Comment la Justice Familiale devient l’injustice Familiale
Trois ingrédients sont nécessaires aux scenari : un enfant, une séparation de couple, une volonté de nuire à son ex.
L’enfant devient l’enjeu, l’objet et la victime. Qu’importe son âge, qu’importe s’il a des frères ou des soeurs. Parfois la question ne sera même jamais posée par les tribunaux. Son père et sa mère se séparent.
Qu’importe si ce couple s’aimaient à la folie, passionnément, beaucoup, un peu ou pas du tout. Qu’importe qui ils sont. La volonté de nuire à son ex est présente. Qu’importe si elle est exprimée par l’un ou les deux parents. Qu’importe si elle est justifiée ou non. Qu’importe si les motivations sont légitimes ou non. L’enfant a pris place malgré lui dans l’arène d’un « conflit parental ».
1- Devant la porte des enfers : le passage chez l’avocat.
Quels avocats vont être choisis ? C’est simple. Grâce à la volonté de nuire à l’ex, nombre d’avocats vont proposer de violer les Lois en suggérant de fausses attestations. Ils vont également enrichir leurs conclusions avec injures, mensonges et diffamations.
Ainsi il y a peu de chances, dans une séparation « conflictuelle », que les deux avocats soient professionnels et honnêtes.
Scenario 1 - Les avocats Maître Juste et Maître Pro ont oeuvré à éteindre le conflit. Ils ont même incité à la Médiation Familiale. il y a conciliation. Fin de l’histoire.
Scenario 2 - La descente aux Enfers commence avec les allégations sulfurisées de l’ex, ses amis, sa famille, mêlées à celles de l’avocat Maître Ripoux.
Que c’est bon de mettre l’huile sur le feu ! On oublie bien sûr que ce sont les enfants qui vont s’embraser, et malheureux dans certains cas, finir en cendres sans que personne n’éteigne l’incendie criminel.
2 – Les JAF, c’est comme une boite de chocolat – on ne sait pas sur quoi on tombe.
Quel accueil recevra le ramassis d’ordures listées dans l’oeuvre littéraire de Maître Ripoux ? Nul ne le sait à l’avance. Sauf le JAF bien sûr.
D’abord Maître Ripoux peut avoir passé un accord secret avec Maître Ripoux 2. Ou même avec le JAF Choco Pote. On a vu des JAF recevoir en huis clos un avocat avant l’audience… Ou une enveloppe de l’avocat…
Scenario 2 – le JAF Salomon rétablira le vrai du faux sans couper bébé en deux. L’histoire s’arrête là. Circulez, y a rien à voir.
Beaucoup croient que le JAF Salomon est une légende car ils ne l’ont jamais vu.
Scénario 3 – Le JAF Choco Pote, Choco Borné ou Choco Laxiste va valider les fabulations de Maître Ripoux. C’est officiel : une nouvelle identité est créée pour le parent « perdant » avec un nouveau passé. Ce parent est devenu alcoolique, psychopathe, dangereux, irresponsable… Tout est possible dans ce scénario qui nous emmene à l’étage – 99 de l’enfer.
Qu’importe le jugement, l’enfant est puni car il voit moins le parent « perdant » et l’ambiance le fait souffrir. Au mieux, il voit son père en DVH classique, au pire deux heures en centre médiatisé tous les 15 jours.
3- Trois à cinq ans plus tard – le temps des moissons
Scénario 3 – la passion s’est apaisée pour les deux parents. Qu’importe si les parents ont refait leur vie ou non, la page est tournée. Certes de mauvais souvenirs persistent et créent des relents de tension. Certes il y a des hauts et des bas entre les deux parents séparés. Mais le temps aidant, grâce à l’amour parental, la communication est rétablie. On se reçoit quelquefois, on se rend service souvent. L’enfant et ses parents ont quitté l’Enfer. Fin de l’histoire.
Scénario 4 – L’enfant vit ses jeunes années en Enfer. Qu’importe si c’est l’un ou les deux parents qui sont conflictuels. Qu’importe si les raisons semblent légitimes. Qu’importe si cela est du fait du passé, du caractère, de problèmes psychologiques, financiers… Le couple se déchire. Il n’y a pas de réel apaisement.
Cela continuera jusqu’à ce que l’enfant adulte quitte définitivement l’un ou les deux parents, avec des blessures qu’il lui faudra panser.
4 – Événement probable pour les situations « conflictuelles » – la Rencontre du 3ème type : L’ASE.
Qu’importe qui appelle L’ASE. Qu’importe si les faits remontés sont vrais ou exagérés. Dès lors que les services sociaux sont saisis, on entre dans une dimension insoupçonnée, celle de la toute puissance des Services Sociaux.
Scénario 5 – Le travailleur social Sister Act analyse la situation, apporte un soutien, met en place des actions qui aident et resoud les principaux problèmes, et surtout l’enfant quitte l’Enfer. Sister Act est si discrète que certains pensent qu’elle est une fiction du cinéma.
Scénario 6 – mauvaise pioche : Voilà Le travailleur social Lucie Fert de L’ASE.
Qu’importe qui sont les parents, qu’importe ce qu’ils disent ou font, ils sont diagnostiqués parents inaptes, voire dangereux pour leur enfant. Madame Lucie Fert ne s’embarrasse d’aucune difficulté : elle trouve réponse à tout. Les parents sont dépressifs, manipulateurs, inhibiteurs, incestueux… Tous les motifs sont valides pour recommander au juge que l’on vous retire votre enfant pour le placer dans un foyer d’hébergement social (nom pour remplacer orphelinat). Elle trouve appui chez le psy Charles Atan qui rédige une expertise révolutionnaire. Charles Atan est une personne fort créative : soit il créé son rapport sans vous voir, soit il a juste besoin de vous devisager, soit il vous reçoit mais ajoute des éléments qui n’ont jamais existé. Et puis il y a des chances pour qu’il ne soit même pas diplômé !
Madame Lucie Fert passe la main à sa collègue Belle Zebute, employée au foyer. Le soufre aime les sonorités de l’euro : 7000 euros par mois et par enfant placé. De quoi motiver pour placer les enfants en « danger » – ou pas.
Il n’y a plus de doute : L’enfant est descendu plus bas encore dans l’antre de l’Enfer, jusqu’à ses 18 ans.
4 bis – Terres brûlées de l’Enfer et infinies damnations. Cela fait plus de cinq ans que la vie de l’un des parents est ravagée, mais c’est l’autre parent qui se dit victime.
C’est le scénario 7.
Sans répit, le bourreau déguisé en victime s’acharne. C’est un véritable harcèlement d’attaques perverses et mensongères qui s’est installé depuis la séparation. Mains courantes, plaintes, condamnations diverses… Face au parent bourreau, l’autre parent perd ses droits de visite et d’hébergement pour son enfant, sa santé, son argent, son logement, son travail. Au pire il se suicide. Au mieux il fuit et quelques années plus tard son DVH est rétabli mais son enfant est transmuté…
Car l’enfant est atteint, en grande souffrance. Il développe d’étranges maux et d’étranges comportements. C’est un enfant maltraité, seuls les yeux avertis le voient.
L’Enfer est le lieu de vie de L’enfant et son parent « protecteur ». Car le parent bourreau n’est autre que May Fisto, le manipulateur pervers narcissique.
100% des parents pervers narcissiques sont des parents maltraitants.
Plus de 70% d’entre eux sont incestueux.
11 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON