TOUT LE PROBLEME DE LA STATISTIQUE EST QU’ELLE REPOSE SUR UN PROCESSUS DECLARATIF du DEMANDEUR D’EMPLOI, puis sur son APPRECIATION PAR L’EMPLOYE QUI L’ENREGISTRE
POUR FAIRE COURT : dès qu’un agent du service public de l’emploi lui demande s’il accepte un CDD ou un travail temporaire en attendant un bel et bon CDI,le demandeur d’emploi actif a toutes les chances de répondre oui...
...et alors bien des chances de se voir porté d’office dans une catégorie n’apparaissant pas à la statistique officielle !
Les statisitiques traduisent ainsi, et reflètent seulement des comportements possibles ou éventuels de recherche d’emploi, et non la situation économique et professionnelle réelle du chomeur qui,
- permettrait un diagnostic utile
- puis permettrait d’organiser un parcours spécitifique,
- individualisé de recherche d’emploi et/ou de formation
D’OU AUSSI, l’ABERRATION COMPLETE DU SYSTEME DES AIDES AUX ENTREPRISES POUR L’EMPLOI, ciblées sur TEL OU TEL « PUBLIC »
Collectivement définies par rapport aux populations ainsi « statistifiées », si l’on peut dire, on comprend pourquoi ces aides aveugles sont bénéfice net pour les employeurs qui n’ont aucun raison de refuser l’effet d’aubaine aussi maladroitement offert !
Alors que jusqu’à présent on le fait en fonction de critères collectifs, sociologiques, finalement assez vagues sur la demande d’emploi,
IL FAUT ATTRIBUER LES AIDES,
- les ATTACHER à la PERSONNE
- et les MODULER SELON SON PROFIL PROFESSIONNEL,
- en fonction des métiers recherchés, selon qu’ils présentent ou non des difficulté de recrutement qu’il serait pertinent d’aider.
On s’aprecevra alors de l’immense gisement d’économies dont on dispose là aussipour résorber la dette !