Je reconnais mon erreur et j’aurais sans doute du développer davantage un point ou deux pour donner plus envie au lecteur d’aller lire le livre.
Néanmoins Martin Hirsch explique par exemple les points que vous soulevez, d’une part ce qu’il est aller faire là dedans, mais aussi il explique quelles ont été ses relations avec Nicolas Sarkozy pour ce poste.
Il aurait pu dire "Sarko c’est pas mon camp et dons je n’irais pas", mais non il a le courage d’aller faire ce qu’il préconise.
Méthode : des objectifs clairs, des groupes de discussions pour expliquer les objectifs mais aussi pour avoir les remontées des premiers concernés, expérimentation pour une période donnée, amélioration, etc. Pas de grande messe (comme sur les plans banlieues par exemple).
Autre critique : pourquoi ne se bat-il pas contre les mesures du gouvernement et en particulier le 2 refus et c’est la porte ? Sur ce sujet difficile de le savoir directement, sans doute réagit-il malgré la solidarité gouvernementale, sinon peut-être, pour réussir sur son projet pratique -t-il sa liberté de silence...
Plutôt que de lancer quelques remarques à partir d’a priori l’exploitation de l’homme par l’homme, ne faut-il pas non plus chercher des solutions pour limiter la pauvreté.
La complexité du monde aujourd’hui nécessite d’avoir des réponses plus subtiles que le discours politique habituel du pour ou contre....
Bien amicalement,