marine lepen est un « adversaire artificiel », le diable, dont la finance se sert pour téléguider la masse et la faire voter comme il faut... tu mets n’importe qui devant le diable et il aura toujours l’air d’être le bon.
Ne gaspillez plus votre attention sur ce cirque, ce théatre qu’est la politique et consacrez là plutôt à votre propre élévation.
il explique que le problème de l’humanité, n’a rien à voir avec l’homme lui même. mais la structure dans laquelle il s’inscrit. On est sans cesse en train d’accuser le vilain homme qui martyrise la pauvre nature et avec ce climat de mépris, on s’auto-sabote, on s’éloigne les uns des autres, on s’isole... c’est la tyrannie de la nature qui est violence, c’est elle qui nous mène devant la falaise, pas l’homme en soit.
à force de se mépriser de la sorte, on ira nulle part... réaliser la violence de la condition humaine et observer le monde à travers ça, c’est retrouver de la compassion pour l’humanité. Ingrédient fondamental si on veut vraiment évoluer.
Le problème de l’humanité, c’est la peur de la souffrance et la mort et comme ingrédient à ça, on essaie de regarder ailleurs, on se distrait, oui c’est irresponsable certes, oui, il faut critique ça, mais il y a un moment, ou il faudra se serrer les coudes et ça n’est possible que lorsqu’on arrêtera de mépriser l’humanité et tant qu’on rejette l’homme, on se rejette soi même.