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  • freedom2000 freedom2000 3 mai 2007 23:46

    Pour ceux qui l’ont oublié ou l’ignorent encore :

    http://www.lexpansion.com/art/6.0.64092.0.html

    qu’en pense le frèrot ?



  • freedom2000 freedom2000 3 mai 2007 23:09

    A méditer : La Presse Suisse regarde la Presse française muselée Mainmise sur la presse tricolore - LIAISON DANGEREUSE

    Depuis 2002, NS a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication). Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision.

    C’est cette entreprise, appartenant à l’UMP, qui filme leur et qui ensuite « vend » (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises. Le plus grave, ce n’est pas que NS organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l’argent.

    Pourquoi se gêner ? La société ETC jouit d’une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. NS a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal. Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu’il s’agissait de photos volées par un paparazzi...

    Rien d’étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre « NS. Enquête sur un homme de pouvoir » (1), l’actuel ministre de l’Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.

    Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, NS a courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et notamment 30% de la presse française, et aujourd’hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes (on pourrait d’ailleur dire SarkoTV...).

    « Il est non seulement l’ami des patrons de presse, mais il est aussi l’ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu’il appelle très souvent au téléphone.

    NS s’est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l’intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion », raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.

    Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n’apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. « Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues », déplore-t-il (belle notion de la démocratie "Big Brother).

    Ministre de l’Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), NS est un homme tout-puissant. Alors que ses « amis » journalistes ont étés abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec : les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de SR, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace.

    Mais qu’à l’occasion, ils s’intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. « Un proche de NS vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l’UMP », s’étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de NS que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément « le lanceur de boules puantes ».

    Le livre à charge intitulé « NS ou le destin de Brutus » (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s’est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.

    NS propulse les ventes de par sa médiatisation « On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à NS ces derniers mois. Le problème, c’est que ces 10 couvertures ont bien vendu.

    Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction », souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.

    PARIS - IAN HAMEL 27 janvier 2007

    Je ne sais plus quel personnage a dit un jour quelque chose du genre « quand un peuple est prêt à sacrifier un peu de sa liberté pour un peu plus de sécurité (ou d’économie), alors ce peuple aura finalement mérité son dictateur »



  • freedom2000 freedom2000 3 mai 2007 23:08

    A méditer :

    La Presse Suisse regarde la Presse française muselée Mainmise sur la presse tricolore - LIAISON DANGEREUSE

    Depuis 2002, NS a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication). Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision.

    C’est cette entreprise, appartenant à l’UMP, qui filme leur et qui ensuite « vend » (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises. Le plus grave, ce n’est pas que NS organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l’argent.

    Pourquoi se gêner ? La société ETC jouit d’une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. NS a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal. Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu’il s’agissait de photos volées par un paparazzi...

    Rien d’étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre « NS. Enquête sur un homme de pouvoir » (1), l’actuel ministre de l’Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.

    Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, NS a courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et notamment 30% de la presse française, et aujourd’hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes (on pourrait d’ailleur dire SarkoTV...).

    « Il est non seulement l’ami des patrons de presse, mais il est aussi l’ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu’il appelle très souvent au téléphone.

    NS s’est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l’intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion », raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.

    Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n’apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. « Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues », déplore-t-il (belle notion de la démocratie "Big Brother).

    Ministre de l’Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), NS est un homme tout-puissant. Alors que ses « amis » journalistes ont étés abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec : les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de SR, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace.

    Mais qu’à l’occasion, ils s’intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. « Un proche de NS vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l’UMP », s’étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de NS que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément « le lanceur de boules puantes ».

    Le livre à charge intitulé « NS ou le destin de Brutus » (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s’est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.

    NS propulse les ventes de par sa médiatisation « On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à NS ces derniers mois. Le problème, c’est que ces 10 couvertures ont bien vendu.

    Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction », souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.

    PARIS - IAN HAMEL 27 janvier 2007

    Je ne sais plus quel personnage a dit un jour quelque chose du genre « quand un peuple est prêt à sacrifier un peu de sa liberté pour un peu plus de sécurité (ou d’économie), alors ce peuple aura finalement mérité son dictateur »



  • freedom2000 freedom2000 3 mai 2007 23:03

    A méditer :

    La Presse Suisse regarde la Presse française muselée Mainmise sur la presse tricolore - LIAISON DANGEREUSE

    Depuis 2002, NS a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication). Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision. C’est cette entreprise, appartenant à l’UMP, qui filme leur et qui ensuite « vend » (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises. Le plus grave, ce n’est pas que NS organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l’argent.

    Pourquoi se gêner ? La société ETC jouit d’une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. NS a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal.

    Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu’il s’agissait de photos volées par un paparazzi... Rien d’étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre « NS. Enquête sur un homme de pouvoir » (1), l’actuel ministre de l’Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.

    Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, NS a courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et notamment 30% de la presse française, et aujourd’hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes (on pourrait d’ailleur dire SarkoTV...).

    « Il est non seulement l’ami des patrons de presse, mais il est aussi l’ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu’il appelle très souvent au téléphone.

    NS s’est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l’intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion », raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.

    Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n’apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. « Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues », déplore-t-il (belle notion de la démocratie "Big Brother). Ministre de l’Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), NS est un homme tout-puissant.

    Alors que ses « amis » journalistes ont étés abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec : les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de SR, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace. Mais qu’à l’occasion, ils s’intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche.

    « Un proche de NS vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l’UMP », s’étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de NS que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément « le lanceur de boules puantes ».

    Le livre à charge intitulé « NS ou le destin de Brutus » (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s’est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.

    NS propulse les ventes de par sa médiatisation « On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à NS ces derniers mois. Le problème, c’est que ces 10 couvertures ont bien vendu.

    Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction », souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.

    PARIS - IAN HAMEL 27 janvier 2007



  • freedom2000 freedom2000 3 mai 2007 23:02

    A méditer :

    La Presse Suisse regarde la Presse française muselée Mainmise sur la presse tricolore - LIAISON DANGEREUSE

    Depuis 2002, NS a placé des hommes à lui dans presque toutes les rédactions parisiennes, dans la presse écrite comme dans la presse audiovisuelle Les Français ne connaissent pas la société audiovisuelle ETC (Etudes, techniques et communication).

    Pourtant, ils ne cessent de voir ses productions à la télévision. C’est cette entreprise, appartenant à l’UMP, qui filme leur et qui ensuite « vend » (ou plus souvent donne) ses reportages aux chaînes de télévision françaises.

    Le plus grave, ce n’est pas que NS organise ses propres reportages, mais que les télévisions acceptent ce procédé car il leur fait économiser de l’argent.

    Pourquoi se gêner ? La société ETC jouit d’une excellente réputation professionnelle, elle offre des images parfaitement maîtrisées, avec des caméras face à la tribune, sur les côtés, et survolant la foule. NS a même organisé le retour de Cécilia, son épouse, au domicile conjugal.

    Son photographe a pris soin de prendre les clichés à distance afin de faire croire qu’il s’agissait de photos volées par un paparazzi... Rien d’étonnant à cela. Comme le rappelle Frédéric Charpier dans son livre « NS. Enquête sur un homme de pouvoir » (1), l’actuel ministre de l’Intérieur avait imaginé un temps devenir journaliste.

    Maire de Neuilly, dans la région parisienne, et président des Hauts-de-Seine, le département le plus riche de France, NS a courtise de longue date les patrons de presse, qui sont souvent ses administrés, comme autrefois Robert Hersant, propriétaire du Figaro et notamment 30% de la presse française, et aujourd’hui Martin Bouygues, le patron de TF1, dont le journal télévisé est regardé par 8 millions de personnes (on pourrait d’ailleur dire SarkoTV...).

    « Il est non seulement l’ami des patrons de presse, mais il est aussi l’ami des rédacteurs en chef et des chefs des services politiques qu’il appelle très souvent au téléphone. NS s’est aussi constitué une cour de sans-grade qui espionnent pour lui à l’intérieur des rédactions, recevant en compensation des informations exclusives ou des promesses de promotion », raconte un enquêteur connu de la presse parisienne.

    Le climat est devenu tellement étouffant que ce journaliste demande non seulement que son nom n’apparaisse pas, mais que son journal ne soit pas mentionné non plus. « Je suis contraint de me méfier de mes propres collègues », déplore-t-il (belle notion de la démocratie "Big Brother).

    Ministre de l’Intérieur, à la tête de deux services secrets, la DST et les Renseignements généraux (RG), NS est un homme tout-puissant. Alors que ses « amis » journalistes ont étés abreuvés de scoops sur la délinquance ou sur le terrorisme, les autres rédacteurs se retrouvent au pain sec : les policiers ne leur parlent plus. Pire, ils découvrent que les Renseignements généraux ne font pas seulement des enquêtes sur les collaborateurs de SR, comme Bruno Rebelle, ancien directeur de Greenpeace.

    Mais qu’à l’occasion, ils s’intéressent aussi à la vie privée des rédacteurs un peu trop à gauche. « Un proche de NS vous appelle au téléphone et lâche le nom de votre maîtresse, menaçant de le faire savoir à votre épouse si vous ne devenez pas davantage conciliant avec le candidat de l’UMP », s’étrangle un journaliste du Figaro. Un proche de NS que Karl Laské, journaliste à Libération appelle carrément « le lanceur de boules puantes ».

    Le livre à charge intitulé « NS ou le destin de Brutus » (2), écrit par plusieurs journalistes parisiens sous le pseudonyme de Victor Noir, s’est vendu à plus de 25 000 exemplaires. Il est réédité en livre de poche.

    NS propulse les ventes de par sa médiatisation « On montre du doigt le magazine Le Point pour ses 10 couvertures consacrées à NS ces derniers mois. Le problème, c’est que ces 10 couvertures ont bien vendu. Les journalistes qui ne sont pas sarkozystes ne peuvent pas reprocher ce choix journalistique à leur direction », souligne François Malye, président de la Société des rédacteurs du Point.

    PARIS - IAN HAMEL 27 janvier 2007

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