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Oliver HACHE

Oliver HACHE

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Tableau de bord

  • Premier article le 05/07/2012
  • Modérateur depuis le 07/03/2013
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Derniers commentaires



  • Oliver HACHE Oliver HACHE 15 décembre 2013 13:15

    Pour une fois, je serais tenté de vous soutenir. Si, si... Vous avez bien lu.. ! Vous imaginez cependant que je ne peux m’empêcher d’apporter un bémol.


    Il n’existe pas de réglementation relative à la gestion des produits périmés, seulement des recommandations émises et contrôlées régulièrement par la Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de Protection des Populations. Comme les recommandations de la CNAM, celles des services de le répression des fraudes ont force de lois puisqu’il n’existe aucun autre texte de référence.

    Les produits périmés doivent être retirés de la vente, placés dans des containers à l’écart des denrées consommables, idéalement dans un local fermé, et dénaturés par un procédé adéquat (généralement à l’aide d’eau de javel).

    Le moment critique est celui où les containers sont placés à l’extérieur dans l’attente d’être vidés par les services de nettoyage. Le supermarché est responsable de ses déchets jusqu’à l’enlèvement. Il pourrait choisir de placer un vigile pour interdire l’accès aux containers. Ou placer sur ces containers une inscription sensée tenir les « curieux » à l’écart...

    Vous pourrez vous procurer vraisemblablement sans souci la liste des points contrôlés par les agents de la DDCSPP pour vérifier mes dires. Le cas échéant, c’est moi qui vous la transmettrai.

    Alors oui, l’image est choquante. Mais vous, qui êtes très attaché à l’application des lois de la République, ne pourrez que comprendre la position des supermarchés face à une réglementation restrictive. La situation doit évoluer car il n’est pas normal,qu’au 21ème siècle en France, des personnes soient obligées de chercher leur nourriture dans des poubelles. Le coupable n’est cependant pas celui qui applique la réglementation, mais celui qui la conçoit.

    Cordialement,
    Oliver Hache


  • Oliver HACHE Oliver HACHE 28 novembre 2013 06:53

    Cher Bob, car vous permettez toujours que je vous appelle Bob,


    Voilà encore un commentaire qui va placer le débat un poil juste au-dessus des sorties d’égout. C’est très constructif.

    Qu’est-ce qui vous ennuie.. ?
    Est-ce honteux de ne pas systématiquement cracher sur les patrons.. ?
    Vous seriez-vous reconnu dans le portait, rapidement tiré, du salarié voyou.. ?
    Pourquoi les gens heureux vous emm... t-ils ?
    D’où vous vient cette profonde frustration qui transpire à chacun de vos articles ?


  • Oliver HACHE Oliver HACHE 27 novembre 2013 06:38

    Qu’est ce qui vous amène à penser cela.. ?



  • Oliver HACHE Oliver HACHE 26 novembre 2013 22:18

    La différence profonde entre un système capitaliste, tel que vous le critiquez, et un système communiste, tel que vous le rêvez, c’est que dans le second, dès la publication de votre article, la police politique serait venue frapper à votre porte pour vous expliquer la vie.


    Parce que finalement, quel que soit le système, le pouvoir et les richesses sont détenues par une poignée de privilégiés. Et pourquoi sont-ils privilégiés.. ? Certains par la naissance, d’autres par chance ou malhonnêteté. Certains aussi grâce au travail. Si ! Si ! Je vous assure qu’on peut réussir en travaillant...

    Et alors.. ?

    La cible facile, c’est forcément le salaud de patron. Mais pourquoi ne pas raconter comment les syndicats de Continental ont creusé la tombe de la société.. ? Pourquoi ne pas s’étaler sur le nombre de postes supprimés, ou empêchés d’être créés, par les interventions de la CARSAT ou de l’inspection du travail.. ? Si les ouvriers d’Aulnay avaient construit des voitures plutôt que d’assembler les pièces d’un meccano, peut être aurait on plus envie d’acheter une Peugeot...

    Regardez, même au niveau des syndicats, il y a les riches et les pauvres. Pensez aux cumulards, ceux qui prennent leur poste au mieux et à peine quelques par mois, mais empochent le salaire plein pot.. ! Ceux qui posent des heures de délégation pour entraîner les copains dans la grève (retenue sur le salaire des copains uniquement...). Tenez, j’ai encore signé une note de frais de 600€ aujourd’hui pour un de ces valeureux camarades. Chose étonnante, seul le trajet aller était justifié par des tickets de péage... Ah oui, vous ne connaissez pas le grand jeu.. ? On fait du covoiturage mais chacun se fait rembourser l’intégralité des frais kilométriques.. ! J’ai oublié de demander si la somme était repartie en fin de mois avec les copains qui travaillent chaque jour... Ce mois-ci, pas de bol, c’est la société qui paie l’hôtel. Pas de bol car nous fixons une limite. Quand c’est pris sur le budget de fonctionnement du CE, on mène plus grand train.. !

    Les voyous sont partout. Il suffit juste d’avoir envie de les voir.. !

    Cordialement,

    O. Hache

    PS si vous cherchez le moins, c’est le trait rouge en haut à droite...



  • Oliver HACHE Oliver HACHE 21 novembre 2013 23:32

    @Gugu


    Il existe bien sûr des chemins très différents menant au surendettement. Ce sont de tristes situations, j’en conviens, mais Je me place au niveau de l’entrepreneur victime que je suis.
    Je ne fais aucune différence entre celui qui pars avec des produits sous le manteau en caisse et celui qui les paie avec un chèque en bois. Au bout du compte, c’est du vol. Des produits sont sortis des rayons et j’en ai pas été payé. Et c’est une chose qui est difficile à faire admettre aux personnes qui se livrent à ce genre de manège.

    « Ben, j’ai fait un chèque » entends-je régulièrement... Cette année, cela devrait représenter environ 100.000 €. Je dirige sans honte aucune une société à but lucratif, pas une œuvre caritative. Mes salariés s’attendent avec raison à être payé à la fin du mois. A la fin du mois, j’entends également réaliser suffisamment de bénéfices pour me rémunérer.

    Je suis sincèrement désolé de n’avoir pas la force, ni les moyens, de supporter la misère ambiante.

    Cordialement,

    O. Hache
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