En fait tu fumes toujours du pshit ou de la be ? Ton matos il a l’air super fort, au moins 90% THC, c’est sur c’est de la production locale trafiquée à base d’OGM...
Mes parents aussi se prétendent arabes, sont musulmans et font leur prière. Mais en période de ramadan ils ne mettent pas un cadenas sur le frigo. Ils savent faire la différence entre leurs croyances et celles de leurs enfants. Ils m’estiment suffisamment pour comprendre que je suis en mesure en tant qu’adulte de choisir une croyance X ou Y ou encore de les réfuter toutes. De la même manière, chez nous les femmes ne se voilent pas, c’est inimaginable et pourtant gare à celui ou celle qui leur manquerait de respect, c’est juste une question de sens civique. Sorti de la mosquée ou de la pratique religieuse privée, l’Islam ne se mêle pas des affaires du village ou de la cité et n’est jamais pris en compte dans ce cadre.
Quand je me moque d’eux en les singeant en train de faire leur prière ou encore lorsque ils ont peur du démon et répètent bismillah, bismillah, çà les fait rire et ils ne se sentent pas vexés. Quand ils me demandent ce que je pense de l’Islam ou de Dieu, je leur répond que Dieu ne s’est pas encore adressé directement à moi et que je n’avais aucune raison valable de pratiquer les rites d’une religion quelle qu’elle soit. Ils le comprennent très bien, c’est la sincèrité de la foi qui est important et non les automatismes ou le caractère obligatoire.
Je suis d’accord avec toi pour dire que c’est la partie sombre en chacun de nous qui est à l’origine des problèmes, mais ce n’est pas une raison suffisante pour s’imaginer que quiconque détient la vérité, à fortiori les croyants. Si la religion adoucissait vraiment le coeur des hommes et les limitaient dans l’expression de la barbarie, cela se saurait. Malheureusement, les derniers évènements en Afrique Du Nord tendent à prouver le contraire, des personnes ont tenté d’instaurer une république islamique (c’est en lien avec la religion et les croyances oui ou non ?) par la force et l’intimidation, tentative qu’ils n’ont pu mener à son terme car ils furent noyautés par les services secrêts Algérien et XXXX
Je n’ai rien contre l’Islam car c’est une religion comme les autres avec ses avantages et ses défauts, mais je ne me laisserait jamais dicter mon attitude par des croyants, ni influencer mon mode de vie, ma culture, mes aspirations.
Pour l’histoire des Kabyles vendus, je ne te dit pas le contraire puisque c’est la vérité et je ne suis pas non plus partisan d’une race supérieure (ce qui ne veut rien dire). Toutefois, celà n’est pas une raison suffisante pour laisser mourir ma culture sous les coup de boutoirs de l’arabisation et de l’islamisation. Le jacobinsime à plus ou moins bien fonctionné en France car il y a un cadre libertaire suffisamment ample pour permettre l’expression des langues régionales, une situation tout à fait différente des pays d’Afrique du Nord ou ce sont des dictatures qui interdisent des langues autochtones, même sur des territoires ou plus de 98% des habitants parlent la dite langue autochtone.
La segmentation de la problématique qui consiste à dire combattez le mal qui ronge l’Algérie en Algérie et laissez tranquille l’Islam de France est une supercherie qui ne fonctionnerait pas même avec un enfant. Puisque l’Islam Politique Conquérant pose problème en Algérie, au Maroc, en Tunisie, et quasiment dans tous les pays dits « arabes », il ne faut surtout pas qu’il empiète sur la spécificité Française qui reste un havre de paix et de liberté.
Maintenant si les adeptes de l’Islam se sentent offusqués des critiques qui sont émises sur leur religion de paix et d’amour, qu’ils se manifestent et s’organisent, les Français verront bien ainsi s’ils ont affaire à des citoyens respectueux de la laïcité et des libertés d’expression ou à des acharnés prêts à tout pour imposer leur culte à la majorité.
qt aux problèmes du Maghreb il faut avoir le courage de les régler avec
les maghrébins du pays. si tu viens ici , tu fermes ta gueule Omar et
toi car les difficultés que peuvent rencontrer les « musumans »
ici sont différents de ceux pour lesquels vous avez fui le pays.
- je n’ai pas fui le pays car j’ai toujours vécu en France. J’ai essayé de m’installer la bas sur mes terres (propriétaire foncier) mais tout est mis en oeuvre pour que cela devienne un enfer.
- C’est justement parce que les difficultés que les gens rencontrent la bas deviennent similaires à celles auxquelles sont soumis les Français que j’en parle :
. importation du conflit Israëlo-palestinien dans le paysage politique . détestation du juif (pas le sioniste) en tant qu’incarnation du bouc émissaire . tentative de fédération politique des « minorités » sous bannière religieuse . tentative de destruction des principes de la laïcité ancrés dans le droit Français . arabisation des minorités à l’école ici même en France . imposer des moeurs et accoutrements ultra-minoritaires à la majorité
- Si ces comportements des « musulmans » sur le sol Français n’étaient pas réels, je n’aurais alors aucune raison d’en parler, mais la réalité est bien là.
Je me suis déjà fait reproché la non observance des rites du ramadan ainsi que des remarques sur l’indécence de ma compagne non voilée, sans oublier mon impiété pour cause de non fréquentation des lieux de prière, juste sur la base de mon nom et de mon prénom.
Ma fille de 6 ans s’est vue proposée d’apprendre l’arabe dans son école et il a fallu que je réagisse sévèrement pour faire valoir mes prérogatives parentales.
Où est la liberté de culte, où est le libre arbitre si même en France je me fais poursuivre par des fantômes haineux au service du syncrétisme mahométan ?
Pour ce qui est de ton expression poétique « tu fermes ta gueule Omar » cela démontre si cela était encore nécessaire, ta propension et celle de tes semblables à la coercition, dans la plus pure tradition totalitaire.
Et vous voudriez qu’on vous laisse faire ici en France. Réveilles-toi Fouad c’est pas réaliste.
Les délires du barbouze-larbin algérien qui noircit de sa fiente les
colonnes d’une gazette salafiste à propagande islamiste a fait des
émules. C’est avec une évidente délectation que son [tissu de mensonges
et d’élucubrations Désinformation contre Ferhat MEHENNI est repris, en écho, par de plus enragés que lui. Qui sont-ils ? Des révolutionnaires d’opérette !
D’abord, Djameldine Benchenouf , qui se prétend
« journaliste indépendant » ce qui ne l’a pas empêché de tomber dans le
panneau de « l’action psychologique » qu’il devrait bien connaître
puisqu’il se prétend également en situation « d’exil » en France ainsi
qu’il l’a abondamment raconté et déversé sur le web…
Ce Monsieur reproduit l’article du barbouze de service sur son propre blog et se permet même d’en rajouter : « Ferhat Mehenni franchit le rubicon » écrit-il.
Ensuite, « le Quotidien d’Algérie.com » qui appartient
également à D.Benchenouf, en fait ses choux gras en y incluant (en
photo) Kamira Nait-Sid. Il est à signaler que Benchenouf à cédé la
direction de ce journal en ligne à « d’autres entités », ainsi qu’il
l’a fait savoir par un avis publié sur son site.
Benchenouf collabore par ailleurs, étroitement, avec le
« Mouvement AL-Rachad », mouvement lancé en 2007 et qui a pour but rien
moins que renverser purement et simplement le régime algérien !
C’est dire qu’entre le MAK et sa légitime revendication
pour le peuple Kabyle, et ces « exilés-transfuges » qui visent à
exploser une République aussi tordue soit-elle… je vous laisse conclure.
Qui est AL-Rachad ? voyez ci-dessous.
ADN
« En finir avec la dictature de Bouteflika »
Des dissidents exilés en Europe,
notamment en Suisse, se fédèrent pour tenter de renverser le régime en
place à Alger. Parmi eux, d’anciens islamistes radicaux poursuivis par
la justice de leur pays.
Enquête.
Al-Rachad, « Le bon sens », mouvement politique fondé
par des Algériens réfugiés en Suisse, au Royaume-Uni et en Allemagne, a
été lancé le 18 avril depuis Londres. Le groupuscule veut renverser le
président Abdelaziz Bouteflika et son régime. Pour parvenir à ses fins,
il drague aussi bien des sympathisants islamistes (MSP, ex-Hamas
algérien) que des membres du FLN (ex-parti unique) ou du FFS
(socialiste). Et il s’adresse tant à la diaspora qui a jeté l’ancre en
Europe qu’aux résidents cantonnés en Algérie.
Le mouvement - et non le parti - aspire à un « Etat de
droit et à la bonne gouvernance », et propose « au peuple algérien une
alternative pour un changement radical du système politique ». Trois
des cinq membres fondateurs vivent en Suisse : Abbas Aroua enseigne à
la Faculté de médecine de Lausanne ; Mourad Dhina est un ancien
collaborateur du CERN et de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich ;
Rachid Mesli travaille pour l’organisation arabe des droits de l’homme
Al-Karama à Genève.
Leur charte dénonce « la façade civile » d’un
gouvernement contrôlé par « l’oligarchie militaire » et fustige la
dislocation sociale et la crise économique qui gangrènent l’Algérie.
Les dissidents récusent la « dictature de Bouteflika » : le parlement
est réduit à « une simple chambre d’enregistrement », et les
institutions sont « asservies » à la Direction des renseignements et de
la sécurité (DRS), service de l’armée nationale et colonne vertébrale
du pouvoir.
Ces accusations virulentes se nourrissent de la réalité
d’un pays en faillite : malgré des ressources naturelles extrêmement
riches (50 milliards de dollars issus du seul pétrole dans les caisses
de l’Etat en 2006), le taux de chômage est écrasant et plus de 40% des
femmes sont encore analphabètes. Ces chiffres incarnent la
paupérisation d’un peuple assommé par une décennie de violences :
150000 morts, 2 millions de déplacés et 20000 « disparus forcés ».
Les ingrédients sont donc réunis pour battre le rappel
des troupes. En deux mois d’existence, Al-Rachad affirme être fort d’un
millier d’adhérents algériens, et d’une bonne poignée d’exilés de
l’intelligentsia. Le mouvement politique mijote « une action civique
symbolique », où il orchestrerait des grèves massives qui
paralyseraient le pays et contraindraient le pouvoir à composer avec
ses revendications. Voire à « abdiquer ».
Pourtant, derrière « ces voies non violentes » que
Rachad prône, se cache un passé lourd d’activisme islamiste. Mourad
Dhina est en effet une figure de proue des fondamentalistes algériens.
Après la dissolution et l’interdiction du Front islamique du salut
(FIS) en 1992, il se réfugie à Saint-Genis-Pouilly, aux portes de
Genève dans l’Ain. Deux ans plus tard, il est soupçonné de trafic
d’armes par la France. Il prend alors la poudre d’escampette en Suisse
où sa demande d’asile est rejetée à deux reprises. Entre 2002 et 2004,
il devient néanmoins responsable du bureau exécutif du FIS à
l’étranger. Depuis 1995, il est ainsi toléré sur le territoire
helvétique, grâce à une admission provisoire qui s’éternise. Privé de
passeport par les autorités algériennes, il est condamné à arpenter les
26 cantons. Lui, sa femme, et ses six enfants, dont cinq sont nés ici.
Dans un français irréprochable, l’ex-leader par intérim
se défend de relayer tout discours propagandiste. Mais il confesse
volontiers entretenir des liens « quasi permanents » avec le leader
historique du FIS, Abassi Madani, et son bras droit Ali Belhadj, qui
ont croupi douze ans dans les geôles algériennes et ont toujours refusé
de condamner les activités armées du Groupe salafiste pour la
prédication et le combat (GSPC), devenu Al-Qaida Maghreb.
Quelle influence s’apprête à exercer Al-Rachad, et en
tirant quelles ficelles ? Une plateforme euro-atlantique chargée de
surveiller les cellules islamistes dormantes ayant une vitrine sur
Internet garde un œil attentif sur le mouvement. Pas de commentaire du
côté de l’ambassadeur algérien à Berne, qui réclame néanmoins
ponctuellement à la Confédération l’extradition de Mourad Dhina,
condamné par contumace à 20 ans de réclusion criminelle. Quant à la
Police fédérale, elle explique laconiquement : « Le groupement
d’opposition politique est connu de nos services (ndlr : Service
analyse et prévention de lutte contre le terrorisme), mais pour
l’instant, on ne décèle aucun lien avec des actes extrémistes
violents. »
En attendant, la campagne de recrutement bat son plein
et Al-Rachad envisage de se doter de sa propre chaîne télévisée.
Directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et
méditerranéen (Cermam) à Genève, l’Algérien Hasni Abidi souligne :
« C’est la première fois que des islamistes influents s’ouvrent autant.
C’est bon pour leur image. C’est donc un moyen de recruter le plus
possible. » A Londres, Mohamed Larbi Zitout, pilote du projet
d’Al-Rachad, résume sans détour son objectif : « Nous
pensons organiser une sorte d’Intifada, de manifestation nationale
[...]. Il y aura toujours un prix à payer. L’Algérie, ce n’est pas la
Géorgie, on ne peut pas réussir une révolution qu’avec des fleurs. »