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L’Avant Garde

l’Avant-Garde, premier réseau collaboratif d’actions politique.

L’Avant-Garde est un réseau collaboratif qui repose sur la mutualisation des idées, des expériences et des parcours de toutes les personnes qui souhaitent travailler au redressement de la France.

Réseau de conviction, l’Avant-Garde s’affirme comme anti conformiste, enracinée, personnaliste, ordolibérale et démocrate. .

Autour de ces convictions organisées dans un puissant réseau national actif, déterminé et fortement enraciné localement, chacun trouvera avec l’Avant-Garde les moyens de peser sur le débat politique avec comme première échéance l’élection présidentielle de 2017.

Être des libérateurs enracinés

Le clivage « droite / gauche » est trompeur et manipulateur.

Le clivage politique significatif sépare désormais ceux qui réduisent l’homme à l’état d’individu, malléable à volonté, d’autant plus libre qu’il est détaché de tout (histoire, patrie, famille, identité…), de ceux qui considèrent l’homme comme une personne, être de relation, de dignité inconditionnelle, appelé à transmettre aux générations à venir, et d’autant plus libre d’entrer en relation avec les autres qu’il est ancré dans une histoire, une patrie, une famille, une identité.

Nous voulons servir cette vision de l’homme et de la société.

Ce qu’être Français veut dire

 

Être Français

La France est une patrie, un territoire et un destin. Être Français, c’est être enraciné dans l’un de ses terroirs variés ; c’est partager l’amour de ses paysages différents et de ses hauts lieux. Cette diversité proche est une richesse précieuse, car elle fonde la capacité à appréhender l’universel.

Être Français, c’est partager une mémoire et une histoire communes. Être Français, c’est être rassemblés dans la fierté de la grande épopée nationale : la Monarchie, l’Empire et la République. « Avoir des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore, voilà les conditions essentielles pour être un peuple » (Ernest Renan).

Être Français, c’est être de langue française, outil de notre intelligence et de notre compréhension du monde.

Être Français, c’est cultiver un art de vivre qui laisse sa place au temps, à la gratuité, au beau, au sensible, à l’élégance, à la discussion, aux arts.

Être Français signifie recevoir cet héritage, le faire fructifier, le partager autour de soi et le transmettre à ses descendants. Transmettre un patrimoine, ce n’est pas cultiver la nostalgie de vestiges révolus ; c’est nous reconnaître dépositaires d’un trésor, facteur de justice et de paix. C’est permettre à chacun et aux générations à venir de grandir librement et dans la paix, dans une civilisation accueillante pour les plus faibles. Dans une civilisation qui, précisément, tiendra son nom de « civilisation » de ce qu’elle se sera donné les moyens de protéger les plus faibles.

Être Français, c’est puiser dans la riche diversité de ses terroirs, de son histoire et de sa culture pour aller à la rencontre du monde et des autres civilisations. Parmi toutes les nations européennes, la France est appelée à être l’éducatrice des peuples, à se mettre au service d’une vocation universelle qui la dépasse. « France, fille de l’Église et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l’homme, à l’alliance avec la sagesse éternelle ? » (Jean-Paul II)

Être Français, c’est appartenir à la civilisation européenne.

 

Être Européen

L’Europe est la matrice de la culture occidentale. Elle s’est élaborée dans la rencontre entre la philosophie grecque, le droit romain, les cultures germanique et slave, et la foi chrétienne.

En particulier, l’Europe a grandi en se nourrissant des nombreux apports de ses racines chrétiennes : dignité de tout homme (de la conception à la mort naturelle) créé à l’image de Dieu, égale dignité de l’homme et de la femme dans le respect de leur altérité sexuelle, famille reposant sur l’union entre un homme et une femme, liberté des consciences, juste distinction entre cultes et pouvoir politique, respect de la propriété responsable et reconnaissance de la destination universelle des biens, refus de la prétention à la toute-puissance.

« J’appelle européenne toute terre qui a été successivement romanisée, christianisée et soumise aux disciplines et à l’esprit des Grecs » (Paul Valéry).

 

 

La vie la meilleure possible

 

D’abord la dignité humaine

Toute personne − quels que soient son âge, son état de santé et sa singularité − est porteuse de la pleine dignité de la condition humaine. La finalité de la vie sociale − de l’action politique, en particulier − est de permettre autant que possible à chaque être humain de s’accomplir intégralement.

La paix civile, les libertés publiques, le fonctionnement démocratique des institutions, la justice, l’égalité de tous devant la loi, la reconnaissance de la dignité et des mérites de chacun, sont les fondements d’une société respectueuse des personnes.

 

L’amour de la vie

Toute vie est bonne. Toute vie est un don précieux. La vie humaine, la vie animale et la vie végétale sont en symbiose et toutes appellent le respect, chacune dans son ordre. De par sa dimension spirituelle, la vie humaine requiert une reconnaissance et une protection particulières.

L’amour de la vie a pour pendant la juste considération de la mort, qui en est le terme naturel et inéluctable. Travailler à repousser la mort et la souffrance est bon et légitime. Vouloir supprimer la mort est vain et malsain. Vouloir la précipiter est criminel.

 

Les libertés responsables

Les libertés concrètes (de vivre, de conscience, d’apprendre, de croire et de penser, de s’exprimer, de travailler, de fonder une famille et de pourvoir à ses besoins, de circuler, de résister à l’oppression) sont l’expression de la liberté ontologique de l’humain, avec leur contrepartie : recherche du bien, respect des libertés d’autrui, responsabilité pour les conséquences des actes que l’on pose, et devoirs envers la société qui nous permet d’exercer ces libertés.

 

La paix et la concorde sociale

La paix est un des biens les plus précieux, tant civile que dans le monde. La vraie paix se construit dans le respect de chacun. La guerre peut être un passage nécessaire pour la préserver ou y parvenir, mais elle n’est jamais souhaitable en elle-même et doit être évitée autant que possible.

Membres d’un même pays, nous partageons une même destinée. Nous nous soutenons par-delà nos affinités spontanées, par-delà nos éventuelles divergences sur des questions secondaires et par-delà nos rivalités personnelles parce que nous nous accordons sur l’essentiel et que nous œuvrons d’abord pour le bien commun.

Les divisions partisanes et les divisions sociales doivent demeurer mineures et relatives, par rapport à l’unité du pays.

 

Bien agir, agir pour le bien commun

Le bien commun réside dans le respect de la dignité de toute personne et de la liberté de conscience. Il s’incarne dans tous les domaines de la vie sociale et politique, et se traduit par des actions appropriées.

Pour servir le bien commun au quotidien, l’action concrète prime sur les idées et sur les appartenances. La politique ne saurait se réduire à la communication des partis, à la conquête du pouvoir par quelques-uns et aux échéances présidentielles. Faire de la politique, ce n’est pas faire carrière ; c’est servir.

La bonne politique est celle du mieux possible ; toute politique du pire est inadmissible.

Les personnes ne peuvent être réduites à leurs actes, et les actes ne sont pas d’égale dignité. Donc les grandes valeurs morales (bienveillance, respect des personnes, honnêteté, fidélité, courage, beauté) doivent être respectées et encouragées. Les vices publics (haine, mépris, violence gratuite, vol, meurtre, corruption, mensonge) doivent être dénoncés et repoussés.

La fraternité et la solidarité sont le ciment des familles, des organisations économiques et associatives, des territoires, de notre pays, de l’Europe et du monde entier.

 

La famille, première société

Les familles constituent les cellules de base de la société. Elles sont le lieu privilégié de l’accueil et de l’éducation des enfants, de la solidarité entre les générations et entre les proches, de l’apprentissage des personnes différentes, et de la transmission du patrimoine matériel, culturel et spirituel.

 

L’instruction

L’école, auxiliaire des parents, est le lieu privilégié de la transmission des connaissances et de l’éveil de toutes les formes d’intelligence. Dans une recherche d’excellence, l’école tend à ce que chaque élève donne le meilleur de lui-même, en fonction de ses capacités, et le prépare à ses responsabilités de citoyen adulte.

 

La valeur travail

Le travail libre constitue une expression essentielle de la dignité de la personne.

Chacun doit avoir les moyens de vivre de son travail et la liberté de disposer de ses biens, en vue de contribuer au bien commun.

 

La subsidiarité

L’action publique doit être conduite selon le principe de subsidiarité : chaque entité de la société a la liberté et la responsabilité de traiter et de résoudre par elle-même ce qu’elle est en mesure de prendre en charge. Aucune instance supérieure ne doit prendre en charge ce qui peut l’être par une instance inférieure.

 

L’importance des corps intermédiaires

Associations, coopératives, syndicats, entreprises, communes, écoles sont des lieux sociaux essentiels, complémentaires aux familles. Ces corps intermédiaires sont des espaces de liberté, d’initiative et de responsabilité. Tous contribuent au bien commun, par le service de leurs membres, de leurs bénéficiaires, de leurs clients ou de leurs partenaires.

 

Le juste rôle et la bonne administration de l’État

Un bon État est fort dans ses fonctions régaliennes (droit, justice, armée, sécurité), au service du bien commun des citoyens.

Dans tous les autres domaines, l’initiative personnelle ou collective est prioritaire.

La fiscalité doit être équitable, raisonnable et stable, et la dépense publique bien administrée : orientée vers le bien commun, responsable et prudente.http://www.lavant-garde.fr/


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2 réactions à cet article    


  • sylvie 2 février 2016 15:26

    Une nouvelle officine du FN ?

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