@un des P’tite goutte
J’aime la stimulation qu’engendre les controverses. Mais il s’agit plus ici de propagande. En ce sens nous avons ici un parfait exemple de tentative de désinformation, de manipulation la plus grossière, sur fond de déni.
Souvent je respecte mes contradicteurs, mais l’expérience est là pour me faire savoir quand je perd mon temps. Répondre à des propos révisionnistes entretient le débat de façon stérile, et valide quelque part la pertinence de l’auteur, qui veut simplement vous épuiser, vous renvoyant vos balles liftées avec la pertinence d’un mur, ou d’un robot..
Alors il ne reste plus que l’humour. Ce que ne supporte pas les paranoïaques, et qui me fait office de soupape, pour continuer à vivre..
Ca ne suffit pas aux oiseaux, victimes d’un ethnocide affreux depuis 50 ans, avec une nette accélération du phénomène depuis l’an 2000 où 50% d’entre eux ont disparu. Qu’on ne me demande pas les preuves. Chacun les a, les connait. C’est une hécatombe depuis qu’en 1962, pour la première fois, une femme, américaine, Rachel Carlson écrivait un livre en forme d’alerte. « Un printemps silencieux »...Elle montrait, preuve à l’appui, comment les alligators, en Floride, étaient impactés par les pesticides, leur reproduction menacée, avant d’étendre sa réflexion sur les autres espèces. Elle sera traitée de folle, de communiste, de lesbienne, et tutti quanti. L’injure a fait flores et continue...Je parle des oiseaux, mais vous savez bien qu’on peut parler autant de n’importe quel élément de la nature, niée, étouffée, condamnée….. Il suffit de lire Spartacus pour lire que rien ne change à leur argumentation, et leur brillante rhétorique de déni. Ont ils des enfants, ces lobbystes ?...