Celui qui d’accoutumée se leve aux aurores pour faire son briefing lorsqu’un sujet le concerne, a sciemment esquivé l’éloquent billet de Monsieur Bruno Guigue traitant du colonialisme et faisant, en conclusion, le parallele entre C.Colomb et B.Netanyahou.
Silence radio tres révélateur, lorsque évidemment on a pas le derriere forcément propre sur la question, mais qui n’étonnera personne venant de la part d’individus dont le coté prévisible, et donc sans relief, n’est plus á démontrer.
Ne le prenez pas mal, c’était juste une petite vanne, sans méchanceté aucune, faisant référence á nos anciennes émissions de TV, et nous savons tous au fond de nous měme que bien souvent l’authenticité de nos pensées ainsi que de nos sentiments sont bien au delá du coté superficiel d’une écriture dont le niveau laisserait á désirer.
Un ras le bol généralisé face á la médiocrité crasse et sciemment voulue des programmes associée á l’abrutissement quotidien causé par un matraquage publicitaire indécent, m’a conduit voici maintenant plus de vingt piges á me séparer de cette daube qu’est la petite lucarne, dont l’unique vocation est devenue au fil du temps celle d’anesthésier et de crétiniser toujours un peu plus les peuples tout en les manipulant.
Les rares fois ou j’ai l’occasion de jeter un oeil dessus lorsque je suis en visite, je suis sidéré de voir á quel niveau de médiocrité la téloche en est arrivée aujourd’hui.
Encore pire.....
Le jour ou la majorité du commun des mortels s’en affranchira, l’humanité aura fait un grand pas en se réconciliant avec elle-měme, tout en se débarrassant enfin de son prět-á penser universel.
Malheureusement, c’est pas demain la veille. Vite, ma dose !!!
Ce genre de dérives sont de plus en plus fréquentes et l’on peut se demander toutefois si certains individus bas du front au sein des forces de l’ordre ne prennent pas les directives les concernant suite á l’état d’urgence comme une incitation á retrouver certains comportements déviants ayant cours á une certaine époque, et qui aura malheureusement pour les autres, pour effet de discréditer la profession toute entiere.