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Accueil du site > Actualités > Politique > Le Discours de Nicolas Sarkozy : Le pire est à craindre

Le Discours de Nicolas Sarkozy : Le pire est à craindre

Le succès allemand, c’est la transposition économique du mythe du vampire, qui se maintient en vie en aspirant la vie des autres, l’économie allemande vit sur la consommation des ses partenaires économiques.

Prendre exemple allemand, la meilleure façon de plonger l’Europe dans une récession plus terrible encore.

 La croissance économique repose généralement sur trois moteurs : la consommation intérieure, les exportations et l’investissement publique et privée.

L’Allemagne a façonné son succès économique en réduisant fortement son coût du travail, cette marche forcée a dans un premier temps entraînait une baisse de la consommation et de la croissance, mais dans un deuxième temps elle a dopée les exportations, l’emploi industriel et les rentrées fiscales. Mais ce système ne fonctionne que dans un libre marché européen, ou l’industrie germanique trouve des débouchés importants et compense la consommation atone de son marché intérieur de 82 millions de consommateurs par les succès sur le marché de presque 500 millions de consommateurs de l’Union européenne.

Si tous les pays adoptaient ce modèle, basé sur l’exploitation du marché intérieur de ses voisins, la consommation européenne s’écroulerait.

Le succès allemand, c’est la transposition économique du mythe du vampire, qui se maintient en vie en aspirant la vie des autres, l’économie allemande vit sur la consommation des ses partenaires économiques.

Demain, la France casse ses coûts salariaux et réduit sa consommation, dans les mois qui suivent c’est une récession terrible, et ensuite pas sûr que la consommation des autres pays européens permette de maintenir les ventes de l’industrie des deux pays les plus peuplés d’Europe.

Enfin l’industrie française n’est pas l’industrie allemande avant de vouloir copier l’Allemagne, il faudrait ré industrialiser notre pays.

La règle d’or une hérésie économique et historique.

Les pays d’Europe devront avoir une gestion des budgets beaucoup plus rigoureuses, mais ne faisons pas n’importe quoi, réfléchissons un peu plus loin que sur un horizon court termiste.

La règle d’or interdit toute politique budgétaire déficitaire. Qui peut assurer l’impossibilité de la survenue d’une crise économique ou militaire dans un avenir plus ou moins lointains ? Avec cette règle, nous sommes assurés de ne pouvoir répondre à de telles crises, c’est à dire que la règle d’or serait immédiatement foulée au pied par tout gouvernement responsable. De plus il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs, pour assurer une gestion rigoureuse des budgets des états européens, il faut régler le problème de financement de la dette car avec des taux à plus de 7 % impossible de tendre vers un équilibre. Il faut en priorité absolue modifier les règles de la BCE pour permettre un financement à des coûts très faible des Etats. Et il faudra passer aussi par des réformes en particulier des réformes fiscales. En France, nous avons trop d’impôts différents, il faut simplifier le système et le rendre plus efficace et je vous incite à lire et à visiter « Pour une révolution fiscale » de Camille Landais, Thomas Piketty et Emmanuel Saez, leurs travaux ne sont pas une réponse absolue mais mérite d’inspirer nos politiques.

Les nouvelles règles européennes, un déni de démocratie.

Le couple Merkel-Sarkozy veut imposer des règles supra-nationales qui permettraient de sanctionner les pays pas assez vertueux, c’est inadmissible. Les gouvernements sont élus par le peuple, et ils répondent devant le peuple, avec de telle mesure, c’est la commission européenne, la BCE et la cour de justice européenne qui fixeraient la politique économique de chaque état membre de l’UE et non le vote du citoyen. C’est tout simplement inacceptable.

Sarkozy 2008-2011 : 3 ans de perdu

En 2008, Sarkozy promettait des marchés financiers moralisés et un marché moins « tout puissant », 3 ans, absolument rien de changé. Aucune réforme de fond sur le fonctionnement des banques et des marchés financiers. Et la Grèce, l’Italie prouvent que les marchés financiers tiennent toujours les politiques et non l’inverse.


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45 réactions à cet article    


  • Hier a l’assemblée nationale le projet DE RUGY(verts) sur la transparence de la vie publique

    publique........ appuyé par socialistes communistes et verts..a été crtiqué et cassé par un
    ministre centriste de la fonction publique ( ????) larbin de l ’

    UMP

    72% des citoyens pensent que leurs elus sont corrompus.et votant contre l’ UMP SE DISQUALIFIE

    surtout l ump c est pour cela tant que tous ces vereux....seront la ....IL N Y AURA PAS DE TEXTE INTERDISANT LES CONFLITS D INTERETS (ex karachi...bettencourt et 68 autres AFFAIRES)


    • bigglop bigglop 2 décembre 2011 23:50

       Bonsoir à tous,

      Merci à l’auteur pour cette très bonne synthèse    Avant le 31/12/2011, nos parlementaires doivent voter les modifications règlementaires pour transformer le FESF et le MES en institutions à durée illimitée.
      Avant nos présidentielles de 2012, nous aurons certainement droit à la mise en oeuvre de ces deux dispositifs, plus les modifications, exigées par Merkel, substantielles du Traité de Fonctionnement Européen donc du Traité de Lisbonne, sans utiliser un référendum européen grâce à une astuce juridique déjà éprouvée avec succès que je vous décris plus loin.

      Il est un constat accablant, les dirigeants que nous avons élus, depuis l’époque Pompidolienne, se sont révèlés être de pitoyables gestionnaires (un euphémisme) sacrifiant l’intérêt général à l’intérêt de leurs « partenaires et sponsors » et le leur, clientélisme des réélections sans parler de la corruption.

      Nous avons entendu un Ministre de la République indigne (Baroin) accuser ses opposants d’avoir obtenu leur succès de 1981 « par effraction ».

      Mais que nous propose, dans son discours de ce soir, Sarkozy sinon un coup d’état, un anschluss, un pronunciamento, sur l’Europe au bénéfice de l’oligarchie financière dont il n’est que le commis, l’huissier, qui affirme que les déficits ont commencés en 1974 en omettant de nommer la loi Rotschild/Pompidou/Giscard de 1973.

      Merkel a réussi son coup avec les Monti, Draghi, Papedemos et un Sarkozy qui a baissé son froc, à savoir lancer la Grande Braderie de l’Europe au seul bénéfice de cette oligarchie, avec une BCE qui rachète de la dette souveraine plus ou moins pourrie sur les marchés primaire et secondaire devenant une Bad Bank (en contradiction avec tous les traités) en attendant de la transférer au FESF, ce qui limitera dès maintenant les possibilités d’intervention du Fonds.
      En effet, elle a obtenu ce qu’elle exigeait depuis toujours :
      Une modification radicale, profonde du Traité de Fonctionnement de l’Union Européenne (TFUE) donc du Traité de Lisbonne.

      Mais cette modification du traité se fera en dehors de tout cadre référendaire européen, en utilisant l’article 48 du TFUE (Traité de Fonctionnement de l’Union Europe Européenne).
      Ce procédé avait déjà été utilisé le 16/12/2010 par le président du Conseil Européen, Herman Von Rompuy pour l’accord du 11/03/2011, par amendement de l’article 136 du TFUE et de l’instauration d’un mécanisme permanent, le FESF et le MES, le 11 juin 2011.
      Des sanctions automatiques ou décidées par la Commission sur plainte d’un état pour non respect des engagements budgétaires.

      Créer un mécanisme permanent de sauvetage.

      Une règle d’or des 3% et de 60% du PIB, tout en sachant que cette règle définie lors du traité du Maastricht n’a jamais été respectée (même par l’Allemagne, qui prévoit d’augmenter son déficit en 2012) reposait sur les éléments suivants :

      Les taux de 3% du déficit, et de 60% pour la dette sont le résultat d’un calcul représentant une situation d’équilibre : si un État a une dette de 60% du PIB, un déficit de 3% du PIB et une croissance du PIB de 5% (en € courants) alors la dette de cet État reste stable à 60% du PIB (même si cette dette augmente en valeur absolue).

      "En juin 1981 qu’il était chargé de mission à la Direction du Budget du ministère des Finances, l’économiste Guy Abeille raconte avoir été mandaté avec son chef de bureau de l’époque Roland de Villepin d’établir un critère économique utilisable par le Président Mitterrand dans ses discours. Faute de mieux, Abeille et Villepin proposent alors ce critère relativement simple basé sur un ratio déficit/PIB qui, du propre aveu d’Abeille, « ne mesure rien » et sur une norme (3%) qui « n’a pas d’autre fondement que celui des circonstances » (le déficit budgétaire de l’époque atteint déjà presque 2% du PIB)".

      Le FMI a décidé de mettre en place des « lignes de précautions et de liquidités » afin de couvrir des besoins financiers urgents grâce à des prêts de six mois à deux ans ne faisant que retarder l’échéance de quelques mois.

      Enfin, les Banques Centrales Mondiales ont décidé de renforcer le FMI pour refinancer les dettes européennes par la BCE en contournant l’interdiction de création monétaire de cette dernière.

      Une rapide analyse du dispositif du FESF mis en place le 28/10/2011 pour démontrer qu’il est catastrophique :

      • l’abandon de créance de 50% par les banques européennes sera limité par l’obligation de recapitalisation des banques grecques aura une efficacité réelle de 19 à 27%. A l’issue de ce G20 inénarrable, il est passé à 60% alors que la provision devrait être de 100%.
        - la garantie de 20% de la première perte sur des obligations souveraines est insuffisante pour rassurer les marchés et les banques, à terme.
        - le renforcement du fond par un effet de levier est dangereux car il mènera à la création d’une pyramide de Ponzi.
        -la création dans le FESF d’un « special purpose vehicle » ou Fonds Commun de Créances est un clone des supports à l’origine des ’subprimes"
        Après la mise en place du MES (Mécanisme Européen de Stabilité) qui devrait se faire très rapidement, certainement avant les présidentielles de 2012 (et non en juin 2013, comme prévu), nous serons livrés pieds et poings liés à une organisation supranationale européenne qui gèrera directement les budgets de tous les états européens.

      Description de la Banque-MES :
      1°) Organisation Internationale, siège social au Luxembourg, d’une durée illimitée
      2°) détient la personnalité et la capacité juridique et peut donc contractualiser, transiger en son nom
      3°) les dirigeants, collaborateurs, la personne morale bénéficient d’une immunité juridique et d’un secret total sur tous leurs actes, missions. Par conséquent, aucune institution européenne, état, association, ne peut l’attaquer en justice sur ses actes, décisions même s’ils sont avérés avoir porté préjudice.
      4°) Montant de départ de garantie de 700 mds d’euros qui seront complétés par des apports complémentaires décidés et imposés par la Banque-MES suivant ses analyses.
      Ceci signifie qu’elle pourra réquisitionner automatiquement les capitaux qu’elle estime nécessaires et par conséquent avoir la mainmise sur les budgets des états.

      5°) les états européens seront contraints de garantir de manière irrévocable et inconditionnelle la dette créée par le MES et sa Banque

      Et maintenant le tabou du découplage de la zone euro entre pays forts et faibles est levé et cette option est clairement envisagée, en cours d’évaluation.

      In fine, la création d’une Europe Fédérale gérée par une techno-structure ultra-libérale, totalement anti-démocratique qui organisera, contrôlera les budgets de tous les états européens avec un pouvoir de sanction exorbitant.

      Ce même Sarkozy veut nous vendre une Europe « plus démocratique, solidaire », qui exigera le renoncement aux acquis du Conseil National de la Résistance, du Front Populaire pour prétenduement pour « conserver notre niveau de vie ». Il y a là une contradiction fondamentale.

      Souvenez-vous de son discours de 2002, où il invoquait avec haine la destruction de l’esprit de Mai 1968, source de tous les maux de notre société. Ce jour là j’ai eu peur, une peur qui tordait le ventre, qui me rappelait cette Peste Noire et Brune qui a dévasté l’Europe et le monde.

      Aujourd’hui, nous vivons un dangereux « parallélisme », car si l’histoire ne se répète pas, elle bégaie, balbutie en produisant des avatars.

      Sachant que les textes votés par nos parlementaires sont à 70, 80% la mise en conformité de directives européennes, rajoutez le vote d’une Loi de Finances, d’une révision de la Loi de Finances N-1, imposée de l’extérieur et vous aurez le solde de ce qui restera notre souveraineté.

      Dans ce discours, il a parlé de la peur des citoyens tout en omettant qu’il est le responsable, le pompier pyromane, de cette peur, de cette insécurité, des stigmatisations, du racisme, qu’il a su entretenir en soufflant sur les braises, aidé par des Hortefeux, Guéant, Besson.

      Il a parfaitement assimilé « Le Prince » de Machiavel

      En 2006/2007, Paul Jorion, Nouriel Roubini avaient lancé l’alerte sur les risques « subprime », ils ont été traités de fous et ceux qui ont relayé l’information, de « conspirationnistes »
      Au-delà des personnages (Sarko, Merkel, Dragui, Van Rompuy....), d’institutions (Conseil Européen, Commission, FESF, MES, BCE), il s’agit de l’aboutissement d’une stratégie lente mais continue du contrôle de l’économie mondiale par une oligarchie financière qui se dévoile à l’aube de son succès.

      Pour ne pas voter con, lire immédiatement : La fabrique du consentement de Noam Chomsky.

      Un entretien de Noam Chomsky :

      http://chomsky.fr/entretiens/20070805.html

      Je vous propose de consulter le blog d’un professionnel de la finance (peut-être actuaire bancaire ou trader) qui donne de très bonnes analyses et informations fiables :
      http://www.renovezmaintenant67.eu/

      Mais aussi, le blog d’un actuaire bancaire Olivier Berruyer, avec ses analyses extrêmement pertinentes et son livre "Stop ! Tirons les leçons de la crise’ ( très accessible) :
      http://www.les-crises.fr/

      Liens des mails des député français :

      http://www.courtfool.info/fr_MES_le...

      Lien mails des députés européens :

      http://www.cdca.asso.fr/cdcaeurope/...

       Dans leur grande majorité, les citoyens ne croient plus aux « politiques », à la « cuisine », aux programmes « soupes » électoralistes mais continuent à voter pour le moins pire.

      NE NOUS TROMPONS PAS D’ENNEMI



      .


    • iris 2 décembre 2011 09:59

      c’est décidé je voulais voter eva joly mais je vais voter front de gauche-j’èspère qu’ils appliqueront une partie du prg des écolos
      et si tous les petits retraités chomeurs et travailleurs votent front de gauche -c’est gagné-
      car les patrons medef pme pte sont minoritaires en nombre
      de toutes les façons avec - de pétrole la pollution et la raréfaction de smatières premières il faudra revoir nos consommations et vivre + en communauté -


      • roro46 2 décembre 2011 15:59

        Moi je pense que je voterai quand même Eva - sous entendu pour ELLE, mais à reculon pour « son » parti.
        Je pense que c’est une personne intègre capable de faire un sacré - salutaire et indispensable - ménage dans le fonctionnement du monde politique.
        (mais je suis sans doute un doux rêveur smiley )

        Ceci dit, n’oublions qu’il y a d’autres candidats à la présidentielle (dont on parle curieusement beaucoup moins, je me demande pourquoi)

        Si on veut vraiment des changements, on pourrait peut-être, enfin, arrêter d’avoir peur de regarder ailleurs, hors des sentiers déjà battus et rebattus avec les résultats que l’on sait.

        Un exemple ici


      • Lalita Lalita 2 décembre 2011 23:07

        Voter eva joly ou front de gauche , c’est pareil que de voter hollande puisque au deuxième tour ces personnes vont appeler à voter socialiste !

        Or pour ce qui est de la problématique européenne UMP ou PS c’est pareil !

        Le clivage droite/gauche n’est plus pertinent pour beaucoup de sujets . Je suis de gauche mais je crois que je vais voter pour le seul souverainiste « honorable », c’est à dire dupont-aignan même si je ne suis pas d’accord avec des parties de son programme.


      • roro46 3 décembre 2011 01:24

        en effet, mais tant qu’on continuera à voter systématiquement pour l’ump ou le PS, ils seront au 2ème tour.
        On prend ça comme un fait accompli, alors que pour qu’ils n’y soient pas et qu’on ait enfin d’autres choix, il suffirait de ne pas voter pour eux ! Simple, non ?? smiley

        Ceic étant dit, encore une fois, si je vote pour Eva Joly, ce sera pour Eva Joly ; pour la personne, quoi... prce que je la croit CAPABLE (en espérant ne pas me fourrer une fois de plus le doigt dans l’oeil.
        Mon but n’est donc pas qu’elle appelle à voter PS au second tour (ce que je ne ferai de toute façon pas), mais quel SOIT au 2ème tour.

        Ceci dit, le candidat que je cite dans le lien de mon message ci-dessus ne m’indiffère pas du tout non plus. Il se pourrait fort bien que je vote pour lui... à voir...


      • goc goc 3 décembre 2011 10:28

        Voter eva joly ou front de gauche , c’est pareil que de voter hollande puisque au deuxième tour ces personnes vont appeler à voter socialiste !

        attention ce n’est peut-être pas aussi simple que cela, en effet a vouloir voter en masse FG ou EELV, c’est prendre le risque de voir la gauche disparaitre purement et simplement du 2eme tour

        de toute façon la seule solution c’est d’abord de récupérer les voix en déshérence attirées par le FN, et pour cela, comme la bien expliqué Michel Onfray, il faut revenir aux fondamentaux de la gauche, c’est à dire s’adresser aux gens et à leurs vrais problèmes
        bien sur que le nucléaire c’est important, mais aujourd’hui le plus important c’est le travail, le logement, le cadre de vie, et là c’est soit le silence (eelv), soit la démagogie à 100balles (Fg)

        il y a 4 mesures urgentes :

        - ré-industrialiser le pays, quitte à passer par du protectionnisme via la fiscalisation des délocalisations
        - désendetter les français, et non l’État (en annulant les dettes pourries tel le revolving, et en autorisant la faillite personnelle qui efface tout). Pour l’État, il faudra passer par une annulation des intérêts et un moratoire sur le capital,
        - faire baisser le cout des logements (achat, loyers), en les ramenant à leur vraies valeurs (en franc constant sur la base de 1990 par exemple)
        - mettre un peu d’inflation (10-15%)
        En plus toutes ces mesures auront pour effet d’affaiblir les banques et donc de pouvoir les nationaliser à faible cout.


      • Lalita Lalita 3 décembre 2011 14:13

        Malheureusement, il y a bien assez de conformistes pour voter pour les 2 gros candidats ! (hollande et Sarkozy)

        Ce qui serait génial c’est qu’aucun des deux ne soit au deuxième tour. Mais je ne me fait pas d’illusion, comme le disait De Gaulle, les français sont des veaux !

        Ils regardent bien trop la télé. On va leur faire le coup du vote utile, et il vont marcher comme un seul homme.

        C’est pas voter utile qu’il faut, c’est voter pertinent et intelligent...Il faut s’informer, lire les programmes et être assez fort pour ne pas écouter ceux qui agitent des peurs....


      • bigglop bigglop 3 décembre 2011 20:21

        Bonsoir @ Lalita,
        Le front de gauche avec JL Mélanchon sont les seuls à proposer une vraie alternative dans leur programme de gouvernement.
        Tous les autres se situent dans une démarche social-démocrate en faillite (PS, EELV) ou libérale, ultra-libérale (UMP et ses clones y compris MLP) y compris un Cohn-Bendit dirigeant du think tank libéral des European Young Leaders http://40under40.eu/gouvernance.html

        Le seul bémol concerne la volonté du FDG de « transformer la construction européenne de l’intérieur » ce qui est une utopie dangereuse
        En effet, nos députés doivent voter avant le 31/12/2011 les modifications règlementaires transformant le FESF et le MES en dispositifs permanents.
        Par ailleurs, Merkel va faire le forcing pour imposer une modification très profonde du Traité de Lisbonne, sans consultation référendaire européenne, en utilisant un subterfuge qui a déjà fait ses preuves récemment.

        Une modification radicale, profonde du Traité de Fonctionnement de l’Union Européenne (TFUE) donc du Traité de Lisbonne.

        Mais cette modification du traité se fera en dehors de tout cadre référendaire européen, en utilisant l’article 48 du TFUE (Traité de Fonctionnement de l’Union Europe Européenne).
        Ce procédé avait déjà été utilisé le 16/12/2010 par le président du Conseil Européen, Herman Von Rompuy pour l’accord du 11/03/2011, par amendement de l’article 136 du TFUE et de l’instauration d’un mécanisme permanent, le FESF et le MES, le 11 juin 2011. 

        Si le FDG n’arrive pas au second tour, je pense aller voter Blanc ou Nul, car je n’ai aucune confiance dans le PS et Hollande qui s’est fait « adouber », à Bruxelles, par la Commission Européenne

        En conclusion, nous risquons d’aller voter pour des prunes en 2012, s’il n’y a pas une mobilisation générale


      • roro46 4 décembre 2011 05:26

        « Le front de gauche avec JL Mélanchon sont les seuls à proposer une vraie alternative dans leur programme de gouvernement. »

        Les seuls ? Non certainement pas. Mais les seuls à être un peu médiatisés, sans doute, oui.


      • Lalita Lalita 4 décembre 2011 16:33

        Melenchon hum... Je n’ai pas confiance...

        D’abord il ne dit pas clairement qu’il veut sortir de l’euro e t il ne dit pas non plus qu’il n’appellera pas à voter hollande au deuxième tour...

        Il ne sert qu’à canaliser les votes d’ extrème gauche

        NDA lui c’est clairement détaché de son camp....


      • Arafel Arafel 5 décembre 2011 01:09

        goc

        - ré-industrialiser le pays, quitte à passer par du protectionnisme via la fiscalisation des délocalisations
        Rappelez moi quels sont les partis qui ont participé à la désindustrialisation de la France, sinon l’UMPS et ses satellites ?
        Et puis c’est pas un peu facho, ça ? smiley

        - désendetter les français, et non l’État (en annulant les dettes pourries tel le revolving, et en autorisant la faillite personnelle qui efface tout). Pour l’État, il faudra passer par une annulation des intérêts et un moratoire sur le capital,
        Qui a crée pendant toutes ces années ces dettes pourries, sinon l’UMPS et ses satellites....

        - faire baisser le cout des logements (achat, loyers), en les ramenant à leur vraies valeurs (en franc constant sur la base de 1990 par exemple)
        Encore les mêmes aux affaires....

        - mettre un peu d’inflation (10-15%)
        Vous touchez au sacro saint de l’UMPS et de ses valets, vous plaisantez....

        Que ce soit EELV ou le FG, ils voteront comme un seul homme pour le PS en échange de places de députés, alors, voter pour eux, c’est se planter lourdement.


      • Taverne Taverne 2 décembre 2011 10:06

        Il y avait une solution européenne à la crise de la dette et de l’Euro. Sarkozy a opté pour la solution allemande. Qui risque, hélas, d’être la solution finale...


        • iris 2 décembre 2011 10:33

          et bayroud fera la mème chose-
          NS= bayroud = de villepin = morin = borloo tous de la mème bande à virer


        • Taverne Taverne 2 décembre 2011 10:40

          Bayrou n’est pas Borloo qui fait pschhhiiiit !


        • Taverne Taverne 2 décembre 2011 10:11

          "c’est une évidence qu’il faut davantage de discipline de la part des États européens, mais pourquoi Nicolas Sarkozy ne l’a-t-il fait et fait respecter, depuis qu’il est élu ?" déclare Marielle de Sarnez. Effectivement, Sarkozy, c’est le cancre de la classe qui vient donner des leçons à tous ses camarades en se rangeant du côté de la maîtresse.


          • devphil30 devphil30 2 décembre 2011 10:26

            Excellent propos , très juste


          • GERALD NASSIF GERALD NASSIF 2 décembre 2011 13:47

            A ce compte là c’est avant tout « un faillot » !


          • nicolas flamel 3 décembre 2011 10:18

            Félicitations pour la comparaison. Il n’y a rien à rajouter.


          • ZEN ZEN 2 décembre 2011 10:17

            Récemment, Delors, qui ne remet pourtant pas en question la pression des marchés financiers et l’eurolibéralisme, déclarait à l’Express (extrait) :
            "...La société allemande a changé. Pour des hommes comme Adenauer, Schmidt et Kohl, l’Europe lavait plus blanc. Par la suite, après l’élargissement qui l’a placée au centre de l’Europe et grâce à une économie performante et disciplinée, l’Allemagne a regardé ailleurs. Lorsque j’étais président de la Commission, je pouvais toujours m’attendre à une concession allemande. Aujourd’hui, je n’en sais rien. La société allemande s’est éloignée de ce qu’ont porté quatre générations - le remords, le souci d’une démocratie exemplaire - et ne cache plus son complexe de supériorité. ..« 
            L’Allemagne de toute évidence »regarde ailleurs" (J.Delors).
            Du côté de son Hinterland...
            On peut vraiment se demander si l’Allemagne n’a pas déjà préparé un plan de sortie


            • Francis, agnotologue JL1 2 décembre 2011 15:40

              L’alibi de la real-politic c’est la mise en musique du principe qui veut que la fin justifie les moyens. La mondialisation libérale est une colonisation polymorphe. C’est le slogan : « prédateurs de tous les pays, unissez vous ». Une Hydre de Lerne holographique.

              « Par exemple, les pays scandinaves, propres sur eux sont les exportateurs des machines qui détruisent les forêts du monde. L’Allemagne qui respecte son environnement, c’est l’Allemagne qui figure sur la carte. Mais l’Allemagne élargie est celle qui a Siemens, Bayer, et chaque place où l’on utilise un pesticide Bayer, c’est l’Allemagne. De fait, l’Allemagne du territoire est le sanctuaire, la métropole de l’empire « Allemagne élargie ». Et tous ces empires virtuels se recouvrent sans s’annihiler mutuellement. » (Raúl Montenegro)



            • appoline appoline 2 décembre 2011 18:08

              Non, nous sommes des veaux, nous savons jalouser mais pour retrousser les manches, que nenni. Les teutons ont une autre mentalité, ils sont des guerriers, nous, nous sommes des soumis avec une bande d’incapables pour nous gouverner et une bande d’irresponsables avant eux, alors la mouise arrive à grand pas


            • platon613 4 décembre 2011 17:53

              Quelques conseils avant l’effondrement de la zone euro !

              L’euro nous ruinera. L’or comme planche de salut

              Tant que les politiciens européens n’admettront pas que l’UE n’a pas besoin d’une monnaie unique ni d’un Super-État centralisé mais seulement d’un marché commun, il est probable que la crise continuera sans que l’on puisse envisager pour le moment le moyen d’y mettre un terme... Le seul actif susceptible de protéger les détenteurs d’euros c’est l’or, dont le prix exprimé dans cette monnaie reste soutenu puisque l’euro baisse...

              http://www.news-26.com/or-argent/1400-leuro-nous-ruinera-lor-comme-planche-de-salut.html


            • sisyphe sisyphe 2 décembre 2011 15:55

              Une seule solution pour sortir de ce cercle infernal, tenu par les teutons : 


              ANNULATION DES DETTES DES ETATS (qui, de toutes façons, ne seront jamais payées)

              et 


              la BCE doit être au service des états européens et de ses citoyens ; pas au service des marchés. 

              • lagabe 3 décembre 2011 09:58

                Une reforme monétaire oui mais pour faire quoi ?
                Annulation des dettes des états 40 % de la dette est possédée par les classes moyennes , 10 % par des investisseurs institutionnels et 50 % par des étrangers (je viens justement de convertir mon assurance vie en euros vers une FCP , donc qui perdra ceux qui n’y connaissent rien
                La question est pourquoi la société occidentale consomme autant , donc faudra moins consommer , croissance négative etc


              • sisyphe sisyphe 4 décembre 2011 17:05

                Qui détient la dette de la France ?

                Extraits :

                La France emprunte environ un tiers de sa dette à ses propres banques et sociétés de crédit. Avec une particularité : le pays est plus endetté auprès des compagnies d’assurance (20 %), qui « achètent » des titres de dette française pour les placements d’assurance vie, qu’auprès de ses banques. Contrairement à la situation du reste de l’Europe, les établissements bancaires français possèdent moins de 14 % de la dette nationale.

                Donc,en nationalisant (banques, compagnies d’assurance), on récupère déjà le 1/3 de notre dette.

                La dette française est détenue à plus de 65 % par des « non-résidents » français Le terme de « non-résidents » recoupe une série d’acteurs : fonds de pension, grandes banques, compagnies d’assurance, fonds souverains... Il est impossible de savoir précisément quel pays possède le plus : la loi interdit la divulgation de cette information, à part aux vendeurs eux-mêmes. Ce qui pose question : la provenance des possesseurs de dette revêt en effet un caractère de plus en plus crucial.

                Annulation pure et simple de la part de la dette due aux organisme privés : ces usuriers se sont largement gavés avec les intérêts qui ont déjà payé l’intégralité des sommes empruntées. Pour les « fonds souverains » des autres pays, il suffit de récupérer les nôtres, et le problème est réglé.

                65% annulés, plus 34% récupérés : voila le problème de la dette réglé.

                Plus la vitale réforme monétaire ; redonnant pouvoir aux états d’emprunter aux banques centrales sans intérêt (comme le font les USA, la Grande-Bretagne, sans parler de la Chine), et interdisant aux banques privées toute création d’argent ex-nihilo, et les états, donc les citoyens, recouvrent leur souveraineté monétaire, financière, économique, et sont débarrassés de toute dette à venir.


              • sisyphe sisyphe 4 décembre 2011 17:06

                ..pardon pour le lien : 



              • Leonard 2 décembre 2011 16:13

                « 
                Les nouvelles règles européennes, un déni de démocratie.
                Le couple Merkel-Sarkozy veut imposer des règles supra-nationales qui permettraient de sanctionner les pays pas assez vertueux, c’est inadmissible. Les gouvernements sont élus par le peuple, et ils répondent devant le peuple, avec de telle mesure, c’est la commission européenne, la BCE et la cour de justice européenne qui fixeraient la politique économique de chaque état membre de l’UE et non le vote du citoyen. C’est tout simplement inacceptable. »
                ----------------

                C’est bien parce qu’aucune instance internationale n’a les moyens de sanctionner un etat qui depense trop qu’on est dans cette situation. Les agences de notation ont maintenant J’irai meme plus loin dans les sanctions pour faire en sorte que les pays qui depensent plus que leur budget ne puisse plus emprunter. Cela fait 40 ans que l’Europe vie a credit et maintenant il y a plus de sous et il faut rembourser.

                « c’est la commission européenne, la BCE et la cour de justice européenne qui fixeraient la politique économique de chaque état membre de l’UE »
                Non, uniquement le budget. Pas d’equilibre, plus d’emprunt pour compenser.


                • bruno-beauvois 2 décembre 2011 20:50

                  Votre affirmation est une hérésie historique, de tous temps les pays ont utilisés le déficit, guerre ou crise économique.
                  La différence aujourd’hui consiste dans le fait que l’on a mis les pays en concurrence fiscale et poussait à une diminution d’impôt d’état, moins de recette plus de déficit. Et en démocratie c’est l’état c’est à dire le peuple qui décide en dernier recours et non les banques ou les agences de notation. Je crois que votre niveau de réflexion est figé dans un carcan idéologique.


                • Leonard 7 décembre 2011 18:03

                  « Votre affirmation est une hérésie historique, de tous temps les pays ont utilisés le déficit, guerre ou crise économique. »

                  Ca m’etonne de quelqu’un d’apparement instruit de dire une chose comme celle-ci. C’est exactement pour ces raisons qu’on est en droit d’attendre quelque chose qui ne va pas repeter les erreurs du passel.
                  Passer a une « super-europe », devenir plus gros, est ce qui nous donnera plus de stabilite et de credibilite.
                  Harmoniser les etats vers une federation europeenne est ineclutable. C’est de l’Evolution.

                  « La différence aujourd’hui consiste dans le fait que l’on a mis les pays en concurrence fiscale » Non, on est en concurrence aujourd’hui. Demain, apres l’harmonisation la fiscalite sera la meme partout en Europe.

                  Quand a la democratie, au lieu de voter a 66milion pour un president, on votera a 600 milion.
                  Ce ne change pas grand chose a part qu’a la place de voter pour un parti national, on votera pour un parti europeen avec un representant polonais -par exemple. Par contre j’espere que la langue europeen ne sera pas le polonais ... Plutot l’americain :)


                • bruno-beauvois 7 décembre 2011 20:47

                  Mais je ne me suis jamais prononcer contre le fédéralisme, bien au contraire. Mais un vrai fédéralisme avec un Europe qui fonctionnerait comme n’importe quel pays. Aujourd’hui dans aucun pays ou presque n’est fixé des règles économiques ou fiscales dans la constitution. Une constitution doit fixer les règles d’éligibilité et encadrer les pouvoirs législatives, exécutif et justice.

                  Et c’est aux peuples tous les 5 ans de choisir sa politique, déficitaire s’il le souhaite, le peuple est souverain.
                  Pour les références historiques au déficit, je pensais que n’importe qui pouvait comprendre. Demain s’il y a un conflit militaire entre perdre une guerre ou faire du déficit et fouler au pied la règle d’or, le choix sera très très rapide.
                  Et quand l’harmonisation fiscale, Irlande vient d’émettre un NO très bruyant.

                • Henri François 2 décembre 2011 16:59

                  Mais de quel droit deux peuples, non excusez, deux Présidents ? dicteraient leur loi à toutes les autres nations de la zone euro ? Et savons nous ce qu’en pensent les autres membres de l’Union Européenne ?
                  De ridicule le Président français est devenu DANGEREUX  ! Il veut fagoter une Europe à « l’allemande », une vision qu’il semble avoir depuis longtemps.
                  Na-t-il pas fait couler le projet d’euro-méditerranée en grande pompe en 2008 en substituant le processus de Barcelone (5 pays de chaque rive de la Méditerranée) en inventant l’UPM à laquelle étaient associée les Anglo Saxons hostiles à tous les points de vue (culturel, economique etc...) à cet ensemble ?
                  Il et évident comme le nez au milieu de la figure que les anglo-saxons et particulièrement les Germains (ressucités de leurs cendres) n’ont rien mais rien en commun avec les pays uropéesn du sud ou slaves envers lesquels ils ont toujours eu uncomplexe de supériorité.


                  • Richard Schneider Richard Schneider 2 décembre 2011 17:57

                    @ à zen :

                    Si même Delors s’est aperçu qu’il y a un changement de la mentalité des Allemands ! Alors, on est sauvé !
                     (Juste un mot : c’est normal, nos voisins d’Outre-Rhin n’ont pas vocation de cultiver ad vitam æternam la repentance)

                    @ à l’auteur :

                    Analyse assez convaincante quant à la situation européenne en général, franco-allemande en particulier.
                    Quand on connaît un peu l’Histoire de ce grand pays, on s’aperçoit que l’Allemagne, depuis Bismark (Montebourg dans sa brutalité n’a fait qu’énoncer une évidence) a constamment chercher à s’étendre vers l’Est (c’est le Drang nach Osten) : les Balkans et le M.O., la Pologne et surtout la Russie. Depuis la réunification, l’establishment allemand reprend cette politique à son compte. Pourquoi ? L’épopée fer-charbon est terminée : les pays de l’ex-URSS sont riches en matières premières, les Balkans sont une voie naturelle vers le P.O et le M.O., et, comme c’est écrit dans l’article, l’économie allemande repose essentiellement sur l’exportation - et ces pays sont solvables grâce à leurs richesses naturelles.
                    Pour l’instant, Berlin ne peut pas encore se passer de l’Euroland, parce qu’il absorbe l’essentiel de sa production industrielle. Pour cela, il faut que les pays de l’UE aient les moyens de les payer. Aussi Merkel veut-elle des garanties financières solides de la part de ses partenaires.
                    Mais à moyen terme, l’Allemagne créera une zone Euromark, avec les Pays-Bas, les pays scandinaves, l’Autriche et (peut-être) ... la Suisse. Assurée d’avoir bien en main son Hinterland, elle sortira de l’Euro s’il le faut et se contentera d’une sorte de zone de libre-échange où il fera bon d’aller en vacances (vacances peu onéreuses, les monnaies des pays du Sud seront faibles par rapport à l’Euromark).
                    La politique des états du Sud de l’UE, à vouloir « coller » aux normes financières germaniques, finira très vite dans le mur. Berlin espère simplement que ce n’est pas dans l’immédiat.
                    Juste encore un mot : L’avenir de l’Allemagne, nouveau pays de cocagne pour Sarkozy et les autres, n’est pourtant pas si « rose » qu’il n’y paraît.
                    Vaste sujet, qui exigerait une article à part ...
                    Bonne soirée,
                    RS

                    • restezgroupir44 restezgroupir44 2 décembre 2011 18:27

                      l’€ sera mort avant Nôel !


                      • armand 2 décembre 2011 18:54

                        Bsr le pir ne sera pas là, il est en campagne, avec de vielles méthodes dictées par des conseillers naphatliques, dans 5 mois ILS dégagent voilà, pourvu que pole emploi puisse leur trouver un emploi


                        • Peachy Carnehan Peachy Carnehan 2 décembre 2011 22:25

                          « ...dans 5 mois ILS dégagent... »

                          Il reste exactement quatre mois et vingt jours. Plus exactement il reste 143 jours avant d’en finir avec ce cauchemar.


                        • bruno-beauvois 3 décembre 2011 09:08

                          Je n’ai jamais porté aucune attaque contre le peuple allemand mais contre les décisions du gouvernement allemand. Je ne suis pas le clone caché d’Arnaud Montebourg


                        • michel 2 décembre 2011 22:41

                          La seule question qui vaille c’est de savoir si le prochain Président de la République élu en 2012 sera en mesure d’être un vrai Président disposant des pouvoirs régaliens que devrait lui octroyer sa fonction... Car la voie tracée vers cette Europe fédérale sonne le glas de l’indépendance nationale... Dernier article en date sur mon blog : http://w454.skyrock.com/


                          • Richard Schneider Richard Schneider 3 décembre 2011 10:28

                            @ michel :

                            Tout-à-fait en accord avec vous : une Europe fédérale aujourd’hui - je ne dis pas : peut-être dans une génération, on verra - « sonne le glas de notre indépendance nationale ».

                          • goc goc 3 décembre 2011 11:21

                            surtout le traitre collabo J. Lang


                          • bruno-beauvois 3 décembre 2011 11:20

                            pour l’inflation 5% sur 8 ans et vous dévaluez de 50 % votre dette , un inflation à deux chiffres ne me semble pas souhaitable.


                            • Richard Schneider Richard Schneider 3 décembre 2011 12:59

                              @bruno-beauvais :
                              Vous pouvez même aller - mais pas trop au-delà - vers une inflation de 7-8% sur 8 ans. Au-dessus, c’est l’appauvrissement général.



                              • FYI FYI 5 décembre 2011 01:44

                                Aucun des candidats pour 2012 ne soutient NESARA (National Economic Security and Reformation Act), et ce quelque soit leur étiquette politique, petit ou grand parti.
                                Tant que çà sera ainsi, ceci signifiera qui que ce soit vous voterez, il ne bosera pas pour vos idées et améliorer le sort des populations. Au contraire vous légitimerez leurs actions.


                                • Leonard 9 décembre 2011 13:31

                                  « Et c’est aux peuples tous les 5 ans de choisir sa politique, déficitaire s’il le souhaite, le peuple est souverain. »
                                  Le peuple est souverain certes -c’est un autre debat- et s’il se choisi une politique deficitaire alors il n’y a aucune raison de lui preter de l’argent. C’est precisement ce qui aujourd’hui se passe apres 40ans de cette meme politique.

                                  Enfin, d’apres ce que je comprends a lisant ce qui s’est passe hier a Burxelles, les dirigeants europeen vont dans le sens que je defends.
                                  Je habite en Ireland depuis plus de 10 and et je suis complement pour ce nouveau traite qui va controller les budgets de chaque etats. Quand je vois ce qui se passe ici, je suis tres satisfait de voir la France et L’Allemagne prendre les choses en main meme s’il aurait pu faire ca plus tot. Ces deux pays tiennent l’Europe a bout de bras et il est tout a fait normal qu’il ait un regard sur ou va leur argent et comment il est utilise.
                                  Plus loin encore dans cette nouvelle etape d’integration europeenne, en devenant plus gros on augmente la stabilite europeenne et c’est la base pour une economie saine dont on a besoin actuellement.

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