un mec de "bonne foi" qui est condamné pour "diffamation" , ça s’appelle un naïf .
L’auteur nous informe que le mouvement anthroposophique, se bat avec quelques autres pour conserver un accès libre à toutes les connaissances, notament botaniques, afin que les hommes puissent rester libre de leur vie .
L’europe sous la pression des lobbys économiques, réfutes les faits mis en évidence par les labos anthroposophique, qui permettraient une autre approche de l’agriculture tout en permettant la résolution de nombreux problèmes liès à l’industrie agroalimentaire chimique .
Il s’agit de santé huamine, et de liberté d’accès à d’autres réalités .
La question qui se cache derrière, est de savoir si l’on veut des hommes esclaves, ou des hommes libres .
Est-ce que l’on veut une industrie agroalimetaire qui pourrie tout du sol en passant par l’air jusqu’à notre sang et nos organes, sans alternative ?
Ou est-ce qu’on est capable d’avoir une société intelligente qui produise une alimentation saine et vivante, et une nourriture en libre accès pour chacun et non privatisé ?
Bon je le remet là, peut être qu’avec sa vision nocturne il va arriver à le lire
Le rapport parlementaire français sur les sectes et l’argent de 1999, sous la direction de Jacques Guyard,[23] a mis en cause l’anthroposophie. Jacques Guyard, contre qui diverses associations du mouvement anthroposophique avaient porté plainte, fut condamné en première instance pour diffamation et a été relaxé en appel. La Cour d’appel a en effet jugé que les propos en question étaient bien « diffamatoires » mais a relaxé Jacques Guyard en raison de sa « bonne foi », et parce que « Le juge n’est pas lié par les conclusions d’une Commission d’enquête et ne peut donc pas se prononcer sur la qualité des investigations menées par l’enquêteur ». La Cour a notamment relevé que l’anthroposophie inspirerait un mouvement « considéré comme une secte non seulement par la commission d’enquête française, mais aussi par une commission d’enquête belge, un rapport des Renseignements généraux de 1997 et les spécialistes du mouvement sectaire »[24].
En février 2001, le directeur du journal Le Figaro a été condamné pour diffamation par le tribunal correctionnel de Paris. Il a dû verser une amende de 15 000 F, 7 500 F au titre des frais et 1 F de dommages et intérêts. C’est le Mercure fédéral, la fédération des associations médicales anthroposophiques de France, qui a intenté la poursuite judiciaire pour dénoncer un article paru le 13 juin 2000 affirmant que « l’anthroposophie… aurait gagné son procès contre Jacques Guyard, président de la Commission parlementaire d’enquête sur les sectes et l’argent, grâce à l’appui de la scientologie ».
Des graines hybrides qu’il faut toujours racheter tous les ans
Des produits chimiques a la place des recettes naturelles comme les purins
Une même tomate pour tous sans gout et moins nourrissante
Une explication de son président sur ce qu’il reste de nos fruits et légumes, comment on a fait disparaitre des milliers de variétés de riz , pourquoi les ogm vont être une arme terrible pour controler la bouffe et comment la famine est un blabla géopolitique pour justifier la privatisation du vivant . http://www.univers-nature.com/interviews/kokopelli.html
et bientot peut être ? des taxes sur les jardins des particuliers et des amendes pour ceux qui récupèrent leurs graines ?
La privatisaion de la vie et du vivant que tout le monde applaudi parce que c’est moderne, sans plus de discernement, risque d’être une vrai secte autrement plus dangereuse .
Le rapport parlementaire français sur les sectes et l’argent de 1999, sous la direction de Jacques Guyard,[23] a mis en cause l’anthroposophie. Jacques Guyard, contre qui diverses associations du mouvement anthroposophique avaient porté plainte, fut condamné en première instance pour diffamation et a été relaxé en appel. La Cour d’appel a en effet jugé que les propos en question étaient bien « diffamatoires » mais a relaxé Jacques Guyard en raison de sa « bonne foi », et parce que « Le juge n’est pas lié par les conclusions d’une Commission d’enquête et ne peut donc pas se prononcer sur la qualité des investigations menées par l’enquêteur ». La Cour a notamment relevé que l’anthroposophie inspirerait un mouvement « considéré comme une secte non seulement par la commission d’enquête française, mais aussi par une commission d’enquête belge, un rapport des Renseignements généraux de 1997 et les spécialistes du mouvement sectaire »[24].
En février 2001, le directeur du journal Le Figaro a été condamné pour diffamation par le tribunal correctionnel de Paris. Il a dû verser une amende de 15 000 F, 7 500 F au titre des frais et 1 F de dommages et intérêts. C’est le Mercure fédéral, la fédération des associations médicales anthroposophiques de France, qui a intenté la poursuite judiciaire pour dénoncer un article paru le 13 juin 2000 affirmant que « l’anthroposophie… aurait gagné son procès contre Jacques Guyard, président de la Commission parlementaire d’enquête sur les sectes et l’argent, grâce à l’appui de la scientologie ».