Tout ceci n’est que le prolongement de ce que IBM avait instauré dans les années trente et qui avait servi aux Nazis afin de saisir, traiter et analyser la moindre information dans le but d’identifier, lister et localiser la population entiere de l’Allemagne de l’époque, voire peut-ětre ailleurs.
Les raisons d’aujourd’hui sont quasiment les měmes á quelques détails prěts á la seule différence, comme vous le soulignez d’ailleurs, que l’ampleur de toute cette entreprise á pris des proportions inimaginables.
Nous baignons encore dans ce měme parfum nauséabond, sauf qu’il proviendrai maintenant, soit disant, du fameux camp du bien.
Ca ne se fera pas sans y laisser des plumes, mais la seule maniere de retrouver nos libertés dans une société que l’on souhaiterai plus integre ne se fera que par l’effet d’un sérieux coup de latte dans cette fourmiliere, doublé d’un décrassage en regle et en profondeur.
Celá ne présage en rien des moments agréables et l’attention devra ětre de mise pour éviter que certains extrěmes ne profitent de la situation pour prendre la place de ceux qui auront été délogés.
La vigilance s’impose pour éviter un certain parfum de déjá vu.
Malheureusement, au point ou on en est arrivé ils ne nous laissent plus beaucoup le choix.
Et pourtant ils auraient du s’en douter en prenant pour exemple « l’affaire Dieudonné ». qui, avec tout le buzz qu’elle aura suscitée, allant jusqu’á faire convoquer le Conseil d’Etat, lui aura fait une pub inespérée pour voir finalement les salles de ses spectacles comblées et á guichets fermés.
A l’inverse pour ce qui est de DECODEX, on n’ira point s’en plaindre.
Une mafia qui aujourd’hui a des ramifications au niveau international, dont l’axe de la politique de notre monde contemporain a été modelé pour en épouser le fonctionnement, et dont le Patron des Patrons n !était autre que l’illustre Meyer Lansky, également surnommé « the Brain », « the Mastermind of the Mob », ou bien encore « theGanglang Finance Chairman ».
La base de notre société actuelle, dominée par la corruption et le crime organisé a été fondée par l’unification, puis la dilution, de différentes corporations pour en arriver a celle qui occupe la place aujourd’hui.