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gaston

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Un retraité vétuste qui s'accroche encore un peu à sa vie et à celle du monde.

Tableau de bord

  • Premier article le 11/01/2014
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Derniers commentaires



  • gaston gaston 3 février 2013 12:23

    Depardieu ferait un très bon député !

    Braillard,n’ayant rien à dire, sensible
    aux vents dominants, il cuverait tranquillement
    au milieu des autres.
    Mais il faudrait peut-être prévoir deux fauteuils ?
    Est-ce bien Constitutionnel ?


  • gaston gaston 3 février 2013 11:40

    J’approuve ( hélas !) cet article.

    Il décrit simplement la réalité,où le ridicule peut tuer un jour.
    L’Histoire contemporaine nous l’a montré.
    Voir ces femmes,ces hommes,se déchirer,se comporter comme
    « des chiffonniers » ( qui ont plus de dignité )est un spectacle plus
    qu’affligeant. Quand tel député-maire à la réputation sulfureuse,au sujet de ses magouilles financières (et il n’y en a pas qu’un ou qu’une dans son cas !), joue les
    les Vierges effarouchées, le rire se transforme vite en nausée.
    Mais il ne sera jamais vraiment condamné ( les autres non plus d’ailleurs !).Continuera à inviter le « Beau Monde » parisien et provincial à ses brillantes soirées payées par celles et
    ceux qu’il ne représente pas,et qui elles et eux ont de moins en moins les moyens de vivre,ou seulement de survivre...
    Et c’est comme ça qu’un jour,on se retrouve sous une dictature...que beaucoup soutiendront ,au nom des valeurs du moment.Et dans les Brillantes soirées,
    quelques tortionnaires galonnés valseront avec ces dames, entre gens de bonne compagnie...

    En fait les questions (importantes) « débattues » en ce moment,je crois bien qu’elles et qu’ils
    s’en foutent ! Sauf une poignée de purs...de celles et de ceux qu’on fusille ou on laisse croupir en taule, sous toute dictature.


  • gaston gaston 29 janvier 2013 17:27

    Bonjour Alinéa,

    Je ne suis pas très à l’aise pour participer au débat
    auquel vous nous invitez...me semble-t-il.
    Beaucoup de vos observations paraissent justes.
    Et elles le sont probablement,du moins partiellement.
    Pour moi,qui suis un simple ( je n’ironise pas.),le « Sauve
    qui peut »,c’est le Titanic,Pearl Harbor,Dunkerque,un
    Tsunami,un tremblement de terre,un bombardement violent qui
    ébranle la cave dont on sait bien qu’elle est fragile,l’incendie dans
    une discothèque,La panique devant l’invasion imminente de
    troupes ennemies .Par exemple,ces images de l’ambassade Américaine
    à Saïgon, en 1975,lors de l’invasion du Sud-Vietnam par les troupes du Nord.
    La liste entre dangers naturels,et dangers provoqués par l’Homme,est évidemment
    très longue,et...non exhaustive !
    Vous écrivez :<<...car dans ces moments-là,tant pis pour celui qui ne peut pas.On laisse
    son compagnon,on peut même laisser son gosse.Cela s’appelle l’instinct de survie >>.
    Si la fuite-panique concerne beaucoup de monde,alors oui,en général l’expérience le montre :« tant
    pis pour celui qui ne peut pas »...s’il est seul. Mais pas toujours !Et cela mérite peut-être de le signaler,et de s’y arrêter...
    En ce qui concerne l’abandon du compagnon ou de l’enfant,je serais beaucoup plus nuancé.Bien entendu,on trouvera toujours quelques cas.Mais c’est probablement extrêmement rare.
    Plus généralement dans ces circonstances,la cellule familiale fait corps.Elle cherche à sauver « le
    ensemble ».Et s’il n’y a pas moyen de faire autrement,oui,tant pis pour les autres.Mais pas toujours !
    Je ne m’exprime là qu’en fonction de l’homme que je suis,et qui aura bientôt 70 ans.Ce n’est pas
    forcément significatif,mais mon expérience a été,et est encore partagée avec d’autres,beaucoup
    d’autres,forcément.Je ne prétends pas pour autant détenir la Vérité. Je sais seulement que je ne suis pas fier de mon comportement dans certaines circonstances,et heureux ( sans fierté particulière ),de mon comportement,dans d’autres.
    Cela est valable et pour l’aspect physique ( j’ai pratiqué l’alpinisme « facile » depuis l’âge de 8 ans.),
    et pour l’aspect social,et sociétal ( je suis entré à l’usine à 17 ans ,puis après quelques années
    d’apprentissage,suis devenu militant ouvrier.).
    Dans le combat ( toujours un peu contre soi-même.Que ce soit en montagne sous l’orage,ou à l’usine,face à un patron qui pratique le chantage et le harcèlement,il faut d’abord combattre sa peur,
    sa trouille.) Mais il n’y a pas de héros !
    Oui,en ce qui concerne l’état de l’individu dans la société d’aujourd’hui,je partage pas mal de vos
    observations.
    Pourtant,quand vous écrivez : <<...tout est plat,il n’y a plus de fierté [...] il n’y a plus de projet >>,je
    vous trouve très pessimiste.Regardez autour de vous.Écoutez les ouvrières et ouvriers de Florange,de PSA,les agriculteurs- aidés par de nombreux jeunes de tous milieux -de Notre Dame des Landes.De celles et de ceux qui luttent contre le Nucléaire.De celles et ceux qui se battent
    contre les promoteurs ( des charognards,je suis bien d’accord avec vous ),dans la Vanoise,dans les 
    Chambarans,dans le Massif Central.Dans le froid,la boue,les charges des CRS ( violences et
    lacrymogènes ),ils ne se battent pas uniquement pour conserver leur situation ( Ouvriers en usine !Bruit,cadences,flicage,mouchardage,accidents,maladies,salaires ridicules qui ne permettent
    pas de vivre,mais de survivre),mais aussi pour garder la tête haute.Dans ces combats,depuis
    toujours,la revendication de la dignité de l’humain à toujours été présente.
    Et pouvez-vous faire l’impasse sur le mouvement des indignés ? Du combat du peuple Grec ?
    Du peuple Espagnol,d’autres ailleurs.Y compris au Japon,aux USA,en Amazonie,et j’en passe.
    En matière de solidarité,allez passer quelque temps comme volontaire aux « restos »,au 
    Secours populaire ou Catholique,au DAL,chez Emmaüs,à Resf,Médecins du Monde,etc.
    Non,Alinea, ,tout n’est pas plat. Sauf le couvercle sur la casserole d’eau qui chauffe,qui boue peut-être, je n’en sais pas plus que vous.
    Ah aussi !Si ce n’est déjà fait,je vous invite à lire le dernier bouquin d’Edgar Morin.Ou de Jean Claude Guillebaud,que vous pouvez écouter sur ce lien ( pourvu qu’ça marche !)


    Je suis bien d’accord avec vous,quand vous écrivez : << Il s’agit donc bien pour nous de faire halte,
    de réfléchir et trouver au fond de soi cette alternative que personne ne nous proposera jamais >>.

    Et puis j’aime bien ce poème d’Antonio Machado :
    Mort pour ses idées...


    Marcheur, ce sont tes traces

    ce chemin, et rien de plus ;

    Marcheur, il n’y a pas de chemin,

    Le chemin se construit en marchant.

    En marchant se construit le chemin,

    Et en regardant en arričre

    On voit la sente que jamais

    On ne foulera ŕ nouveau.

    Marcheur, il n’y a pas de chemin,

    Seulement des sillages sur la mer.


                        ( Extrait )

    Merci pour votre article.

    En toute cordialité.

    P/S : Ne m’en veuillez pas si je ne réponds pas à un éventuel commentaire.Je suis fatigué,maintenant.



  • gaston gaston 15 janvier 2013 00:10

    Sur le fond,cet article me semble assez juste.

    Avec la cinquième République,nous remettons
    notre sort,et bien au-delà,à un Homme seul.
    Il faudrait peut-être,enfin,que nous,en principe citoyens,et non sujets,
    pensions à remplacer les institutions ...


  • gaston gaston 14 janvier 2013 23:58

    Article très intéressant.

    À faire lire à Pujadas.
    Non ! À Calvi...pour donner à Barbier
    l’occasion de mouliner du vent.C’pas dans
    l’air pour rien.
    Encore que Casanova n’est pas mal non plus
    dans le genre.
    Merci pour cet article Monsieur Luçon.

    A suivre ?
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