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Luc DUSSART

Luc DUSSART

Consultant en tabagisme, VALOR Consultants, Neuilly

Une solution clé en mains d’accompagnement non médical de la cessation du tabagisme en entreprise.

Tableau de bord

  • Premier article le 05/06/2006
  • Modérateur depuis le 02/01/2007
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Derniers commentaires



  • Luc DUSSART Luc DUSSART 29 mai 2007 22:25

    @ JL

    Vous ouvrez la boite de Pandore (cette femme mythique qui amène les calamités sur l’humanité) !

    Mon billet ne vise pas les médecins, dont la quasi totalité est sérieuse et bosseuse. On en a besoin, et leur rareté va nous les rendre de plus en plus précieux dans les années à venir.

    Certains font du zèle comme le bon docteur Knock, mais les consultants y trouvent leur compte puisqu’ils en redemandent. Peut-être vaut-il mieux ça que l’inverse...

    Les statistiques sont un outil partiel, dans une logique de réduction de la complexité et de l’interdépendance des phénomènes biologiques et psychologiques et autres (spirituel aussi, osons). Mais elles sont indispensables, nécessaires à un raisonnement rationnel. C’est grâce aux statistiques que les voitures japonaises ont mis la pâtée à General Motors et Ford.

    Là où il y a danger, c’est quand elles sont utilisées par des esprits dogmatiques et étroits : malheureusement la formation médicale y correspond bien. Pour preuve la suppression de l’épreuve de lecture critique au concours d’internat. On formatte les médecins pour qu’ils ne remettent pas en cause les normes en cours. Et l’industrie pharmaceutique fait tout pour que les alternatives à la chimiothérapie soient exclues des savoirs reconnus : voyons les exemples de l’acupuncture, de l’homéopathie, de l’hypnose, de la placebothérapie aussi : non reconnus. Et pourtant ça marche, quand bien même statistiquement ce n’est pas facile à démontrer de façon rigoureuse. Tout CE QUI EST n’est pas forcément accessible à la science expérimentale. Les traitements médicamenteux s’y prêtent parfaitement par contre. Ceci explique cela à mon avis.



  • Luc DUSSART Luc DUSSART 29 mai 2007 21:59

    Alors quoi ? Excellente question, qu’il faudrait poser aux auteurs du montage. Je ne suis pas dans le secret.

    On peut écarter les soucis de santé de l’acheteur des médicaments : on est bien d’accord, la logique à l’oeuvre est une logique financière... Des calculs ont été faits et cela doit être rentable.

    De mémoire le montant moyen des prescriptions d’un médecin généraliste est de l’ordre de 60 euros de médicaments, pour 21 - bientôt 22 - euros de prix de la consultation. En raisonnnant de façon seulement économique, la ’consultation’ pharmaceutique doit donc rapporter plus. Voila pour l’intérêt - supposé - pour l’officine pharmaceutique. M’est avis que cette prestation de ’suivi’ sera donc ciblée sur les gros clients, ceux qui cumulent les traitements.

    Ce qui nous met sur la piste des intérêts pour l’assureur. Ceci ne sont que des conjectures (merci de vos commentaires éclairés). L’assureur constate que les traitements médicamenteux de longue durée finissent par rendre les clients malades, sérieusement malades. Il se dit que c’est une des raisons de l’hécatombe estivale dont 15 000 personnes âgées sur médicamentées ont payé le prix fort. Une poudre pour ci, un cachet pour ça, un troisième pour rendre l’association des deux premiers supportable, etc.

    On peut supposer qu’un médecin sait ce qu’il fait. Mais il ne sait pas ce que son confrère prescrit, à moins qu’on ne le lui dise. Il se pourrait que cet accord vise à restreindre les risques iatrogéniques d’ordonnances pour celles et ceux des patients qui passent leur temps dans les salles d’attente ... de médecins différents, généralistes et/ou spécialistes notamment. La médecine est dopée aux médicaments et les patients sont dépendants de la médecine.

    Tout va bien, ce soir le soleil s’est couché à 21h42 à Paris. Demain deux minutes de soleil en plus. Dormez braves gens : Big Pharma a pris votre vie en main...



  • Luc DUSSART Luc DUSSART 28 mai 2007 17:13

    @ l’ami Marsupil

    Merci pour cette référence, claire et bien faite. Il y a aussi d’autres contentieux : Ketek, Zyprexa, etc. en attendant les inévitables suivants.

    Fumer n’est pas un péché et le repentir n’est pas de mise. C’est pas vers le passé qu’il faut regarder, dans le rétroviseur, mais au contraire devant : que ressentiras-tu quand tu auras cessé de fumer ?

    Je parle de ressenti physique ou émotionnel, que l’on peut vérifier dans l’instant, pas une idée abstraite ? Quand tu auras ta réponse, tu auras déjà fait la moitié du chemin vers l’affranchissement de ta dépendance. Si tu n’y crois pas, fais comme si cela était vrai : ça marche...

    Acheter sa nicotine en pharmacie, c’est quasiment le même prix et pas plus utile que fumer pour cesser de fumer...

    Car ce qui fait problème ce n’est pas la période d’abstinence initiale, c’est la probabilité de récidive derrière. Les chiffres montrent qu’une chimiothérapie pour le sevrage est alors plutôt contre productive dans le temps long. Enfin des chiffres, que les médecins ne veulent surtout pas voir en face (cf. la censure aux USA rapportée sur mon site). Les recommandations médicales officielles sont biaisées ! D’ailleurs es-tu malade ? smiley



  • Luc DUSSART Luc DUSSART 28 mai 2007 14:52

    C’est le médecin nazi et activiste antitabac résolu Dr. Fritz Lickint qui a inventé le terme « tabagisme passif » révèle Robert Proctor, historien primé, dans son ouvrage The Nazi War on Cancer (Princeton : Princeton University Press, 1999).

    http://www.amazon.com/Nazi-War-Cancer-Robert-Proctor/dp/0691070512

    Certains veulent nous remettre au travail tout en nous transformant en bon aryen : au secours l’histoire !



  • Luc DUSSART Luc DUSSART 28 mai 2007 14:08

    Pour ceux qui aimeraient avoir une illustration concrète de ce lien de dépendance de la médecine envers la pharmacie, je développe le cas des aides à la cessation du tabagisme sur le site

    http://unairneuf.org

    J’y décrivais le 11 mai dernier pourquoi sur cette question « TOUTES LES RECOMMANDATIONS MÉDICALES sont à écarter a priori ». Cela concerne les treize millions de fumeurs en France et le milliard ailleurs.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


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