ne doit-on pas d’ailleurs voir dans l’aller-retour présidentiel une volonté de montrer à la fois sa présence dans l’actualité française, malgré les vacances et l’éloignement, mais surtout un rapprochement stratégique avec l’électorat chrétien ?
Sur ce point, d’accord avec Demian. Il faut avoir vécu et connu l’échec de la société consommatrice pour se rendre compte qu’elle nous leurre. Comme dirait le Dalaî-Lama, le bonheur ne dépend QUE de nous, et en AUCUN CAS de l’environnement ou des difficultés qu’on peut connaître.
J’ai tendance à dire qu’un cadre de vie modeste (pas pauvre, mais modeste) et du temps libre sont propices à la propension vers le bonheur, largement plus que les hautes sphères qui, par pression sociale, ne tendent qu’à montrer que le bonheur est entièrement dépendant de la notoriété et des possessions matérielles.
« ETRE DE GAUCHE NE SIGNIFIE PAS QUE L’ON EST AU PS^^ »
Ca, je veux bien le concevoir.
"être de gauche c’est partager des valeurs republicaine que la droite ump-iste a malheureusement oublié
Liberté-EGALITE-Fraternité"
Je ne peux pas laisser dire ça. Aucun parti ou partisan ne peut se prévaloir de respecter et de glorifier mieux que les autres la devise nationale. Je ne suis pas de gauche, et je crois en ces 3 principes, est-ce contradictoire ? je ne pense pas. En tout cas, je comprends que la politique n’avance pas si les partisans d’un camp, quel qu’il soit, sont persuadés d’être les seuls détendeurs des notions de justice et de bon sens.
J’ai tendance à croire qu’être de gauche pour la simple raison que des gens comme vous (et ça n’est en aucun cas péjoratif) tentent en permanence de resouder l’électorat ainsi que les idées de la gauche, afin de trouver un renouveau. J’ai bien peur que cela reste à tout jamais de grands principes, qui ont certes le mérite de se vouloir participatif et on ne peut plus démocratique, mais sans effets.
Si quelqu’un ne soumet pas un jour des propositions concrètes qu’il fait circuler et qui génèrent un débat, j’ai bien peur que le fait de juste dire qu’il « faut une révolution des idées » ne mène pas loin.