Bof. Vous parlez d’un homme qui a une tribune ouverte dans tous les grands médias, et qui y parle toujours de la même chose, sans nuance.
La pensée unique, dites-vous ? C’est ce qu’on reproche à ce gars là.
Ce que je constate autours de moi, lorsque je mentionne Val, c’est que :
- la personne ne voit pas du tout de qui il s’agit ("Phillipe Val ? C’est qui, ça ?")
- la personne n’aime pas la disproportion entre la tribune immense qui lui est offerte et le peu d’intérêt de son propos
Je suis sûr que Val serait triste de savoir qu’il n’est pas aimé par les rares Français qui le connaissent. Tant mieux.
Si vous appréciez l’action de Sarkozy, vous êtes plus respectable que les nombreux électeurs de Sarko lui ayant tourné le dos dès que l’opinion a tourné. Un peu de courage, c’est bien !
Si vous appréciez l’action de Sarkozy, et à moins que vous ne soyez un héritier très riche, vous êtes idiot. Beaucoup de connerie, c’est mal !
Votre article complète mes propres réflexions concernant Val.
Je pense que nous avons affaire là à un médiocre désireux de se poser en Grand.
Quel meilleur moyen, pour un médiocre, de briller, que d’embrasser à plein bras les idées dominantes, et de s’en faire un chantre ?
Deux obessions, chez Val. D’abord, vous les dites bien, il voit des islamistes et/ou des antisémites de partout.
Ensuite, l’URSS ! Que de fois l’ai-je entendu dénoncer le goulag, et autres dérives ou crimes perpétrés au sein de l’URSS ! Ou comment embrasser avec courage un combat terminé depuis des années.
Qu’une bonne âme se charge de dire à ce crétin que la guerre froide est terminée.
Val voudrait être Grand.
De là peut-on le voir aux côtés du Medef, car, ne l’oubliez pas, pauvres bougres, monsieur est Président !
Un bien piètre intervenant, ce Val, qui aurait, d’après moi, gagné à se faire discret, et à laisser à son journal le soin de soutenir la ligne faussement rebelle qui est la sienne.
Petite question persos à destinations des lecteurs, s’ils veulent bien y répondre : reste-t-il des gens pour acheter ce qu’est devenu Charlie Hebdo ?
Voilà qui m’étonne de notre président : les rats ne quittent-t-ils pas le navire, au moment où celui-ci coule ?
Qu’irions-nous faire dans cette galère ?
Peut-être peut-on espérer plus de résistance de la part des leaders Allemands ?