Intéressant d’apprendre des choses sur la monnaie romaine et ses péripéties dans l’histoire. La conclusion qui nous est livrée c’est que finalement, il eut mieux valu inviter les barbares à s’installer dans l’Empire plutôt que de les combattre. Le résultat aurait été le même, le sang des guerriers épargné et les facilitateurs du grand commerce bien mieux récompensés. Ah mais, c’est curieux, on dirait ...
@marmor Chacun à sa place les lions dans la savane africaine et les troupeaux dans les pâturages de France en plaine ou en montagne. A part l’attaque personnelle, les insultes d’autres maîtres à penser ici, et parler de conneries, c’est quoi ton argumentation pro-loup ?
Disons les choses, le loup est une vrai saloperie. Il provoque des carnages épouvantables dans les troupeaux en tuant en grand nombre, inutilement et d’une manière qui dépasse largement les horreurs de nos abattoirs les plus indignes.
Pourquoi des supposés écolos ont en amour cette bestiole que personne ne voit jamais et qui pourrit la vie des éleveurs et de la faune sauvage, c’est un mystère pour moi. Un choix surement issu d’un attendrissement urbain sur la bonne bouille du carnassier qui rappelle le toutou de mamie et du « oh comme ils sont mignons les petits ». Car rien ne justifie qu’il se multiplie dans nos campagnes, pas même un pseudo équilibre de la faune qui n’était en rien déséquilibrée avant son arrivée imposée.
En fait, le loup sert surtout au business subventionné de « l’étude de la vie du loup », à l’instar de « l’étude de la vie du requin » à la Réunion, vies dont on sait déjà tout mais qui fait vivre tout un monde d’humains parfaitement improductifs évidemment.
Quant aux entreprises qui font le choix de Clouds basés sur des terres étrangères ou susceptibles d’être piratés ou rachetés par n’importe qui, elles sont gouvernées soit par de gros balourds ignares qui savent à peine ce qu’intelligence économique signifie, soit par des carriéristes de passage qui friment avec une cost reduction drastique et stock option à la clé qui va coûter le savoir-faire de la boîte qu’ils dirigent le temps de se faire un pactole et puis taïaut.