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Accueil du site > Actualités > Santé > Vaccin hépatite B et scléroses en plaques : peut-on y voir plus clair (...)

Vaccin hépatite B et scléroses en plaques : peut-on y voir plus clair ?

La mise en examen de 2 laboratoires à propos de la vaccination hépatite B a évidemment relancé les polémiques. Ainsi « C dans l’air », l’émission d’Yves Calvi sur la Cinq, a repris le thème et l’Académie de médecine a publié un communiqué de presse. La polémique sur les études statistiques relatives au risque et à la fréquence d’apparition de SEP à cause du vaccin a été inévitablement relancée, tout particulièrement celle de Hernan publiée en 2004 et qui avançait un risque 3 fois plus grand. Est-il possible d’y voir enfin plus clair ?

Sur la Cinq, le vendredi 8 février 2008, s’opposaient Robert Cohen pédiatre infectiologue, correspondant du Conseil national de pédiatrie, animateur d’InfoVac face à Marc Girard ancien expert des laboratoires et qui en tant qu’expert auprès du tribunal de Versailles avait permis, dans un premier temps, la condamnation d’un labo en faveur de 2 victimes. Il anime un site très documenté sur le sujet.

Robert Cohen va soutenir avec insistance qu’il existe des preuves scientifiques de l’absence de risque avec ce vaccin, s’exclamant « moi je n’ai aucun doute », affirmation qu’il limitera cependant, vu sa spécialité de pédiatre, aux enfants. De tels propos peuvent être efficaces en cabinet pour persuader une mère de famille de faire vacciner son enfant, mais dans un débat c’est une autre affaire. Il affirmera que sur les 12 enquêtes statistiques sur le sujet, 11 ont conclu à l’absence de risque et que la douzième, celle de Hernan, serait la plus petite. Pourtant, le 30 novembre 2007, j’avais pu entendre de vive voix un expert de l’Afssaps, Mme A. Castot, dire qu’aucune de ces études ne permettait d’écarter un risque peu fréquent d’accidents graves. Ce fut aussi la conclusion de la réunion de consensus de novembre 2004 présidée par le Pr Marc Brodin. Tous adoptent la célèbre formule : en l’état actuel des études aucune preuve de cause à effet ne peut être établie, évitant ainsi de trop se compromettre pour l’avenir et sachant qu’en pratique cela se traduira par « tous les cas observés sont des coïncidences ». C’est bien ainsi qu’en appel le tribunal a annulé la condamnation du tribunal de Versailles au bénéfice du laboratoire pour le motif d’absence de preuve.

Robert Cohen va se référer à des statistiques donnant les mêmes proportions de SEP chez les vaccinés et les non-vaccinés pour en déduire que le risque serait le même. Ce point de vue a été repris 4 jours plus tard par le communiqué de l’Académie de médecine :

« 8 études nationales et internationales ont démontré l’absence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre l’hépatite B. Une étude réalisée par Hernan et publiée en 2004 (résumé par l’Afssaps ; résumé par l’OMS) a soulevé des questions, mais sa méthodologie a été réfutée par les experts de l’OMS. Deux réunions de consensus nationales en 2003 et 2004 ont confirmé les recommandations de vaccination prioritaire des nourrissons et de rattrapage des enfants et adolescents non vaccinés. Tout récemment ont été publiées deux études des services de neuro-pédiatrie français (KIDSEP) chez l’enfant et l’adolescent (2007) : la première démontre l’absence d’influence du vaccin de l’hépatite B sur le risque de passage à la SEP après le premier épisode de maladie démyélinisante ; la deuxième montre qu’il n’y a pas d’augmentation du risque de première poussée de SEP après une vaccination contre l’hépatite B dans les 3 années précédentes. L’ensemble de ces résultats a conduit le Haut Conseil de santé publique à rappeler les recommandations de la vaccination le 14 décembre 2007. »

Observons que le principal rédacteur de ce communiqué, Pierre Bégué, ancien président du Comité technique des vaccinations, participe avec Robert Cohen à l’animation d’InfoVac dont l’objectif est de conseiller les médecins pour les problèmes rencontrés dans leur pratique vaccinale.

Pourtant, ces statistiques veulent seulement dire qu’avec les tailles d’échantillons retenues il n’a pas été possible de mettre en évidence une différence significative et non pas que cette différence n’existerait pas : si le risque est de 1/100 000, soit 250 cas pour 25 millions de vaccinations, un échantillon de 200 000 personnes en donnera 2 en moyenne, ce qui en pratique, avec les variations aléatoires possibles, peut en donner 1 ou 3, voire 0 ou 4. Ajoutées aux cas « normaux » non liés à la vaccination qui peuvent eux aussi connaître des variations aléatoires, les différences observées n’ont aucune chance d’être significatives. Disons qu’on ne s’est pas donné les moyens de mettre en évidence un risque de ce niveau-là.

Si on lance un dé et une pièce chacun 3 fois, on peut fort bien obtenir une fois l’as et une fois pile. Peut-on pour autant en déduire que la probabilité d’obtenir l’as et celle d’obtenir pile seraient les mêmes pour un dé et une pièce ?

Robert Cohen soutiendra que l’étude de Hernan est la plus petite étude des 12 enquêtes statistiques au motif que seulement 11 cas de SEP sont survenus chez des vaccinés. Marc Girard soutiendra au contraire que c’est la plus grande car elle disposait du plus grand échantillon. Comment départager nos 2 protagonistes alors que les 2 affirmations sont exactes, encore que l’on devrait remplacer « survenus » par « retenus dans l’étude » ?

Tout cela donne une belle opportunité de reprendre la polémique qui a entouré la publication de la statistique de Hernan en 2004.

L’étude américaine de Hernan sur la vaccination hépatite B

L’étude statistique qui avait relancé la polémique sur le vaccin hépatite B en 2004 fut réalisée à partir de dossiers médicaux de plus de 3 millions de Britanniques parmi lesquels 713 cas de SEP avaient été identifiés. Ces données furent traitées à Boston par Hernan qui était assis sur une forte réputation en statistiques médicales. Il élimina 550 cas tout particulièrement pour le motif que ces personnes n’avaient pas été enregistrées au moyen d’un logiciel bien défini au moins 3 ans avant l’apparition des symptômes. Cette sévère restriction peut se comprendre afin d’éviter des polémiques sur le moment de l’apparition des dits symptômes. Il fut donc retenu seulement 163 cas de sclérose en plaque sur 713 dont 11 avaient été vaccinés moins de 3 ans avant l’identification de la maladie.

À ces 163 cas, il fut décidé d’adjoindre 1 604 témoins obtenus par tirage au sort parmi les personnes non malades et retenues pour l’étude. Parmi eux, il y avait 39 personnes vaccinées et donc 1 565 non vaccinées, soit 2,43 % de vaccinés parmi les témoins, proportion sans doute voisine de celle de l’ensemble des données, l’échantillon ayant été obtenu de façon aléatoire et étant d’une taille suffisante. La partie la plus longue et fastidieuse d’un tel travail réside dans la collecte des données et l’indispensable tri qu’il faut effectuer.

Avec ces données Hernan estima que le risque de faire une SEP dans les 3 années qui suivaient la vaccination était 3,1 fois plus grand qu’en l’absence de vaccination. Il a probablement voulu trop en faire. L’objectif principal était d’abord de savoir si le risque était plus grand et non pas de le mesurer. Cela était possible de façon qualitative sans avoir à s’engager sur des valeurs quantifiées du risque.


Initiation au test statistique

L’un des objectifs de la méthode statistique est de rechercher une estimation d’une valeur comme par exemple le pourcentage de oui à un référendum ou de personnes du groupe sanguin B dans une population. Pour limiter le coût de l’étude, on cherche à le faire avec un échantillon aussi faible que possible. La fiabilité de la méthode dépend à la fois de la représentativité de l’échantillon et de sa taille.

Mais, lorsque cette estimation ne peut être réalisée dans de bonnes conditions faute d’échantillons suffisants, il existe un autre test dit du Khi-2 qui peut permettre de traiter une partie de la question. Sans entrer dans les détails techniques, on procède ainsi : avec les données numériques disponibles, c’est-à-dire ici 11, 152, 39 et 1 565 (SEP avec et sans vaccin ; témoins vaccinés ou non vaccinés), on calcule une valeur qui est ici 10,03.

Cette valeur mesure la dispersion des données par rapport à ce que l’on nomme « l’hypothèse nulle », c’est-à-dire l’hypothèse que le risque d’apparition de la maladie serait le même pour les deux groupes vaccinés et non vaccinés. De ce point de vue, la perfection est donnée par la valeur 0 exprimant un risque identique au niveau même des échantillons observés. Mais en raison des variations aléatoires, la dispersion observée ne sera jamais nulle en pratique. Tout le problème est alors d’apprécier si cette valeur 10,03 mesurant cette dispersion pourrait s’expliquer par des variations aléatoires ou si elle est trop importante pour s’expliquer raisonnablement ainsi. Auquel cas il convient de chercher une cause non aléatoire.

Le principe est simple : si la valeur du khi-deux (ici 10,03) est faible, rien n’autorise à penser qu’il y aurait une cause autre qu’aléatoire, même si elle pourrait malgré tout exister ; si la valeur est élevée, il paraîtra alors peu probable d’expliquer cette valeur uniquement par les inévitables variations liées à l’échantillonnage. Pour décider ici si 10,03 est grand ou petit, on démontre que cette valeur, qui dépend de l’échantillon trouvé, suit une loi de probabilité connue, dite loi du Khi-deux (à 1 degré de liberté dans notre situation).

On peut alors calculer que sous « l’hypothèse nulle » il y aura 1 % de chance pour que les valeurs observées dépassent 6,63 et moins de 0,2 % de chances pour qu’elles dépassent 10. Ici, on est donc fondé à conclure, de façon très significative (ce qui ne signifie pas certitude), qu’une cause non aléatoire est vraisemblablement intervenue pour donner plus de malades dans le groupe désigné par « vaccinés » que dans l’autre. Restant qualitative, la conclusion est donc moins précise, mais la méthode permet de travailler avec des échantillons plus faibles (et qui sont ici suffisants) que pour des estimations quantitatives.

Cette conclusion ne signifie cependant pas pour autant de façon certaine que ce serait la vaccination qui serait la cause de cette différence : un même groupe pourrait en effet être désigné de plusieurs façons comme en Irlande du Nord où protestants et catholiques sont aussi socialement favorisés pour les premiers et défavorisés pour les seconds. Le terme choisi pour dénommer un groupe ne peut pas être considérée ipso facto comme étant la cause agissante : s’il y a plus de tuberculose chez les catholiques que chez les protestants ce n’est pas forcément parce qu’ils sont catholiques, mais plutôt parce qu’ils sont socialement défavorisés.

Si Hernan avait traité les données statistiques comme je viens de le faire il aurait proposé une conclusion moins précise, mais qui aurait été moins exposée à la critique.


Les critiques sur l’étude de Hernan

Elles ont été formulées par les experts de l’OMS et par nos experts de l’Afssaps.

Une valeur 11 trop faible

Cette valeur 11 du nombre de SEP vaccinés fut jugée trop faible par la critique. Elle l’est en effet, mais surtout pour une appréciation quantifiée évidemment plus exigeante que le test qualitatif précédent. Il y avait au moins 3 raisons à cette faible valeur :

1- L’élimination de 550 dossiers non enregistrés à temps. Une estimation à la proportionnelle en ajoutant ces 550 dossiers donnerait alors 48 cas de SEP apparues chez des vaccinés, mais la valeur réelle pourrait être plus faible ou plus élevée, 35 ou 60 par exemple, ce qui pourrait influencer fortement les conclusions. Cela a été reproché à Hernan par les experts de l’OMS et de l’Afssaps.

2- La restriction à 3 ans pour déclarer un cas comme ayant été vacciné. Ce choix est arbitraire car il n’existe aucune raison de limiter dans le temps l’apparition de la SEP en rapport possible avec la vaccination. Mais pour d’autres études ce délai était seulement d’un an. Qu’a-t-on fait dans toutes ces études des vaccinés chez lesquels la SEP est apparue après le délai fixé ? Espérons qu’ils n’ont pas été transformés en non-vaccinés ! Ce serait parfaitement illicite, ils doivent être exclus des études et pas seulement de celle de Hernan. Dans le cas contraire, cela reviendrait à déplacer des poids d’un plateau d’une balance vers l’autre, transformant un déséquilibre prononcé en une situation d’équilibre. J’aimerais beaucoup pouvoir vérifier si ce principe a bien été respecté.

3- Un taux faible de vaccinés, 2,43 %, dans l’échantillon retenu, ce qui réduit d’autant la possibilité d’avoir des SEP chez des vaccinés. Cette proportion de vaccinés paraît bien faible comparée à celle de la France avec 22 millions de vaccinés en 1998. C’est d’abord lié au fait que la Grande-Bretagne a beaucoup moins vacciné que la France, seulement 5 %, ce qui pourrait aussi expliquer pourquoi ce qui fut observé en France et déclencha la polémique que l’on sait n’a pas eu d’équivalent en Grande-Bretagne. C’est l’accident d’autocar comparé à un accident de voitures.

Un échantillon non représentatif

À lui seul ce taux de 2,43 % montre que l’échantillon n’est pas représentatif de la population britannique où le taux de vaccinés était de 5 %. Cet argument et d’autres seront avancés par la critique pour parler d’un biais de recrutement et affaiblir ainsi la valeur du travail de Hernan.

Cette critique n’est pas vraiment recevable si on retient que l’objectif premier était de mettre en évidence ou d’infirmer la possibilité d’apparition de SEP liées à la vaccination hépatite B et non pas d’évaluer l’importance du risque sur l’ensemble de la population britannique ni de contester cette statistique parce que l’échantillon ne correspondrait pas à la situation française comme le fait l’Afssaps :

« La vaccination contre l’hépatite B ne concerne pas les mêmes patients au Royaume-Uni et en France. Au Royaume-Uni, seuls les patients appartenant à des groupes à risques sont concernés par la vaccination (professions de santé ou situations à risques) entraînant de possibles biais, notamment liés à la capacité pour les vaccinés d’attirer plus précocement l’attention des médecins sur des symptômes neurologiques »

Que ce soient les mêmes patients ou pas dans les 2 pays, peu importe. S’il est possible de mettre en évidence sur un groupe de population, même particulier, que le vaccin peut déclencher des SEP, la possibilité en est alors établie, au moins statistiquement. Il n’est pas acceptable d’écarter cette possibilité pour le motif évoqué. Par contre, on peut toujours soutenir que le risque n’est pas le même pour tous les groupes, mais c’est une autre histoire qui a noyé la première. Notre commission nationale conclura ainsi :

« Conclusion des débats de la Commission nationale

Après en avoir délibéré, la Commission nationale de pharmacovigilance a adopté à la majorité les éléments de conclusion suivants :

Cette étude menée au Royaume-Uni et récemment publiée apporte des éléments en faveur de l’existence d’une association entre la vaccination contre l’hépatite B et la survenue de sclérose en plaques chez l’adulte.

La prise en compte de l’ensemble des données disponibles ne permet pas de conclure à l’existence de cette association. Cependant, un risque faible ne peut pas être exclu chez l’adulte.

Ces conclusions doivent être considérées au regard du bénéfice attendu de la vaccination contre l’hépatite B. »

Des vaccinés classés non-vaccinés dans les autres études ?

Je reviens sur ce problème important. Des études autres que celle d’Hernan ne retenaient comme SEP avec vaccinations que celles qui étaient apparues dans l’année qui suivait la vaccination (voir aussi ce lien pour plus de détails sur ces études). Qu’ont-ils fait de ceux chez qui la SEP apparaissait par exemple 15 mois après la vaccination ? Pour étudier valablement le problème posé, ces cas doivent être exclus de l’étude pour ne comparer que les SEP vaccinés moins d’un an auparavant avec ceux qui n’avaient reçu aucune vaccination hépatite B. La conclusion pourra alors être, par exemple, qu’aucune différence significative n’a pu être mise en évidence, au niveau des échantillons disponibles, entre le risque de SEP sans vaccin et le risque d’apparition d’une SEP dans l’année qui suit la vaccination. Ou au contraire qu’une différence significative existe, selon ce qui aura été observé.

Pour comprendre l’importance du problème imaginons le scénario suivant : dans une population vaccinée à 50 % on a observé 500 SEP dont 250 apparues dans l’année qui a suivi la vaccination. Reste donc 250 SEP qui ne satisfont pas à ce critère et qui constitueraient le second groupe. L’équilibre semble parfait et la conclusion paraîtrait être que la balance est équilibrée. Mais, s’il y a eu 100 cas de SEP apparues chez des vaccinés au-delà de la première année et 150 cas non vaccinés, on doit comparer les 250 vaccinés avec SEP dans l’année à ces 150 et non pas aux 250 restants. La conclusion est alors très significative en faveur d’un risque plus élevé après la vaccination.

Avec cet exemple on comprend comment on peut appliquer le principe classique pour rétablir l’équilibre d’une balance déséquilibrée : faire passer des poids du côté qui penche vers l’autre... Ici on prend les 100 vaccinés avec SEP au-delà d’un an pour les mettre sur le plateau non-vaccinés. J’ose espérer qu’ils n’ont pas fait cela, ce serait scandaleux, mais j’aimerais pouvoir le vérifier.

Point de vue d’un expert

L’expert Marc Girard estime, selon les informations dont il dispose, que le risque de SEP n’est pas un risque faible, mais au contraire élevé, voire très élevé. Or, si ce risque est élevé des études auraient dû le mettre en évidence : les tailles de leurs échantillons dépassant les 100 000 (par exemple l’étude de Zipp et coll, 1998, a suivi une cohorte de 134 698 sujets) et en admettant un risque élevé de l’ordre de 1 pour 2 500 cela ferait en moyenne 40 SEP en plus par tranche de 100 000 ce qui aurait dû donner des écarts significatifs. Par contre, si on admet un risque de 1 pour 25 000 par exemple, cela donne 4 cas supplémentaires en moyenne pour 100 000, ce qui peut être insuffisant pour déceler une différence significative. Contrairement à Marc Girard, les experts de l’OMS, de l’Afssaps ou de la réunion de consensus de novembre 2004 ont toujours admis que si le risque existait il ne pouvait être que faible. Dans ces conditions, il est effectivement impossible de soutenir que le risque serait élevé, sauf à admettre que les données statistiques auraient été faussées et par exemple traitées comme je le suggérais, c’est-à-dire en classant comme non-vaccinés les vaccinés ayant fait une SEP au-delà du délai arbitraire imposé. Je le répète, pour l’honneur scientifique des auteurs de ces études ainsi que des institutions qui s’appuient sur elles pour définir leur politique de santé publique en la matière, et qui savent sans doute à quoi s’en tenir, j’ose espérer qu’il n’en est rien. J’espère seulement avoir un jour la possibilité de constater que mes interrogations n’étaient pas fondées. Cependant, vu ce à quoi j’ai assisté en matière de manipulations statistiques dans l’affaire du BCG SSI, on peut malheureusement craindre que l’impensable puisse être la réalité. Voir à ce sujet mes 3 principaux articles : « Descendue du Sinaï, l’expertise était dans la lune ! », « Cas évités par le BCG, un calcul très simpliste », « Des défaillances de l’expertise vaccinale à la nécessité d’une critique citoyenne ».


L’effet diluant des critères statistiques

La décision de limiter à une durée d’un an la prise en compte d’une SEP apparue chez un vacciné n’a aucune justification puisqu’on est dans l’ignorance du mécanisme biologique par lequel le vaccin pourrait déclencher une telle maladie. Rien ne permet de dire qu’en se manifestant 15 mois ou 40 mois après la vaccination celle-ci ne saurait être en cause. Voici un exemple amusant permettant de comprendre à quoi on pourrait arriver ainsi :

Supposons que l’on veuille étudier par une statistique l’éventualité d’un lien de cause à effet entre les rapports sexuels et les naissances. On décide de classer comme étant « nés avec rapport sexuel » les enfants nés moins de 3 mois après le dernier rapport et comme « nés sans rapport sexuel » ceux nés plus de 3 mois après. Il ne serait pas impensable de pouvoir produire une statistique conduisant à conclure que la preuve d’une relation ne saurait être établie. S’emparant de cette conclusion statistique pourtant prudente et non définitive, les autorités pourraient alors proclamer que le phénomène des familles nombreuses étant sans lien avec l’activité sexuelle, il n’y a plus aucune raison pour se restreindre !

De plus, les études statistiques ne prennent pas en compte la durée entre la vaccination et les premiers symptômes car ils sont généralement seulement enregistrés par le patient et non par un médecin, donc considérés comme non fiables. Aussi un trouble apparu quelques jours après la vaccination, comme assez souvent dans les témoignages, se transforme en SEP apparue dans l’année, ce qui pourrait tout changer. Au moins pour cette raison, les statistiques de SEP ne sont pas satisfaisantes car beaucoup de témoignages font état de troubles soudainement apparus dans les jours ou semaines qui suivaient la vaccination. Mais les études n’ont pas cherché à prendre en compte cette simultanéité qui frappe tous ceux qui prennent connaissance de ces témoignages. C’est une forme de dilution dans le temps. De plus, Marc Girard fait remarquer que les critères de définition statistique de la maladie ont été durcis, ce qui conduit à allonger la durée nécessaire pour reconnaître la maladie et donc franchir la limite d’une année.

Évaluer la probabilité de coïncidence

Supposons que l’apparition d’une affection démyélinisante soit indépendante de la vaccination, ce qui est l’hypothèse que l’on cherche à tester. Supposons que pour une personne donnée le destin ait fixé cette événement malheureux pour le 2 juillet 1997. Supposons maintenant que la décision de sa vaccination ait été prise pour l’année 1997 et que la date soit choisie au hasard dans l’année. On a alors une chance sur 6 pour que cette personne soit vaccinée dans les 2 mois qui précèdent l’apparition de la maladie et 5 sur 6 du contraire. Sous ces hypothèses on devrait avoir 5 cas sur 6, soit 83,33 % des cas, en dehors de cette fourchette de 2 mois alors qu’on en a 56,5 %. Si le nombre total de cas enregistré en 1997 est suffisant, nul doute que la différence sera très significative (60 cas dans l’année seraient suffisants).

La troisième hypothèse peu ne pas paraître totalement réaliste, mais elle permet de faire simple pour pouvoir calculer la probabilité de coïncidence sous ces conditions. Il faudrait d’ailleurs corriger en multipliant par la probabilité que la décision de vaccination soit justement prise l’année où la personne va déclarer sa maladie, ce qui réduirait encore cette probabilité. De toute façon, un créneau de 2 mois, c’est très court ici et la probabilité que la personne soit vaccinée justement dans les 2 mois qui précèdent une maladie de cette nature, maladie qui n’apparaît qu’une seule fois dans une vie et rarement, est certainement très faible. Admettre, comme je l’ai fait, que cette probabilité serait de 1/6 apparaît plutôt comme une large surestimation qu’une sous-estimation. Cela ne veut pas dire que la coïncidence soit impossible, mais je doute a priori qu’elle puisse se produire pour 483 cas sur 1 110. Il y a là en effet quelque chose qui me chiffonne. Supposons qu’on annonce avoir trouvé 1 110 personnes vaccinées hépatite B puis victimes d’une fracture du fémur dont 483 dans les 2 mois après cette vaccination. Cela paraîtrait immédiatement complètement invraisemblable à tous. On pourrait concevoir là un moyen de comparaison : choisir un événement médical rare et sans lien apparent avec la vaccination hépatite B et comptabiliser combien s’en produisent dans les 2 mois qui suivent la vaccination.

Peut-on traiter la question d’une façon plus rigoureuse ? L’étude statistique consiste à associer des témoins aux cas recensés. On suppose ces témoins soumis aux mêmes aléas que les cas. Par comparaison entre les témoins et les cas on évite d’avoir à décrire la nature de ces aléas et on se dispense d’avoir à évaluer des probabilités de coïncidences impossibles à gérer en toute rigueur. Faute de données plus précises sur ces témoins, il nous est impossible, à nous les témoins de ce spectacle imposé par les acteurs de la santé publique nationale et mondiale, de reprendre ces études pour le cas échéant mettre en évidence des couacs dans leurs prestations. En investiguant comme je le fais, je n’essaie pas de convaincre, mais de faire réaliser l’invraisemblance de la conclusion par rapport aux chiffres fournis : sur une période de 2 mois et un nombre important de victimes (1 110), il n’est pas vraisemblable que l’on puisse avoir 483 coïncidences avec des maladies démyélinisantes dont des SEP. Ce pourrait être différent pour la grippe par exemple qui est saisonnière et répétitive, ainsi que sa vaccination.

 

Si les études concluent à la coïncidence, ou du moins à l’impossibilité de mettre en évidence le contraire, c’est de manière quasi certaine qu’elles contiennent une erreur importante.


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40 réactions à cet article    


  • 5A3N5D 18 mars 2008 13:07

    En ayant un peu "ras-le-bocal" des "statistiques" (tout le monde sait qu’on peut leur faire dire n’importe quoi), n’est-il pas envisageable de trouver pour quelle raison biologique la vaccination contre l’hépatite B serait à l’origine d’une maladie considérée comme auto-immune - ou favoriserait son déclenchement ?

    Histoire d’en finir une bonne fois pour toute avec les élucubrations des deux camps, pro et anti-vaccination.


    • Philou017 Philou017 18 mars 2008 13:40

      Merci pour votre article. Il montre bien que les études faites sur ce probleme manquent cruellement de fiabilité. Mais y a t-il une vraie volonté de détermi,er l’influence du vaccin sur la sclérose en plaque ?

      Une petite précision sur les cas en France :

      En France, au total 1.110 cas d’affections démyélinisantes (détruisant la gaine de myéline entourant certaines fibres nerveuses), dont 898 cas de SEP, ont été recensés depuis la mise sur le marché des vaccins jusque fin 2002 par l’Afssaps, via notamment les centres de pharmacovigilance et l’association de patients Revahb. Une centaine d’autres cas ont été notifiés en 2003.

      Dans 43% des cas, il s’agit d’affections survenues dans les deux mois suivant la vaccination. Durant cette période, plus de 20 millions de personnes ont été vaccinées en France contre l’hépatite B qui peut entraîner cirrhose ou cancer du foie.La sclérose en plaques, une maladie neurologique chronique et particulièrement invalidante qui touche l’adulte jeune, affecte quant à elle 50.000 personnes en France.

      http://www.actions-traitements.org/spip.php?breve1051

      Il ne s’agit que des cas dûment identifiés. Aux Etats-unis aussi, on évite les enquêtes "embétantes" :

      Au fil de sa longue et minutieuse enquête, Michael Belkin apprit qu’aucune étude n’avait été réalisée à partir des données du VAERS. “Les autorités de la santé persistent à minimiser négligemment le torrent continu de sérieuses réactions adverses de ce vaccin et de plus en plus d’enfants et d’adultes continuent de mourir et de souffrir de troubles neurologiques centraux et hépatiques après cette vaccination. Dans le monde de la finance, de telles tromperies aboutiraient à des poursuites judiciaires. Mais cela ne se produit guère dans le monde médical. Il n’y a aucun règlement imposant l’intégrité du CDC (Centers for Disease Control and Prevention).”

      Quant aux enfants de moins de 6 ans, chez lesquels il n’existe officiellement “aucun problème” en France, entre 1999 et 2002, le VAERS a enregistré 13 363 accidents, dont 1 850 hospitalisations et 642 décès pour ce seul vaccin. On pourrait déjà être affolé par ces chiffres, mais le 2 juin 1993, la FDA avouait dans Jama qu’une étude du CDC démontrait que : “Seulement 1 % des accidents graves lui étaient rapportés”. Le magazine Money de décembre 1996 a bien confirmé cet infime pourcentage. Il est certain que si l’on multiplie les chiffres officiels par ce pourcentage, la situation est terrifiante.

      Comme cela se produit en France, l’énorme sous-déclaration des complications vaccinales fausse complètement les données sur lesquelles s’appuient les autorités médicales pour promouvoir leur politique vaccinale.

      L’analyse indépendante des données informatiques issues du VAERS met en évidence, pour la seule année 1996, 872 accidents graves enregistrés chez les enfants de moins de 14 ans, en rapport avec le vaccin antihépatite B. Cette année-là, 48 enfants en sont morts. En résumé, les accidents déclarés après le vaccin antihépatite B sont trois fois plus fréquents que les cas d’hépatite B, rarement mortels, observés chez les enfants de moins de 14 ans, alors que tous les officiels, américains et européens, ne cessent d’invoquer l’avantage du bénéfice-risque accordé à ce vaccin. Liraient-ils ces chiffres à l’envers ?

      Déjà, en 1994, The Lancet (vol. 344) avait dénoncé : “La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré.” Ainsi, contrairement à ce que l’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B sont officiellement reconnus et ne sont pas réservés à la France. Mais en France, seuls les gens avertis - et bien peu le sont - lisent The Lancet. Ainsi, aux Etats-Unis comme en France, la crainte des maladies propagée par l’industrie pharmaceutique et les médias a abouti à une croissance du pouvoir de cette industrie bien au-delà de ce qui devrait être toléré dans toute démocratie.

      Le 14 juin 1999, le Dr Jane Orient, présidente de l’Association de médecins et des chirurgiens américains (AAPS), a témoigné devant le Comité de réforme du gouvernement et a évoqué les 4 600 dossiers impliquant, outre la sclérose en plaques, bien d’autres maladies centrales du système nerveux, dont le syndrome de Guillain-Barré, le lupus érythémateux et aussi l’augmentation inquiétante de l’asthme et du diabète insulinodépendant, que l’on occulte totalement en France. Elle a conclu : “Pour la plupart des enfants, le risque d’une réaction grave au vaccin peut être 100 fois plus grand que le risque d’hépatite B.”

      informationscitoyennes.blog.20minutes.fr/archive/2008/02/10/les-dessous-caches-du-vaccin-anti-hepatite-b.html

       

      La sous-déclaration des cas fausse bien des enquêtes. Mais quand on a pas envie de chercher...


      • liebe liebe 25 mars 2008 10:54

        Autour de moi ,je comptabilise plus de 10 cas d’effets indésirables. Sur ces dix cas , nous sommes trois à avoir signalé à l’AFSSAPS notre problème : je note six sclérose en plaque ; 2 sclérose latérale amyotrophique ; un lupus érythémateux ; deux maladie de guillain barré. Et aprés, on nous dit qu’il n’y a aucun lien. Dans mon village 400 habitants :3 personnes atteintes !

        Je ne m’amuserai avec les chiffres comme certains le font pour établir les statistiques. Je trouve cela un peu étonnant tout de même !

        Parmi ces dix personnes trois sont décédées ; 3 ont un handicap si lourd qu’ils ne peuvent plus travailler et élever leurs enfants dignement. 5 travaillent tant bien que mal avec des postes aménagés.
         


      • Francis, agnotologue JL 18 mars 2008 13:45

        Cet article nécéssite un investissment intellectuel important et pose de bonnes questions. J’attend des spécialistes experts de la défense qu’ils acceptent de répondre avec des arguments aussi précis.

        Entre autres, je note : ""La décision de limiter à une durée d’un an la prise en compte d’une SEP apparue chez un vacciné n’a aucune justification puisqu’on est dans l’ignorance du mécanisme biologique par lequel le vaccin pourrait déclencher une telle maladie.""

        C’est pourtant ce que, selon l’auteur, les laboratoires ont imposé pour justifier leurs résultats. Est-ce que le discours officiel peut affirmer "les yeux dans les yeux" à tous ceux qui ont été vaccinés, que si dans un délai d’un an après leur vaccination, aucun médecin n’a constaté l’apparition d’une SEP, ils sont à l’abri ? Et que par conséquent de cette décision inique ils ne pourront jamais invoquer la vaccination en cas de déclenchement de la dite maladie ?

        On attend les réponses.


        • Voltaire Voltaire 18 mars 2008 14:05

          L’article est intéressant, et il révèle la difficulté d’établir des liens de cause à effet dans ce type de pathologie rare.

          Sans me prononcer sur le fond, je serais curieux de savoir s’il y a une déviation statistique de l’âge moyen des patienst atteints de SEP entre vaccinés et non-vaccinés.


          • Nicoberry Nicoberry 18 mars 2008 14:26

            bonjour,

            le plus gros problème pour la SEP :

            on ne sait pas ce qui la déclenche : prédisposition génétique, environnement....

            donc il est super difficile voire impossible de dire si oui ou non le vaccin participe à l’émergence de la SEP.

            vous dites :

            "Que ce soient les mêmes patients ou pas dans les 2 pays, peu importe. S’il est possible de mettre en évidence sur un groupe de population, même particulier, que le vaccin peut déclencher des SEP, la possibilité en est alors établie, au moins statistiquement. Il n’est pas acceptable d’écarter cette possibilité pour le motif évoqué. Par contre on peut toujours soutenir que le risque n’est pas le même pour tous les groupes mais c’est une autre histoire qui a noyé la première."

            je ne suis pas d’accord avec vous. la population ciblée est primordiale !! surtout dans les cas de maladies ! si on cible pas la bonne population on fait vraiment penché la balance. Au contraire ces études devraient avoir une vue globale de la population...Votre argument statistique est juste, mais au point de vue médicale il est faux.

            mais au final comme je le dis ci dessus , on ne sait pas ce qui déclenche la SEP, alors les hypothèses vont bon train....

             

             


            • Philou017 Philou017 18 mars 2008 17:23

              La corrélation apparait évidente dans bien des cas. Le fait qu’on ne sait pas ce qui déclenche la SEP ne doit pas être pris en ligne de compte. Le principe de précaution devrait être appliqué. Il ne l’a pas été et aujourd’hui des milliers de personnes souffrent d’affections graves.

              De plus le vaccin est soupçonné de déclencher bien d’autres affections que la SEP (vois mon intervention ci-dessus et l’article d’hier : www.agoravox.fr/article.php3 ).

              Devant tous les doutes et les soupçons, ce vaccin devrait être retiré.

              Mais l’institution médicale ne veut sans doute pas d’une remise en cause de ce genre qui jeterait le trouble sur l’ensemble des vaccinations. De plus, ça couterait tres cher aux industries pharmaceutiques. Il est scandaleux que la plupart des études soient faites par des gens ayant des intérêts dans le lobby de la vaccination. Harper est un des rares ayant fait preuve d’un peu d’objectivité.

              Cette affaire montre bien la prédominance des intérêts financiers sur l’intérêt général.

              Par ailleurs, il ne faut pas oublier les effets généraux à long terme :

              Ces inoculations se font au mépris de toutes les règles de prudence en usage pour les traitements médicaux (Primum non nocere). Elles sont « réputées » inoffensives et toujours efficaces, sans que jamais la moindre étude épidémiologique sérieuse n’ait été effectuée... Curieusement, les diverses moutures sont fréquemment remplacées par de nouvelles, réputées moins dangereuses et plus efficaces.

              * Ces vaccins contiennent vraisemblablement des substances cancérigènes et des outils de manipulation genetique eux-mêmes cancérigènes et tératogènes pour les derniers vaccins obtenus par génie génétique.
              * Ils peuvent être contaminés à tout moment (lors de la conception de départ ou lors des manipulations nécessaires à la fabrication du produit fini), soit par des prions (sérum de veau) ou si l’on a utilise d’autres milieux de culture bovins, comme le BCG qui est cultive sur de la bile de boeuf), soit par des virus connus ou inconnus encore.
              * De par les additifs, les vaccins modifient le terrain bioelectronique, ouvrant la porte à toutes sortes de maladies : allergies, athérosclérose (métaux lourds), etc.
              * Par inoculation de micro-organismes plus ou moins mal connus encore, ils vont pouvoir déclencher de nouvelles maladies infectieuses (type Ebola), réveiller des cancers latents ou générer des maladies dites auto-immunes (sclerose en plaques par exemple).
              * Ils risquent de venir modifier le capital génétique des gametes (ovules ou spermatozoides) et donc de déclencher la naissance d’enfants monstrueux (teratogenese) dans la descendance immédiate.
              * Ils spécialisent par ailleurs le système immunitaire de l’organisme à la fabrication d’anticorps, au détriment des autres mécanismes immunitaires comme les CD4, et engendrent de ce fait à la longue un effondrement immunitaire, favorisant le développement du sida, sida d’ailleurs dont l’origine virale est contestée..

               

              L’obstination financiaro-médiacle des vaccinations de masse :

              Dès 1974, l’UNICEF (Fonds des Nations unies pour l’enfance) débute un programme gigantesque, financé notamment par la Banque mondiale : Vacciner tous les enfants de la planète contre 6 maladies : coqueluche, diphterie, poliomyelite, rougeole, tetanos, tuberculose. Cette stratégie de soins selectifs va à l’encontre de la politique globale de soins de santé primaires adoptée par l’OMS en 1978 conçue en partenariat avec les populations, afin de définir avec elles leurs vrais besoins et prendre en compte leurs conditions de vie et leur environnement.
              Lors du Sommet économique alternatif de Houston, en 1990, tenu en parallèle du G7, le Pr Banerji, Pr de santé publique à New Delhi, expert auprès de l’OMS et signataire du manifeste d’Anvers, critiquait vivement le programme des vaccinations de l’Inde : absence de données épidémiologiques sérieuses, surestimation des taux de vaccination, dissimulation des accidents postvaccinaux, coût élevé des vaccinations massives.
              Bien que loin d’être un opposant au principe des vaccins, il dénonce les programmes de vaccination répandus dans le monde entier sur la base d’une propagande mensongère, sans que l’ampleur réelle des problèmes de santé n’ait été mesurée. 
              N’ayant pour but que de créer un marché aux vaccins, ce systeme rend durable la dependance des pays du Sud et expose les populations à des accidents severes. 

              biogassendi.ifrance.com/editobiofr14vaccins.htm

              Pour se faire une idée sur le fonctionnement de la machine industrio-médicamenteuse, il est utile de lire ce topic :

              www.reunioncapsante.net/pharmacovigilance/senat_medicament.html

              Extraits :

              Commission d’enquête sur les conditions de délivrance et de suivi des autorisations de mise sur le marché des médicaments)
               
              "En 2003, les ressources de l’AFSSAPS provenaient pour 83% de l’industrie pharmaceutique et pour seulement 6,4% de l’Etat."
               
              Vous pourrez aussi retrouver une liste de médicaments ayant satisfait aux contrôles exigés par les autorités sanitaires, et qui ont pourtant provoqué des accidents graves voire mortels.

              -la cerivastine (laboratoire BAYER) commercialisée en France sous les noms de « Staltor » et de « Cholstat », retirée du marché en 2001 après le décès de 52 patients. 

              - le crestor (laboratoire ASTRAZENIKA) mis en cause pour les mêmes effets indésirables.

              - Certains anti-inflammatoires, prescrits contre l’arthrose :

              - le Vioxx, produit phare du laboratoire MERCK, retiré du marché le 30 septembre 2004 parce que rendu responsable, selon une étude américaine, de 28 000 infarctus mortels 

              - le Celebrex de PFIZER, soupçonné en France d’être à l’origine d’accidents vasculaires comparables.

              - Certains antidépresseurs, en raison d’un risque aggravé de comportement violent et suicidaire, notamment chez l’enfant et l’adolescent : après le Deroxat de GLAXOSMITHKLINE, mis judiciairement en cause en 2004...


              Vous apprendrez aussi que :

              "les effets secondaires dus aux médicaments font chaque année en France environ 18 000 morts et provoque 3% du nombre total des hospitalisation !"

               

              Malheureusement la médecine fait des dégâts et le système n’est pas prêt de s’arrêter.
               
              Les laboratoires assurent 80% du financement des agences chargées d’autoriser la commercialisation des médicaments et une étude défavorable aux intérêts des laboratoires pour un vaccin ou un médicament ne peut quasiment plus être publiée.


            • Nicoberry Nicoberry 18 mars 2008 19:25

              Sur certain point je suis d’accord avec vous, il n’est pas normal que l’AFSSAPS ait un budget qui provient d’une "taxation" de l’industrie pharma. Celà créer le trouble , cette instance doit etre publique et le rester.

              Par contre, dire que les vaccins apportent des substances cancérigènes, des produits provoquants des maladies , surtout en prenant l’exemple d’ebola, là non je ne peut pas etre d’accord avec vous. Regarder, chercher sur ebola et vous verrez que l’exemple n’est pas bon.

              Par contre en ce qui concerne la population je suis sur d’avoir 100% raison.

              Vous n’aurez pas les mm effets par exemple sur population jeune vs vieille, sur les asiatiques vs les afriquains, en fonction du sexe, en fonction de la qualité de vie du patientdes patients (fumeurs vs non fumeurs) , voir sur le vécue médicale du patients (si il souffre de diabéte d’hypertension etc...)

              La médecine n’est pas une science exact, il ne faut pas l’oublier. Un médecin a obligation de soigner , mais de guérir.....

               

               


            • mariner valley mariner valley 18 mars 2008 20:20

              Ouep,

              Je confirme Ebola tres mauvais example.

              Il y a des vaccins (je sais tu n’aimes pas ) a l’essai chez le singes (appelle B. Bardot) , mais rien d’efficace sur l’homme.

              Tu vois Philou017 tu me parlais de selection naturelle et bien c’est un bon example.

              Aucun traitements, aucun vaccins.

              Tu attrapes l’Ebola tu ne peux compter que sur ton immunite naturelle que tu cheries tant. Tu auras juste droit a des perfusions de liquide physiologique 100% naturel sans conservateur pour maintenir la pression sanguine et l’equilibre des sels. En attendant que tu survives ou que tu meurs (entre 50-90% de chance ou de malchance)

              C’est ici pour les infos

              http://www.cdc.gov/ncidod/dvrd/spb/mnpages/dispages/Fact_Sheets/Ebola_Fact_ Booklet.pdf

               


            • mariner valley mariner valley 18 mars 2008 20:33

              @philou017

              Pour le reste de ton post n’ayant pas finie ma biere. Je prefere me souler d’abord histoire d’oublier la suite de ton post....

              Sans rancunes.

              Juste un truc, tu devrais aller dans un labo de virologie et /ou d’immuno dans n’importe quelle faculte de sciences (tu sais la ou il y a plein de mechants). ils ne le sont pas tous, tu sais.

              Il te donneront gratuitement leur point de vue en dehors toute pression financiere (juste pour la culture generale). Se sont des professionels qui n’enseignent pas sous la menace d’une arme tenu par l’industrie pharmaceutique.
               


            • mariner valley mariner valley 18 mars 2008 21:49

              oui j’avais pas percute ca.

              Une maladie infectieuse (virus ou bacteries) ne se declenche pas. Elle s’attrape a partir de l’environnement.

              Ou alors que ce que tu voulais dire c’est que l’homme aurait cree le virus Ebola par genie genetique, c’est ca ton arriere pense ???Parce que si c’est ca la devient du delire


            • Philou017 Philou017 18 mars 2008 22:19

              Vous confondez la cause et l’effet concernant Ebola. Ce que veut dire l’auteur (que j’ai repris), c’est que les vaccinations à outrance comme celles qui ont lieu dans certains pays d’Afrique peuvent provoquer une dégradation du systeme immunitaire pouvant provoquer l’apparition de virus comme Ebola.

              Les vaccins sont préparés avec des substances pouvant provoquer des problemes de santé, comme par exemple l’aluminium :

              25 vaccins couramment utilisés en France, vaccins obligatoires comme ceux contre la diphtérie, tétanos, polio, ou facultatifs comme ceux contre les hépatites A et B, font appel à l’aluminium sous forme de phosphate, sulfate ou encore d’hydroxyde à des doses de 50 à 80 fois supérieures aux doses admises par les instances européennes (15µg/l)

              Une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages (MFM) liée à l’aluminium vaccinal, a été isolée en 1998. Malgré une sous-notification certainement très importante, plus de 150 cas ont été identifiés officiellement en France - dont 30% chez du personnel paramédical - chez des adultes d’âge moyen. Se manifestant essentiellement pas des douleurs articulaires et neuro-musculaires ainsi que de la fatigue chronique – comme les syndromes du Golfe  (plus de 1000 cas) et des Balkans - et de la SFC (100 à 200 cas pour 100 000) ou les fibromyalgies (plus de 500 000 personnes en France), voire les diverses myosites, la MFM est caractérisée histologiquement par la découverte d’aluminium au point d’injection en moyenne trois ans après l’administration du vaccin (et parfois plus de huit ans). Dans un tiers des cas, la maladie s’accompagne d’une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques (1/3 des patients). 

              Le Comité Consultatif pour la Sécurité des vaccins de l’OMS « a conclu à un lien de causalité très probable entre l’administration d’un vaccin contenant de l’hydroxyde d’aluminium et la présence de la lésion histologique caractérisant la MFM » Ce lien irréfutable a été reconnu par les agences de sécurité sanitaire française et américaine ainsi que par la branche vaccin de l’OMS. 
              Dans une interview accordée au magazine Alternative Santé-L’impatient en Avril 2001, le Pr. Gherardi a dit à ce sujet : 

              « Cela nous a pris un an et demi. Résultat : tous les malades de notre série ont un antécédent vaccinal certain. Sur 50 malades à l’époque (150 aujourd’hui), 85 % ont reçu au moins le vaccin hépatite B avec d’autres vaccins le plus souvent, les autres ayant été vaccinés principalement avec le vaccin contre le tétanos. Cette étude rétrospective nous a révélé une nouvelle surprise : le délai moyen entre la vaccination et la biopsie était de trois ans, et dans certains cas atteignait huit ans. »

              On observe avec une fréquence croissante des cancers chez les animaux domestiques, de préférence au point d’injection des vaccins qui font également appel à l’hydroxyde d’aluminium. Pas moins d’une quarantaine de publications scientifiques abordent ce sujet (1)
              Les tumeurs sont généralement décrites dans les revues médicales comme sarcomes félins post-vaccinaux, sarcomes dus aux vaccins, ou sarcomes à l’emplacement de la vaccination. Ultérieurement, l’augmentation de la fréquence des néoplasies a été démontrée aux points d’injection vaccinale ainsi qu’une relation épidémiologique entre les dates de vaccination, les points d’injection et l’occurrence des tumeurs. La présence de granulations comportant de l’aluminium, faisant craindre l’apparition de complications comparables chez l’homme

              Il est maintenant formellement établi scientifiquement que l’aluminium présent dans les vaccins peut déclencher - en moyenne 3 ans après l’injection, avec un délai maximum de 8 ans – une myofasciite à macrophages qui est associée dans 30 % des cas à une maladie auto-immune, le plus souvent une sclérose en plaques. 

              Le dommage causé par l’aluminium présent dans la majorité des vaccins « établit une absence de sécurité de ces vaccins à laquelle les utilisateurs pouvaient légitimement s’attendre et démontre la défectuosité de ces produits. »

              biogassendi.ifrance.com/alualz.htm#IV.

              Voir aussi : home.scarlet.be/nomoreillusions/vaccin_erreur_du_siecle.html

              Tant qu’on y est , un excellent résumé :

              Dangerosité des vaccinations :

              Dans son rapport publié en 1986, la sociologue Claudine Marenco, directeur de recherches au CNRS, analyse avec pertinence comment la vaccination a progressivement pris en France le caractère d’une institution in questionnable (étude réalisée sur demande du Centre international de l’enfance). Pour cette catégorie de la population, le caractère nocif des vaccinations apparaît clairement dans l’article du Docteur Marie-Bénédicte Hibon paru dans la revue « Vous et Votre Santé », hors série n° 4, 1995 : « Le système immunitaire de l’enfant mûrit lentement, depuis l’apparition chez l’embryon des premières cellules souches de la moelle jusqu’à l’âge de 10-12 ans, avant d’acquérir sa structure adulte. (…) Ce système ne devient fonctionnel que très tard vers cet âge et pourtant nos enfants absorbent, de 0 à 2 ans, 10 informations vaccinales (et davantage avec les rappels). Qui fera le lien avec les problèmes de croissance, de dyslexie, d’hyper nervosité, de trouble caractériel, de diabète, les maladies qui surviennent sept à dix ans plus tard ? Pourquoi ne pas laisser ces maladies s’exprimer naturellement par voie épidémique ? »

              En pédiatrie, l’observation des faits conduit généralement à distinguer trois périodes :

              - première période, le petit enfant n’est pas vacciné, il se porte bien ;

              - seconde période, les vaccinations commencent : rhinopharyngites, bronchites et otites se répètent de mois en mois, avec une fréquence d’autant plus élevée que la couverture vaccinale a été importante ;

              - troisième période, à partir de trois ans environ, les manifestations allergiques et autres réactions apparaissent : conjonctivite, rhume des foins, diabète insulino-dépendant en forte augmentation constatée par des médecins d’Oxford et des chercheurs néo-zélandais (cf. Lancet, juin 1997), autisme corrélé avec les vaccinations diphtérie-tétanos-coqueluche et rougeole-oreillons-rubéole, asthme… Pour cette dernière maladie, le Docteur Michel Odent constate dans Jama 1994, vol 272, qu’à l’échelle mondiale, l’asthme de l’enfance est devenu le problème numéro 1 en pédiatrie.

              Les vaccinations sont à l’origine d’innombrables effets pervers :

              - Les vaccinations à répétition affaiblissent le système immunitaire et favorisent le développement de maladies de dégénérescence, situation qui ne fait que s’aggraver avec l’extension constante des vaccinations (cf. Immunologie fondamentale et appliquée de I. Roit et al. 2° éd. 1989),

              - les vaccins sont élaborés à partir de substrats cellulaires, source de contamination par des virus, des protéines transformantes et de l’ADN, susceptibles de faire apparaître un état cancéreux (rapport technique de l’OMS n° 747 de 1987),

              - les virus vaccinaux conservent leur capital génétique et peuvent se recombiner avec des virus muets pour donner naissance à de nouveaux virus et à retour à la virulence,

              - les vaccinations induisent des modifications dans l’écosystème et perturbent les équilibres bactériens et viraux,

              - les immunités artificielles entravent les « crises de nettoyage organique » qui interviennent par les maladies aiguës en déplaçant l’axe des déterminations morbides et contribuent à l’essor des maladies chroniques,

              - les vaccinations empêchent l’expression des maladies infantiles nécessaires à la structuration des défenses immunitaires et psychiques de l’enfant et entraînent leur report sous des formes graves à l’âge adulte,

              - leur fabrication inclut des substances toxiques telles que les saponines, les sels de mercure, la bétapropoliactone cancérigène, l’hydroxyde d’aluminium à l’origine d’une nouvelle maladie, la myofascite à macrophages, ou fait intervenir du sérum fœtal de veau ou de la bile de bœuf pouvant être contaminés par l’agent de la maladie de la vache folle,

              - le vaccin antihépatite B est fabriqué avec des produits issus de lignées cellulaires continues présentant à long terme un risque de malignité résultant d’un ADN contaminant hétérogène « en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes » ‘cf. rapport technique 747 de l’OMS).

              En outre en ce qui concerne l’espérance de vie l’INSERM a mené en 1992 une étude comparative des taux de décès, par âge et par sexe, au Royaume-Uni, en Suède et en Italie par rapport à la France. Cette étude publiée par le Haut comité de la Santé publique dans la « Santé en France », aux éditions le Monde, en février 1997, éclaire d’un jour accusateur la politique de santé publique en France dont la vaccination est une composante fondamentale.

              On y apprend que jusqu’en 1992, la mortalité pour les femmes françaises nées après 1938 est en moyenne supérieure de :

              - - 6,5 % par rapport à la Grande Bretagne

              - - 18 % par rapport à la Suède

              - - 6 % par rapport à l’Italie

              Pour les hommes nés après 1937, la mortalité est en moyenne supérieure de :

              - - 24 % par rapport à la Grande-Bretagne

              - - 35,5 % par rapport à la Suède

              - - 16,3 % par rapport à l’Italie

              Ainsi, nos taux de décès pour les personnes considérées font craindre en toute logique une espérance de vie très inférieure, malgré les affirmations contraire des autorités sanitaires. Le Docteur Marc Vercoutère indique que « La Direction de la santé ne peut nier le rôle néfaste des vaccinations sur cette dégradation brutale et constante de l’espérance de vie en France depuis soixante ans, puisque nous avons été les premiers à imposer les vaccinations dès 1936 (en dehors de la variole, dont l’obligation avait été imposée en 1907, alors qu’en Grande-Bretagne elle était levée dès 1904). Le B.C.G., toujours obligatoire en France, les rappels supplémentaires des vaccins contre la rougeole et la coqueluche à 11 ans, l’intempestive campagne de vaccination contre l’hépatite B (…) ne peuvent qu’aggraver cette dégradation de l’espérance de vie.

              www.innovationsante.com/fichier.php

               

               


            • Philou017 Philou017 18 mars 2008 22:30

              @mariner Valley

              Oui c’est bien cela que l’auteur que je reprend (j’ai donné le lien) veut dire. Et je suis assez d’accord avec lui, vu tout ce que je sais sur les vaccins. Ca n’a rien de plus extraordinaire que de dire que la Sep aurait été provoqué par le virus de l’Hépatite B.

              Cependant, il faut bien comprendre. Les vaccins provoqueraient dans ce cas une altération du terrain immunitaire, provoquant l’arrivée de maladies qui ne se seraient pas déclarées autrement.


            • Philou017 Philou017 18 mars 2008 22:54

              Les fantaisies des etudes sur le sida en Afrique :

              La 3ème enquête démographique et de santé confirme une prévalence de 5,5% au Cameroun.

              Relayées en octobre dernier, sur fond de réserve, par les médias qui s’interrogeaient sur la possibilité d’une baisse aussi spontanée du taux de prévalence du Sida au Cameroun, les statistiques sur l’infection à vih viennent d’être confirmées. Ces chiffres, selon le rapport de la 3ème enquête démographique et de santé (Eds-III) officiellement présenté hier à l’hôtel Hilton de Yaoundé en présence du ministre d’Etat, ministre de la Planification, Augustin Frédéric Kodock, sont passés de 11,8% à 5,5%. Au demeurant, le secrétaire permanent du Comité national de lutte contre le Sida (Cnls), a tenu à expliquer les raisons de cette baisse drastique.

              Maurice Feuzeu a notamment indiqué que "les premières statistiques nous étaient données par un système de surveillance sentinelle, qui consistait à tester les femmes enceintes pendant leurs consultations prénatales". Et de poursuivre : "Les chiffres obtenus étaient [étendus à] toute la population. C’est la raison pour laquelle nous avions des taux très élevés. Aujourd’hui, nous avons l’Eds-III, qui donne une réelle visibilité de l’épidémie". Joseph Tedou, le directeur de la Statistique et de la Comptabilité nationale, qui a conduit l’Eds-III, précise que l’enquête a été pratiquée, non pas sur un échantillon à haut risque, mais sur l’ensemble de la population (échantillon national de 11.556 personnes).
              Une démarche qui a permis d’obtenir des résultats "plus fiables, permettant l’élaboration des politiques de lutte plus efficaces ; et de cibler les véritables groupe à risque", soutient Maurice Feuzeu. L’Eds-III a, par ailleurs, réussi à bousculer de nombreux préjugés. Cette étude révèle, par exemple, que les personnes riches sont plus touchées par le sida que les pauvres. On parle de 8% contre 3,1% chez les femmes, et 5,3% contre 1,4% chez les hommes. De même, cette enquête démographique et de santé réalisée l’année dernière indique que les Camerounais instruits sont davantage exposés au vih que leurs compatriotes moins cultivés.

              www.afritude-portal.net/index.php

              De 11,8 à 5,5%, y a comme une marge d’erreur.

              Ces chiffres sont manipulés afin de justifier le lobby du SIDA. Il en est de même de beaucoup de statistiques :

              Le Mensonge Statistique : www.sidasante.com/journal/effondre.htm

              Une expérience de terrain en Tanzanie.

              www.sidasante.com/themes/afrique/SIDA_en_Afrique_Une_experience_de_ter rain_en_Tanzanie.htm

               


            • mariner valley mariner valley 19 mars 2008 07:37

              Ouep,

              C’est quoi votre definition de vaccination a outrance ??

              L’Afrique qui entre nous sot dit n’a pas de bol se tape toute les pires maladies mondiales actuelles.

              Pourquoi vacciner en Afrique.

              Parce qu’on pourrait effectivement les regarder mourrir mais on serait accuse de crime contre l’humanite (j’exagere a peine).

              Le probleme est que quand on fait qques choses il y a toujours des zigotos pour dire que ce n’est pas sans risques (et c’est vrai) quand il y a des problemes soit avec la vaccination, soit avec les traitements.

              Qu’il faut faire plus d’etudes pour etre encore et encore plus sur. (il y a des protocoles strictes a respecter (qques fois detournes) de mise sur le marche de vaccins, et de comprimes).

              Vous voulez quoi qu’on attende encore un peu plus de temps (qui n’est pas necesaire si les protocoles sont respectes). 

               Allez leur dire aux Africains vous allez voir. Oui quand les protocoles sont respectes a la lettre (la grande majorite des cas quand meme) oui il y a des risques que la medecine ne peut pas prevoir et ne peut que constater....et alors ???

              C’est meme zigotos accusent lorsqu’on ne fait rien, de laisser mourrir L’Afrique.

              Donc dans les deux cas, la medecine a bon dos et le coupable ideal.

               


            • mariner valley mariner valley 19 mars 2008 09:18

              c’est que les vaccinations à outrance comme celles qui ont lieu dans certains pays d’Afrique peuvent provoquer une dégradation du systeme immunitaire pouvant provoquer l’apparition de virus comme Ebola.

              Heu, le virus Ebola est un virus qui est passe de l’animal (grand singes) a l’homme. (zooanthroponose que c’est le terme)

              Comme probablement pas mal de maladies virales.

              Si on par de votre postulat qu’un vaccin viral aurait provoque l’apparition de l’Ebola. Il y aurait donc eu passage de l’homme vers l’animal (anthropozoonose), vu que les singes peuvent etre atteint.... 

              Jusque la, ca peut se tenir. Admettons.

              Il n’y a a l’heure actuelle aucun vaccin administre a l’homme contre le virus Ebola.

              Donc la creation d’un virus infectant l’animal par la suite, a partir d’un vaccin inocule a l’humain est donc impossible (la zoonose de l’homme vers l’animal est donc invalidee)

              Des essais sont a l’etude sur des singes qui ne se baladent pas en liberte.......

              Donc l’hypothese d’une origine humaine a partir d’un vaccin administre aux singes qui l’aurait par la suite transmise aux hommes ne tient pas debout.

              Il est donc impossible que l’Ebola soit le fruit d’un vaccin quelconque......

              D’autre part

              Faudrait que vous m’expliquiez comment une deficience immunitaire quelque soit ca cause, peut amener a creer un virus.... ???


            • mariner valley mariner valley 18 mars 2008 15:08

              et les vaccins ont bon dos.....


              • 5A3N5D 18 mars 2008 19:17

                "Concernant mon épouse elle à bien été vaccinée contre l’hépatite par contre je ne pourrais pas à l’heure actuelle vous dire si celà a été le facteur déclenchant."

                Vu que la SEP de votre femme a débuté en 1980, que le vaccin de l’hépatite B ne date que de 1982, ... vous en tirerez la conclusion qui s’impose.

                 


              • Bernard 18 mars 2008 20:36

                 

                Etant l’auteur de cet article je tiens d’abord à préciser que j’ignorais qu’il était en ligne sur Agoravox ! Je l’avais seulement mis en ligne sur mon blog sur les vaccins. Disons qu’on m’a gentiment poussé par derrière dans le bain pendant que je regardais une jolie nageuse…Bon ! L’eau est profonde et je sais nager alors…j’assume !

                 

                Ceci dit, je serais assez de l’avis de 5A3N5D (message 1), ras le bocal des statistiques, on aimerait avoir une raison plus biologique du lien possible. Ayant enseigné la statistique pendant 20 ans dans une université je pense en connaître certains pièges et certaines limites. Elle ne peuvent pas tout faire. Mais elle peuvent servir de guide pour orienter des recherches d’une autre nature, biologique par exemple. Elles fonctionnent comme un signal d’alarme qui peut se déclencher en présence d’un voleur ou d’une chauve-souris. Il faut alors aller voir pour en savoir plus.

                 

                Ceci dit on est obligé de reconnaître que le discours publique tenu par diverses autorités vaccinales ou personnalités sur ce sujet est quasi exclusivement statistique. Le débat sur la Cinq entre Robert Cohen et Marc Girard l’a une fois de plus démontré. Je n’y peux rien et le but de cet article était donc de voir si on pouvait y voir plus clair dans le débat entre les arguments des uns et des autres. Qu’on le veuille ou non leur débat nous influence et j’ai cherché à utiliser ce que j’ai appris de la statistique (je ne suis pas statisticien) pour essayer d’éclairer un peu le citoyen. Si on fait dire ce que l’on veut aux statistiques c’est d’abord en raison de l’ignorance du public sur cette méthode d’étude et d’aucuns en profitent. Bien comprise et utilisée sans parti pris, c’est une méthode irremplaçable pour orienter les recherches ; mal comprise elle s’apparente à l’analyse des vols de corbeaux par les grands prêtres d’autrefois.

                 

                A Nicoberry ( message du 18 mars) : tout dépend de la question à laquelle on essaie de répondre. Si sur un échantillon on veut connaître le résultat d’une élection il faut prendre un échantillon représentatif et de taille suffisante. Si l’objectif est seulement de savoir si Tartempion a eu au moins une voix aux municipales il suffit d’en trouver une, peu importe dans quelle urne ou dans quel tas de bulletin. Compte tenu du niveau de la polémique, la première question à laquelle on aimerait répondre devrait être de savoir si le vaccin peut oui ou non déclencher des SEP (ou autres maladies). Donc peu importe le groupe de population choisi, si dans un groupe on en trouve, on peut alors répondre positivement à la question. Si on n’en trouve pas on ne peut pas conclure à l’impossibilité. Les autres questions viendront ensuite : chez les enfants, les ados, les drogués…et dans quel proportion. Il n’est pas rationnel de chercher à mesurer le risque AVANT d’avoir établi qu’il existait. Bien sûr, si le risque est évalué à 3 comme l’a fait Hernan, c’est qu’il existe. Mais en voulant le mesurer Hernan en a trop fait et s’est exposé à la critique qui n’a pas raté l’occasion.

                 

                Si le risque existe et est différent selon les âges, voire certaines caractéristiques biologique ou génétique de telle ou telle sous-population, le risque moyen sur une population globale dépendra de l’importance relative des groupes ayant des risques différents. Pourquoi prendre la France plutôt que l’Europe, le Monde, la Chine ou Carcassonne ou un département ? Le risque moyen pourrait beaucoup varier entre ces entités et on pourra toujours déclarer que l’échantillon choisi n’est pas représentatif pour la France ou la Chine ou Madagascar ou pour mon village et contester une étude pour ce motif. Mais ce serait plus polémiste qu’acceptable. C’est pourtant ce qui a été fait et que j’ai voulu souligner.


                • Svenn 21 mars 2008 17:06

                  "Ceci dit, je serais assez de l’avis de 5A3N5D (message 1), ras le bocal des statistiques, on aimerait avoir une raison plus biologique du lien possible."

                   

                   Il y a un certain nombre de pistes qui sont actuellement étudiées afin de déterminer la (ou les) cause à l’origine de la sclérose en plaques mais rien de bien convaincant pour le moment. Une des pistes étudiées est celle d’une infection virale qui servirait de facteur déclenchant mais je serais très surpris que ce soit un virus comme celui de l’hépatite B qui en soit à l’origine. Dans les candidats beaucoup plus convaincants, il y aurait des virus comme le HHV6, un virus provoquant un état grippal tout à fait bénin et comme c’est bénin, on ne s’en préoccupe pas trop.

                   Une piste majeure est bien sur d’essayer de comprendre pourquoi le nombre de cas augmente au fur et à mesure qu’on s’éloigne de l’équateur (dans l’hémisphère sud comme l’hémisphère nord). Il pourrait y avoir par exemple un lien avec la vitamine D, que l’organisme est capable de produire par exposition de la peau au Soleil. A l’équateur, les gens produisent ainsi beaucoup de vitamine D tandis qu’on est de plus en plus carencé au fur et à mesure qu’on se rapproche des poles. La vitamine D pourrait donc prévenir l’apparition de la maladie mais malheureusement il n’y a pas de preuve pour le moment à ma connaissance.

                   Donc pour résumer et dans l’état actuel de nos connaissances, la meilleure chose à faire est de manger régulièrement des poissons gras (sardine, maquereau notamment) qui sont riches en vitamine D. Et si il s’avère que la vitamine D n’a rien à voir avec la sclérose en plaques, vous n’aurez pas tout perdu puisque cette vitamine protège (de façon démontrée cette fois ! ) contre un paquet de maladies toutes plus désagréables les unes que les autres.

                   ---- Ceci était un communiqué du lobby de la sardine ---- (Non, je plaisante !)


                • 5A3N5D 19 mars 2008 10:25

                  @ bodidharma

                  J’ai connu moi-même des personnes atteintes de SEP avant 1980. Cette maladie est classée (provisoirement ?) parmi les maladies auto-immunes, qui posent un véritable problème de santé publique à l’heure actuelle.

                  La question que vous me posez est celle du lien entre vaccination hépatite B - SEP. Je ne suis pas médecin et je ne sais pas. Mais ceux qui affirment que les adjuvants employés dans les vaccins sont les éléments déclenchant la SEP ne me paraissent pas très convaincants.


                • xray 18 mars 2008 21:11

                  Le grand business (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.) 
                   
                  Le remplissage des hôpitaux (Un bien-portant est un malade qui s’ignore.) 



                  • Francis, agnotologue JL 19 mars 2008 11:59

                    La France se caractérise semble-t-il par trois différences notoires par rapport à ses voisins :

                    Une sécurité sociale vache à lait / Le pays où la consommation des médicaments est la plus forte / Le pays où l’on a le plus vacciné.

                    S’il est vrai que les vaccins et les médicaments présentent des effets secondaires, il est légitime d’établir des elations de cause à effets entre les trois tristes records qui nous caractérisent.

                     

                     


                    • mariner valley mariner valley 19 mars 2008 13:02

                      @JL

                      Voyez on arrive quand meme a etre d’accord sur certaines choses. 

                      Le pays où la consommation des médicaments est la plus forte

                      C’est vrai, c’est surtout le cas pour les antidepresseurs.......qu’il y un business "de la deprime" ca peut etre possible.

                      Le pays où l’on a le plus vacciné.

                      Comme je l’ai deja ecris, les vaccins ne rapportent par grand chose (2%) par rapport aux medicaments.

                      Si on fait du vaccin un business, il est plus rentable pour une boite pharmaceutique de sortir un medicament pour une maladie X ou le patient va passer a la caisse (la secu en fait) regulierement plutot qu’un vaccin contre la maladie X ou il fera son injection + 1 ou 2 rappels puis terminer c’est quand meme beaucoup moins rentable que les medocs.

                      Donc les vaccins ne sont un business a mes yeux.

                      Une sécurité sociale vache à lait

                      C’est pas faux. Il y a des abus et des pourris partout, faut pas generaliser non plus.....


                      • mariner valley mariner valley 19 mars 2008 13:20

                        Cependant faut pas voir les vaccins comme un moyens de creer du malade, faut pas pousser.

                        On vaccine plus , on augmente donc le risque d’avoir plus de patients avec des effets secondaires par rapport a un pays qui vaccine moins. C’est logique.

                        D’un autre cote le pays qui vaccine moins a plus de chance d’avoir des patients qui contracterons la maladie proteger par le vaccin, par rapport au pays qui vaccine plus.

                        Les couts financiers de traitement de qques patients avec effets secondaires etant moins eleves que le cout de la maladie elle-meme (traiter par vaccin).

                        La conclusion est donc en faveur du vaccin....Le vaccin protege il reduit aussi les cout de traitement due la maladie contre laquelle il a etait creer

                         


                        • Francis, agnotologue JL 19 mars 2008 14:51

                          Mariner, vous avez dit Coué ?


                        • ge13 20 mars 2008 01:07

                          Plus on vaccine, plus on aura d’effets secondaires. Très pertinent !!

                          Cette personne n’a certainement pas déclanché de SEP sur un terrain sans antécédents, ni familiaux, ni personnels, dans la 1ère partie de sa vie, suite à une vaccination obligatoire dans le cadre des ses études et d’une propagande politique...

                          Quant aux couts, qu’en est il du moins élevé ? La prise en charge d’un patient atteind d’une hépatite B, dont les risques de contamination sont tout de meme connus, ou la prise en charge d’un patient atteind d’une SEP suite à une vaccination, qui aura recours à une thérapeutique au long cours très honéreuse et des hospitalisations et traitements medicamenteux ponctuels ?

                          Que cette personne reconsidère son point de vue de manière un peu moins théorique et son avis sera peut etre moins catégorique...


                        • mariner valley mariner valley 19 mars 2008 15:15

                          Non,

                          Contrairement a vous j’ai encore confiance dans la medecine dans son ensemble meme si celle-ci a des defauts et certaines derives.

                          Visiblement ce n’est plus votre cas, tant pis.

                           


                          • Francis, agnotologue JL 19 mars 2008 18:51

                            @ Mariner, ainsi vous admettez que l’on consomme plus de pharmacie en France qu’ailleurs, et qu’on y vaccine davantage, et vous soutenez dans le même temps que si l’on ne vaccinait pas, on y consommerait encore plus de médocs ?

                            Décidément, la France est l’Eldorado pour la pharmaceutique.


                          • mariner valley mariner valley 20 mars 2008 07:19

                            @ge13

                            Plus on vaccine, plus on aura d’effets secondaires. Très pertinent !!

                            Arf, acheter des lunettes. Il n’y aura pas necessairement plus d’effets secondaires, On a un risque plus eleve.......c’est pas la meme chose. Lisez ce qui est ecrit.

                            Vous faites de la plonge sous-marine vous avez donc un risque plus eleve de vous noyer que moi qui n’en fait pas.....

                            Si on part de votre principe que le vaccin peut declencher la SEP (admettons). Combien de personne qui ont un terrain favorable vont la declencher. ????? (terrain favorable ne signifie pas declenchement sytematique) a cause du vaccin ?????.

                            Combien de personne vont etre toucher par l’hepatite B par l’abcence du vaccin et devront etre traiter..... ??????? Beaucoup plus certainement.


                            • Francis, agnotologue JL 20 mars 2008 13:41

                               

                               

                              M Valley, vous avez admis dans un post précédent, qu’en France on tient deux records : plus de vaccins et plus de médicaments qu’ailleurs.

                              Si, comme vous le soutenez, la vaccination permettait d’économiser des médicaments, alors si l’on vaccinait comme les autres, notre consommation de médicaments serait par conséquent beaucoup plus importante les autres.

                              Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, cette phrase fait appel à la logique, pas à la croyance.

                              Vous pouvez expliquer ce paradoxe de votre pensée ?


                            • mariner valley mariner valley 23 mars 2008 17:10

                              Je dis juste que si on vaccine moins on prend le risque d’avoir des depenses de sante plus importante donc dans un sens on rsiquerait de consommer plus de medocs et oui on en consomme plus que la moyenne et oui si ont supprime les vaccins ca sera pire.....

                              Je n’y peux rien si en France on est friand de petites pilules varies de toutes les couleurs (vous savez les trucs qui booste votre memoire et autre conneries du genre) qui ne servent pas a grand chose. Ces meme pilules NE SONT PAS DES MEDICAMENTS se sont des attrapes pigeons.

                              Ces petites pillues representent un marche enorme surtout en France. Comme elles ne sont pas nocives elles peuvent etre mise sur le marche. Apres s’il ya des pigeons pour les acheter je n’y peux rien pour soulager leur conscience et leur porte monnaie c’est leur probleme. 

                               

                              Ne pas comparer vaccins avec ces trucs a deux balles....

                              Mais oui la France est hypocondriaque et on ne peut pas balmer les boites pharmaceutiques d’en profiter.

                              Mais cela ne remet pas en cause les vaccins car ils sont preventifs et evite d’etre malade donc.......


                              • Lucrezia 23 mars 2008 18:05

                                Désolé, avec les informations/données scientifiques d’aujourd’hui il n’y a aucun soupçon sur la Vaccination !

                                Pour autant, elle est mise en procès pour "sorcellerie" sur la place publique !

                                Plus aucun argument scientifique même de la part de d’experts reconnus n’est entendu ...

                                Après avoir tant oeuvré pour le progrès, les Français retomberaient-ils dans l’obscurantisme,en abandonnant des pratiques qui ont fait leurs preuves depuis plus de 150 ans ? Mais qu’ils ne viennent pas dans le même temps exiger une médecine curative et fiable à 100% ...


                                • mariner valley mariner valley 24 mars 2008 19:03

                                  @lucrezia

                                  Je ne peux que plusse votre commentaire mais on s’archarne a precher dans le desert je crois.

                                  Il est vrai aussi que les vaillant defenseur du naturel risque d’aller voir le mechant docteur si leur coeur s’arrete un jour et s’ils font une bonne grosse bronchite.....

                                   


                                  • inquiet 28 mars 2009 10:48

                                    Bonjour à tous ceux qui me liront....

                                    Certes le dernier message posté sur cette page date un peu mais bon...

                                    Je ne suis ni médecin ni un homme de statistiques MAIS suite à tout ce que j’ai pû lire (bcp de choses en tout cas), et suite à la "logique" des personnes qui pensent qu’il y a un lien entre la SEP et le vaccin de l’hapathite B, cela signifie tout simplement qu’étant donné qu’en France il y aurait eu depuis le début de la campagne de vaccination env. 20 MLLIONS de vaccinés contre le VHB et a priori 60.000-70.000 personnes atteintes de sep....
                                    Ma question à ceux qui pensent et "affirment" que c’est le vaccin qui a "infecté" les personnes atteintes de la sep : Comment se fai-il qu’au moins 1 MILLIONS (soit 1 pr 100) de français ne sont même pas atteints ? 
                                     
                                    De plus étant donné qu’il s’agit d’un vaccin obligatoire pour le corps médicall et tout étudiant en médecine même, cela voudrait dire que tous nos médecins-infirmiers-laborantins etc sont atteints ou le seront très bientôt ?

                                    Certes les statistiques sont importantes, mais il me paraît logique qu’étant donné qu’on a vacciné quasiment un tiers de la population française, il y ait des personnes parmis ces 20.000.000 qui soient malades de sep !

                                    Encore une fois, j’aimerais avoir l’avis de psnnes connaisseuses..

                                    CORDIALEMENT.


                                    • chercheasavoir 21 avril 2009 14:05

                                      Moi je suis très étonnée que l’on ne parle que de SEP. J’ai autour de moi du monde qui a été vacciné il y a quelques années : une personne qui souffre de Parkinson, l’un en est à sa troisième tumeur dont l’une à la thyroïde, l’autre en est à sa quatrième maladie auto-immune dont diabète et thyroïde, encore une autre souffre d’un myélome et son enfant d’une maladie neurologique alors qu’elle a été vaccinée enceinte.

                                      Dites moi donc : y avait-il une telle concentration de personnes développant des maladies auto-immunes, avant ce vaccin ? Je en crois pas non. Les statistiques me semblent donc faciles à faire.

                                      Calcul du nombre de malades de maladies auto-immunes diverses parmi la population non vaccinée et même calcul parmi la population vaccinée et comparaison des taux.

                                      Si seulement on voulait bien noter à chaque déclaration de maladie si la personne a été ou non vaccinée, on se rendrait sûrement compte que 80% des personnes qui tombent malades ont été vaccinés. ce taux étant supérieur au taux de 50% de la population vaccinée, la preuve serait faite.

                                      Par contre personne ne répond à une autre question. Il existe à ma connaissance 3 vaccins. Sont-ils tous les 3 aussi toxiques ?

                                       GENHEVAC B 
                                      ENGERIX
                                      TWINRIX 

                                      De plus, depuis les scandales, les laboratoires ont-ils tenté de changer la formule, d’exclure le chlorure d’alumin (ou un truc dans le genre), ou de créer un vaccin sans OGM ?


                                    • MOUSS77 23 juillet 2009 17:55

                                      OUI CEST REEL ET VRAI LE VACCIN HEPATITEVB DONNE LA SEP MOI MEME ET A CAUSE DE CELAJE L AI


                                      • manchigouri 27 août 2009 08:50


                                        Pauvre Philippe Maupas... qui doit se retourner dans sa tombe de lire autant de co......
                                        L’hypothétique possible de l’hypothèse du supposé de placer le curseur des statistiques d’un coté ou de l’autre ne pèse pas bien lourd dans la balance face à la réalité de la mortalité de l’hépatite B.

                                        Rest in Peace Philippe


                                        • gabriel 4 septembre 2009 01:20

                                          Bonjour !

                                          je n’ai pas vraiment de preuves a ce que je vais écrire. Je veux juste vous donner ma vision de ce que peut être la maladie afin d’ouvrir d’autres portes dans la réflexion sur les vaccins.

                                          Notre corps et nos cellules ont un certain taux de vibration (voir les travaux du docteur Rife sur les fréquences vibratoires du corps). Si nous sommes atteints par une maladie c’est que cette maladie ou ce virus a un taux vibratoire supérieur au taux vibratoire de notre corps. notre système immunitaire n’est alors plus assez efficace pour maintenir le taux vibratoire de notre corps.
                                          Plus notre corps est en bonne santé. Plus notre corps se nourrit d’aliment avec une vibration haute plus il est protégé des attaques qui viennent de l’extérieur ! pour moi c’est le meilleur des vaccins
                                          Si notre corps est en mauvaise santé, le vaccin qui est au taux vibratoire du virus, qui posséde le mal du virus qui est supérieur au taux vibratoire de notre corps, ne peut contribuer à mon avis à rendre notre corps plus fort. Sans parler de la quantité d’alluminium néfaste pour l’Homme qu’on injecte en même temps.

                                          Pour moi le plus important ce n’est pas le virus ou la maladie mais le milieu propice dans lequel il peut vivre !

                                          Si un jour on nous oblige à nous vacciner je ne le ferais pas et j’espère que je ne serais pas le seul !

                                          Merci de votre attention


                                          • BuBliZe 6 septembre 2009 12:53

                                            Bonjour, voila j’ai 15 ans , j’ai déjà fait une injection contre l’épathite B .
                                             Mon médecin me l’a recommandé.
                                            Mais je connais des parents d’amis qui sont médecins et l’avis est partagé.
                                             Donc je ne sais pas trop quoi pensé du risque de SEP.
                                            Vaut il mieux de le faire maintenant ou d’attendre la fin de mon adolescence ?
                                             
                                             Merci de prendre le temps de répondre à ma question.

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