtant affirmé hier « ne pas avoir eu d’information » au sujet de ce trafic d’armes…


        Charles PASQUA. - Balladur peut dire ce qu’il veut. Malheureusement pour lui, un document a été présenté au tribunal montrant que son directeur de cabinet lui avait fait remonter une note. M. Balladur n’a plus de mémoire, cela peut arriver.

        http://www.lefigaro.fr/politique/2009/10/29/01002-20091029ARTFIG00007-charles-pasqua-que-chirac-prenne-ses-responsabilites-.php


        Dernière bombe : hier soir, sur Public Sénat, il demande la vérité sur TOUTES les ventes d’armes, sur les commissions qui partaient de France, et sur les rétro-commissions qui revenaient en France remplir les caisses de certains partis politiques (Pasqua cite l’affaire Clearstream, les frégates de Taïwan, les ventes d’armes à l’Afghanistan ...)


        • franck2010 29 octobre 2009 17:17

          Pasqua, pas fou, ne cite pas Sarkozy. Sarkosy ministre du budget de balladur et cité dans l’affaire des sous-marins ...qui relève du secret défense.

          «  Mais voilà qu’au lourd, risque de s’ajouter du plus lourd encore. Dans l’affaire des frégates de Taïwan, l’enquête a dérapé et est allée voir du côté des sous-marins de Karachi. Et là une accusation est ressortie : la campagne de Balladur aurait été financée par des rétrocommissions d’un contrat signé à perte (!) entre la France et le Pakistan avec comme ministre du budget impliqué forcément si cela s’avère, Nicolas Sarkozy, puis François Léotard, le premier Ministre Balladur. »

          http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/clearstream-la-bombe-atomique-62781

          Sans parler de l’affaire des frégates....


        • CapitaineHaddoc CapitaineHaddoc 29 octobre 2009 16:39

          Article bien écrit, certes, mais personnellement je le trouve superficiel.

          Au-delà de l’antisarkozysme primaire dont vous taxez (probablement à raison, je l’admet) Mr. De Villepin, je pense qu’avant tout Dominique de Villepin peut aujourd’hui être le représentant d’une autre droite. Beaucoup de gens de droite (dont je ne fait pas partie) ne se retrouvent pas dans la politique menée par Nicolas Sarkozy, et cherchent désespérément un homme capable de cristalliser leurs attentes. Si cet homme peut être Mr. De Villepin, alors tant mieux pour eux !

          Vous ne semblez pas réaliser que beaucoup d’électeurs de droite ayant voté Sarkozy sont profondément déçus, se sentent trahis par ce gouvernement. Beaucoup de ces électeurs rejettent en masse la politique people, le bling-bling, l’autoritarisme, le népotisme de Mr. Sarkozy. Ces gens espèrent une autre image de la france que celle donnée par Sarkozy, qui, et je mâche mes mots, fait honte à la France de par son comportement indécent, à la limite du grotesque.

          Tous ces gens de droite doivent se trouver un autre représentant, aujourd’hui c’est Dominique de Villepin qui est le mieux placé pour les représenter, c’est tout.


          • armand armand 29 octobre 2009 13:35

            Sisyphe,

            Miracle - on serait quasiment d’accord !
            Je vois aussi dans le mouvement autour de Villepin une façon de sortir du face-à-face malsain entre l’omniprésident et une gauche empétrée dans ses impuissances.


          • sisyphe sisyphe 29 octobre 2009 14:28

            @ Armand
             (pétard, quel bordel dans la classification des commentaires...)

             Pas de « miracle » : il me semble que nous avons déjà eu des points d’accord sur certains sujets.

            Bon, sur d’autres, le désaccord est absolu ; ce qui provoque, parfois des réactions, disons.... vigoureusement épidermiques , mais, personnellement, je ne juge pas les gens globalement, et puis, comme disait l’autre, personne n’est parfait ; pas même moi (lol) ...

            Donc, ravi que nous soyons, sur ce point, à l’unisson.


          • sisyphe sisyphe 29 octobre 2009 17:19

            La réapparition de Villepin sur la scène politique, effectivement de nature à tailler des croupières au petit Ubu de l’Elysée est, en tout cas, une excellente nouvelle, pour la diversité, et la démocratie.

            Personnellement, bien sûr, je ne suis pas partisan d’un candidat de droite, quel qu’il soit, (et je ne me fais aucune espèce d’illusion sur un « poète-hussard » qui fut membre du cabinet noir de Chirac, et probablement lié à un tas d’affaires peu reluisantes) mais, d’une part, cette « diversité » de la droite est favorable à la gauche ; et, en cas de mauvais remake d’avoir à choisir pour le candidat le moins pire pour la France, et pour la démocratie, (cf 2002), je n’hésiterais pas une seconde à éliminer celui qui mène la pire politique jamais conduite en France sous la Vème République.

            Sarkozy, dans son délire égomaniaque d’omnipotence, a voulu supprimer toute opposition, et instaurer une autocratie qui est en train de démolir le pays ; soit en « débauchant » des membres éminents de l’opposition (vite ralliés parce que beaucoup plus attachés à leur réussite personnelle, qu’au moindre principe déontologique ou moral ; que le vent mauvais de l’histoire les emporte), soit en laminant ceux de son propre camp (quitte à vouloir les « pendre à un croc de boucher »), toute occasion de s’en débarrasser sera la bienvenue.

            Et comme disait un ami africain de Cabanel (je suppose , lol ) :
            « Il n’y a pas de place pour deux crocodiles dans le même marigot »


            • cathy30 cathy30 29 octobre 2009 18:19

              N’oublions pas que tous ces élus de l’assemblée nat et sénat sont aussi maires. Sarkosy en touchant à la taxe professionnelle se fait beaucoup d’ennemis dans les rangs de l’UMP. Beaucoup ont quitté le clan chiraquiens pour sarkosy, mais là je pense qu’il tire un peu sur la corde. Pour Villepin le moment lui est extremement favorable pour faire des dégats.


              • SALOMON2345 29 octobre 2009 11:37

                « l’ennemi de mon ennemi...devient un ami... comme »moins plus moins font plus" en maths !


                • SALOMON2345 29 octobre 2009 11:39

                  « L’ennemi de mon ennemi devient un ami...comme  »moins plus moins font plus" en maths !


                  • Gourmet 29 octobre 2009 11:56

                    Quoi qu’il en soit, Villepin, indépendamment de ses idées ça a une autre gueule pour la France !

                    db


                    • armand armand 29 octobre 2009 13:32

                      Il n’y a pas d’arntisarkozysme primaire... Il y a ceux qui sont contre le sarkozysme qui lui se décline toujours de la façon la plus primaire qui soit.
                      Les Sarkozystes s’abritent toujours devant la feuille de vigne des élections pour defendre le petit Jean et conspuer Villepin, quand ils sont passés mâitres dans l’art de trafiquer les élections et de se rendre maître des formations poliiques afin de se garantir la victoire.

                      Sans parler de leur crédo sous-jacent - j’ai gagné avec 53%, j’ai désormais le droit de TOUT faire à ma guise.
                      Le degré zéro de la politique plébiscitaire et une conception dangereuse de la démocratie, qui ne se limite pas à la loi du plus grand nombre.


                      • sisyphe sisyphe 29 octobre 2009 14:39

                        Armand

                        Oui , d’accord aussi pour fustiger cette pseudo-démocratie qui permet à un camp représentant, en gros la moitié des suffrages exprimés (c’est à dire loin de la majorité réelle du pays), de disposer de tous les pouvoirs, sans aucun contre-pouvoir possible.

                        La constitution d’une VIème république s’impose, depuis déjà belle lurette, qui renforcerait le pouvoir du Sénat (aux sénateurs élus par un suffrage direct),le décompte des votes blancs (et donc l’élection seulement à 50 et quelques pour cent des voix exprimées) le pouvoir des citoyens par l’intermédiaire de déclenchements de référendums d’initiative citoyenne (mais réels), et les lois importantes pour la conduite du pays nécessitant le vote de 2/3 des élus, les deux chambres confondues (plus le non-cumul d’aucun mandat , les plaintes en nom collectif, le pouvoir judiciaire entièrement indépendant du pouvoir législatif, etc, etc....)

                        On peut toujours rêver...


                      • sisyphe sisyphe 30 octobre 2009 05:30

                        Par Calmos (xxx.xxx.xxx.168) 30 octobre 04:57

                        "Sisyphe pense faire croire qu’une droite divisée favoriserait sa gauche

                        La droite est divisée , certes, mais le pauvre Sisyphe sait trés bien que sa gauche l’est 10 fois plus encore...

                        La France ne veut plus de la gauche, car la France sait trés bien que la gauche au pouvoir est incapable de gouverner ; elle l’a démontré« 

                        Tu peux toujours rêver,, petit calmos... mais les réveils risquent d’être difficile, pour ton petit clan qui rétrécit à vue d’oeil...

                        Et qui le sent bien, d’ailleurs, ne sachant plus quoi faire pour essayer de se rattraper aux branches .. lol !

                        Quant à »la France« , mon pauvre, tu n’as aucune légitimité à parler en son nom ; tu ne représentes plus qu’une petite minorité ; alors contente toi de parler en le tien  ; : c’est déjà suffisamment ridicule comme ça.

                        Pour ce qui est de la gauche au pouvoir incapable de gouverner, ta petite propagande de désinformation tombe vraiment à plat, mon petit biquet ; tiens, pour te faire plaisir, je te joins une petite courbe sur l’évolution de la dette française sous les gouvernements successifs (sans même parler de la baisse inégalée du chômage pendant les 5 ans du gouvernement Jospin, de l’amélioration des comptes,, de la »cagnotte" ; remember, trouduc ? ) ; tu la regarderas, et tu viendras nous en reparler, pas vrai, ma biche ?

                        La vérité, c’est que c’est la droite qui a toujours été incompétente en toutes matières ; économie, finances, politique, chômage ; en plus, évidemment, de détruire le système social ; et qu’elle le prouve chaque jour un peu plus, et que plus personne n’en est dupe (sauf les sauriens préhominiens dans ton genre)...

                        Ca, ce sont les FAITS

                        Caramba ! Encore raté !

                        Même pas une larme pour ton espèce en voie de disparition ; que du bonheur...


                      • sisyphe sisyphe 30 octobre 2009 05:42

                        Tiens, mon gros chou, encore une bonne nouvelle pour ton petit clan...

                        Selon un sondage BVA pour Canal +, une large majorité de Français (64 %) considèrent que l’objectif principal du gouvernement avec le débat sur l’identité nationale correspond « avant tout » à une « volonté de mobiliser les électeurs de droite en vue des élections régionales

                        lol de lol de lol !!!
                        Que les yeux pour pleurer...

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON







Palmarès