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Accueil du site > Actualités > Société > Le Coaching à la rescousse des entreprises ?

Le Coaching à la rescousse des entreprises ?

Le coaching pourrait devenir rapidement le moyen pour sortir de la crise. Les entreprises commencent à s'intéresser à ce métier de coach qui fait deja des merveilles en terme d'accompagnement et de résultats.

Les entreprises cherchent aujourd’hui des leviers de développement en cette période difficile. Parmi les idées émergentes en la matière, on conçoit de plus en plus le rôle de coach pour dynamiser des équipes, accompagner des changements structuraux. On considère désormais le coach comme un soutien au DRH et au manager et aux salariés. C’est un « plus » pour le management et un monde du travail à visage humain. Les entreprises vont-elles saisir la chance du coaching en période de crise ?

Etat des lieux. Il ne s’agit pas d’un coach sportif, d’un coach pris dans la presse féminine qui saurait jouer du tarot ou toute autre baliverne. Le coach d’entreprise est un métier très rigoureux. Il en existe à ce jour deux types : le coach interne et le coach externe. L’un et l’autre ne sont pas à la portée de toutes les bourses, mais in fine il est possible que le coach interne prenne de plus en plus de place dans les ambiances de travail. Le coach interne évolue comme un salarié au sein de la boîte. Le coach externe lui exerce ses talents au gré des contrats plus ou moins longs. La différence entre les deux réside en la confiance qui s’établit au fil du temps pour l’un et pour l’autre il s’agit plutôt d’action sur des états de crise : déménagement, plan social, problèmes de management lourd.

Vous avez dit coach interne ? Faire appel à un coach interne c’est probablement donner un signe très « humaniste » à ses employés. Le patron alors montre une forme d’ouverture d’esprit dans sa volonté de soutenir ses ressources humaines. Un coach en effet doit être à la portée de tous et disponible largement. Il est accessible essentiellement autour d’un espace convivial pour permettre l’échange. La discussion avec le salarié permet d’approfondir dans la confiance et le secret de la confidentialité des éléments qui pourraient ralentir son ouvrage. Le coach interne peut ainsi développer une confiance forte avec son interlocuteur parce qu’il est présent dans la durée. Il aidera alors pour un changement de poste, pour un déménagement au sein de l’entreprise ou tout tracas qui puisse toucher le collaborateur. Y compris et surtout pour des caps de vie difficile… l’entreprise alors apporte ce degré d’humanité qu’on n’avait pas forcément factualisé au sein de nos instances DRH. Le coach alors peut suivre une problématique de vie (divorce, décès)… il pourra lisser les relations de l’employé dans ces moments de vie.

Une efficacité dans la vie réelle de l’entreprise. Le coach interne murmure à l’oreille de tous. Il a la confiance de tous et une confidentialité totale. C’est important de le répéter. En ce sens, il sait comment au sein de l’entreprise réduire les blocages. Souvent il faut pousser la communication à se développer. Cela passera par des soirées permettant d’accroître les liens entre salariés. Il organisera des plans de tables particuliers pour que l’ensemble de l’entreprise puisse se découvrir… juste cela, c’est permettre de dégripper des tensions possibles entre services qui parfois ne se connaissent même pas. Le coach peut également servir d’interface avec le DRH et le salarié… aider à faire en sorte qu’un simple aménagement ne soit pas mal vécu ou qu’un dispositif soit revu par la hiérarchie. Le coach est donc indépendant et sert de « passeur » vers la base ou vers la hiérarchie. Il évite les tensions. Aussi, dans cette dynamique, le tissu social de l’entreprise a tendance à devenir plus réactif. Et en permettant un accompagnement, en réalisant sans problème des délocalisations, le coach rend d’énormes services à l’entreprise… un visage humain au sein des relations entre tous les acteurs. Une meilleure ambiance qui permet une politique RH plus souple. Et des managers également désenclavés de leur chiffre par les conseils avisés d’un coach qui veut du bien pour tous. On parle d’ailleurs « d’efficacité collective » créée par le coach.

Un atout contre la crise malgré les préjugés ? Face à la crise, les entreprises préfèrent se réfugier dans des fondamentaux. Briser les employés, faire du plan social massif, détruire parfois des vies alors qu’elles sont déjà bousculées. On a des petits chefs qui harcèlent et détruisent… Les entrepreneurs sont très loin de cette mentalité de l’investissement dans l’humain, de l’écoute et de l’aide. Et pourtant, imaginons le cas de Florange avec une activité de coach interne, qui permet un évitement des conflits... Nous serions aujourd’hui dans une autre atmosphère surement plus apaisée. Ceci aurait pu réussir à éviter la chute actuelle. Certains n’y croient pas mais pourtant les coachs permettent d’affiner les décisions des directions et de fluidifier le message vers la base… en ce sens on voit bien l’utilité de cette mission nouvelle ou de ce métier nouveau. Le problème est qu’aujourd’hui les entreprises optent pour des solutions radicales de management et ne voient pas que l’aide aux salariés peut s’avérer payante.

La problématique aujourd’hui c’est que les modes de managements et de gestion des entreprises sont purement à côté de ces nouvelles initiatives porteuses. L’utilité du coaching interne n’est pas suffisamment connue. Et en ce sens, au cœur de la crise c’est probablement une vraie lacune pour les tissus entrepreneuriaux français. La raison de cela est aussi le manque d’aides aux entreprises pour pouvoir se doter de ce type de poste. Et là c’est au gouvernement d’offrir des moyens pour pouvoir participer à cet effort d’embauche.

Il est dommage que le coaching soit seulement réservé pour l’instant à des happy few… On citera le cabinet international « Towers Watson » ou des géants qui communiquent peu leur expérience dans le domaine « Biogen, Commissariat à l’Energie Atomique, Crédit Mutuel, Danone, Fidal, Givaudan, L’Oréal, Mapa Spontex, Ministère de la Culture, Ministère de l'environnement, PSA, Schneider Electric, Sanofi Aventis, Siemens, Sigma Kalone, SNCF, Solvay, Tektronix, Total,Totalgaz ».

En conclusion, le coach peut être un levier de développement important au sein de l’entreprise. Il peut apporter une cohésion nouvelle et créer une meilleure fluidité dans la communication entre tous les collaborateurs… suivre les moments délicats de la vie des employés ou de l’entreprise. Que ce soit au sein d’une PME ou d’un géant, il pourra aider les collaborateurs dans une dynamique de respect et d’humanisme… oui, des valeurs qu’on croyait mortes au sein du management, mais qui aujourd’hui renaissent… A terme, on peut imaginer que les coachs déteignent sur les directions d’entreprises, préfigurant un parfum de modernité dans les relations humaines au sein du monde du travail.


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28 réactions à cet article    


  • foufouille foufouille 8 octobre 2012 17:45

    « Cela passera par des soirées permettant d’accroître les liens entre salariés. »

    et ensuite faudra dormir au boulot ?


    • Ducagire 9 octobre 2012 11:14

      cela doit etre de l’humour... cela tombe juste à plat...


    • Xtf17 Xtf17 8 octobre 2012 17:52

      Michel Foucault parlait du ‘’corps disciplinaire’’, soumis, assujetti pour obéir. Aujourd’hui, dans le travail, c’est la psyché qui devient force utile, soumise et assujettie. Le management transforme l’énergie libidinale en énergie rentable. Il transforme l’angoisse, le plaisir, le stress en forces de travail, productives.
      Les symptômes liés au monde du travail se sont donc déplacés. Aujourd’hui, le symptôme principal est internalisé : c’est le stress.

      Dans les années 70, primait la contradiction suivante : les salariés adhéraient aux objectifs de l’entreprise, mais les refusaient comme travailleurs. Aujourd’hui, cette contradiction s’est transformée en paradoxe. Le salarié ne change pas de casquette pour s’opposer à l’entreprise. Le salarié s’oppose à lui-même. Car l’entreprise lui donne à la fois des ordres tout en lui proposant des tickets psy, un coach, un séminaire, pour apprendre à gérer son stress, à mieux vivre son travail. Implicitement, ce discours signifie que c’est le salarié qui se vit comme responsable de son malaise, qu’il n’a qu’à effectuer un travail sur lui, et que ça l’aidera à supporter la situation. Ce discours permet de faire l’impasse sur les transformations des organisations, du management, des relations, et le stress qu’elles génèrent. Et le salarié, face à cette injonction paradoxale, ne comprend plus ce qui lui est demandé.
      Il se retrouve dans une plainte permanente, car c’est le seul moyen qu’il lui reste pour s’exprimer : il ne peut plus critiquer le management, il ne peut s’en prendre qu’à lui, et son travail n’a plus de sens pour lui.
      Pour différentes raisons. Il peut simplement ne plus rien comprendre au but de son activité. Il peut aussi ne pas être d’accord avec ce qui lui est demandé. Enfin, il peut estimer être évalué avec des outils qui n’ont pas de sens pour, qui ne mesurent pas sa performance d’après lui, par rapport à des critères qui ne correspondent pas à la réalité du travail. Et ça le rend fou.

      Prenez l’exemple des entretiens d’évaluation. Le salarié doit toujours avoir des résultats au-delà des attentes. Il doit faire mieux que mieux. L’idéal, l’excellence, c’est-à-dire ce qui est hors du commun, devient la norme. On parle aujourd’hui d’ ‘’excellence durable’’. Alors, forcément, certains cadres se dopent. On leur demande du ‘’zéro défaut’’, de la ‘’qualité totale’’, de faire plus avec moins… Ca n’a plus de sens.

      Et ce n’est pas en réunissant les salariés en séminaires pour parler du stress que ça va les aider. C’est en leur donnant les outils théoriques et pratiques qui leur permettent de comprendre ce qu’il se passe : le décalage entre les objectifs et les moyens, etc. Il faut permettre aux travailleurs d’être des sujets, de donner du sens à leurs symptômes pour ne plus les subir. Il faut discuter des conflits vécus, pour le comprendre, et envisager les transformations des organisations nécessaires.
      Il y a une vraie bataille idéologique derrière ce thème du stress au travail. D’ailleurs, il vaudrait mieux parler de ‘’violence’’ que de ‘’souffrance’’ au travail : cela permettrait de passer du discours de la victime à celui du contestataire.


      • Xtf17 Xtf17 8 octobre 2012 18:17

        Bref, tout est bon pour rendre la « ressource humaine » encore plus rentable, tant qu’à faire sous des habits « humanistes ». Qui est dûpe ? L’auteur en tout cas.


        • iris 8 octobre 2012 18:26

          pour motiver des salariés rien de tel qu’une bonne augmentation et de la considération-
          pas de paternalisme et de travail routinier fastidieux et dans uen ambiance pourrie avec des surveillants autour....


          • gaijin gaijin 8 octobre 2012 20:56

            pour sortir les entreprises de la merde ?
            on lourde 50 % des cadres et on donne une sérieuse prime sur les bénéfices a tout les employés et ouvriers.
            (indexée sur la présence )


            • herbe herbe 8 octobre 2012 21:10

              intéressant !


              Mais ceci n’est ce pas un problème justement ? :
              « Il est dommage que le coaching soit seulement réservé pour l’instant à des happy few »
              En l’état pas très égalitaire donc....Ne prêterait on qu’aux riches encore ?

              • Montagnais .. FRIDA Montagnais 8 octobre 2012 21:31

                « Le coaching pourrait devenir rapidement le moyen pour sortir de la crise. »

                Assez j’ai lu.

                Mais si vous pouvez nous filer un contrat, on a les références, l’expérience.. et on sera pas des ingrats.

                NB : vos affaires marchent bien ?


                • exocet exocet 8 octobre 2012 22:53

                  J’ai pas tout compris : c’est son mec ou son amant qui est coach, à la publicitaire qui nous pond cet article ?
                  Les entreprises Françaises ont la meilleure productivité d’Europe, mais, avec de petits salaires un fort cout horaire.
                  Cherchez l’erreur !

                  L’erreur elle est dans ce que dénonce Zoé Sheppard dans ses 2 bouquins : en France, 600 000 élus (oui, bien six cent mille, le plus fort taux d’Europe), 6 millions de fonctionnaires qui eux aussi ne produisent rien, 2.3 millions de pensionnés handicapés à des degrés divers, 2 à 2.5 millions de Rsastes professionnels, 16 millions de retraités.

                  Tout ce beau monde vit sans rien produire, mais consomme la plus grande partie de ce qui est produit... par seulement 16 millions de salariés, cadres compris....par le biais des revenus que leurs procurent impôts et charges sur le travail.

                  Ce qui explique que dans le privé en France les salaires sont faibles et le coût horaire du travail élevé.

                  Si on rajoute encore là dessus une couche de coach improductifs, l’ouvrier Français, déja pressuré au maximum devra faire quoi de plus ? des pipes pendant ses heures de sommeil ?


                  • Ducagire 9 octobre 2012 11:13

                    ouhaa cela vole bas... comme démonstration...

                    L’article a de l’interet... mais on n’attend rien des syndicats à la française...


                  • exocet exocet 8 octobre 2012 23:11

                    Qu’ils y aillent eux-même au turbin, les « coaches » aux diplômes douteux et aux formations bidons en sciences molles.
                    Qu’ils aillent au taf comme tout le monde, au lieu d’essayer d’inventer encore un système pour ne pas bosser eux-mêmes.
                    D’ailleurs, cette crise actuelle pourrait être bénéfique, dans un sens : si le système s’écroule et si les ouvriers ne sont pas couillons, ils pourraient peut-être refuser par la suite d’être les seuls à produire : celui qui voudra avoir quelque chose n’aura qu’à aller trimer à l’usine.


                    • exocet exocet 8 octobre 2012 23:12

                      ...ou aux champs.


                      • exocet exocet 8 octobre 2012 23:21

                        Article pas brillant, à oublier.


                        • hunter hunter 9 octobre 2012 10:06

                          Article sans intérêt, vantant une nouvelle lubie moderne, qui va enrichir quelques parasites !

                          Les nullissimes équipes dirigeantes des entreprises, vont encore essayer de se dédouaner de leur incompétence crasse (ayant bossé 20 piges en grosse multinationale, je sais de quoi je parle), en imposant des conneries à leurs salariés (j’ai moi-même été menacé de licenciement dans le temps, pour avoir refusé une formation ici de la scientologie,dissimulée, bien entendu !!!) !
                          Ca va coûter des fortunes, ça ne marchera pas, et en fin de compte, on lancera des PSE, ou des départs volontaires !!

                          Bon elle a l’air charmante m’auteure, sur sa p’tite photo, mais à part ça, c’est le vide intersidéral ce papier !

                          Be seeing you

                          H/


                          • Ducagire 9 octobre 2012 11:12

                            Ce sont de nouvelles idées du monde de l’entreprise mais in fine, les cryptocommunistes qui mettent encore « reve générale » et qu’on retrouve dans les cohortes des manif nepeuvent pas comprendre cela...

                            Allez le seul commentaire que vous sortez est de nature sexiste... vous avez du niveau...

                             


                          • exocet exocet 9 octobre 2012 18:15

                            Ducagire :
                            « Ce sont de nouvelles idées du monde de l’entreprise »

                            Là je pouffe ! Si ces idées venaient du monde de l’entreprise, nos « coaches » n’auraient pas besoin d’essayer d’en persuader les entrepreneurs....

                            Encore un représentant de commerce, avec Comenge et Loublier, les 2 « humanistes », ça nous fait la triplette qui vient vendre sa soupe sur Agoravox...
                            Mais celui-là est caché derrière un pseudo...


                          • hunter hunter 9 octobre 2012 11:24

                            Eh Ducon pardon Ducagire,

                            Je ne suis pas cryptocommuniste, et je ne vais pas dans les manifs, !
                            Je n’habite pas en Région Parisienne, et ta région de prétentieux parasites n’est pas le centre de la France ! (enfin, ils ne sont pas tous comme ça faut pas que je généralise)
                            D’autre part, dire que l’auteur est charmante c’est sexiste ? Ah bon !
                            C’est parce que je suis un péquenot moi, pas un bobo : quand une femme me plaît, je le dis, avec quand même du tact !
                            Tu devrais essayer tu verras, ça marche plutôt bien et ça te changera de ta réalité virtuelle !

                            J’ai du niveau ? Ah oui, et du bon, pour botter le cul de crétins de ton espèce !

                            Be my guest !

                            H/


                            • Yannick Comenge Yannick Comenge 9 octobre 2012 14:28

                              A lire cela... on se marre... j’ai honte pour la gauche, car en tant que membre à l’origine de Génération Précaire, Jeudi Noir et Sauvons les riches, je vois qu’on a une format stupide de réflexion chez la base...

                              On le savait... on le lit...

                              Yannick Comenge


                            • ZenZoe ZenZoe 9 octobre 2012 12:40

                              Je n’ai rien contre vous du tout, mais - ex-professionnelle de la communication myself - je reconnais bien là le jargon à la fois creux et gonflé des professionnels du vent. Pour autant, on remarque dans vos propos que le vent souffle toujours dans la direction de la direction quand même hein ?
                              ...Ah, les leviers de développement, la dynamisation des équipes, l’accompagnement des changements structuraux, le management à visage humain...

                              Quelques perles au hasard :
                              - "la discussion avec le salarié permet d’approfondir dans la confiance et le secret de la confidentialité des éléments qui pourraient ralentir son ouvrage« 
                              - »l’entreprise alors apporte ce degré d’humanité qu’on n’avait pas forcément factualisé au sein de nos instances DRH« 
                              - »dans cette dynamique, le tissu social de l’entreprise a tendance à devenir plus réactif« 
                              - »en réalisant sans problème des délocalisations, le coach rend d’énormes services à l’entreprise« 
                              - »imaginons le cas de Florange avec une activité de coach (...) : affiner les décisions des directions et fluidifier le message vers la base...


                              • Guilhaume 9 octobre 2012 14:13

                                Je voulais mettre le lien vers une planche où l’on aurait pu voir la galère pirate de Astérix, avec son coach le gros noir aux tmbours. Et puis je suis tombé sur cette image, qui me semble pas mal en fin de compte :
                                http://www.thorgal-bd.fr/images/cycles/4galere.jpg

                                légende : les ouvriers, les coachs, le supérieur des coachs représenté par le bruit du tambour :D


                                • Guilhaume 9 octobre 2012 14:14

                                  Ah oui, c’est une opinion personnelle, hein :)


                                • Yannick Comenge Yannick Comenge 9 octobre 2012 14:25

                                  Regle d’or sur Agoravox, laisser les chiens aboyer...


                                  • exocet exocet 9 octobre 2012 17:01
                                    Cycle de conférence 2012/2013

                                    Le coaching vu par les entreprises : quelle place en entreprise pour le coaching interne ? Coaching interne et management

                                    Conférence animée par Thierry BIANCHI (Président du Cercle National du Coaching - Cnam, Coach personnel et professionnel).

                                    Mardi 25 septembre de 19 h 00 à 21 h 00

                                    Intervenants :

                                    • Marion MARCHAL est consultante en Ressources Humaines au sein du cabinet Towers Watson depuis 12 ans. Spécialiste de la communication et de l’accompagnement du changement. Elle est formée au coaching chez Mozaik International. A ce titre elle accompagne les équipes dirigeantes dans leur recherche d’efficacité collective. Elle est aussi coach interne chez Towers Watson et viendra témoigner de son expérience de coach et de professionnelle de l’accompagnement individuel et collectif. Marion MARCHAL a une formation initiale de journaliste [CUEJ 1980] et elle est membre de l’association Supplément d’Elles dont elle a été la vice présidente jusqu’au mois de juin 2012.

                                    • Hélène LOUBLIER, dix années au sein du leader de la parapharmacie, elle gravit tous les échelons pour gérer jusqu’à 5KE par an avec 20 salariés. Aujourd’hui, animatrice du réseau Ethnicia fondé par Hapsatou Sy, elle fait avancer 20 centres de beauté. Hélène LOUBLIER fonde La Musique & les Arts de Paris et prend la vice-présidence du Collegium Musicum de Poissy avec Yannick Comenge dans le but de mettre en avant des créations d’arts musicaux dans un esprit d’humanisme et de diversité. En parallèle elle anime des billets engagés sur Le Plus du Nouvel Observateur, sur Youphil, Mediapart, Facebook et Twitter.
                                    Amphithéâtre Planté (35.1.1) – 2 rue Conté. Paris 3°. Cnam
                                    La conférence sera suivie d’un moment de convivialité.


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                                  • exocet exocet 9 octobre 2012 17:28
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                                      L’agence conseil en marketing et vente
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                                      • Augmenter le chiffre d’affaires,

                                      • Développer la relation client,

                                      • Valoriser les produits ou services,

                                      Plus d’indépendance :

                                      • Respecter les contraintes des décideurs

                                      • Rester libre sur le choix des contenus

                                      • Investir sur les prestations prioritaires

                                      Plus de qualité :

                                      • Co-concevoir des prestations uniques et sur-mesure

                                      • Développer l’entreprise pédagogique

                                      • Instaurer une démarche d’amélioration continue

                                      Les clients achètent les effets de nos prestations : Talents Uniques est un fournisseur officiel d’idées neuves et nos idées

                                      leurs rapportent des € !


                                      Santé, Amour, Argent, retour d’affection

                                      ça vole haut, ça, Monsieur Yannick Comenges

                                      Du super mega coaching de la mort qui tue....avec Yannick Comenges pour le Marketing viral sur Agoravox et Helene Briand Loublier dans celui du coach...


                                  • exocet exocet 9 octobre 2012 18:20

                                    "Les clients achètent les effets de nos prestations : Talents Uniques est un fournisseur officiel d’idées neuves et nos idées

                                    leurs rapportent des € !"

                                    Mauvaise idée, Agoravox, pour s’autopromouvoir, on espère que vous êtes plus efficaces pour promouvoir vos clients...


                                    • Yannick Comenge Yannick Comenge 10 octobre 2012 12:02

                                      Petit probleme Monsieur... 


                                      Madame Loublier n’est pas coach... deja quand on est pas journaliste, on essaie en tout cas d’avoir un discours carré et juste... 

                                      Autre point, pour Talent unique, j’ignorais ce point... par contre l’article défend une idée, un principe que je défends également... et mon avis, mes mots et ma comm ne sont pas à vendre... 

                                      Mais je vous laisse dans votre ambiance un peu parano... mauvaise idée pour vous de voir le mal partout...

                                      Allez c’est bien essayez mais il vaudrait mieux parler de l’incapacité du monde du travail à produire des conditions saines de job... et je constate qu’il y a encore de la marge quant aux problématique de coaching sérieux avant qu’elles soient appliquées dans les PME...

                                      Sans rancune, vous n’etes pas journaliste, vous ne savez pas vérifier vos données ou sources et prennez moins vos affabulations pour des réalités... cela vous aidera...



                                    • Gorka 26 mars 2013 21:52

                                      Je comprends que certains salariés soient sur la sellette et qu’ils soient enragés que leur patron se serve d’un coach pour les forcer à atteindre des objectifs irréalistes. Mais dans l’absolu, le rôle du coach est de servir les intérêts de l’entreprise et aussi ceux du salarié. Idéalement le coach d’entreprise ou coach de dirigeant doit mobiliser tout le potentiel de l’individu pour attendre ses objectifs et se réaliser. Qu’en pensez-vous ? 

                                      • Grandaddy Grandaddy 9 mai 2014 16:06

                                        Le coaching en entreprise n’est selon moi qu’une filiale du management, comme certains l’ont déjà insinué ici. Par conséquent, je ne vois pas en quoi cela pourrait aider à sortir de la crise...
                                        Mais visiblement, il y a pas mal de formations en coaching qui se développent en France. Je dirais que comme pour de nombreuses choses, le coaching sera bénéfique ou néfaste en fonction de ce que l’être humain en fait...

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