• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

egos

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 24/11/2012
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 1 1204 2
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • egos 26 octobre 2021 08:43

    @véronique

    Il existe d’innombrables formes de création monétaire : hedging, flux interentreprises ou intra-entreprises mondialisées.
    L’économie financière mondialisée et les flux associés (biens, services, capitaux) en sont le pivot.

    La monnaie n’est pas qu’un bien uniquement fictif (ie fonds de pension), sa fonction consiste à valoriser des biens ou des actifs (matériels et immatériels),
    surabondante elle se déprécie (inflation), inversement sa pénurie entraine une situation de déflation.

    Le remboursement d’une dette ne respond pas nécessairement à sa destruction (cf fonds vautours vs Argentine),
    seuls les biens et services se détruisent, selon des séquences variables dans le temps, lors de leur consommation (ie alimentation, tourisme, loisirs),
    il correspond à la rétribution d’une action spéculative, dans tous les sens du terme.

    Quelles que soient les approches envisagées (moratoire, sanctuarisation, gel), la question de la perpétuation du déficit budgétaire et des emprunts d’état reste entière, celle des emprunt à venir est éludée.
    Ce point est précisément illustré par les politiques de Q easing pratiquées par les banques centrales occidentales, auxquelles n’auraient pas accés un pay africain ou autre placé sous mandat du FMI.

    Divers com relèvent le lien entre dette et distorsion entre la production de richesse (insuffisance) et besoin en fond de roulement des états,
    la croissance (sans toutes ses formes, biologique, démographique, économique) exige des quantités considérables de ressources, que se passe-t-il lorsque cette croissance est inexistante, voire stable ou négative ?

    La pratique des intérêts négatifs donne un indice et là pour le coup il s’agit, idem les dernières crises boursières, de destruction ou, contrairement aux apparences, de raréfaction (à terme) monétaire.



  • egos 14 octobre 2021 15:05

    Alors que, anatomiquement, l’instant paternel est attesté, localisé avec précision.



  • egos 12 octobre 2021 22:40

    @Eric F

    Extrait de l’article en lien : "

    On comprend pourquoi ce type de calcul n’est jamais réalisé : il conduit à des résultats absurdes.

    Les arguments y sont développés et accessibles à tous.

    Rappel élémentaires : le PIB correspond à la somme des valeurs ajoutées (avec quelques arrangements relatifs à la valorisation des services fournis ou imposés par l’Etat)

    Ce biais d’interprétation (consommations publiques et privées > PIB) mélange allègrement recettes et dépenses, son caractère abscons dépasse l’évidence.

    Le PIB représente la somme des valeurs ajoutées réalisées lors des processus de production distribution,

    hors spéculations et manipulations.


    Exemple : prenez un tas de caillou, insérez le sans le transformer ni le déplacer, dans un processus de commercialisation sans profit, entre 10 ou 50 acheteurs successifs, vous obtiendrez une valeur appréciable de consommation sans valeur ajoutée, hormis sa première valorisation tangible cependant fictive.

    le déséquilibre PIB (valorisation des processus précédents) vs consommation (domestique et export) entraine soit un déficit budgétaire public (régulé ou non par la fiscalité ou l’emprunt qui est aussi une dépendance) et ou un déficit du commerce extérieur (pas mieux)

    soit un excédent, ce qui n’existe pas au pays de Molière.

    Enfin, concernant la solvabilité des Etats, elle est garantie par leurs actifs (réserves diverses, patrimoine industriel et foncier etc.),

    l’exemple de la Grèce, de l’Argentine et de nombreuses nations passées au hachoir du FMI ou sur l’étal des Fonds Vautours apporte quelques éclairages sur nos vulnérabilités présentes et futures.

    La France brade ce qui lui reste d’appareil industriel et se prépare à négocier son siège de membre permanent à l’ONU, en attendant mieux.

    Y aurait ils quelques raisons à cela ?





  • egos 7 octobre 2021 17:03

    Cette politique industrielle existe pourtant depuis plusieurs décennies sous diverses appellations : délocalisations, abandon de filières, mutation tertiaire (finance, services, tourisme, spéculation immobilière), fabless companies (cf Tchuruk Alcatel) et autres balivernes qui firent l’ordinaire de la communication des majorités de droite et de gauche en direction d’un peuple engourdi et rêveur,

    les autres étant impitoyablement relégués au rang de de déclinistes, une variété ante 09/11 du complotiste contemporain.

    La réindustrialisation du pays et conséquemment l’équilibre du commerce extérieur supposent, outre une volonté inoxydable du peuple et de ses dirigeants autant vouloir marcher sur l’eau - un plan d’investissements massifs *, le ciblage de secteurs et filières porteurs, une large autonomie des opérateurs, le gout du risque assumé, un environnement juridique, règlementaire et fiscal stable,

    un dépoussiérage intensif de couches successives de scories bureaucratiques accumulées depuis des décennies, le curage des fossés politico-administratifs datant de la période féodale dont le tracé est entravé par toutes sortes de dépôts et d’obstacles.

    Que faire lorsque nous sommes simultanément logés aux antipodes des ces pré-requis ?

    * cf flux d’investissements financiers mondiaux, c’est mal engagé.



  • egos 2 octobre 2021 17:24

    Hausse des prix de l’énergie : les signaux passent au vert.

    D’ici quelques semaines, les nations européennes se déchireront afin d’accéder aux livraisons de Nord Stream II,

    avec à leur tête les roquets comptenteurs les plus hargneux du pouvoir Russe.

    En attendant mieux ou pire, i.e régulation européenne des tarifs de l’électricité, tensions internationales, plans et programmes de conversion écologiques qui fleurissent aux premières lueurs des professions de foi électorales.

    L’avenir sera écolo, concept aussi ténu qu’un papier de soie : froid l’hiver (habitats non chauffés) et étouffant l’été,

    les humains se déplaceront à l’allure de pseudopodes pudiques,

    la débauche de consommation n’aura pas fléchi,

    les spectacles de corrida perdureront (pression électorale oblige).

    Après la Guerre (qui n’adviendra pas, du moins celle ci)

    https://www.youtube.com/watch?v=xtpBtr8L8eg

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Culture Cinéma Culture

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv