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scylax

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  • Premier article le 01/03/2014
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Derniers commentaires



  • scylax 29 novembre 2021 20:59

    @adeline
    C’est vrai qu’André Breivik en bon nazillon est fasciné par l’Islam comme un de ses mâîtres Himmler quiu regrettait que l’Europe médiévale ne se oit pas donné à l’invasuion arabe.



  • scylax 27 novembre 2021 13:50

    C’est une banalité de dire que, depuis deux siècles, les homosexuels masculins sont très nombreux dans les milieux politiques pro-arabes et autres intellectuels à divers titres fascinés par le monde arabo-musulman et « l’orientalisme ». Commençons la liste par ceux qui nous ont quittés.

    - Pierre Loti, écrivain français. Son premier roman « Azadié » avait pour thème une histoire d’amour dans le cadre exotique de la Turquie de 1876-1877 entre un officier de marine européen et une jeune femme du harem d’un riche vieillard. Pas dupes, les frères Goncourt évoquaient Loti en disant de lui : « Cet auteur, dont l’amante, dans son premier roman est un monsieur ».

    - Ernest Psichari, lieutenant français. Il séjourna trois ans en Mauritanie, où il exprima son admiration pour le corps des jeunes Maures, comme celui de Mohammed, « souple et mince comme un jeune palmier ».

    - André Gide, écrivain français, compagnon de tourisme sexuel d’Oscar Wilde à Tanger.

    - Lawrence d’Arabie, aventurier anglais et promoteur d’une unité arabe sous les Hachémites.

    - Hubert Lyautey, maréchal de France, gouverneur du Maroc.

    - Louis Massignon,. grand arabisant et islamologue français.

    - Jacques Benoist-Méchin, historien français et politicien vichyste. Il était proche de plusieurs chefs d’Etat arabes. Il a été notamment invité à un anniversaire d’Hassan II.

    - Henri de Montherlant, écrivain d’extrême-droite. Ses pérégrinations autour de la Méditerranée l’ont amené au Maghreb, où il s’est installé pendant deux périodes , respectivement à Alger et à Tunis. Dans ”La Rose de sable” , il exprime sa pitié pour “ nos indigènes musulmans, sans armes, sans presse, sans puissance civique ni politique ” et affirme dans “ Pour le chant profond ”, ”combien les Français leur sont inférieurs”.

    - Daniel Guérin, militant libertaire. Il disait qu’après la Seconde Guerre mondiale, les Algériens immigrés offraient une disponibilité sexuelle que n’avaient plus les ouvriers français. Au lendemain de l’indépendance algérienne, il effectua plusieurs voyages en Algérie.

    - Jean Genet, écrivain pro-palestinien obsessionnel, sanctifié par Sartre. Il disait « Il est naturel que cette piraterie, le banditisme le plus fou qu’était l’Allemagne hitlérienne provoque la haine des braves gens, mais en moi l’admiration profonde et la sympathie ». En 1982, il écrivit « Quatre heures à Chatila », ode au combat des Palestiniens arabes..

    - Roger Peyrefitte, écrivain français pédophile. Il publia en 1954 « Le petit Arabe », dans la revue Arcadie, no 1.

    - Oscar Wilde, écrivain irlandais. Après sa virée sexuelle à Tanger avec son giton André Gide, il proclama que les pays musulmans sont un paradis pour les pédérastes et vantait les talents d’un certain adolescent marocain qui l’avait comblé.

    - Edward M. Forster, écrivain anglais. Travaillant pour la Croix-Rouge en Égypte en 1916, il tomba amoureux d’un jeune Égyptien de 17 ans, Mohammed el-Adl qui mourut prématurément en 1922.

    - Joe Orton, écrivain anglais. Il séjourna en 1965 à Tanger

    - William Burroughs, écrivain américain. Il parcourut l’Afrique du Nord, avant de séjourner à Tanger, au Maroc de 1954 à 1956.

    - Paul Bowles, écrivain américain,. A 37ans, il s’installa au Maroc définitivement.

    - Truman Capote, écrivain américain. Il séjourna à Tanger en 1949.

    - Allen Ginsberg, écrivain américain. Il séjourna à à Tanger en 1957.


    Parmi les vivants, on retiendra :

    - Gabriel Matzneff, écrivain français pédophile assumé. Arabophile béat, il va jusqu’à dire après le 13 novembre 2015 : « On est accablé par la médiocrité petite-bourgeoise, l’insignifiance des propos tenus par les survivants de cette « génération Bataclan ! »

    - Thierry Meyssan, activiste français d’extrême-droite complotiste. C’est un agent d’influence de l’Iran et de la Syrie baathiste.

    - Thierry Schaffauser, prostitué français, co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel). Il publie le 3 août 2014, une pétition : « Gays pour une paix juste en Palestine, contre le racisme et l’islamophobie », contresignée entre autres par signé par « Rainbow Caucus France « (Union française des étudiant/e/s et diplômé/e/s queers et de leurs proches) ;

    - Philippe de Saint-Robert, écrivain français gaulliste jurassique. Il fait partie du jury du prix Palestine-Mahmoud Hamchari.

    - Et enfin, the last but not the least, Michel Foucault., l’un des papes de la French Theory et du posthumanisme déconstructeur était un pédophile amateur de Maghrébins. Etonnamment notre classe médiatique fait silence sur cette bombe lâchée le 10 mars 2021 sur France 5 : « Ce qu’a fait Foucault avec de jeunes enfants en Tunisie, que j’ai vu et que je me suis reproché de ne pas avoir dénoncé à l’époque, me conduit non pas à rejeter son œuvre, mais à la regarder d’une manière différente.  » Ces propos sont ceux de l’essayiste Guy Sorman. « C’étaient des choses parfaitement ignobles avec de jeunes enfants. La question du consentement ne se posait même pas. »


    Comment expliquer ce tropisme homosexuel dans le monde arabo-musulman, alors que la Charia est d’une férocité sans égale à l’encontre des ainsi nommés « invertis » ?

    Henri Marrou, historien des religions, affirmait en 1961 : « L’exclusion matérielle des femmes, tout effacement de celles-ci, entraînent toujours une offensive de l’amour masculin : qu’on pense à la société musulmane. ».

    On peut ajouter que, s’agissant des djihadistes, le schéma familial classique du père absent ou dévalorisé joint à une mère exigeant l’amour excusif du fils conduit souvent ce dernier à l’homosexualité patente ou latente.

    David Le Breton formule une explication pour les jeunes djihadistes passés par la délinquance et la prison : « Ils ont grandi dans des familles destructurées, avec un père absent réellement ou symboliquement, ils ne disposent d’aucune figure paternelle. » (« Jeunesse et djihadisme », Le Débat, no 188, 2016). Sur les vingt entretiens que la psychologue clinicienne Asma Guenifi a réalisé en prison (« Le profil psychologique de l’engagement dans le salafisme », Cahiers de la sécurité et de la justice, 2014), elle constate également qu’une très grande majorité de ces prisonniers ont perdu leur père, d’une mort physique ou symbolique. 



  • scylax 27 novembre 2021 13:46

    Les agressions sauvages d’homosexuels par des « jeunes-issus-de-la-diversité » agrémentent les faits divers depuis maintenant deux décennies. Serait-ce le témoignage d’une virilité débordante et expressive ? Il est vrai qu’Eric Zemmour semble fasciné par leur virilité supposée. Supposée !

    A considérer les terroristes salafistes ayant ensanglanté les sociétés européennes, on est étonné de constater la proportion d’homosexuels avérés, alors que l’on aurait pu penser que l’adhésion au rigorisme impitoyable du salafime rendrait impensable cette preuve d’immoralité.


    - Commençons par l’ex-djihadiste Mourad Fares qui organisait les départs de nombreux jeunes, dont deux lycéens toulousains, vers la Syrie entre 2013 et 2014. Lors de son procès en 2020, une enquêtrice de personnalité avait affirmé que Mourad Farès lui avait révélé que ses partenaires étaient des hommes et que sa famille n’était pas au courant. « Etre gay dans une famille musulmane, ça ne se fait pas tellement », a d’ailleurs glissé un de ses amis à l’enquêtrice. Un de ses chefs lui aurait lancé qu’aller en Syrie lui permettrait d’« effacer ses péchés ».

    - En Tunisie, en avril 2017, les unités sécuritaires de Ben Arous ont procédé à l’arrestation d’un élément takfiriste. D’après le journal Al Chourouk, qui cite des sources sécuritaires, il avait eu des rapports homosexuels avec plusieurs dizaines d’autres takfiristes. Il avait envoyé à plusieurs reprises des photos osées et à caractère sexuel à d’autres terroristes à travers les applications mobiles et les réseaux sociaux. Il a également reconnu avoir eu des relations sexuelles avec des extrémistes homosexuels dans l’un des hammams de la région de Ben Arous.

    - Mohamed Lahouaiej Bouhlel qui a provoqué la mort de 84 personnes à Nice, le 14 juillet 2016, était bisexuel, comptant parmi ses nombreuses conquêtes un amant de 73 ans. Les révélations sur sa vie sexuelle « dissolue », selon les termes du procureur de Paris, ne seront relayées par la presse qu’après le communiqué de revendication de l’organisation terroriste Etat islamiqe.

    - Aux Etats-Unis, le takfiriste massacreur du Pulse à Orlando le 12 juin 2016 (49 morts), Omar Mateen, fréquentait cette discothèque « gay-friendly ». Son acte s’explique sans doute par des déconvenues sentimentales purgées par une vengeance cathartique. Nos élites médiatiques et politiques, stupéfaites car d’une ignorance crasse s’agissant du monde musulman, tentent de minorer les implications anthropologiques de cette information.

    - Salah Abdeslam, co-auteur encore vivant des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis (Bataclan : 137 morts), fréquentait régulièrement les bars gays de Bruxelles et serait un prostitué homosexuel. Plusieurs médias européens (The Sunday Times, La Libre Belgique, Paris Match) ont relayé l’information passée sous silence par la plupart des médias français, à savoir que Salah Abdeslam était connu à Bruxelles pour sa fréquentation régulière des bars homosexuels. « C’était un jeune prostitué, il trainait toujours avec ce genre de personnes », a expliqué au journal britannique un barman d’un de ces établissements.

    - Le terroriste le plus célèbre à avoir eu une sexualité en contradiction avec la cause qu’il servait est Chérif Kouachi, un des tueurs de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015 à Paris (12 morts). Alors qu’il est sur écoute et fait l’objet d’une surveillance physique, une note déclassifiée de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) relate sobrement : « Ses penchants homosexuels étaient également découverts à ce moment. » Les enquêteurs ont constaté qu’il avait un amant.

    La psychothérapeute française de l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat, qui assura , de 1984 à 2019, la coordination des services chargés de la lutte contre le terrorisme) dénote qu’un tiers des signalements pertinents de personnes radicalisées, qui sont fait à travers la plate-forme téléphonique mise en place en 2014, « présentent des difficultés à réaliser leur identité sexuelle ».


    La prégnance de l’homosexualité dans la société arabo-islamique est patente, par delà les incontestables anathèmes du Coran et de toute la tradition musulmane (Sounna et Hadiths) contre la « sodomie ».

    Déjà au XIVe siècle, le dominicain Guillaume Adam, qui avait voyagé en pays d’Islam, s’exclame : « Ces Sarrasins, oubliant la dignité humaine, vont jusqu’à vivre entre hommes comme chez nous on vit entre hommes et femmes ».

    Toujours au XIVe siècle, l’historien égyptien Maqrizi note que « parmi les dirigeants mamelouks, l’amour entre hommes est si courant que les courtisanes, par frustration, s’habillaient comme les hommes ».

    Dans l’Empire ottoman du XVIIIe siècle, on trouve en vente libre des ouvrages illustrés sur les relations homosexuelles masculines. Il faut ajouter que le système politique ottoman est largement fondé sur des rapports homosexuels.

    Dans les années 1820, l’intellectuel égyptien Tahtawi s’étonne du fait qu’à Paris les hommes ne s’intéressent qu’aux femmes, que les poètes s’interdisent de vanter la beauté des jeunes garçons à tel point, écrit-il, que « la langue française ne permet pas aux hommes d’écrire : ’je suis tombé amoureux d’un garçon’. Ils n’évoquent jamais cela dans leurs oeuvres et toute conversation sur le sujet est taboue ».

    En 1853, Edouard Duchesne, dans son étude sur la prostitution à Alger, observe que l’homosexualité était « rampante » (sic) dans la société indigène. Il remarque que les femmes algériennes sont « couvertes et enfermées », et que les Arabes « se laissent tenter par la beauté remarquable de presque tous les jeunes gens. Ces belles têtes se montrent à nu par les rues, dans les bazars et les promenades publiques, tandis qu’on ne voit à côté d’eux que des femmes dont les yeux seuls sont apparents ».

    Quant à Tanger, ville marocaine à statut international, dans les années 1950, elle est qualifiée de métropole mondiale de l’homosexualité.

    A Paris, jusqu’aux années 1950, des « bains maures », en passant par les vespasiennes de la porte de la Chapelle et les bals de Montmartre ou de la Montagne Sainte-Geneviève, la cartographie de la scène homosexuelle recouvre alors, en grande partie, celle de l’immigration maghrébine.

    On se souvient de ce manifeste provocateur du Front homosexuel d’Action révolutionnaire (FAHR) qui proclamait : « Nous sommes plus de 343 salopes. Nous nous sommes faits enculer par des Arabes. Nous en sommes fiers et nous recommencerons. » (Tout, n°12, le 25 avril 1971).



  • scylax 18 octobre 2021 11:27

    A Paris, jusquaux années 1950, des « bains maures » en passant par les vespasiennes de la porte de la Chapelle, la cartographie homosexuelle recouvre celle de limmigration maghrébine. Tanger, dans les années 1950, est qualifiée de métropole mondiale de lhomosexualité. En avril 1971, le Front homosexuel dAction révolutionnaire proclamait : « Nous sommes plus de 343 salopes. Nous nous sommes faits enculer par des Arabes. » Et cest une banalité de dire que les homosexuels sont très nombreux dans les milieux politiques pro-arabes et autres intellectuels fascinés par « lorientalisme ». Commençons la liste par ceux qui nous ont quittés. Pierre Loti, écrivain, Ernest Psichari, André Gide, Lawrence dArabie, Hubert Lyautey, Louis Massignon, Jacques Benoist-Méchin, Henri de Montherlant, Jean Genet, Roger Peyrefitte, Oscar Wilde, Edward M. Forster, Joe Orton, William Burroughs, Paul Bowles, Truman Capote et Allen Ginsberg. Parmi les vivants, on retient :Gabriel Matzneff, Thierry Meyssan, Thierry Schaffauser, prostitué et co-fondateur du Strass (Syndicat du travail sexuel), Philippe de Saint-Robert et enfin, Michel Foucault, pédophile amateur de Maghrébins. Guy Sorman. fut témoin de ce qu’il qualifie de « choses parfaitement ignobles avec de jeunes enfants. La question du consentement ne se posait même pas. »

     Comment expliquer ce tropisme homosexuel dans le monde arabo-musulman » ? Henri Marrou affirmait en 1961 : « Lexclusion matérielle des femmes, tout effacement de celles-ci, entraînent toujours une offensive de lamour masculin : quon pense à la société musulmane. »



  • scylax 18 octobre 2021 11:27

    Montgeron : encore un homosexuel agressé par des jeunes issus de la diversité. On est étonné de constater la proportion d’homosexuels avérés dans ce milieu.

    Mourad Fares, condamné le 24 janvier 2020. a révélé que ses partenaires étaient des hommes. En Tunisie, en avril 2017, Ben Arous avait eu des rapports homosexuels. Mohamed Lahouaiej Bouhlel (Nice, le 14 juillet 2016) avait un amant de 73 ans. Aux Etats-Unis, le djihadiste d’Orlando le 12 juin 2016, Omar Mateen, fréquentait la discothèque « gay-friendly ». Salah Abdeslam (Bataclan : 137 morts) fréquentait les bars gays de Bruxelles. Chérif Kouachi (Charlie Hebdo le 7 janvier 2015). avait un amant. La psychothérapeute de lUnité de coordination de la lutte antiterroriste dénote quun tiers des radicalisés « présentent des difficultés à réaliser leur identité sexuelle. »

     La prégnance de l’homosexualité dans la société arabo-islamique est patente. Au XIVe siècle, le dominicain Guillaume Adam s’écrie : « Ces Sarrasins vont jusqu’à vivre entre hommes » et lhistorien égyptien Maqrizi note que « parmi les mamelouks, lamour entre hommes est courant. ».Dans les années 1820, lintellectuel égyptien Tahtawi s’étonne du fait qu’à Paris les hommes ne sintéressent quaux femmes. En 1853, Edouard Duchesne observe que lhomosexualité est rampante (sic) à Alger. 

    P.-S.
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