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  • freedom2000 freedom2000 4 mai 2007 13:11

    Qui a suivi hier soir « Envoyé Spécial » ??? Quelque chose me dit que le PDG de France 2 ne va pas garder sa place longtemps en cas de victoire de Sarkozy

    Une diffusion surprise du portrait des 2 candidats (sans quoi elle aurait été sans doute annulée par la personne concernée) , en riposte à la diffusion d’un reportage mardi soir sur TF1 montrant les magouilles d’un parasite qui aurait vécu depuis 25 ans au dépens de l’état en touchant l’Assedic chaque mois sans avoir jamais travaillé ?



  • freedom2000 freedom2000 4 mai 2007 13:05

    Démarche maladroite de Ségolène royal en effet que son discours enflammé de ce matin (elle aurait dû laisser ce travail à ses délègués), et pourtant je le répète, à défaut d’un François Bayrou, et même avec la certitude de voir mes revenus boursiers (13 ans de métier, en tant qu’indépendant) diminuer avec elle comme présidente, je me refuse à l’idée d’ un Nicolas Sarkozy comme président : Ma main à couper que son arrivée au pouvoir coïncidera avec des manifestations de salariés et des mouvements de violence partout en France. En guise de riposte, il pourra enfin déployer l’état policier dont il rêve depuis toujours.

    Et son parti-pris évident pour l’état d’Israel ne fera qu’intensifier les rancoeurs des pays arabes et dont les nombreux ressortissants en France pourront exprimer de manière violente leur désapprobation par des attentats.

    Et remarquez bien lors du débat Royal-Sarkozy, ce dernier s’est empressé au début de promettre de limiter la fonction présidentielle à 2 mandats, histoire de dissiper les inquiétudes du public. Mais quand on sait que les promesses n’engagent que ceux qui veulent les écouter.

    « Quand un peuple est prêt à sacrifier une part de sa liberté pour un peu de plus de confort, alors il aura le dictateur qu’il mérite »



  • freedom2000 freedom2000 4 mai 2007 12:51

    Démarche maladroite de Ségolène royal en effet que son discours enflammé de ce matin (elle aurait dû laisser ce travail à ses délègués), et pourtant je le répète, à défaut d’un François Bayrou, et même avec la certitude de voir mes revenus boursiers (13 ans de métier, en tant qu’indépendant) diminuer avec elle comme présidente, je me refuse à l’idée d’ un Nicolas Sarkozy comme président :

    Ma main à couper que son arrivée au pouvoir coïncidera avec des manifestations de salariés et des mouvements de violence partout en France. En guise de riposte, il pourra enfin déployer l’état policier dont il rêve depuis toujours.

    Et son parti-pris évident pour l’état d’Israel ne fera qu’intensifier les rancoeurs des pays arabes et dont les nombreux ressortissants en France pourront exprimer de manière violente leur désapprobation par des attentats.

    Et remarquez bien lors du débat Royal-Sarkozy, ce dernier s’est empressé au début de promettre de limiter la fonction présidentielle à 2 mandats, histoire de dissiper les inquiétudes du public. Mais quand on sait que les promesses n’engagent que ceux qui veulent les écouter.

    « Quand un peuple est prêt à sacrifier une part de sa liberté pour un peu de plus de confort, alors il aura le dictateur qu’il mérite »



  • freedom2000 freedom2000 4 mai 2007 00:13

    http://www.lexpansion.com/art/6.0.64092.0.html

    La citation du jour

    « Je suis fier d’être un patron industriel qui délocalise » Guillaume Sarkozy, vice-président du Medef LExpansion.com

    Voilà qui s’appelle mettre les pieds dans le plat. Regrettant l’absence de « vrai débat » sur « l’impact de la mondialisation sur nos sociétés », le frère du ministre de l’Intérieur est apparu déterminé à le lancer.

    Voilà qui s’appelle mettre les pieds dans le plat. Regrettant l’absence de « vrai débat » sur « l’impact de la mondialisation sur nos sociétés », Guillaume Sarkozy est apparemment déterminé à le lancer. S’exprimant devant l’association des journalistes de la presse économique et financière, celui qui est aussi président de l’Union des industries textiles a déclaré : « Je suis fier d’être un patron industriel qui délocalise. » Et d’ajouter : « Assez de faux semblant : la perte d’emploi, la déstabilisation industrielle, c’est normal, c’est l’évolution ».

    Expliquant être « pour l’ouverture des marchés avec toutes ses conséquences », le vice président du Médef a précisé que cela devait passer par un accès égal aux marchés nationaux, et par la baisse des hautes barrières douanières érigées par certains pays. Quant aux conséquences sociales de cette ouverture des marchés, « c’est un problème qui doit être traité au niveau de l’Etat », a-t-il estimé. « Il faut une mission de l’Etat pour proposer des choses aux gens », par exemple dans la formation, pour s’« adapter à la situation » de concurrence économique internationale.



  • freedom2000 freedom2000 3 mai 2007 23:58

    28/11/2002 La citation du jour

    « Je suis fier d’être un patron industriel qui délocalise » Guillaume Sarkozy, vice-président du Medef LExpansion.com

    Voilà qui s’appelle mettre les pieds dans le plat. Regrettant l’absence de « vrai débat » sur « l’impact de la mondialisation sur nos sociétés », le frère du ministre de l’Intérieur est apparu déterminé à le lancer.

    Voilà qui s’appelle mettre les pieds dans le plat. Regrettant l’absence de « vrai débat » sur « l’impact de la mondialisation sur nos sociétés », Guillaume Sarkozy est apparemment déterminé à le lancer. S’exprimant devant l’association des journalistes de la presse économique et financière, celui qui est aussi président de l’Union des industries textiles a déclaré : « Je suis fier d’être un patron industriel qui délocalise. » Et d’ajouter : « Assez de faux semblant : la perte d’emploi, la déstabilisation industrielle, c’est normal, c’est l’évolution ».

    Expliquant être « pour l’ouverture des marchés avec toutes ses conséquences », le vice président du Médef a précisé que cela devait passer par un accès égal aux marchés nationaux, et par la baisse des hautes barrières douanières érigées par certains pays. Quant aux conséquences sociales de cette ouverture des marchés, « c’est un problème qui doit être traité au niveau de l’Etat », a-t-il estimé. « Il faut une mission de l’Etat pour proposer des choses aux gens », par exemple dans la formation, pour s’« adapter à la situation » de concurrence économique internationale.

    http://www.lexpansion.com/art/6.0.64092.0.html

    LExpansion.com

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