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  • Atlas 16 février 2014 13:21

    Pourriez vous citer vos sources « crédibles » ?



  • Atlas 16 février 2014 13:20

    Pourriez vous citer vos sources crédibles ?



  • Atlas 12 février 2014 12:52

    Quand il s’agit de politique extérieure, beaucoup d’Algérien sont en accord avec leurs dirigeants. Très peu d’entre eux seraient opposés au principe du libre choix par les Sahraouis de leur destiné. Que cela plaise ou ne plaise pas aux lecteurs de le mag.ma ne me dérange personnellement pas.
    Concernant Oujda et sa région, votre argumentaire ne résiste pas à un examen sérieux.
    C’est une vielle ritournelle en vogue au Maroc que de vouloir faire croire que l’Algérie dans sa forme moderne n’existe que depuis la colonisation française.

    Les Français n’ont fait que reprendre les frontière de la régence d’Alger en l’amputant de la partie entre la Moulouya et l’oued Sly ; partie où se sont installé les Marocains en 1795 avec la bénédiction espagnole, sans que le Bey d’Oran, (occupé la reprise d’Oran aux Espagnoles puis par la peste d’Oran) ne riposte.
    Sans la colonisation française en 1830 (soit 35 ans après), il y a fort à parier que le sultan du Maroc aurait été chassé de ce que vous appelez actuellement « l’Oriental ».

    La Régence d’Alger n’a jamais été une province de l’empire Ottoman dans l’acceptation actuelle du terme. C’est les frères Barberousse qui ont été appelés par les populations de la région d’Alger pour faire face aux espagnoles, qui après la mort de Khereddine prête allégeance à la Grande Porte ; celle ci durera peu de temps. Voila ce que dit wikipédia et tout les livres d’histoire à ce sujet : « Dans un premier temps province de l’Empire ottoman sous l’autorité d’un pacha, elle subira des évolutions politiques et sera désignée dans les traités à partir de la fin du xviie siècle siècle comme Royaume ou Cité-État d’Alger. Elle disposera progressivement, de fait, d’une large autonomie et d’une quasi-indépendance dans la gestion de ses affaires au xviiie siècle et xixe siècle. La régence d’Alger bravera à plusieurs reprise l’autorité de l’empire et entretiendra des rapports diplomatiques autonomes avec les États-Unis et les puissances européennes notamment la France par le biais d’ambassadeurs et de traités comme le Traité de paix franco-algérien de 1801. »
    Pour rappel, lorsque le coup d’éventail a été donné par le dey d’Alger au consul de France, la guerre a été déclaré par la France à l’Algérie et non à l’empire Ottoman.
    Pour la période qui concerne Oujda, il s’agit donc bien de l’état algérien dont il est question.
    Je pense avoir déjà répondu sur l’économie algérienne et sa gouvernance. En réalité sans le coup de frein de la décennie noire, la situation des deux pays serait tout simplement incomparable.Il suffit pour cela de comparer les courbes d’évolution des différents indicateurs économiques et sociaux depuis les années 60 à nos jours.
    La reprise depuis les années 2000 va très rapidement faire oublier la stagnation des années 90.
    Je ne sais pas ce que vous appelez une monarchie légitime. Ça n’a pas de sens pour moi. Tous les monarques sont pour moi des prédateurs illégitimes. Mais si vous le considérez comme tel, c’est votre problème et ça ne me concerne pas et ne me dérange pas. 
    Merci de me suggérer la lecture de l’histoire du Polisario que je connais au demeurant assez bien. Je vous suggère la même chose en prenant autre chose que les version officielles marocaines, et en vous intéressant par exemple
     au Mouvement de libération du Sahara qui existait dans les années 60.



  • Atlas 7 février 2014 12:36

    Vous parlez bien de lien d’allégeance, c’est le reste qui est faux :
    La conclusion de la cour renvoi à l’application de la résolution 1514, c’est à dire à un processus d’autodétermination du peuple sahraoui. Le partage dont vous parlez entre Hassan II et la Mauritanie d’Ould Dada est un coup de force tenté par Hassan II, mais qui n’a pas aboutit, la Mauritanie ayant préféré un retour à la légalité internationale plutôt que de se mettre au ban de l’OUA.
    Aucun pays y compris le votre sans doute, ne serait prêt à reconnaître comme règle de droit que les liens d’allégeance valent pour liens de souveraineté (Avec un tel principe, l’Algérie serait habilité à réclamer (Au même titre que le Maroc d’ailleurs) Oujda et sa région ; et pourquoi pas le Nord du Mali et du Niger puisque l’autorité régnante sur les Touaregs se situait à Tamanrasset).

    Cet épisode de la CIJ illustre parfaitement la mauvaise foi marocaine depuis près de 40 ans que dure ce dossier. Il en est ainsi de l’acceptation par le Maroc de l’organisation d’un référendum et de toutes les entraves qu’il met depuis à son organisation par la MINURSO. Les exemples de cette mauvaise foi sont légion. Le Maroc espère pouvoir rester en dehors de la légalité internationale, un peu comme Israël, en comptant sur les USA et certaines puissances occidentales telle que la France. Il n’y a rien de moins sur, nous ne sommes plus à l’époque de guerre froide USA/URSS.

    En vérité, Hassan II a demandé à la CIJ de statuer en espérant un avis qui le conforte, mais c’est l’inverse qui se produit. Dès lors ce sont des interprétations tout aussi fantaisistes les unes que les autres qui sont mises en avant pour justifier l’occupation de ces territoires. Bien évidemment c’est le pauvre peuple marocain, chauffé à blanc pour la circonstance, qui continue à subir les frais de cette aventure dont en réalité la principale raison d’être est le maintien de la dynastie alaouite au pouvoir.

    Il est de notoriété publique qu’après le coup d’état avorté de Skhirat, Hassan II a utilisé cette affaire pour consolider son trône vacillant ; son fils a pris le relais.
    Le règlement du problème sahraoui serait certainement plus préjudiciable au trône que le maintien du statut quo actuel. Il ne faut donc pas se faire trop d’illusions sur la volonté marocaine de règlement. On supposant que ce conflit trouve un jour une solution, sans être grands prêtres, on peut dire que le décompte de la fin de la monarchie marocaine aura commencé.

    Les guerre faites par l’Algérie dont vous parlez sont le plus souvent des ripostes aux provocations du Maroc. Ce n’est pas l’Algérie qui instrumentalise cette affaire contre le Maroc ; elle n’y a aucun intérêt, malgré tous ce que vos journaux lui prêtent comme desseins.
     
    Pour rappel, James Baker, un moment en charge de ce dossier a cru pouvoir régler le dossier en proposant à l’Algérie un accès à l’océan Atlantique, accès présenté par le Maroc comme à la source de la position algérienne. L’Algérie a très mal pris cette proposition.

    En réalité ce que le Maroc refuse de reconnaître, c’est que l’Algérie est, et reste sur les mêmes positions de principe depuis le début de ce conflit.Vous le dites d’ailleurs très bien :
    « La conception politique régionale de l’ Algérie n’a pas évolué depuis les années 1970 »
     Oui et alors ? Pourquoi voulez vous que l’Algérie change ses principes ? Condamner le colonialisme d’après vous n’est plus « in » de nos jours ? 
    Les pays qui font appel à la diplomatie algérienne et à sa « conception politique » sont nombreux ; elle n’est donc pas aussi « out » que vous voulez le faire croire. 

    Votre article a pour but unique de diaboliser les décideurs algériens en versant des larmes de crocodile le peuple algérien et en dédouanant dans la foulée vos propres dirigeants. C’est évidemment plus facile à faire que de s’en prendre à ses propres dirigeants comme le font ces Algériens (économistes ou autres) que vous n’hésitez pas à mettre à contribution.
    C’est d’autant plus facile que les Algériens sont rebelles et passent leur temps à râler.

    Quant au « manque de vision au sommet » et autres jugements du même types galvaudés par les économistes d’ici et d’ailleurs , vous en trouverez toujours des dizaines pour dire le contraire, Cela dépend généralement de qui les paie. C’est l’histoire du médecin »Tant pis« et du médecin »Tant mieux« . Mitterrand disait des économistes  »Il faut les écouter et faire le contraire de ce qu’ils disent« . On pourraient certainement en trouver des dizaines annonçant (sans doute avec plus de vérité) une crise à venir au Maroc.
    A notre époque, il y a une vérité moins drôle et plus criarde qui renseigne sur la force des économies, ce sont les flux de main d’oeuvre. Et force est de constater que ce flux est du Maroc vers l’Algérie.

     
    Jouer les oiseau de mauvais augure suinte souvent des écrits de la presse marocaine quand il s’agit de l’Algérie ; notamment quant il s’agit de ses réserves d’hydrocarbures. La réciproque n’est pas vraie, vous ne trouverez personne en Algérie pour parier, voir souhaiter l’épuisement de vos réserves de phosphate.

    Je répondrais un jour sur la partie »Histoire« de votre écrit qui est bien sur très »marocanisée".



  • Atlas 6 février 2014 13:30

    Au lieu de vous commettre dans des falsifications à répétition de l’histoire et dans le tissu de contre vérités qui vous sert d’argumentaire, vous seriez bien inspiré, Mr Bouliq le donneur de leçon, de faire preuve d’un minimum d’honnêteté intellectuelle.

    A titre d’exemple et si la mémoire vous fait défaut, voici ci dessous les conclusions de la CIJ.

    1) II existe au moment de la colonisation espagnole des liens juridiques d’allégeance entre le Sultan du Maroc et certaines des tribus vivant sur le territoire du Sahara occidental ; il existe également des liens juridiques entre l’Ensemble mauritanien et le Sahara occidental. 

    2) En revanche il n’existe aucun lien de souveraineté territoriale entre le territoire
    du Sahara occidental, d’une part, le Maroc ou l’Ensemble mauritanien,
    d’autre part. 

    3) Ces constatations ne conduisent pas à modifier l’application

    de la résolution 1514 (XV) ; il s’ensuit que le principe d’autodétermination
    grâce à l’expression libre et authentique de la volonté des populations du
    territoire reste applicable au cas du Sahara occidental
    La Cour s’est donc prononcée de façon nuancée sur les droits historiques.
    Elle a reconnu l’existence de liens ; mais en raison du caractère particulier
    de ces liens, elle estime nécessaire de les qualifier ; elle le fait négativement
    en déclarant qu’il ne s’agit pas de liens de souveraineté. Elle en déduit que
    la procédure « d’autodétermination grâce à l’expression libre et authentique de la volonté des populations du territoire est applicable.

    C’est je pense très clair. 
     
    Je ne suis pas très étonné de la série d’amalgames qui est faite dans ce texte de la part d’un contributeur à la feuille de chou Mag.ma. C’est tout à fait dans la ligne éditorial des plumitifs qui contribuent à ce journal au service du makhzen.




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