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Commentaire de Philippe VERGNES

sur « La lettre au père » de Franz Kafka


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Philippe VERGNES 2 février 2016 14:23

Bonjour Serge ULESKI,


Oui !

... et bravo pour cette présentation d’un auteur dont on peut diagnostiquer sans peine qu’il fut la victime innocente d’un père pervers narcissique.

Vous m’avez devancé dans la présentation de ce monument de la littérature (il faut dire que j’avance comme un escargot dans mes projets d’écritures qui tournent majoritairement autour de la théorie de la perversion narcissique et du fascisme que génère les défenses intrapsychiques sollicitées).

Je préciserais cependant un point sur lequel (le plus important à mes yeux) je reviendrais un jour : c’est que les ouvrages principaux de F. Kafka que vous citez dans votre article, et plus particulièrement Le Procès, décrivent de façon magistrale l’atmosphère dans lequel baignent toutes les victimes de pervers narcissique (ou de manipulation perverse) et qui est celui d’un climat totalement abscons d’une « faute sans nom et sans faute ».

Tel est l’ambiance de fond véritable équivalent de « meurtre d’âme » dans laquelle évoluent et se développent les proches de ce genre de personnalités toxiques.

Un seul petit bémol, compréhensible toutefois et qui ne n’entache en rien la qualité de votre article. Il concerne vos considérations sur les psys. Compréhensibles car vos vues les concernant sont pertinentes dans bien des cas, mais il existe aussi des exceptions. Rares j’en conviens. Toutefois cette rareté n’est pas une raison suffisante à mes yeux pour les mêler au reste de la « troupe ».

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