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Le Clem

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  • Le Clem 8 mars 2010 17:46

    Toujours et encore les mêmes arguments de la pensée unique Francaise.

    - Il n’y a pas de « vrais Francais ».
    - Les délinquants sont des victimes.
    - La France a du sang sur les mains ( Résponsabilité collective et héréditaire )
    - Penser le contraire, c’est du nazimse.

    30 ans qu’on entends ca, 30 ans que les problêmes s’accumulent sans qu’aucune solution ne pointe son nez. Ca devrait suffir a discréditer les bobos et autres gauchistes qui continuent encore et toujours a répéter ces mêmes bobards abstraits, mais rien a faire, ces gens la continuerons dans leur délire jusqu’a ce que la France soit un champs de runie. Reste aux autres, encore un peu lucide, a laisser ces gogos s’exister tout seul comme par exemple le jour de « la journée sans immigrés » ( un succés ! ) et a trouver des solutions concretes sans tenir compte des reduction ad hitlerum de ces quelques idiotes utiles stupides, encore trop nombreux mais en voie de disparition. 



  • Le Clem 5 mars 2010 15:26

    J’ai l’impression que mon chien est antisioniste, et comme tout le monde sait bien que l’antisionisme est le faux nez de l’antisémitisme ( sic ), je me pose beaucoup de question. 

    L’autre jour j’ai essayé de lui faire regarder « Shoah » pendant 9 heure, j’ai bien l’impression qu’il n’en avait rien a foutre. Pire, il a parfois remué la queue. Est-il aussi négationiste ?

    Voila une photo de mon chien :

    http://img519.imageshack.us/img519/7244/nazidog.jpg

    Aidez-moi s’il vous plait ! Dois-je le faire piquer ? 



  • Le Clem 25 février 2010 14:23

    Poéme de Victor Hugo sur le délit d’initié de je ne sais plus quel Rothschild au moment de la bataille de Waterlo, qui consolida la fortune de cette gentile famille de philantrope.

    " Tu casses des cailloux, vieillard, sur le chemin ;

    Ton feutre humble et troué s’ouvre à l’air qui le mouille ;

    Sous la pluie et le temps ton crâne nu se rouille ;

    Le chaud est ton tyran, le froid est ton bourreau ;

    Ton vieux corps grelottant tremble sous ton sarrau ;

    Ta cahute, au niveau du fossé de la route,

    Offre son toit de mousse à la chèvre qui broute ;

    Tu gagnes dans ton jour juste assez de pain noir

    Pour manger le matin et pour jeûner le soir ;

    Et, fantôme suspect devant qui l’on recule,

    Regardé de travers quand vient le crépuscule,

    Pauvre au point d’alarmer les allants et venants,

    Frère sombre et pensif des arbres frissonnants,

    Tu laisses choir tes ans ainsi qu’eux leur feuillage ;

    Autrefois, homme alors dans la force de l’âge,

    Quand tu vis que l’Europe implacable venait,

    Et menaçait Paris et notre aube qui naît,

    Et, mer d’hommes, roulait vers la France effarée,

    Et le Russe et le Hun sur la terre sacrée

    Se ruer, et le nord revomir Attila,

    Tu te levas, tu pris ta fourche ; en ces temps-là,

    Tu fus, devant les rois qui tenaient la campagne,

    Un des grands paysans de la grande Champagne.

    C’est bien. Mais, vois, là-bas, le long du vert sillon,

    Une calèche arrive, et, comme un tourbillon,

    Dans la poudre du soir qu’à ton front tu secoues,

    Mêle l’éclair du fouet au tonnerre des roues.

    Un homme y dort. Vieillard, chapeau bas ! Ce passant

    Fit sa fortune à l’heure où tu versais ton sang ;

    Il jouait à la baisse, et montait à mesure

    Que notre chute était plus profonde et plus sûre ;

    Il fallait un vautour à nos morts ; il le fut ;

    Il fit, travailleur âpre et toujours à l’affût,

    Suer à nos malheurs des châteaux et des rentes ;

    Moscou remplit ses prés de meules odorantes ;

    Pour lui, Leipsick payait des chiens et des valets,

    Et la Bérésina charriait un palais ;

    Pour lui, pour que cet homme ait des fleurs, des charmilles,

    Des parcs dans Paris même ouvrant leurs larges grilles,

    Des jardins où l’on voit le cygne errer sur l’eau,

    Un million joyeux sortit de Waterloo ;

    Si bien que du désastre il a fait sa victoire,

    Et que, pour la manger, et la tordre, et la boire,

    Ce Shaylock, avec le sabre de Blucher,

    A coupé sur la France une livre de chair.

    Or, de vous deux, c’est toi qu’on hait, lui qu’on vénère ;

    Vieillard, tu n’es qu’un gueux, et ce millionnaire,

    C’est l’honnête homme. Allons, debout, et chapeau bas ! "



  • Le Clem 24 février 2010 17:53

    Voila l’autre qui est de retour avec ses toxines et son égorgement pour ne pas stresser l’animal.

    Tu vas continuer longtemps a te rendre ridicule avec ca, et aussi avec ta fameuse alimentation arabe tellement saine ?

    Son islamofolle d’Imam lui a dit un jour « Wallaaaa y’a di toxines, ci digueulasse, faut li igorger vivant pour illiminer li toxines ! Waaalla ci sientifique, Momo li prophéte il l’a dit ! » et le gars il va repeter ca jusqu’a sa mort.



  • Le Clem 22 février 2010 20:18

    Heureusement que c’est fait pour, tenez vous bien, ne pas faire souffrir les animaux sans quoi ils libererent des toxines, hein les muzzs ?

    Bande d’attardés ...

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