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vincent p

Vincent P 38 ans 
Travailleur social, Reims 51100
Par vocation, travaille actuellement dans une association en aide
aux personnes en difficulté, rejeté par le système mis en place.
Voilà pour me décrire brièvement, écrit de temps en temps
quelques articles qui me tiennent à coeur sur la société.

 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 31/10/2007
  • Modérateur depuis le 09/09/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 311 231
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Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
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Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • vincent p 6 mars 2008 13:34

     

     

     

     

    Peut-être allez vous trouver mon attachement à l’esprit des Lumières un peu naïf, mais j’ai confiance que des réformes nécessaires, installées par une méthode raisonnable et progressive, auront gain de cause largement dans l’opinion publique.

    Oui très naïf votre attachement à ces mêmes lumières pour vous éclairer automatiquement jour et nuit, mais pas seulement cela hélas.



  • vincent p 6 mars 2008 13:27

     

    Frédéric Bastiat, grand libéral du XIXe siècle, utilisons les élections comme autant de tribunes pour partager nos analyses avec l’opinion et recueillir un soutien toujours plus large.

    Parler continuellement de liberté économique aux hommes, n’apporte pas toujours en retour et automatiquement la liberté à l’homme, et ils appelent cela de la lumière.

     

    Dès lors, il faut défendre nos valeurs : comme



  • vincent p 6 mars 2008 13:23

     

    En revanche, je me garderai de résumer le libéralisme à un économisme.

    Oui, comme je me garderai maintenant de pousser davantage de gens à se faire laver la cervelle.

     



  • vincent p 6 mars 2008 13:22

     

    Là où le système devient vicié, c’est quand il légitime son autorité, donc la contrainte, sur la morale et la nécessité d’aider.

    Là ou le libéralisme libère bien peu les hommes c’est lorsqu’ils s’entêtent à vouloir parler aux hommes de la même manière, vouloir sans cesse s’en prendre aux institutions établis, à l’Etat, que le mal de l’homme ne vient que de l’Etat, et non d’ailleurs à la fois, alors
    marchandons le monde encore et encore, comme les corps et les Ames, sans jamais bien sur que cela ne cesse pour eux, c’est en effet si préférable à voir pour eux...



  • vincent p 6 mars 2008 13:16

     

     

    En conséquence de quoi nous pensons que plus la société tend à collectiviser les décisions, à retirer aux individus leur responsabilité naturelle, plus elle se déshumanise : les comportements de chacun deviennent irrationnels, insensés, et finalement contre-productifs pour l’épanouissement de l’individu.

    Au jour du bonheur, de la pleine croissance, de la pleine individualisation de ces désirs, du tout marché sur la terre, on oublie alors davantage les maux de l’autre et c’est mieux, on prend même davantage de la distance vis-à-vis de lui, mais alors lors de la grande déconvenue, patatrac...

     

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